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Homosexualité et homophobie - Page 33

  • Peur sur la ville … les peluches débarquent ! (ma tribune sur le Huffington Post)

    Peur sur la ville … les peluches débarquent !

     

     

    Tous aux abris chers habitants d’Argenteuil, les peluches débarquent dans votre ville ! Ne courrez pas, ne chargez pas les voitures de tous vos bagages de première nécessité, ne vous enfuyez pas, rassurez-vous, heureusement votre maire, Georges Mothron vous protège ! Ouf … tout le monde est sain et sauf.
    Bon, certes, je vous l’accorde, j’exagère un peu… Plus sérieusement, le danger quel était–il ? Une association culturelle avait osé organiser la projection du film « La sociologue et l’ourson ». Cette projection de cet objet cinématographique tout à fait original car fait avec des peluches a été unilatéralement annulé par Georges Mothron. Et oui mesdames et messieurs, les peluches ce n’est pas que gentil ! Passons. Alors, pour mériter cette interdiction, ce film doit un brûlot insurrectionnel appelant à la sédition ? Non pas vraiment… en fait, ce film retrace en toute simplicité et avec une vraie volonté pédagogique les débats qui ont abouti au vote de la loi ouvrant le mariage à toutes et tous.
    Deux réflexions me viennent à l’esprit : la première sur la méthode du maire d’Argenteuil, la seconde sur le fond des choses.
    Sur la méthode, tout d’abord : la censure est bien l’arme des faibles. Cette vérité, elle aurait dû être rappelée au maire d’Argenteuil. Dommage car, avec cette censure manifestement liée à des arguments idéologiques, Georges Mothron se met quelque peu en marge de notre démocratie qu’il est censé en tant qu’élu incarner, défendre et promouvoir. Interdire plutôt que débattre, voilà bien l’antithèse de ce qui fonde notre démocratie, basée sur une liberté d’expression, non pas absolue, mais la plus large possible. Bien sûr que des raisons d’ordre public peuvent jouer dans les décisions de tout maire en France mais est-ce que l’on peut raisonnablement et sérieusement soutenir que ce film serait possiblement cause de troubles ? Restons sérieux …
    Ensuite sur le fond : pourquoi ne pas vouloir évoquer une loi qui a été au cœur pendant plusieurs mois de débats acharnés ? Il n’est pas là question de militantisme ou autre, cette œuvre cinématographique est presque historique. Peut-on nier les profondes divisions qui ont abouti à ce déferlement homophobe ? Peut-on nier les cicatrices, peut-on nier la création et le développement de mouvements extrémistes ? Peut-on nier un débat qui a conduit à de profondes lignes de fracture ?
    En fait la morale de tout cela, c’est bien que, au-delà du fait que les peluches peuvent être sacrément dangereuses, la lutte contre l’homophobie est un combat du quotidien. Car si la lutte pour les droits LGBT doit indéniablement être portée sur le plan légal, la bataille se gagnera aussi par un changement des mentalités !

  • 23 avril 2013-23 avril 2016 : 3 ans de mariage pour tous ! Mes photos souvenir...

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  • Itw sur BFM TV sur l'homophobie ordinaire...

  • Emouvante réunion avec le bureau de Shams

    Hier, à Tunis, j'ai eu la chance d'être l'invité de la réunion du bureau de Shams, une association de LGBTI dont plusieurs membres militent à visage découvert dans un pays où l'homosexualité est pénalisée et où les condamnations sont en recrudescence. J'ai été ému par les terribles histoires que plusieurs gays m'ont raconté. J'ai surtout été impressionné par leur volonté de continuer à militer malgré les dangers et les menaces qu'ils subissent.
    Comme je l'ai dit à l'Ambassadeur de France en Tunisie, nous devons les soutenir. Défendre les droits humains est la tradition de la France, pays des droits de l'homme.

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  • "Pd" ou l'homophobie ordinaire (tribune sur le HuffingtonPost)

    Ma tribune publié sur le Huffintonpost

    La vie est décidemment pleine de surprises...

    Traiter quelqu'un de "pd" n'est pas homophobe. C'est le Conseil des prud'hommes de Paris qui nous apprend cette bonne nouvelle. Ce n'est pas bien méchant. Plutôt gentil même. Limite amical. Et puis, il faut rigoler un peu ! Ils n'ont pas d'humour ces sales pd !

    En tant que moi-même sale pd, j'aimerai continuer en y voyant, quelque part (si si, en cherchant bien !), une forme d'humour mais j'avoue que même avec la plus grande volonté du monde, je n'y arrive pas. En fait, tout ceci me ferait peut-être sourire si je ne recevais pas chaque semaine des menaces de mort et ce liées à mon homosexualité. Si, chaque jour, des gays, des lesbiennes, des trans n'étaient pas discriminées, injuriés, violentés. Si, globalement, les jeunes gays n'avaient pas sept fois plus de risque de commettre une tentative de suicide par rapport à un jeune hétérosexuel. Alors non, cela ne me fait pas rire. Plutôt vomir.

    La vérité, c'est que la décision du Conseil des prud'hommes est une honte et d'une violence absolue.

    Bien sûr, la levée de boucliers va être unanime aujourd'hui mais demain une autre actualité fera le buzz. Moi, tout ce que je constate, c'est que cette décision du Conseil des prudhommes est symptomatique de cette homophobie intériorisée, légitimée, en somme ordinaire. Beaucoup dans la communauté LGBT s'étaient dit qu'après le déferlement de haine subi lors des "débats" sur le mariage pour tous, on aurait franchi un cap dans l'acceptation de l'autre (j'ai écrit acceptation pas tolérance, la nuance est de taille !) et que les avancées légales permettraient une évolution sociétale et dans les esprits. Et bien, il faut croire que non !

    En fait, je voudrais remercier le Conseil des prud'hommes de Paris. Grâce à cette juridiction et sa décision, ils nous rappellent que, dans la lutte contre l'homophobie, rien n'est jamais acquis. Et de ce fait, je m'adresse à vous cher lecteur car je crois que nous en sommes arrivés à la même conclusion: le titre de cette tribune est mauvais.

    Il n'y a rien d'ordinaire dans l'homophobie. Il n'y a rien de potentiellement acceptable. Il n'y a rien qui ne doive que simplement susciter un haussement d'épaule. Il n'y a pas de fatalité.

  • Rencontre avec les militants LGBTI de Shams à Tunis

    Je rencontrerai en tout début de semaine les militants LGBTI de Shams, qui essaient, en Tunisie, de se battre contre la pénalisation de l'homosexualité qui sévit toujours dans ce pays. Si la révolution a permis de réelles avancées démocratiques, les homosexuels sont toujours exclus de ces progrès. J'irai donc rencontrer ces militants très courageux qui, souvent au risque de leur vie, se battent pour une vraie société tunisienne inclusive.

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  • Escapade à Tunis !

    Après le vote du budget à la région Ile-de-France, nous partons quelques jours près de Tunis. C'est un choix militant car il faut soutenir ce pays qui essaie sa transition démocratique. C'est si rare dans cette partie du monde. Il reste beaucoup à faire et c'est pour cela que je rencontrerai des militants de Shams, l'association qui se bat pour le respect des homosexuels. Leur travail est important et il faut les soutenir !

  • Avant-première de "La sociologue et l'ourson"

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    Je serais heureux d'assister à l'avant première du film "La sociologue et l'ourson" sur le mariage pour tous ce mardi soir. Un film qui prête au débat et que je vous conseille.

  • Verdict du procès pour homophobie et menaces de mort sur Twitter

    Ce jeudi, à 13h30, le tribunal correctionnel de Paris donnera son verdict suite à ma plainte pour homophobie et menaces de mort sur Twitter. J'attends avec impatience cette décision car il ne peut y avoir d'impunité sur les réseaux sociaux.
    Ce sera aussi pour moi, même si je n'ai pas porté plainte cette fois-ci contre Twitter, un signal donné à ce réseau pour qu'il arrête de tolérer l'homophobie qui s'y développe en toute impunité.

  • Rencontre avec le maire de Tignes

    Ce vendredi, au lendemain de la Gay Pride, je rencontre le maire de Tignes pour évoquer la lutte contre l'homophobie mais aussi la lutte contre le sida et le nécessaire investissement des élus car comme on le dit à ELCS, le sida se soigne aussi par la politique...

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  • Parrain de la Gay Pride de Tignes

    Ce jeudi, à l'invitation de mon ami Vincent Autin, président de la LGP de Tignes et 1er marié gay français, je serai le parrain de la Gay Pride de Tignes qui se déroule ce jeudi en fin d'après-midi.
    Le combat contre l'homophobie et pour l'égalité doit plus que jamais continuer et qu'une grande station de ski soutienne ce combat est important.

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  • Lettre ouverte à Philippe Barbarin (tribune sur le Huffington Post)

    Lettre ouverte à Monseigneur Philippe Barbarin, archevêque de Lyon

     

     

    Monsieur l’Archevêque,

    Je ne comprends pas. Je ne comprends plus. Durant des mois, lors des manifestations contre le Mariage pour tous, vous avez défilé contre l’égalité des droits au motif que vous, mieux que d’autres, sauriez ce que serait l’intérêt supérieur de l’enfant. Durant des mois, vous avez pris la tête de cortèges dans lesquels des femmes et des hommes, souvent violemment, parfois vulgairement, ont expliqué que des couples de personnes de même sexe ne sauraient rendre heureux et participer à l’épanouissement d’un enfant… Pendant des mois, vous avez dit où se trouverait le bien et le mal.

    Et voici qu’aujourd’hui nous apprenons que vous êtes accusé d’avoir recouvert d’une chape de plomb des actes graves commis par l’un des vôtres à l’égard des enfants, ceux-là même que vous expliquiez vouloir protéger. Enfant, j’ai subi la pédophilie et je sais à quel point cela est destructeur pour de jeunes enfants.

    Comment auriez-vous pu couvrir de tels actes ?

    Je ne vois que deux explications.

    La première, est que vous pensiez que se livrer à des attouchements sexuels sur des enfants n’est pas répréhensible. Je ne l’imagine pas. Je ne crois pas en vous, en votre parole, en votre aveuglement, mais je ne crois pas dans une telle folie, je ne crois pas dans une telle barbarie venant de votre part. J’en suis sûr, même.

    La seconde est que vous croyez que votre église vaut mieux et plus que notre République, et que vous vous érigez en suzerain. Avec votre supériorité, vous écoutez, vous jugez, vous conseillez et vous pardonnez comme bon vous semble. Le dogme de l’infaillibilité pontificale ayant été abandonné, vous inventez celui de l’infaillibilité cardinale. Et votre église valant mieux, selon vous, que notre République, vous auriez décidé de vous extraire de la loi et de ne pas rapporter à la justice les actes criminels dont vous avez connaissance.

    Monsieur le Cardinal, je me suis exclu de votre église depuis bien longtemps. Pourtant, ancien enfant de coeur, la religion catholique a accompagné mon enfance. M'a éduqué. M'a aidé dans les moments difficiles de ma jeunesse. J'aurais pu poursuivre ma route avec l’Eglise de mon enfance. Je me suis exclu de votre église car trop de vos ministres se sont éloignés de l'Amour, de la Tolérance, de la Fraternité qui m'avaient été enseignées. J'ai dû chercher et trouver l'Amour, la Tolérance et la Fraternité ailleurs. Comme beaucoup d'autres personnes, si j'en juge par le vide de vos églises.

    Aujourd’hui, la justice de notre République vous rappelle que votre église n’est pas universelle. Votre église n’est qu’une association singulière de femmes et d’hommes et n’a pas le pouvoir de s’affranchir de celle qui lui donne ses droits, de celle qui la protège, de celle qui lui donne sa liberté d’exercice, de celle qui est le socle commun des femmes et des hommes de notre pays. Je nomme ainsi la République... La République laïque.

    Monsieur le Cardinal, je n’ai pas pour habitude de me réjouir du malheur des Hommes. Mais je dois dire mon espoir que vous répondiez – je l’espère de vous-même – non pas à une justice divine qui reste à démontrer, mais à une justice bien réelle, celle des hommes, celle de notre République. Mais aussi à celles et ceux qui ont été les victimes de ces actes.

    Monsieur le Cardinal, vous qui prétendiez que deux personnes de même sexe ne sont pas capables d’élever un enfant, vous devez répondre aujourd’hui de « non dénonciation de crimes » commis à l’encontre d’enfants. Vous devez vraiment vous expliquer.

    Si vous êtes innocent de ce qui vous est aujourd’hui reproché par des victimes et je l’espère sincèrement – la charité chrétienne reste une valeur pour moi – j’espère au moins que vous apprendrez l’humilité et que vous vous direz que vous n’êtes pas forcément le mieux qualifié pour parler de l’intérêt de l’enfant.

    Je vous prie de croire, monsieur le Cardinal, à l'expression de ma considération attristée.

    Jean-Luc Romero-Michel

     

  • Procès de 6 étudiants pour homosexualité en Tunisie : esprit de la révolution, es-tu là ? (Ma tribune sur l'Obs.com)

    Procès de 6 étudiants pour homosexualité en Tunisie : esprit de la révolution, es-tu là ?
    A lire sur Le Plus Obs (ici)

     


    Il y a quelques semaines, le 14 janvier, la Tunisie fêtait sa révolution, celle qui a mis fin à la dictature. Celle qui était porteuse de tant d’espoirs pour le peuple tunisien. Celle qui a consacré les libertés individuelles… en tout cas qui aurait dû les consacrer.
    Car, si personne ne peut remettre en cause l’extraordinaire portée de ce printemps arabe, nous ne pouvons que constater que certaines populations en Tunisie sont totalement exclues des bénéfices de celles-ci, au premier desquelles les personnes LGBT.
    Un exemple dramatique parmi tant d’autres : le 10 décembre dernier, six étudiants étaient condamnés à la peine maximale de prison pour homosexualité. Ils étaient également bannis pour cinq ans de la ville de Kairouan. Ils repassent en procès demain, le 25 février et à l’heure où j’écris ces lignes, j’attends, nous attendons encore et toujours, une réaction des pouvoirs publics français…
    Soyons concrets : être gay en Tunisie, c’est tout simplement risquer la prison sur la base de l’article 230 du Code pénal. Un article comme la marque indigne d’une dictature dont les tunisiens n’ont pas encore réussi à enlever toutes les traces…
    Cet article 230 du code pénal tunisien n’est pas un article oublié. C’est un article appliqué. Cet article 230 est une honte. De très nombreuses associations et surtout, de très nombreux citoyens et associations tunisiennes ont demandé sa suppression. Publiquement et dans les médias.
    Cette répression aveugle des personnes LGBT en Tunisie est un peu à l’image du monde actuel. Ce sont encore aujourd’hui près de 80 pays qui condamnent pénalement les relations homosexuelles. Dans huit pays, l'homosexualité est punie de mort … Dans de nombreux pays, une véritable traque aux homosexuels est installé et encouragé par les pouvoirs publics. En Inde, dans la plus grade démocratie du monde, la Cour suprême a rétabli la pénalisation de l'homosexualité. Au Maroc, il y a quelques temps, un magazine titrait en une, en 2015: "faut-il brûler les homos?".
    Il y a quelques mois, le prix Nobel de la paix était attribué au quartet menant le dialogue national en Tunisie, qui, je cite, s’était distingué pour « sa contribution décisive dans la construction d’une démocratie pluraliste en Tunisie après la révolution du jasmin de 2011 ».
    La Tunisie a été à l’avant-garde de ce printemps arabe. Ce pays est beau, ce pays est grand. Et la suppression de cet article 230 ne le rendrait que plus beau et plus grand !

  • L'ONU pour l'égalité LGBT. Mais où en est la dépénalisation universelle de l'homosexualité ?

    Récemment, l'ONU a publié un timbre pour promouvoir l'égalité pour les LGBT: c'est bien sûr une excellente nouvelle et un très beau symbole
    Mais les symboles ne sont pas suffisants s'ils en sont pas suivis d'actes.
    Aujourd'hui, encore 80 pays pénalisent l'homosexualité. Il devient urgent que l'ONU vote enfin la dépénalisation universelle de l'homosexualité ! Cela devient urgent !

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  • Pour un accueil digne des réfugiés LGBT (tribune dans le Huffington Post)

    Avant d'entrer dans le vif du sujet, laissez-moi vous dresser en quelques mots un tableau, celui qui reflète la réalité de vie de millions d'homosexuels et de transsexuels dans le monde. Un tableau noir.
    En 2016, dans huit pays, l'homosexualité est punie de mort. Près de 80 pays condamnent pénalement les relations homosexuelles. Plus des trois-quarts des pays africains criminalisent l'homosexualité. Une véritable traque des homosexuels, une traque institutionnalisée, est organisée et favorisée par les pouvoirs publics au Nigeria, en Ouganda, en Egypte, au Cameroun... En Russie, le président Poutine a instauré une homophobie d'Etat avec une loi de 2013 qui sanctionne la "propagande homosexuelle". En Inde, la Cour suprême a rétabli la pénalisation de l'homosexualité. Au Maroc, un magazine titrait en une, en 2015: "faut-il brûler les homos?". Je pourrais continuer à remplir des pages et des pages...
    La réaction de la communauté internationale s'est trop longtemps fait attendre. Mais en juin dernier (enfin!), pour la première fois de son histoire, le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni pour parler spécifiquement des droits des homosexuels. La raison? Les atroces lapidations et autres exécutions sommaires, souvent filmées, dont sont victimes les homosexuels en Syrie et en Irak. C'est une véritable chasse à l'homme que Daech organise contre les homosexuels.
    La France, pays des droits de l'Homme -oui, j'y crois et je le défends- doit prendre toute sa part dans ce combat pour les droits de personnes persécutées simplement en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre. Nous nous devons de le faire plus fortement. Comment? En travaillant sur ce dossier en forme de serpent de mer que constitue la dépénalisation universelle de l'homosexualité mais aussi en mettant en œuvre, concrètement, des solutions adéquates à l'accueil des réfugiés LGBT.

    LIRE LA SUITE > Sur le Huffintonpost 

  • Le légitime soutien aux Chrétiens d'orient à la session de la région Ile-de-France. Mais quid des LGBT persécutés ?

    Avec mon groupe à la région Ile-de-France, j'ai déposé un amendement pour étendre le soutien que la région veut légitimement apporter aux Chrétiens d'Orient qui subissent de terribles persécutions.
    En effet, dans ce rapport les homosexuels sont oubliés alors qu'ils sont dans une situation similaire de persécution. Ils n'ont rien commis de mal. Mais ils sont juste persécutés, torturés, tués parcequ'ils sont... homosexuels ou transsexuels.
    Ils doivent donc aussi béneficier de notre total soutien comme les Chrétiens d'Orient et c'est ce que je demande à Valérie Pécresse.

  • Ma Question orale à Valérie Pécresse sur la lutte contre l'homophobie en Ile-de-france

    Lire la suite

  • CR de mon procès pour insultes homophobes dans Le Parisien

    Procesleparisien.jpg

  • Merci à Noder pour cette caricature de soutien : tous contre l'homophobie !

    CaricatureJLR2016B.JPG

  • Procés pour des propos homophobes et des menaces de mort à mon encontre

    Ce jeudi après-midi, s'ouvrira le procès suite à ma plainte pour propos homophobes et menaces de mort sur Twitter.
    Ces menaces ont eu lieu après mon mariage, en septembre 2013.
    Elles m'ont, à l'époque, affecté par leur caractère vulgaire et haineux au moment où je vivais l'un des plus beaux moments de ma vie.
    Si j'ai porté plainte, ce n'est pas par esprit de vengeance.
    Mais sur les réseaux sociaux, certains croient qu'on peut tout y écrire : insulter, menacer de mort.
    Les réseaux sociaux ne sont pas hors de la République et ces esprits faibles doivent le savoir comme ils doivent enfin prendre conscience que l'anonymat derrière lequel ils s'abritent y est souvent illusoire.
    Ma démarche est donc de lancer un signal à ces personnes car ce qu'elles font, outre de blesser inutilement, peut avoir de graves conséquences pour des personnes plus jeunes ou moins bien armées que je ne le suis.
    Oui, l'homophobie tue...

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