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Coup de coeur - Page 64

  • Célébration de mariages à Paris 12

    Ce mercredi et demain jeudi, je célébrerai de nouveau des mariages à la mairie du 12ème arrondissement de Paris.
    Je le répète, c’est toujours un moment très émouvant et fort pour un élu que d’unir un couple par les liens du mariage. Ce sera, une fois de plus, de grands moments de partage et d’émotion…

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  • "Pride", défendre les droits des gays, c'est aussi défendre les droits des autres !

    Les missions à l'étranger ont ceci de bon qu'elles permettent souvent de visionner des films que je n'ai pas le temps de voir en salle.
    Il y a des mois que je voulais voir Pride. Mon déplacement à Dakar m'a enfin permis d'y remédier. Il était temps de voir ce magnifique film de Matthew Warchus !
    Ce film relate la mobilisation singulière de lesbiennes et gays Londoniens pour soutenir les mineurs lors de cette terrible grève de 1984 qui dura un an. Face à l'inflexibilité et la dureté d'une Margaret Thatcher, une poignée de militants ont voulu se mobiliser pour des mineurs qui subissaient les mêmes violences policières que les homosexuels. Durant l'été 1984, ces militants proclament :
    "Pas logique de défendre les droits des gays et pas ceux des autres" et créent "les Lesbiennes et gays en soutien des mineurs".
    Pas facile de soutenir des mineurs dont certains - on est dans les années 80 ! - ont de sacrés préjugés et vont un temps refuser l'aide de ces "pervers"!
    L'ironie fera que l'aide de ce groupe d'activistes gays se révélera l'une des plus efficace et finira par rallier les plus récalcitrants !
    A tel point que lors de la Gay Pride de Londres le 29 juin 1985, après avoir dû mettre fin à leur grève, les mineurs vinrent en nombre soutenir les homosexuels.
    Ce film qui mélange deux luttes démontre l'efficacité de la solidarité.
    Il aborde tous les thèmes souvent avec humour, de l'homophobie au sida qui commençait ses terribles ravages.
    Un film à voir pour le combat. Pour l'œuvre !
    Et comme le dit une des interprètes du film à un mineur inquiet d'héberger un activiste gay : "Pas besoin d'imiter Barry White, il sait que tu es hétérosexuel !"

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  • Célébration de mariages à Paris 12

    Ce samedi, je célébrerai de nombreux mariages à la mairie du 12ème arrondissement de Paris.
    Je le répète, c’est toujours un moment très émouvant et fort pour un élu que d’unir un couple par les liens du mariage. Ce sera, une fois de plus, de grands moments de partage et d’émotion…

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  • Mon itw sur 360° (magazine suisse) sur la fin de vie et Ma mort m'appartient

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  • L'#AdmdTour à Toulouse dans La Dépêche du Midi

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  • A la dernière étape de l’ADMD-Tour à … Lille !

    Beau symbole : c’est dans ma région d’origine du Nord-Pas-de-Calais que se termine l’ADMD-Tour entrepris par les jeunes de l’ADMD depuis le 30 juin sous l’impulsion de déterminante de Christophe Michel, leur président.
    Plus de 3000 km auront été parcouru par les jeunes de l’ADMD et je suis très fier de ce qu’ils ont accompli.
    En assistant ce dimanche, à Lille, à la fin de cette épopée militante avec ce Bus de la liberté, nous aurons tous un peu de nostalgie car cette aventure méritait d’être tentée ! C’est un immense succès !
    Venez nombreuses et nombreux nous rejoindre pour cette ultime étape à Lille dès 14h : beaucoup de surprises vous y attendent !

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  • Oui à une génération sans sida en 2030 ! [Ma tribune au Plus]

    Très récemment, deux chiffres ont été révélés par l’ONUSIDA, deux chiffres en forme de (très) bonnes nouvelles : 35 et 42. 35, c’est en pourcentage la baisse constatée entre 2000 et 2014 des nouvelles infections à VIH qui sont passées de 3,1 millions à 2 millions. 42, c’est en pourcentage la baisse constatée des décès liés au sida entre 2004 à 2014. Deux chiffres en forme d’espoir, non pas un espoir utopique mais un espoir bien réel de voir une génération sans sida en 2030. Ce qui était inimaginable en 2000 est aujourd’hui concrètement possible ! Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a également publié cette semaine ses données et elles sont toutes aussi encourageantes: le Fonds mondial prend en charge 54% des malades du sida qui, dans le monde, bénéficient d’une trithérapie. Concrètement, ce sont 8,1 millions de malades du sida qui sont soignés grâce aux programmes financés par le Fonds mondial. Sur ces 8,1 millions, 1,1 million le sont grâce à la France qui est le deuxième pays contributeur.
    Doit-on être heureux de ces résultats ? Assurément oui. Doit-on se satisfaire de ces résultats? Assurément non car nous connaissons notre but mais la route est encore longue ! Alors que ce sont 21,7 milliards de dollars qui sont disponibles cette année dans la réponse au VIH/sida, les besoins réels sont à la hauteur de 32 milliards. Est-un coût important ? Non si l’on examine ce que nous a coûté le plan de sauvetage des banques ou ce que nous coûte les budgets militaires. Est-ce un coût ? Non car, comme le dit l’ONUSIDA, il s’agit d’un investissement et non d’un coût : « En atteignant l'objectif de 2020, le besoin en ressources devrait commencer à baisser de façon permanente, chutant ainsi à 29,3 milliards de dollars en 2030 et nettement moins à l'avenir. Cela produirait des avantages de plus de 3,2 billions qui vont bien au-delà de 2030. Le retour sur investissement est de 1 dollar d'investissement pour 17 dollars d'avantages économiques. »
    Au-delà du volet financier, c’est bien vers le respect des droits humains que nos efforts doivent se concentrer. On ne compte plus le nombre de chercheurs, politiques, activistes, médecins qui ont affirmé, détaillé, décortiqué, prouvé le lien manifeste entre respect et promotion des droits de l’homme et efficacité d’une politique de lutte contre le sida. Concrètement dans ce domaine, les efforts sont immenses: comment agir alors que 61 pays dans le monde ont une législation qui autorise la pénalisation de la transmission du VIH et de la non-divulgation de sa séropositivité ? Comment agir alors que 76 pays pénalisent les pratiques sexuelles entre personnes de même sexe ? 7 pays prévoient même la peine de mort ! Comment agir alors que les personnes transgenres ne sont pratiquement jamais prises en compte dans les politiques publiques de promotion de la santé et de lutte contre le VIH ? Je pourrai continuer longtemps cette liste mais je préfère m’arrêter sur un fait récent qui m’apparaît en tout point tout désastreux, notamment car il provient directement des acteurs de cette lutte : très récemment, la SAA (Society for AIDS in Africa) a décidé d’organiser la conférence africaine de lutte contre le sida, non plus en Tunisie comme cela était prévu de longue date mais au Zimbabwe… Je ne veux pas m’ériger en donneur de leçon ni en chantre d’une démocratie vertueuse mais quand même ! Je voudrais quand même rappeler que le Zimbabwe a sa tête un dictateur, Mugabe, qui au-delà de se comparer à Hitler et d’affamer son peuple, a une haine viscérale à l’encontre des LGBT. Laissons-lui la parole quelques secondes : « L’Eglise dit que l’homosexualité est une abomination. C’est aussi le cas dans notre propre culture. Les hommes qui participent à ce genre de pratique mériteraient d’être castrés », « Cela dégrade la dignité humaine. C'est contre nature, et il n'est pas du tout question de permettre à ces personnes de se comporter pire que des chiens et des porcs. Si les chiens et les porcs ne le font pas, pourquoi les êtres humains le doivent-ils ? », « Si vous voyez des gens parader comme des lesbiennes et des gays, arrêtez-les et livrez-les à la police ! ». Ça se passe de commentaires, je pense … Et donc c’est dans ce pays que la SAA a décidé d’organiser ICASA avec plus de 10.000 acteurs de la lutte contre le sida !
    Globalement, depuis plusieurs années, la tenue de conférences internationales sur le sida dans un pays est l’occasion de faire bouger les lignes, de faire évoluer sa législation. Ainsi si la conférence internationale sur le sida a pu se tenir à Washington en 2012, c’était à la seule condition que la législation discriminatoire refusant l’accès sur le territoire des Etats-Unis aux personnes séropositives serait abolie. Cela été le cas et la conférence a pu se tenir aux Etats-Unis. Incontestablement, conditionner la tenue d’une conférence sur le sida à l’évolution de la législation d’un pays est une excellente politique. Est-ce le cas au Zimbabwe ? Je ne le sais pas: au mieux, nous pouvons lire le communiqué de presse de la SAA qui rappelle qu’une « réponse durable dans l’atteinte des 90, 90, 90 de l’ONUSIDA ne sera pas possible si les droits humains ne deviennent une priorité dans une nouvelle perspective du leadership dans le cadre d’un renforcement basé sur des preuves scientifiques.” La priorité donnée aux droits humains … Belle déclaration d’intention …
    Voilà je crois une leçon à tirer de tout cela: dans la lutte contre le sida, nous avons besoin de tout le monde: politique, médécins, associations, etc mais personne ne doit se sentir au-dessus de l’autre. Le seul but de cette lutte c’est d’éradiquer la maladie. Cela devrait l’être en tout cas…

  • Gymglish, entreprise performante de e-learning au cœur de Paris 12

    Récemment, je suis allé visiter la société Gymglish qui est située dans notre 12ème arrondissement, près de la place Daumesnil.
    Cette jeune société de e-learning est un modèle d’entreprise performante et solidaire. Reposant sur la volonté de ses deux jeunes créateurs, Gymglish a eu plus de 2 millions de clients depuis sa création, en 2004.
    Basée sur un petit cours quotidien - souvent très humoristique - de 15 minutes, ce format a séduit de nombreux particuliers comme les entreprises.
    Une véritable communauté d’usagers de Gymglish s’est aussi constituée et c’est une fierté que cette compagnie originale soit située au cœur de notre arrondissement.

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  • Mon billet dans Friendly de l'été 2015 : «The Normal Heart», un film bouleversant à voir pour savoir et comprendre !

    En 2014, la chaîne américaine HBO a eu, une nouvelle fois, l’audace de diffuser un film en prime time que les chaines françaises semblent, à ce jour, boycotter…
    En effet, « The Normal Heart », téléfilm de Ryan Murphy sur un scénario du co-créateur d’Act Up New York, Larry Kramer, raconte la mobilisation de gays américains contre le sida au début des années 80.
    Dans une indifférence générale, et alors que le virus commence à décimer bien des membres de la communauté gay de New York, un écrivain et activiste, Ned Weeks joué par le remarquable Mark Ruffalo, se mobilise et crée la 1ère association de gays contre le sida (Gay Men’s Health Crisis).
    Pas simple en 1981 de mobiliser !
    Bien des gays ne saisissent pas encore la gravité de cette terrible pandémie qui va décimer tant de jeunes homosexuels. Les responsables politiques, eux, ne veulent surtout pas se mêler d’une maladie alors qualifiée de cancer gay !
    Dans ce film produit par Ryan Murphy, mais aussi Brad Pitt, on découvre le rôle déterminant qu’ont joué ces militants héroïques pour mobiliser leur communauté, soutenir ceux qui partaient dans de terribles souffrances et interpeller des élus indifférents dont le peu courageux maire gay de New York qui fuyait toute rencontre avec ce groupe d’activistes !
    Aux côtés de Mark Ruffalo, Matthew Bonner, Taylor Kitsch et Julia Roberts sont remarquables dans cette fiction qui se révèle pourtant fidèle au début de l’épidémie de sida.
    Ce film est bouleversant et utile.
    Bouleversant, car il montre l’indifférence des pouvoirs publics face à une maladie qui ravage peu à peu Big Apple et semble alors ne toucher que certains communautés : les 4 H (homosexuels, haïtiens, hémophiles, héroïnomanes). Pourquoi se bouger pour «ces» marginaux pensaient alors bien des politiciens de l’époque ?
    Bouleversant aussi, car il montre les conditions effroyables dans lesquelles mouraient les premières victimes du sida. Abandonnées par leurs proches et dans des souffrances effroyables.
    Dans mon dernier livre « Ma mort m’appartient – 100% de Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?[1] », je reviens longuement sur le début de l’épidémie de sida et raconte les horribles souffrances qu’ont connues mes amis gays atteints du VIH à la fin des années 80. Les plus jeunes ne peuvent s’imaginer ce que nous avons vécu dans ces terrifiantes années 80/90 alors qu’il n’existait aucun médicament efficace contre ce virus affamé de vies.
    Utile, car il permet justement aux plus jeunes de prendre conscience des terribles ravages que fit l’arrivée du VIH à un moment qui sonnait pourtant comme une libération pour les gays car, grâce à François Mitterrand, l’homosexualité était enfin et totalement dépénalisée (1982) et retirée, en France, de la liste des maladies mentales (1981) !
    La solidarité dans la communauté homosexuelle finit par s’organiser. Elle permettra de tenir jusque la trop tardive prise de conscience des pouvoirs publics.
    La gestion des débuts de cette pandémie par les homosexuels eux-mêmes est un exemple.
    C’est pourquoi ce film « The Normal Heart » est à voir pour savoir et… comprendre !


     

    [1] Entretien avec la journaliste Claire Bauchard - Editions Michalon – 136 pages.

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  • Podcast du Débat sur MCE pour le lancement de l'ADMD-Tour

  • Le bus de la liberté sur France 3 Toulouse

  • Belle fête nationale !

    Belle fête nationale à chacune et chacun d’entre vous.
    Le 14 juillet rime souvent avec pont et vacances. Alors, bon pont à celles et ceux qui le font et belles vacances aux autres.
    Comme toujours, une pensée toute particulière pour celles et ceux qui sont seuls, dans la précarité ou les grands malades pour qui pont ou vacances ne veulent rien dire. Pensons à eux !

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  • Parrain de la Lesbian and Gay Pride de Montpellier

    Je suis très honoré d’être, avec l’Australien Brett Hayhoe (photo), le parrain de la 21ème édition de la Lesbian and Gay Pride de Montpellier qui se déroule ce samedi dès 18h00.
    J’en suis d’autant plus honoré que son président est mon ami Vincent Autun, 1er marié gay en France avec Bruno. Je serai donc heureux de défiler dans cette belle ville qui a toujours porté haut et fort la question de l’égalité !
    A ce soir !!!

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  • Mon message à la Lesbian and Gay Pride de Montpellier

  • Retrouvez-moi à la librairie Sauramps de Montpellier vendredi à 17h00 !

    Alors que l’ADMD-Tour sera à Montpellier samedi prochain, je dédicacerai « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir les politiques le savent-ils ? » à la célèbre Librairie Sauramps (Triangle) de Montpellier vendredi 10 juillet à 17h00.
    J’espère vous y retrouver nombreuses et nombreux !

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  • Vidéo du lancement de l'ADMD Tour

  • Avec l’arrêt de la Cour Suprême des USA, le mariage pour tous, bientôt ailleurs ?

    En décidant par 5 voix contre 4, que le mariage pour tous devait être étendu aux 50 Etats, la Cour Suprême des Etats-Unis a fait des USA le 21ème pays consacrant l’égalité entre homosexuels et hétérosexuels. Une énorme avancée pour les droits civiques.
    Barack Obama a immédiatement réagi « la décision d’aujourd’hui nous donne l’espoir qu’un vrai changement est possible ! »
    Cette décision est bien sûr importante pour les Etats-Unis car elle supprime une inégalité entre Etats car seuls 36 Etats sur 50 donnaient jusqu’alors les mêmes droits aux couples gays.
    Au-delà des USA, cette décision aura aussi un impact international.
    Les Etats-Unis sont la plus grande puissance mondiale. Que ce pays dise que l’égalité devant le mariage ne souffre pas d’exceptions est un signal fort. Très fort !
    Un signal fort aux pays qui continuent à pénaliser l’homosexualité - bravo au Mozambique qui vient de dépénaliser l’homosexualité ! – voire condamnent à mort pour homosexualité !
    Un signal fort aux pays démocratiques qui continuent à discriminer les LGBT. L’évolution de l’Allemagne sera d’ailleurs intéressante à suivre !
    Il est en effet possible que cette décision fasse boule de neige et entraine de nouveaux pays dans la voie de l’égalité.
    Cette décision doit, en tous cas, être l’occasion de relancer le débat sur la dépénalisation universelle de l’homosexualité qui avance beuin trop longuement à l’ONU…

     

  • Départ de l’ADMD-Tour, le bus de la liberté !

    A l’initiative de Christophe Michel, co-président des Jeunes de l’ADMD, l’ADMD-Tour partira aujourd’hui de Paris à 17h00.
    Pour sa première étape, le bus de la liberté sera ce mardi 30 juin stationné place de la république de 12h à 17h00. Avec Anne Hidalgo, nous l’inaugurerons à 16h30 et à 17h il s’élancera sur les routes de France où il effectuera 21 étapes.
    Vous pourrez le rencontrer sur vos lieux de villégiature.
    En attendant, venez nous rejoindre place de la République et soyez nombreux à 16h30 pour l’inauguration du bus et pour assister à son départ !

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  • Un été de plus…

    Fêter son anniversaire le 30 juin, alors que la période estivale s’annonce, n’est pas la pire des dates… Alors, certes, je prends un été de plus… Mais avec le soleil !

     

  • J-1 avant le départ de l'ADMD Tour : le bus de la liberté !

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