Escapade à Londres
Un petit saut à Londres.
Le temps d'aller voir une comédie musicale et de ... vivre un peu !
Bon dimanche à toutes et à tous !
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Un petit saut à Londres.
Le temps d'aller voir une comédie musicale et de ... vivre un peu !
Bon dimanche à toutes et à tous !
En 1993, le CIRC (Collectif d’Information et de Recherche Cannabique) réactivait l’Appel du 18 joint, lancé en 1976 par quelques fougueux journalistes de Libération et d'Actuel, une initiative qui demandait « la dépénalisation totale du cannabis, de son usage, de sa possession et de sa culture. »
Quarante ans plus tard, le texte de l'Appel n’a, hélas, rien perdu de son actualité. Alors que la société a radicalement changé et que les mœurs ont évolué, la loi votée en 1970 n'a cessé, elle, de se durcir. Comme le notait le texte originel, le discours stigmatisant sur le cannabis « permet de maintenir et de renforcer une répression de plus en plus lourde... Des arrestations massives de jeunes... ». Une politique qui « justifie la détention de centaines de personnes... des emprisonnements qui frappent en priorité la jeunesse » issue des quartiers populaires et de l’immigration.
Aujourd'hui, force est de constater que la répression du cannabis a coûté très cher attisant les flammes de l'incendie qu'elle était censée éteindre en dynamisant le trafic et en multipliant le nombre de consommateurs.
Le cannabis n’est pas interdit parce qu’il pose un problème de santé publique, mais principalement pour des raisons culturelles et politiques
Outre-atlantique, dans le pays qui a mené une guerre acharnée contre « la drogue », la moitié des États ont légalisé le cannabis thérapeutique et plusieurs d'entre eux ont réglementé sa production, sa distribution et sa consommation récréative, ouvrant la voie à une nouvelle économie florissante… Aujourd’hui, les nombreux pays qui ont assoupli leur législation s’en félicitent.
En France comme partout en Europe, et quelle que soit la législation, l’économie du cannabis se manifeste par la présence de centaines de commerces proposant tout le matériel nécessaire (et parfois des graines), pour s’adonner en toute sérénité à la culture domestique du cannabis. Une activité qui génère déjà des dizaines de milliers d’emplois directs et indirects, lesquels se multiplieront le jour où nos députés daigneront admettre que la consommation de cannabis est intégrée dans nos mœurs et qu’il faut l'encadrer.
Il ne s'agit donc plus désormais de débattre sur la pertinence de la prohibition, un échec indiscutable, mais de travailler sur une alternative qui redonnera au cannabis sa liberté et à ses usagers leur dignité.
Parce que le cannabis est un sujet trop complexe pour être laissé aux seuls politiciens, le CIRC appelle les associations, les personnalités du monde artistique, médiatique, sportif et les simples citoyen(ne)s, à s'emparer du sujet.
Par le présent appel, nous exigeons du gouvernement qu'il abroge l'article L.3421-4 du Code de la Santé Publique punissant la « présentation sous un jour favorable des stupéfiants », mesure nécessaire pour permettre la tenue d’états généraux réunissant institutions et associations afin d’engager une réflexion sur la sortie de la prohibition du cannabis.
Ce vendredi se déroule la session du conseil régional d'Ile-de-France.
Plusieurs dossiers sur la santé et la prévention y seront discutés. Notamment, celui pour une Ile-de-France sans sida comme je l'avais proposé durant le débat budgétaire. Anne Hidalgo a déjà lancé un Paris sans sida et il est important que notre région qui a 40% des cas de VIH/sida soit à la pointe de ce combat pour qu'en 2030, le sida disparaisse enfin !
Je suis l'invité, ce jeudi à 18h30, à Aurillac d'une réunion publique sur la fin de vie co-organisée par La Libre Pensée et l'ADMD.
Je vous y attends nombreuses et nombreux !
Ce mercredi, se déroule la commission permanente de al région Ile-de-France sous la présidence de Valérie Pécresse.
Je suivrai particulièrement deux dossiers.
D'une part, la subvention pour la Marche des Fiertés LGBTI de Paris et l'implication de la région dans cette manifestation pour l'égalité.
D'autre part, la subvention pour l'établissement culture, le 100 Charenton, qui est situé dans le 12ème arrondissement.
Le 12 juin 2016, un dimanche soir, j’étais comme de nombreux parisiens sur la place Igor Stravinsky, à Paris, à l’appel de l’Inter-LGBT et du Centre LGBT Paris Île-de-France pour exprimer ma solidarité aux victimes de la tuerie d’Orlando. L’ambiance mêlait tant une profonde tristesse qu’une colère forte face à l’horreur : oui, nous avions envie de crier que nos amours seront toujours plus forts que leur haine ! Encore aujourd’hui, l’émotion est toujours immense face à un tel acte de barbarie.
L’homophobie tue. Jamais, sans doute, cette phrase n’aura eu un tel sens. Pour autant, l’homophobie et ses conséquences dramatiques ne sauraient se réduire à des meurtres, des passages à tabac, du sang… L’homophobie, ce sont des insultes, des remarques, des regards en coin et ce, au quotidien, c’est également le harcèlement vécu par de nombreux homosexuels sur les réseaux sociaux. Cette homophobie tue aussi.
L’homophobie, c’est vouloir dénigrer l’autre, le détruire, provoquer son isolement.
L’homophobie, c’est un jeune homosexuel qui a de trois à sept fois plus de risques de faire une tentative de suicide qu’un jeune hétérosexuel
Je veux le dire : la lutte contre l’homophobie est une urgence et dans cette lutte pour l’égalité, dans ce combat pour l’humain face à la haine, la mobilisation de tous les moyens étatiques me semble nécessaire : la répression bien sûr, mais aussi l’éducation et l’égalité des droits. Ces trois axes sont tout autant complémentaires qu’indissociables
Cette haine, c’est aussi celle de la Manif pour tous, ce groupuscule extrémiste qui, scandaleusement, a twitté « Nausée face à la haine et la violence » alors que pendant des mois, c’est la haine des homosexuels qu’ils ont prôné, c’est la « normalisation » de l’homophobie qu’ils sont affirmée, attisant ainsi une violence aveugle à l’encontre des LGBT. C’est aussi celle de Christine Boutin qui affirme sa compassion pour les victimes et dénonce la barbarie de ce monde alors qu’elle affirmait très récemment que « l’homophobie est une abomination ».
Je veux le redire : il n’existe pas d’homophobie ordinaire. Il n’existe pas d’homophobie banale. Il n’y a en fait qu’une forme d’homophobie : celle qui doit nous être insupportable et intolérable, celle que l’on doit combattre par tous les moyens.
Alors, si nous avions toutes et tous des raisons de défiler lors des Marches des Fiertés organisées en France tout au long de ce mois, en voici une supplémentaire, une qui, assurément, nous réunira toutes et tous : la mémoire des victimes d’Orlando.
Marchons. Montrons notre Fierté. Elle sera notre réponse face à leur haine.
Je serai l'un des invités de "Il n'y en a pas deux comme elle" sur Europe 1 de 15h00 à 16h00 ce mardi. L'émission sera consacrée à l'homophobie après cette terrible tuerie d'Orlando où 49 victimes ont trouvé la mort.
Retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi à 12h sur Périscope et Twitter à 12h00. Vu les circonstances, je parlerai bien sûr de l'attentat d'Orlando et redirai ma compassion pour les victimes ainsi que ma solidarité avec la communauté LGBT américaine et les Américains.
Ce vendredi, à 20h30, je suis l'invité des Grandes Conférences de Saint Lô à 20h30. Bien que ce soit le lacement de l'Euro de foot, j'espère vous retrouver nombreuses et nombreux pour cette rencontre-débat ! Elle sera suivie d'une dédicace de Ma Mort M'appartient.
Je représenterai mon groupe au groupe d'études sur le cannabis qui se réunit pour la première fois ce jeudi à à la région Ile-de-France. J'espère que ce groupe en viendra à la conclusion que les tests salivaires imposés aux lycéens pour détecter leur consommation de cannabis est une très mauvaise idée et totalement contre-productive.
A l’occasion de ma conférence sur la fin de vie, à Saint-Lô ,vendredi soir prochain, je serai l'invité, en direct ,sur France Bleu Cotentin ce jeudi à 8h40.
En fin de journée se déroulera le bureau national de l'ADMD.
Alors que notre Assemblée générale de septembre, à Antibes, marquera le lancement de notre campagne pour convaincre les candidats aux élections présidentielles et législatives, il s'agit ce soir de préparer ces échéances.
Aux côtés de maire de Rouen, j'animerai une réunion d'Elus Locaux Contre le Sida à la mairie de Rouen. Il s'agit de faire le point sur la situation dans ce département et les mesures qui sont prises pour lutter contre cette pandémie.
Attention, mon #TalkDuLundi quotidien sur Périscope et Twitter sur la fin de vie et l'ADMD sera avancé à 11h30 au lieu de 12h00 habituellement.
En effet, je dois prendre un train pour animer une réunion d'ELCS sur le sida à la mairie de Rouen et je suis donc contraint d'avancer notre rendez-vous quotidien. J'espère néanmoins pourvoir compter sur vous. N'hésitez pas à m'envoyer vos questions...
A demain, 11h30 !
Ce n'est pas sans émotion que je retourne ce samedi 4 juin à Lille.
En effet, le président de la LGP Lille, mon ami Franck Danver, m'a proposé d'être le parrain de l'édition 2016 de la Pride de Lille. C'est avec plaisir que j'ai accepté car cette région est ma région de naissance. J'ai commencé mes études universitaires à Lille et j'ai toujours aimé cette ville. Avec Béthune, ma ville de coeur ! A tout à l'heure et bonne Pride !
Avec Catherine Baratti-Elbaz, maire du 12ème arrondissement, j'assisterai à la soirée d'ouverture de la 10ème édition du Festival June Events à la Cartoucherie, située à Paris 12. Ce festival est organisé par l'Atelier de Paris-Carolyn Carlson.