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Santé - Page 125

  • Débat sur le sida à Clermont-Ferrand

    Ce mardi soir, à 18h30, je participerai à un débat sur le VIH/sida organisé par le Cadis de Clermont-Ferrand. Le débat réunira une représentante de l’ARS, un militant d’AIDES et un médecin.
    Dans moins d’un mois aura lieu la journée mondiale contre le sida.

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  • Invité d'Europe 1 à 11h05 sur la fin de vie et Brittany Maynard

    Vers 11h05, je serai l'invité du Direct de la santé animé par Jean-Marc Morandini sur Europe 1.
    Nous reviendrons sur la mort de la jeune Brittany Maynard, cette américaine de 29 ans, atteinte d'un cancer foudroyant et qui a choisi de mourir dans la dignité en Oregon où le suicide assisté est légal.
    Je reviendrai aussi sur le débat sur la fin de vie et le dernier sondage de l'Ifop qui indique que 96% des Français sont favorables à la légalisation de l'euthanasie. 96%...

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  • Débat sur la fin de vie au syndicat de la magistrature

    Ce lundi, avant le conseil d’arrondissement, je participerai à un débat organisé sur la fin de vie par le Syndicat de la magistrature au Palais du Luxembourg.
    A ce débat participeront aussi Philippe Maddaleno, médecin en soins palliatifs, et la sénatrice Corinne Bouchoux.

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  • Ma tribune dans l'Humanité

    Lorsqu’il s’est agit du divorce, de l’avortement, du mariage pour tous, et malgré les esprits les plus conservateurs de notre société, le législateur a créé les conditions du choix et l’encadrement des pratiques afin que ce choix s’exerce librement, sans contrainte et sans aucune dérive.
    Sur le sujet de la fin de vie – tabou s’il en est, tant cette question est empreinte en France de notre héritage chrétien – il ne faut pas agir autrement. Laisser l’individu choisir, encadrer les pratiques de la fin de vie afin de s’assurer de son consentement libre et éclairé et de se garder de tout risque de dérive.
    La dignité, c’est précisément cela. Agir selon sa conscience, sa volonté, fixer soi-même les limites de sa propre condition de femme ou d’homme et refuser d’en franchir les frontières qui font passer de la vie, belle et magique, à la survie, dramatique et douloureuse.
    Pourquoi, en France, contrairement aux Pays-Bas, à la Belgique, au Luxembourg…, pays qui nous sont si proches, des médecins, des religieux, des croyants imposeraient aux autres leurs propres opinions ? N’est-ce pas avoir foi en l’homme que de croire en son jugement et de le respecter, même si cela va à l’encontre de nos convictions personnelles ?
    En matière de fin de vie, la dignité, c’est maîtriser les conditions de sa propre fin de vie. Avoir le choix entre être prolongé dans sa thérapie car chaque jour gagné est une victoire sur la maladie ; bénéficier d’un lit dans une unité de soins palliatifs, ce qui est loin d’être le cas dans notre pays tant le manque de moyens hospitaliers est cruel, contrairement à ce qui existe dans les pays du Benelux ; bénéficier d’une aide active à mourir, qu’il s’agisse d’une euthanasie active ou d’un suicide assisté, parce que la mort est là, que le diagnostic de fin de vie a été posé, que la médecine est impuissante non seulement à guérir mais également à soulager et que le patient la demande.
    Dans notre pays démocratique, seule une loi républicaine assurera les bonnes pratiques ainsi que l’égalité entre chaque citoyen, sans considération de sa fortune personnelle qui lui permettrait de se rendre en Suisse ou de ses relations qui lui permettraient de bénéficier du coup de pouce d’un médecin plus compatissant et plus audacieux que les autres.
    Le tout dernier sondage (Ifop – octobre 2014) rappelle combien les Français sont attachés à cette ultime liberté, celle de choisir le moment et la manière d’éteindre la lumière. En effet, 96% de nos concitoyens sont favorables à la légalisation de l’euthanasie, quand les médecins y sont tout de même favorables à 60% (Ipsos – janvier 2013 pour le Conseil national de l’Ordre des médecins). Dans le même temps, 94% des Français comprennent le choix de leurs compatriotes qui s’exilent en Suisse pour y mourir dignement, puisque c’est pour 92% le signe du caractère insatisfaisant de la loi Leonetti.
    Nous pourrons débattre des heures. Nous pourrons parler d’Hippocrate et de Dieu. Du don et du Sacré. Néanmoins, aucun argument ne viendra à bout de la supériorité de la liberté et du choix sur les croyances et l’autoritarisme, voire le paternalisme. C’est aussi cela, la dignité de l’homme : décider pour lui-même et ne pas subir d’influences.
    Alors, comment assurer une fin de vie digne en France ? Ecoutez la souffrance et la demande de celui qui est dans le lit. Ne parlez pas en son nom. Epargnez-lui les tourments de la fin de vie si tel est son choix. Epargnez-lui le temps de l’agonie s’il le demande.
    La dignité du mourant est de rester un citoyen libre et responsable jusqu’au bout. Un citoyen écouté et respecté. Aux détracteurs du droit de mourir dans la dignité, je rappellerai aussi que la dignité des vivants est de respecter autrui et de ne pas lui imposer ses vues. C’est une question de principe et de droit.

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  • Reportage de France 3 Alpes sur le lancement de la Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité

  • Vidéo du Dauphiné Libéré sur la Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité à Annecy


    jean-Luc Roméro à Annecy pour lancer la journée... par ledauphinelibere

  • Reportage de TV8 Mont-Blanc sur le pré-lancement du 2 novembre

    Journée mondiale de l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité

  • Dimanche : Tractage au marché Porte Dorée (12ème ardt) pour l’ADMD

    Demain, pour la journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, avec les jeunes de l’ADMD et des militants du 12ème arrondissement de Paris, je tracterai sur le marché de la Porte Dorée.
    Outre rappeler notre revendication, nous mobiliserons pour le rassemblement citoyen qui sera aussi organisé demain dimanche place de la République à 16h00. Nous vous y attendons nombreux malgré l’hiver et les vacances scolaires..
    Plus que jamais, il nous faut nous mobiliser pour obtenir une loi d’Ultime Liberté !

  • Lâcher de ballons à Annecy pour l’Ultime Liberté !

    Ce vendredi 31 octobre, avec le délégué Cyril Journel, le secrétaire général de l’ADMD, Christophe Michel, nous participerons à un lancer de ballons au champs-de-mars à Annecy à 11h30.
    Cette manifestation lancera la journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité qui sera célébrée dans toute la France par les délégations de l’ADMD ce dimanche 2 novembre.
    Pour mémoire, le rassemblement parisien aura lieu le 2 novembre, à 16h00, place de la République.

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  • Appel à François Hollande : respect de l'engagement 21

    CampagneADMD2014.jpg

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  • Mon édito à la newsletter du Crips

    « Assisté », « dangereux », « précaire », « délinquant » … je pourrai continuer cette liste pendant longtemps mais, pitié, n’en jetez plus ! Les qualificatifs dont sont affublés les usagers de drogues sont nombreux, très nombreux, et pratiquement unanimement négatifs. Voire franchement injurieux.
    Bien peu de personnes oseraient utiliser le mot « responsable ». Comment ça ? Une personne consommatrice d’une drogue pourrait être responsable ? Oui, de sa propre santé ! C’est sur cette base qu’a été réfléchie et fondée la politique de réduction des risques : sur l’évident constat qu’une société sans drogues n’existe pas – et ce n’est pas baisser les bras que de dire cela, sur la volonté engagée des associations et des pouvoirs publics de mettre en place des dispositifs permettant aux usagers d’éviter notamment les contaminations au VIH, dispositifs qui requéraient et requièrent toujours l’adhésion des personnes elles-mêmes.
    La réduction des risques, la RDR, est une des politiques de santé les plus efficaces qu’il soit. Personne ne peut le nier tant ses résultats sont positifs et documentés. Un seul exemple ? Les usagers de drogue représentaient 30% des découvertes de séropositivité au VIH dans les années 90. Moins de 2% aujourd’hui.
    La RdR est une politique légalisée, une politique citoyenne, qui a comme moteur l’innovation, une innovation nécessaire au regard des urgences liées tant à la précarité qu’à des pathologies comme l’hépatite C.
    La RdR est, paradoxalement, une politique les plus attaquées qu’il soit. Illogique mais réel. Illogique et inacceptable.
    C’est pour cela, dans ce contexte et ce cadre de réflexion que cette campagne interassociative menée par le Crips Île-de-France est née. Intitulée « La RdR explique par ma grand-mère », cette campagne, que vous découvrez dans la suite de cette newsletter, a pour but de casser les préjugés, aussi bien concernant l’usager que concernant la politique de réduction des risques. Elle les casse, non pas en opposant des principes aux principes - discussion qui ne débouche bien souvent que sur une impasse - mais en informant, en apportant des éléments objectifs, en interrogeant les représentations, en déconstruisant les préjugés, suivant ainsi la méthode classique d’action du Crips, sans tomber dans le plaidoyer.
    Cette campagne ne peut exister seule, elle ne peut se suffire à elle-même ; les acteurs de terrain doivent s’en emparer, tout comme les citoyens qui ont envie de faire bouger les lignes. Cela ferait très plaisir à Mémé, et sincèrement, on a tous très envie de faire plaisir à une grand-mère, non ?

  • Rdv sur le sida avec George Pau-Langevin, ministre de l’Outre-Mer

    Ce lundi, en fin de journée, je rencontre la ministre de l’outre-mer, George Pau-Langevin afin d’évoquer la lutte contre le sida en outre-mer.
    Nous parlerons aussi de la mobilisation du ministère pour la journée mondiale contre le sida du 1er décembre.

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  • La nouvelle campagne d'ELCS sur le sida

     Plus que tout autre maladie, le VIH/sida est encore et toujours une maladie tabou, très largement porteuse de préjugés et de fausses idées tant sur les modes de contamination que sur les personnes séropositives.

    A cause de ce manque flagrant d’information et de connaissances, plus de 6.000 personnes découvrent leur séropositivité chaque année ; 30% des malades ne se savent pas séropositif ; près de la moitié des personnes touchées sont discriminées tant dans la sphère privée que sociale ou professionnelle… comment imaginer alors pouvoir dire sa séropositivité ?

    C’est dans ce contexte qu’ELCS lance une nouvelle campagne destinée à promouvoir l’information en direction du grand public sur le VIH/sida. Pour casser le tabou, nous devons agir : agir pour une meilleure information de toutes et tous…et cela passe aussi par l’humour !

    Ces 4 visuels sont des répliques bien évidemment inventées entre des personnages historiques ou de fiction, des répliques destinées à faire sourire tout qu’autant qu’à faire réfléchir tant elles sont représentatives des fausses croyances ou des préjugés les plus répandus : sur le dépistage, la prévention, les personnes touchées, les effets de la maladie… Le but est d’inciter le grand public à se connecter sur mieuxsinformer.fr pour, réellement, s’informer, comprendre, accepter.

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  • Article dans La Nouvelle République sur le débat fin de vie de Châtellerault

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  • Mon itw dans La Nouvelle République sur la fin de vie

    la nouvelle repu 17 octobre admd romero interview.jpg

  • Débat après la Première du film « Le moment et la manière »

    Je participerai à un débat sur la fin de vie à l’issue de la première du film « Le moment et la manière ».
    En effet, ce beau film d’Anne Kunvari sort sur les écrans français dans quelques jours et pose avec pudeur de belles et grandes questions, sur la maladie et bien sûr la fin de vie.

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  • Inscrivez-vous pour les 19èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida !

    Déjà 19 ans qu’ELCS tente de mobiliser les élus contre le VIH/sida !
    Je ne vous cache pas que ces dernières années, il devient très difficile de faire comprendre aux élus et aux Français qu’il n’y a jamais eu autant de gens vivant avec le VIH en France et que la vie quotidienne est difficile pour ces malades tant la discrimination et la précarité augmentent.
    ELCS continue donc son bruit de fond autour du sida et organise ses 19èmes Etats Généraux à la mairie de Paris sous le haut patronage de François Hollande et en présence notamment de Anne Hidalgo, les ministres George Pau-Langevin, Geneviève Fioraso ou encore les anciennes ministres de la santé Roselyne Bachelot et Dominique Gillot. Sans oublier Bernard Jomier, Jean-François Delfraissy ou Frédéric Dabi, etc...
    Ces EG auront lieu le 26 novembre 2014 à 16h00 (ouverture dès 15h30) .
    Pour vous inscrire, cliquez (ici).

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  • Mon itw sur le sida dans Transversal

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  • Mon mot d'introduction aux journées AFR

    Mesdames, messieurs,

    Chers amis,

     

    Je suis très heureux d’être à vos côtés aujourd’hui pour ouvrir et animer cette dernière plénière intitulé « l’Adieu aux Armes », plénière au cours de laquelle deux experts que vous connaissez tous nous font le plaisir d’intervenir. Je vous les présente :

     

    • Marie Nougier, consultante à l'IDPC, Consortium international sur les politiques des drogues, réseau regroupant plus de 120 organisations de la société civile à travers le monde,

    • Olivier Weber, grand reporter, ancien ambassadeur de la France à l'ONU chargé de la lutte contre le crime organisé.

     

    Cette plénière est bien sûr centrée sur la prochaine Session spéciale de l’Assemblée générale des Nations-Unies, à l’été 2016, session qui peut potentiellement révolutionner les choses.

     

    Vous connaissez tous le cadre dans lequel nous évoluons, donc je ne vais pas être bien long. Rappelons tout de même que le slogan de la Session spéciale de 1998 était : « Un monde sans drogues – nous pouvons le faire ». Résultat constaté ? Il est éloquent ! Des sommes énormes englouties dans la répression pour une consommation qui est en constance augmentation. Dont act... Cette politique répressive, cette politique de la guerre à la drogue qui s’apparente bien souvent à la guerre aux usagers, à quoi a-t-elle conduit finalement ? A un marché criminel de centaines de milliards de dollars, à l’augmentation des violences et la stigmatisation des consommateurs, à des politiques de santé mises à mal et l’augmentation très nette des dommages sanitaires liés au VIH et à l’hépatite C, à une incarcération massive des consommateurs, à des vies gâchées, notamment pour les plus pauvres et les plus fragiles, qui sont celles et ceux qui ont à subir le plus ces politiques aussi coûteuses qu’inefficaces. C’est une des questions que j’aimerai d’ailleurs poser à nos intervenants : la guerre à la drogue a-t-elle plus tué que sauver des vies ? Tous ici nous sommes convaincus que cette session spéciale de 2016 peut, enfin, faire changer le curseur et rééquilibrer les choses.

     

    Mais, avant de laisser la parole à nos deux éminents intervenants, permettez-moi de dire un mot en tant qu’élu sur la situation en France.

     

    En France, en ce qui concerne le domaine des drogues, la décision politique ne se fait pas via un processus rationnel à la recherche de l’intérêt général; elle est, sans nul doute plus encore que pour d’autres domaines, intimement lié à l’opinion publique. Les élus sur-réagissent face aux drogues.

     

    La bataille de l’opinion publique est, ce faisant, totalement essentielle. Il faut sortir le champ de la réduction des risques du cercle qui peut été intimidant des associations. Il faut sortir cette question de la sphère des acteurs des addictions, du VIH Oui, nous nous sommes convaincus car nous connaissons la réalité mais comment convaincre quelqu’un qui ne veut pas voir la réalité ? Il y a donc un réel effort à faire de dialogue, de compréhension, de déconstruction des stéréotypes, des préjugés, des fausses représentations. Un vrai effort de pédagogie. Oui de pédagogie. C’est ce qu’un nombre important d’acteurs font au quotidien notamment dans les conseils de quartier et réunions de riverain. J’aimerai dire que vous portez la bonne parole mais je craints qu’en ce moment, cela fasse un peu trop « Manif pour tous ». Mais vous faites tous un travail essentiel et je crois que les élus peuvent vous en remercier, réellement vous en remercier.

     

    En fait, pour améliorer la politique de réduction des risques et innover, il faut donc informer le grand public sur ses résultats, travailler sur l’image de l’usager de drogues et ainsi convaincre nos concitoyens de sa pertinence et de son utilité, aussi bien pour les usagers que pour la société dans son ensemble. Je veux ici mettre en exergue la nouvelle campagne d’information du Crips, une campagne interassociative que l’AFR a d’ailleurs signé, une campagne qui se base sur l’humour et qui a ouvert cette plénière.

     

    En fait, selon moi, c’est l’opinion publique qui favorisera les évolutions politiques. C’est donc aussi aux acteurs de la RDR de créer le moment politique propice à la prise de décision, j’en veux pour preuve le débat sur les salles de consommation à moindre risque, sujet technique, très « casse-gueule ». Grâce à un vrai travail de fourmi, c’est en train de payer. Aujourd’hui, grâce aux efforts des acteurs de ce combat, peut-être même que le fait de se demander de celui qui se drogue ou de celui qui refuse la politique de réduction des risques, qui est le criminel des deux, peut-être que cette question légitime se posera concrètement.

     

    Je conclus là-dessus et laisse la parole à nos deux intervenants.

  • Animation d’une table-ronde aux Journées de l’AFR

    Ce mercredi, j’animerai la dernière session plénière des Journées de l’AFR « l’Adieu aux Armes ».
    Je rappellerai en ouverture de cette plénière qu’en France, les élus sur-réagissent face aux drogues illicites et qu’il faut gagner la bataille de l’opinion sur ces questions qui sont déformées et instrumentalisées par certains responsables politiques.

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