Mon itw à Métro France
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Je dédicacerai « Homopoliticus, comme ils disent» mais aussi mon précédent ouvrage « Les voleurs de liberté » à la librairie Le Failler – 8, 14, rue Saint Georges à Rennes ce vendredi 10 juin de 18 à 19h40. Renseignements : (ici).
Au lendemain de la discussion parlementaire sur l’ouverture du mariage aux conjoints de même sexe, je participerai au débat de Patrick Chêne sur LCP-AN ce vendredi 10 juin à 8h45 . Ce débat est original puisque après l’avoir lancé, le présentateur laisse les deux invités se débrouiller seuls. Je serais opposé à la vice présidente du FN Marie-Christine Arnautu..
Je débattrai à 14h00 sur BFM business sur le thème du mariage gay.. comme vous l’imaginez ! Je ne connais pas encore l’adversaire qui me sera opposé !
Après LCI, je serai l’invité de Myriam Encaoua pour le journal de LCP AN qui se déroule en direct à 13 heures. J’y évoquerai de nouveau l’extension du mariage aux conjoints de même sexe et mon dernier opus « Homopoliticus, comme ils disent. »
A l’occasion du débat à l’Assemblée nationale de la proposition de loi du PS ouvrant le mariage aux conjoints de même sexe et de la sortie de mon livre « Homopoliticus, comme ils disent… », je serai l’invité de Julien Arnaud ce jeudi 9 juin sur LCI à 11h35.
C’est aujourd’hui que sera discutée à l’Assemblée nationale la proposition de loi de Patrick Bloche et de l’ensemble du groupe socialiste sur l’extension du mariage aux conjoints de même sexe. C’est donc un moment fort et un moment de vérité pour le Parlement.
Un moment fort, car c’est la première fois qu’une telle proposition sera discutée et c’est bien sûr à l’honneur du PS.
Un moment de vérité aussi pour les députés et notamment pour ceux de droite et du centre. Si l’UMP a encore récemment confirmé son opposition au mariage gay, des élus disent régulièrement leur accord. De même, dans un questionnaire que j’ai adressé aux partis politiques pour mon live « Homopoliticus, comme ils disent… », le Modem de François Bayrou et les Radicaux de Jean-Louis Borloo semblent s’y être ralliés. J’attends avec impatience leur vote.
Aujourd’hui, il n’y aura pas d’échappatoire : soit ils sont d’accord et votent ce texte, soit ils s’y opposent.
A la veille de la campagne présidentielle, on saura clairement quels sont ceux qui se battent pour l’égalité homos/hétéros.
A l’occasion de la sortie de « Homopoliticus, comme ils disent… », je serai invité de l’émission Turbulence sur Vallée FM qui se déroule de 18h10 à 19h00. Vallée FM se capte en 98.4FM et sur Internet en cliquant (ici).
Communiqué du 7 juin 2011
Non à l’autosatisfaction indécente présidentielle et de Régis Aubry !
Les soins palliatifs existent trop peu en France et seules 20% des personnes qui devraient en bénéficier y accèdent.
En 2010, 10 000 personnes seulement en ont bénéficié alors que 540 000 Français meurent chaque année !
Seule une loi de liberté permettra de donner de véritables moyens aux soins palliatifs
Alors que l’hôpital public manque dangereusement de moyens financiers et humains, comment croire une seule seconde que tripler le nombre de lits suffit à répondre aux besoins des mourants ? Alors même que l’IGAS révèle dans son rapport de janvier 2010 que seulement 20% de ceux qui devraient bénéficier de soins palliatifs y accèdent dans les faits (rapport Igas – janvier 2010) ?
Pour mémoire, les franchises médicales devaient servir à lever des fonds pour développer les unités de soins palliatifs. Or, à ce jour, pas un euro n’y a été consacré depuis l’instauration de ces franchises médicales.
De manière constante, les pouvoirs publics entretiennent la confusion entre les unités de soins palliatifs, véritables unités consacrées à l’accompagnement des personnes en fin de vie, et les lits identifiés en soins palliatifs, simple inscription budgétaire.
A ce jour, si l’on croit les chiffres donnés par la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs, 45% des départements français ne disposent pas d’unités de soins palliatifs.
Dans les trois pays du Benelux (Belgique, Pays-Bas, Luxembourg), pays qui ont voté de véritables lois relatives à la fin de vie, le patient en fin de vie a le choix : celui de bénéficier d’un véritable accompagnement palliatif ou bien celui de renoncer à la vie lorsque celle-ci n’est plus que de la survie. En France, nous nous acheminons vers un véritable « acharnement idéologique palliatif ».
Jean-Luc Romero, président de l’ADMD, rappelle que l’ADMD milite pour la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté mais aussi pour un accès véritablement universel aux soins palliatifs.
Le 18 juin 2011 à Lille, au cours de la 31e assemblée générale de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, Jean-Luc Romero aura l’occasion de le rappeler devant les responsables nationaux et locaux de l’association, devant quelques uns de ses 48 000 adhérents et devant plusieurs parlementaires du Nord, et de lancer un Appel du 18 juin pour la légalisation de l’euthanasie qui sera mise par l’ADMD au cœur des campagnes électorale présidentielle et législative de 2012.
Dimanche, à l'occasion du débat sur le mariage gay à l'Assemblée nationale et de la sortie de mon livre "Homopoliticus, comme ils disent...", je débattais dans Elysée Wermus avec différents élus dont Christine Boutin, Sandrine Mazetier, Marie-Christine Arnautu, Caroline Mécary ou encore le journaliste Joseph Macé-Scarron. Vous pouvez voir ce débat en cliquant (ici). Sans oublier le bonus sur Internet (ici).
Ce matin, je présiderai l’Assemblée générale et le conseil d’administration du Crips Ile-de-France. A quelques jours des Solidays où le Crips animera un stand de la région Ile-de-France, nous ferons le point sur les actions en cours et validerons les nouvelles orientations qui ont été actées ces derniers mois, notamment le recentrage de nos actions autour du VIH, des addictions et des discriminations.
J'étais l’invité de Laurence Théault, ce dimanche 5 juin pour l’émission du « livre France » sur RFI. Dans cette interview consacrée à mon dernier livre « Homopoliticus, comme ils disent… », je reviens sur les 50 ans de relations ambigües entre les hommes politiques et l’homosexualité. L’émission est diffusée sur RFI qui peut être capté sur la bande FM à Paris sur 89FM. Vous pouvez retrouver le podcast de mon itw (ici).
Je débattrai dans l’émission « Elysée Wermus » ce dimanche 5 juin à 11h35 sur la question du mariage homosexuel.
Alors que le PS va faire discuter à l’Assemblée nationale une proposition de loi sur l’extension du mariage aux conjoints de même sexe le 9 juin prochain et que sort mon livre « Homopoliticus, comme ils disent », ce débat animé par Paul Wermus permettra de voir s’affronter les thèses en présence.
Parmi les invités Mmes Boutin (UMP), Arnautu (FN), Mazetier (PS) et Mécary (Europe Ecologie Les Verts) et Joseph Macé Scarron.
J’ai longuement parlé de l’homophobie dans le sport dans mon livre « Homopoliticus, comme ils disent… » C’est pourquoi, j’irai avec plaisir à la soirée qui suivra les matchs organisés par le Paris Foot Gay, association qui s’est beaucoup investie dans la lutte contre les discriminations, notamment chez les supporters, ces dernières années. Ce sera l’occasion pour moi aussi de rencontrer pour la première fois le président de cette association, Pascal Brèthes, dont je trouve l’implication dans ce combat intelligente et efficace.
Communiqué de presse du 3 juin 2011
Alors que l’Assemblée nationale va discuter d’une Proposition de loi du PS sur le mariage homo le 9 juin,
Jean-Luc Romero appelle les députés gays à sortir enfin du placard pour soutenir la proposition de loi du PS autorisant le mariage homosexuel.
Contrairement à tous les pays qui nous entourent, la France – comme l’Iran – semble n’avoir aucun parlementaire – ni député, ni sénateur – homosexuel. Pourtant, c’est un secret de polichinelle que plusieurs dizaines d’entre eux le sont. Alors que le camp pro life se mobilise contre la proposition de loi socialiste permettant d’étendre le mariage aux conjoints de même sexe, qui sera discutée jeudi 9 juin, Jean-Luc Romero, conseiller régional d’Ile-de-France, estime qu’il est temps que la majorité silencieuse – dont ces élus LGBT – se mobilisent sans honte pour réclamer l’égalité entre homos et hétéros.
Pour Jean-Luc Romero, l’heure de vérité est donc arrivée pour les élus homosexuels même s’il comprend bien sûr que certains ne peuvent dire publiquement leur identité tant l’homophobie est encore développée dans le milieu politique. Cependant, il ne peut plus accepter que ces élus, qui ne peuvent assumer leur différence, continuent à cautionner un statut de sous citoyen pour les LGBT tel qu’il existe encore dans notre pays et votent contre les mesures d’égalité quand des députés UMP continuent à les qualifier d’inférieurs voire récemment les assimilent à des animaux.
Alors que tous les partis de gauche, mais aussi le Modem et le Parti radical ont assuré dans le questionnaire qui leur a été adressé par Jean-Luc Romero pour son livre Homopoliticus, comme ils disent, qu’ils étaient en faveur de l’égalité homos/hétéros, il est désormais venu pour eux le temps de passer des promesses électorales aux actes concrets.
Outre pour le PS, le PC, Europe Ecologie Les Verts, le parti de gauche, le PRG, le MRC, c’est aussi le moment de vérité pour Jean-Louis Borloo, François Bayrou et leurs amis qui assurent désormais qu’ils sont pour l’égalité.
Cette fois-ci, les LGBT ne se satisferont plus de promesses non tenues et ils connaîtront, à un an de l’échéance présidentielle, les noms de celles et de ceux qui, au-delà des clivages partisans qui n’ont aucun sens sur une telle question, se battent sincèrement pour l’Egalité. Ceux qui n’approuveront pas ce texte ne pourront prétendre défendre les valeurs républicaines après avoir refusé de voter ce texte du Parti socialiste qui permet enfin à tous les citoyens d’avoir les mêmes droits dans une République universaliste.
Gunter Sachs, l’ancien époux de Brigitte Bardot, était atteint d’une maladie incurable. Il savait que sa maladie dégénérative finirait par lui faire oublier jusqu’à ses propres passions. Il a préféré en finir. Il écrit dans son mot d’adieu : « Depuis toujours, j’ai affronté les grands défis. Celui-ci est le dernier. La perte de mon contrôle intellectuel me réduirait à un état inhumain, ce que je ne peux accepter. Elle est l’ultime manifestation de ma volonté. »
Mais l’Allemagne, où il s’est éteint, comme la France refusent d’entendre celles et ceux qui estiment avoir fini leur vie et refusent les souffrances et la déchéance qu’apportent la maladie. Plutôt que de se suicider seul, violemment, sans les siens ; en Suisse, aux Pays-Bas, en Belgique et au Luxembourg, il aurait pu partir entouré de l’amour des siens et à l’heure qu’il avait décidé…
Depuis les affaires DSK et Tron, on parle enfin et à juste titre du sexisme en politique : l’une des discriminations les plus répandues dans ce milieu. On oublie cependant d’évoquer l’homophobie qui y est aussi forte. Comme je le démontre dans mon livre « Homopoliticus, comme ils disent… », sur 540.000 élus français, à peine une trentaine ont osé dire leur homosexualité. Au Parlement, à l’Assemblée nationale et au Sénat, aucun député, aucun sénateur n’a dit son identité alors que même en Italie et dans tous les pays qui nous entourent des parlementaires osent dire leur différence. Outre que l’homosexualité reste difficile à dire à cause de la force des préjugés en politique, on voit que contrairement à nos voisins - Grande-Bretagne, Pays-Bas, Belgique, Espagne et Portugal -, l’égalité homos/hétéros peine vraiment à avancer. On est bien loin en politique du fameux puissant lobby gay dont on nous rabat les oreilles. Le lobby religieux, notamment mis en opeuvre par la Basilique Sainte-Clotilde, que j’évoquais déjà dans « Les voleurs de liberté » et que je développe dans « Homopoliticus, comme ils si disent », empêche à ce jour toute vraie avancée pour que les LGBT soient enfin des citoyens à part entière !