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Politique française - Page 213

  • L’Appel de Johannesburg sur la liberté de circulation des personnes séropositives

    Métropolis réunit les plus grandes métropoles du monde, celles qui font plus d’un million d’habitants. Certaines agglomérations appartiennent à des pays qui ont des restrictions à la libre circulation ou l’installation des personnes séropositives – 45 pays sont concernés dans le monde.
    C’est pourquoi j’avais soumis l’idée à Jean-Paul Huchon qu’un appel puisse être lancé par Métropolis. Il a accepté et c’est symboliquement dans le pays le plus touché au monde par le sida que cet appel devrait être voté. C’est important car c’est la première fois qu’en grande association mondiale d’élus fait un tel appel. Je vous soumets ci-dessous le texte qui, je l’espère, sera approuvé.

     

     

     

    Pour la liberté de circulation et d’établissement des personnes touchées par le VIH/sida

     

    APPEL DE JOHANNESBURG

     

    des membres du Conseil d’administration de METROPOLIS

     

     "30 ans après la découverte du virus du sida, 45 pays à travers le monde ont mis en place des restrictions à la liberté de circulation et d’établissement des personnes touchées par le VIH/sida.

     

     Les membres de Metropolis représentant plus 120 grandes régions capitales et métropoles mondiales affirment que ces restrictions sont constitutives d’une atteinte aux droits de l’homme et inefficaces quant à la protection de la santé publique des citoyens nationaux.

     

     Tout en reconnaissant le droit de tout pays à mettre en place des critères à l’entrée sur son territoire, Metropolis fait valoir le fait que ces restrictions sont constitutives d’une discrimination et donc contraires aux droits de l’homme. Au-delà de l’impact dramatique exercé sur la personne discriminée, ces mesures ne peuvent que nourrir et contribuer à une hausse générale de la sérophobie, la personne touchée n’étant vue et considérée que sous l’angle exclusif de sa maladie et donc seule responsable de la propagation du virus. Cette vision va à l’encontre des prises de position de l’ensemble des acteurs de la lutte contre le VIH/sida qui ont fait de la notion de la responsabilité partagée la pierre angulaire de la réponse faite à l’épidémie.

     

     Discriminatoires, ces mesures ne peuvent être justifiées par la protection de la santé publique. Pour preuve, alors que le VIH/sida est évidemment présent depuis des années dans l’ensemble des pays, ces mesures n’ont eu aucun impact sur la propagation de l’épidémie. Inefficaces, elles sont même néfastes à la politique de prévention et d’information : en effet, en faisant de l’étranger le seul propagateur de l’épidémie, ces mesures ne peuvent que saper les efforts faits en matière d’éducation et de promotion du dépistage.

     

     Les membres de Metropolis expriment le vœu que ces restrictions soient abrogées et abandonnées au profit d’une politique de lutte contre le sida qui mette les notions d’efficacité et d’humanité, au cœur d’une démarche pragmatique de lutte contre le VIH/sida basée sur l’information,  l’éducation et la responsabilisation"

     

     

     

     

     

    Johannesburg  le 19 juillet 2013

     

  • Rencontre avec les associations de lutte contre le sida de Johannesburg

    En marge, du congrès Métropolis auquel, à Johannesburg, je rencontrerai les associations de lutte contre le sida (photo 1).
    L’Afrique du sud est le pays du monde le plus touché par le sida avec 11% de la population adulte vivant avec le sida.
    En 2000, j’avais fait voter un amendent à la région Ile-de-France qui fait qu’il doit y avoir un volet sida dans nos accords de coopération. Nous avons ainsi aidé un certain nombre d’ONG dans ce pays. Il s’agit aujourd’hui de faire un point sur ce qui a pu être mis en œuvre et imaginer de nouvelles pistes de collaboration entre la région Ile-de-France et la province de Gauteng sur la question du VIH/sida dans un pays (photo 2) où le dépistage est devenu une urgence absolue.

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  • Discours de Bilbao en espagnol

    Queridos amigos,

    Estoy muy feliz de estar con ustedes hoy para celebrar su asamblea general. Estoy acompañado por la secretaria general de l' ADMD, Jacqueline Jencquel.
    Mi presencia aqui con ustedes es una prueba de lo parecido que son nuestras asocaciones y de la similitud de nuestra lucha. La lucha para los derechos humanos, la igualdad frente a la muerte y de la compasiòn.
    Tenemos mucho que aprender los unos de los otros. Ustedes, los Españoles han sabido superar el obstaculo de los lobbies, de la extrema derecha religiosa en respecto a otro tema social el cual ha desencadenado enfrentamientos violentos ilegitimos y aberrantes : Estoy hablando del matrimonio para parejas del mismo sexo.
    Nosotros los franceses, por principio nunca estamos de acuerdo en nada. La ley actual que rige el final de la vida del otro lado de los Pirineos no le conviene a nadie, ni a nuestros miembros, ni a los médicos, ni al pueblo.
    Nuestra diferencia principal en el fondo viene del hecho que nuestro rey ya no tiene cabeza, y el  vuestro carga orgullosamente un gorro que defendio con valentia el 23 de febrero de 1981. Un orgullo para todos, incluido el hijo de inmigrantes españoles que soy yo.
    Despues de esta introduccion, permitanme describirles la situacion en nuestro pais :
    A consecuencia del caso de Vincent-Humbert – el nombre  de un joven que ha quedado paralizado a consecuencia de un accidente y que ha sido ayudado a morir por su madre– en 2005 el gobierno de  francès de derecha voto una ley que permite rechazar tratamientos inutiles y tambien permite la utilizacion masiva de analgèsicos gracias a una sedacion profunda y el paro de la alimentacion y de la hidratacion para asi, bajo condiciones hipocritas ,  dejar morir al paciente. La intencion de esta ley que la muerte no sea la meta sino la consecuencia, un efecto secundario  de la sedacion y poco humano (la muerte puede tardar hasta 3 semanas).

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  • Rencontre avec les associations LGBT de Johannesburg

    Ce soir, après le congrès Métropolis, j’en profiterai pour rencontrer les associations LGBT de Johannesburg notamment le Gay and Lesbian Memory in action.
    L’Afrique du Sud est le seul pays du continent africain à avoir adopté le mariage de conjoints de même sexe et l’adoption. Et bien avant la France !
    Restent cependant de grands problèmes d’homophobie dans le pays.

     

  • Congrès Métropolis à Johannesburg

    De ce  lundi à jeudi, j’accompagne le président Huchon au congrès de Métropolis, association qu’il préside et qui réunit les collectivités de plus d’un million d’habitants à travers le monde.
    J’ai demandé au président Huchon qu’il fasse adopter un appel pour la liberté de circulation des personnes touchées par le VIH/sida.
    Ce sera la première fois que Métropolis adopte un vœu sur les droits humains. J’y reviendrai.

     

  • 14 juillet : se rappeler et s’amuser : Joyeuse fête nationale !

    C’est toujours une journée importante pour un pays démocratique. Fêter le 14 juillet, c’est se rappeler notre histoire. C’est se rappeler nos révolutions qui nous ont permis d’être de vrais citoyens.
    L’occasion de se rappeler sans oublier de s’amuser : ce n’est pas incompatible ! Joyeuse fête nationale…

     

  • Mon discours de Bilbao sur la fin de vie

    Chers amis,
    Je suis très heureux d’être aujourd’hui parmi vous, à l’occasion de votre assemblée générale. Je suis accompagné de la secrétaire générale de l’ADMD, Jacqueline Jencquel.
    Ma présence ici prouve combien nos associations sont semblables et combien notre combat est identique. Il est celui des droits de l’homme, de l’égalité devant la mort, de la compassion.
    Nous avons à apprendre les uns des autres. Vous, les Espagnols, avez su surmonter l’obstacle des lobbys de l’extrême droite religieuse sur un autre sujet de société qui, en France, a créé des heurts violents, illégitimes et choquants – je parle du mariage pour les couples de même sexe. Nous, les Français, contestons en permanence et par principe ; la loi actuelle qui régit la fin de vie, de l’autre côté des Pyrénées, ne convient à personne, ni à nos membres ni au peuple ni aux médecins. Notre différence essentielle, au fond, tient au fait que notre roi n’a plus de tête et que le vôtre porte fièrement une casquette qu’il a admirablement défendue le 23 février 1981. Une fierté pour tous, y compris pour le fils d’immigrés espagnols que je suis.
    Permettez-moi, cette introduction faite, de vous décrire la situation dans notre pays.
    A la suite de l’affaire Vincent Humbert – du nom de ce jeune homme entièrement paralysé et aidé à mourir par sa maman – le gouvernement conservateur français a fait voter une loi en 2005 permettant de refuser tout acharnement thérapeutique et permettant, au moyen d’une sédation profonde, d’utilisation massive d’analgésiques et de l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation, de faire mourir une personne arrivée à la toute fin de sa vie, mais dans des conditions hypocrites (pas d’intention de donner la mort, qui survient comme effet secondaire) et inhumaines (la mort peut intervenir sous trois semaines).
    Je vous indique, au risque de vous surprendre, que les conservateurs – autoproclamés libéraux – de notre pays sont les moins favorables au recours à l’aide active à mourir et les plus favorables à la théorie pro-life.

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  • Mon message au Congrés des Libres Penseurs

    Chers amis Libres Penseurs,
    Je suis très heureux de pouvoir m’exprimer aujourd’hui, devant vous, par l’intermédiaire de votre président, mon ami Marc Blondel, que je soutiens et que je remercie de porter ce combat avec tant de détermination.
    Permettez-moi également de saluer la vice-présidente de l’ADMD, Nicole Boucheton, dont je sais l’attachement profond aux combats de liberté qui sont les nôtres.
    Vous le savez, l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, que je préside, est engagée dans un combat de liberté. Cela fait 33 ans que les Français demandent la libre maîtrise de leur fin de vie, la jouissance du droit légitime de disposer de leur propre corps lorsque leur vie ne sera plus que de la survie.
    Et dans notre société qui est de plus en plus emprunte de religieux, des arguments fleurissent faisant état d’une vie qui serait sous le contrôle d’un Être supérieur.
    Comment peut-on, dans l’enceinte même du Parlement, dans l’enceinte même des institutions de notre République, entendre des arguments d’ordre religieux, parlant d’interdit, de lumière, de dessein, de rédemption ?
    La Libre Pensée, qui se réunit aujourd’hui en congrès, est un lanceur d’alerte. Un poste de vigie que tous les républicains laïques de notre belle France doivent écouter.
    Aucun communautarisme ne peut saper les fondements de notre démocratie. Nous devons aller vers toujours plus de liberté, et une liberté qui soit la même pour chacun.
    Je sais le soutien que l’ADMD trouve et trouvera auprès de la Libre Pensée.
    Je vous souhaite un excellent congrès

  • Intervention à « Derechos y dignitad al final de la vida » à Bilbao

    A l’invitation de l’association sœur de l’ADMD-France, « Derechos y dignidad al final de la vida », je participerai avec la secrétaire générale de l’ADMD au grand colloque de cette association ce jeudi 11 juillet à Bilbao.
    En fin d’après-midi nous interviendrons sur la situation en France et le grand débat qui doit avoir lieu en automne.

     

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  • Débat pour Femme Majuscule sur la fin de vie et l'euthanasie

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  • Itw dans Têtu sur le mariage pour tous

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  • Plan de mon discours à la 2ème conférence internationale sida et sciences sociales

    Intervention de Jean-Luc Romero

    Conseiller régional Ile-de-France

    Président du Crips Ile-de-France et d’Elus Locaux Contre le Sida

     

    2e conférence internationale Sida et sciences sociales et humaines

    7 juillet 2013 – Paris la Villette

     

     

     

    Ladies and gentlemen,

    Dear friends

     

    I am very pleased to speak at this conference wich will certainly, bring up a lot of rich debates.

     

    I will introduce myself briefly. Elected regional Ile-de-France I am president of the Association Elected Leadership Against AIDS and of the regional center of information and prevention of AIDS in Ile-de-France. I am an activist. I am a person who has seen too many of his friends die. I am a  person who lives with HIV. And i came up my HIV infection. I am affected by a disease that affects as much on the physical and social, individual and collective aspects. And this is that il would like to talk about.

     

    The answer to the fight against AIDS, of course, through the medical and scientific aspects and I want to praise the extraordinary achievements that we have reached si far. I think I can say that only in few pandemics, progress has been so rapid. The advent of HAART as well as the advent of biomedical prevention are two revolutions in this fight for life.

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    The fact remains that on this question of the relationship between social science and AIDS issues have been, are and will be complex.

     

    I would like to say a few words about the disease, prevention but also about the people, especially people.

     

    1/ Lutte contre le sida : le rôle de transformateur social

     

    -      Mobilisation communautaire face à l’absence coupable de réponses des pouvoirs publics

    Rôle fondamental des LGBT aussi bien sur la mobilisation politique que sur le soutien aux personnes, soutien qui malheureusement

     

    -      Lutte contre le sida : l’avènement de la parole du patient tout aussi importante que celle de l’expert, du médecin, de la blouse blanche.

    Parole profane = parole d’expert. Il ne s’agit pas d’imposer mais de discuter, c’est un changement profond dans la relation médecin - patient

     

    -      L’avènement de la démocratie sanitaire

     

    The fight against the disease is as well individual and collective. We are talking about the  response to a virus and the interrogation about the structure of a society. The methods used in the fight against AIDS have permanently impacted and inspired many other struggles, both in terms of prevention, adcocacy   that medecine support and I can even say that it has changed our society.

     

    However, 30 years after the discovery of the virus, it remains that the disease is taboo and stigmatizing. Because yes, AIDS is a disease that causes isolation, discrimination and poverty. A disease that makes its bearer a sub-citizen!

     

     

    2/ Sida : une maladie sociale

     

    Sida : une maladie compliquée à dire

     

    -              30 ans après le début de l’épidémie : plus compliquée de dire sa maladie aujourd’hui qu’il y a 20 ou 25 ans.

    Exemple du livre « Paroles et vie au positif » : livre d’ELCS – très dur de trouver 13 personnes non-militantes acceptant de parler à visage découvert.

     

    -              Pourquoi ? Poids de la culpabilité.

     

    -              Une mise sous silence légitimée : ¾ des jeunes franciliens pensent qu’une personne séropositive a raison de cacher son statut sérologique pour éviter les discriminations.

    Solution à la discrimination : se cacher !

     

    -              Un silence qui a des répercussions sur la vie sexuelle : (enquête Vespa 2) 20 % des personnes séropositives n’ayant pas une charge virale indétectable ont eu au moins une pénétration non protégée au cours des 12 derniers mois précédant l’enquête. Une des raisons : difficulté de révéler sa séropositivité à ses partenaires.

     

    -              Dire sa séropositivité est un acte militant. Pourquoi la société n’est-elle pas prête à entendre la parole de quelqu’un disant qu’il est malade ?

    Réaction normale envisagée : compassion

    Réaction concrète : stigmatisation

     

    Sida : une maladie qui isole

     

    Sida : la durée de vie s’allongeant se pose forcément la question de la gestion de la vie avec le virus.

     

    -      Vie sociale marquée par l’isolement : un fort taux de personnes séropositif (40 %) vit seul.

    -      Quid de la prise en compte du vieillissement ? Thème commence seulement à être pris en compte.

     

    Sida : une maladie qui précarise

     

    Au niveau du monde du travail : la société ne veut pas s’adapter aux personnes séropositives :

    Conséquences :

    -              Un niveau d’activité très inférieur à celui de la population générale. 58,5 % des personnes travaillent

    -              Une personne sur cinq rencontre des difficultés à se nourrir au quotidien par manque d’argent.

     

    Le malade : un sous-citoyen

     

    Sida : une maladie taboue

     

    -      Maladie qui touche aux tabous de notre société : sexe et mort

    -      Maladie qui touche aux représentations de notre société et qui renvoie toujours aujourd’hui dans l’imaginaire collectif à une forme de déviance (solution = l’éducation et l’information)

     

    Un malade fait plus peur que la maladie

     

    Pourquoi ? Manque d’information = moins on connait une maladie, plus on a peur de son porteur

     

     

    Sida : la réponse sera politique

     

     

    I drew the conclusion, a tough but realistic observation. A bitter fact, this observation tells us that the AIDS stigmatizes, that AIDS isolates, that AIDS results in poverty. An observation centered on France wich also applies to many other countries .

     

    I did not want to be exhaustive giving you just a few facts, some data that affects me deeply. Obviously, this finding is sufficient in itself to justify the urgency of our response. But the answers are of course not unique and you'll have a long discussion and rich debates on the subject. There is no one single truth.

     

    I want to tell you my opinion: I think the response to HIV / AIDS is political. Political attention and not politicized. How so?

    I think it is our aim to develop a society where HIV-positive people  can talk about their HIV Infection without risking stigma and discrimination. It behooves us to develop a society where health policy is pragmatic and non-ideological. It is our duty to set up a society where access to treatment and care is guaranteed, a necessity for the control of the aids epidemy, on the individual and alos collectiv aspects. It is our duty to set up a society where human rights are respected in their entirety and the sexual orientation is not the basis for a criminal offense. It is our duty to set up a society where prejudice will be replaced by truths, assuming a real and ambitious policy of education and information. We need a greater awareness. 

     

    Well, I think this is just how we achieve our goal, a goal that we know ambitious but not impossible: the end of AIDS.

     

    Thank you.

  • Ouverture de l’International HIV and social science conference

    Vers 17h00, ce dimanche, j’interviendrai dans la séance d’ouverture de l’International HIV ans social science conference. Cette conférence se déroule au centre des congrès scientifiques de la Cité des sciences et de l’industrie.

  • Pique-Nique d’Oser Paris avec Anne Hidalgo : le ciel devrait être avec nous !

    Oser Paris, l’association qui soutient Anne Hidalgo dans sa candidature pour les élections municipales, organise ce dimanche dès 12h00 un grand pique-nique au Parc des Buttes Chaumont.
    Venez nombreux avec votre pique-nique pour ce moment convivial et pour soutenir Anne.
    Le ciel devrait être avec nous !

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  • Invité du « Téléphone sonne » à 19h20 sur France Inter sur la fin de vie

    france inter,jean-luc romero,admd,euthanasie,politique,franceJe participerai au « Téléphone sonne » sur France Inter ce vendredi de 19h20 à 20h00 sur la fin de vie. Le professeur Jean-Claude Ameisen sera aussi invité pour évoquer le non avis du Conseil consultatif national d’éthique qu’il préside. L’émission sera animée par Fabrice Drouelle.

  • Non avis du CCNE : de qui se moque-t-on ? Non au combat corporatiste élitiste et liberticide des docteurs Leonetti, Sicard, Ameisen !

    Le conseil consultatif national d’éthique a rendu mardi un non avis sur la fin de vie ! A défaut de se mettre d’accord, il a surtout donné la position - dite majoritaire - de ceux qui s’opposent à la légalisation de l’euthanasie.
    Ce non avis est régressif, hypocrite et mensonger.
    Régressif, car il revient en arrière par rapport aux avis de 1998 et 2000 qui se prononçaient notamment sur l’exception d’euthanasie.
    Hypocrite, car en défendant la sédation terminale et en l’opposant à un geste actif, cet avis démontre bien le flou qui entoure ces pratiques.
    Mensonger enfin, car en attaquant violemment les pays qui ont légalisé euthanasie et suicide assisté, le CCNE oublie de dire que les dérives, c’est en France qu’elles ont lieu avec 0,8% d’euthanasies en France – plusieurs milliers ! – selon l’Ined alors que cette pratique illégale !!!!
    Heureusement, et comme cela s’est passé avec le rapport Sicard, bien que le CCNE refuse une loi, le président a annoncé un projet de loi pour la fin de l’année...
    Alors qu’un énième débat devrait s’ouvrir à la rentrée, l’ADMD va se mobiliser partout et organiser trois temps forts durant tout l’automne. J’écrirai moi-même une lettre ouverte au président qui paraîtra le 12 septembre.
    La proposition 21 du candidat Hollande doit être enfin respectée !
    Non au combat corporatiste élitiste et liberticide des docteurs leonetti, Sicard, Ameisen !

     

  • Conférence de presse sur le droit de mourir dans la dignité

    Aujourd'hui, à peine descendu de mon avion en provenance de Dakar, à la maison de l'Amérique Latine, je ferai une conférence de presse suite à l'avis très décevant du Conseil national d'éthique sur la fin de vie.
    Ce sera pour moi l’occasion de rappeler que l’ADMD milite pour une loi qui repose sur ses deux jambes : accès universel aux soins palliatifs et l’égalisation de l’euthanasie et du suicide assisté.
    J'indiquerai la mobilisation que va mettre en oeuvre l'ADMD pour obtenir au plus vite notre Ultime Liberté.

     

  • Inauguration du laboratoire d’analyses et de l’appareil de charge virale du CTA de Dakar

    Ce lundi, je rejoints le vice-président Romero en déplacement à Dakar pour la l‘accord de la région Ile-de-France avec la région de Dakar.
    Pour la région, je porte depuis plusieurs années des projets pour le centre de traitement ambulatoire de Dakar qui suit un grand partie des séropositifs du Sénégal. Si je viens juste pour cette journée – ce qui n’est pas de tout repos ! -, c’est qu’il est important que j’assiste à la réalisation d’une de nos plus gros projets : un nouveau laboratoire d’analyse et l’achat d’un appareil de charge virale. Le matin avant l’inauguration de ces réalisations, je rencontrerai les associations de lutte contre le sida afin d’évoquer l’avenir de notre coopération dans ce domaine. De telles réalisations qui vont aider à sauver des vies sont une vraie satisfaction pour le modeste élu régional que je suis. On se sent un peu utile…

     

  • Un nouvel été !

    Un de plus : je fête un nouvel été…
    Mais je n’aurai pas l’occasion de faire la fête aujourd’hui car je prends un avion pour Dakar où je dois séjourner une journée pour la région Ile-de-France dans le cadre de son accord de coopération avec la région de Dakar.

     

  • Les 15 ans des Solidays !

    Après la marche des Fiertés LGBT, avec Anne Hidalgo, je rejoindrai les Solidays qui fêtent cette année leur 15ème édition. Un grand moment de solidarité dédié notamment à la lutte contre le sida.
    J’aurai notamment l’occasion de retrouver Jean-Paul Huchon au stand de la région Ile-de-France qui est géré par le Crips, que je préside, mais aussi dans le village associatif où les jeunes de l’ADMD y ont un stand.

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