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Politique française - Page 185

  • Réunion publique de l'ADMD à Limoges à 10h30

    A l’invitation de Nicole Labarre, j’animerai une réunion publique de l’ADMD à la salle de la mutualité à 10h30 – 39 rue Garibaldi à Limoges. Plus que jamais, il est nécessaire de mobiliser les Français pour que la loi que proposera le chef de l’Etat sur la fin de vie réponde enfin à leurs attentes.
    A l’issue de cette réunion, un déjeuner est organisé avec les militants ADMD de Limoges.

     

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  • Café politique du MJS sur le questions de société à Limoges à 20h30

    A l’invitation de Yasin Amrouche, animateur fédéral du MJS de la Haute-Vienne, je serai l’invité d’un café politique sur les questions de société.
    Euthanasie, mariage pour tous, droit de vote des étrangers, sida, prostitution, âge de la majorité seront quelques-unes des questions qui seront abordées.
    Ce café politique se déroule au Café littéraire de Limoges à 20h30.

     

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  • Réunion ELCS à Limoges à 18h00

    A 18h, salle des commissions de l’hôtel de ville de Limoges, j’animerai une réunion des élus locaux contre le sida.
    Il s’agira de faire le point sur la situation du VIH dans le Limousin et d’évoquer la nécessaire implication des élus contre cette pandémie qui continue de faire, dans le monde, 4000 morts par jour …

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  • Rendez-vous avec Emile-Roger Lombertie, maire de Limoges

    Alors que je suis à Limoges pour deux jours, je rencontrerai le maire de Limoges ce vendredi 14 novembre en fin d’après-midi.
    Il s’agira d’évoquer la mobilisation des élus locaux contre le sida.

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  • Plan de mon intervention devant la mission fin de vie Claeys/Leonetti

    A noter que M. Leonneti n'a pas daigné m'adresser la parole, ni me poser une seule question durant mon heure d'audition. Et il est un des deux députés à travailler sur la loi fin de vie. Drôle de conception de la démocaratie et de la politesse !!!

    Question préalable posée aux députés :
    Une question préalable est importante pour la suite de mon intervention.
    Pourriez-vous m’indiquer l’étendue de votre mission ? En effet, la presse s’est fait l’écho de positions contradictoires.
    Alors que la lettre de mission du 1er ministre évoque notamment « les circonstances précises dans lesquelles l’apaisement des souffrances peut conduite à abréger la vie dans le respect de l’autonomie de la personne », M. Leonetti affirme que cette mission ne traiterait ni de l’euthanasie ni du suicide assisté, et M. Claeys assurant que rien n’était tabou ?

    Messieurs les députés,
    Je développerai ces trois points au cours de cette audition.
    -       La fin de vie n’est pas une affaire médicale, mais bien citoyenne,
    -       La loi d’avril 2005 n’est pas une loi sur les droits des patients,
    -       La loi que nous voulons : accès universel aux soins palliatifs, légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté, opposabilité des directives anticipées.

    1)    La question de la fin de vie n’est pas une affaire médicale mais bien citoyenne.

    Comme pour l’avortement ou la PMA, il est nécessaire d’avoir un soignant pour faire l’acte, mais ces questions sont d’abord d’ordre citoyen et éthique.
    Contrairement à la question de l’euthanasie, elles n’ont pas été confisquées par quelques mandarins ou pseudos experts qui en font leur fonds de commerce depuis 30 ans, sans écouter les Français.
    La mobilisation dans les réunions de l’ADMD et l’explosion des adhésions dans notre association (58 000) démontrent que les Français veulent rester citoyens jusqu’au bout.
    Cette affaire concerne 100% des Français et je reste étonné que les missions menées le soient surtout auprès de mandarins (Déjà 24 professionnels de santé auditionnés par cette mission sur 32 personnes hors religieux ! Combien de malades ?)
    Les Français comprennent les enjeux de cette question comme l’a démontré le jury citoyen créé par le CCNE. Chaque Français est expert de sa propre fin de vie. Comme par hasard, leurs conclusions ne sont prises en compte par aucune autorité.

    2)    La Loi d’avril 2005.

    L’ADMD a joué son rôle pour la faire connaitre. Nous sommes les seuls à avoir faire un document grand public alors que nous n’avons aucune subvention de l’Etat, contrairement à certaines associations anti-euthanasie.
    -       Mais cette loi est une loi faite pour les médecins. J’ai subi bien des quolibets en le disant depuis des années.
    Aujourd’hui, le Pr Ameisen le dit lui-même :
    « La loi Leonetti de 2005 est une loi sur les devoirs des médecins, pas sur les droits des patients. » (La Croix du 24 octobre 2014).
    Ces affirmations sont confirmées par les sondages. Seuls 19% des Français pensent que la loi de 2005 permet le respect de la volonté du mourant. (Ifop/Le Pèlerin – septembre 2012)

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  • Entretien avec le directeur-adjoint de cabinet de Manuel Valls sur la fin de vie

    Après mon audition par les parlementaires sur la fin de vie, je rencontrerai à 19h00 Gilles Gateau, directeur-adjoint de cabinet du Premier ministre.
    Le rendez-vous concerne, une nouvelle fois, la fin de vie et les intentions du gouvernement sur cette question.
    Les Français attendent, en effet, que le gouvernement tienne l’engagement 21 du président de la République.

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  • Audition par les députés Leonetti et Claeys sur la fin de vie

    Après avoir demandé au Pr Sicard, puis au CCNE un rapport sur la fin de vie, le président de la République a demandé à deux députés Jean Leonetti et Alain Claeys de réfléchir, à leur tour, sur les contours d’une future loi sur la fin de vie.
    L’ADMD n’a pas manqué de s’étonner de la nomination de celui qui a échoué pendant 10 ans sur la fin de vie et qui s’oppose, avec détermination, à toute légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté.
    J’ai cependant souhaité être auditionné par ces élus d’autant que les auditions qu’ils ont faites jusqu’à ce jour réunissent surtout des médecins et des activistes anti euthanasie …
    L’ADMD ne pouvait être absente de ces auditions même si nous ne nous faisons pas trop d’illusions sur un rapport cosigné… par M. Leonetti. Peut-être aurons-nous une bonne surprise avec le député Claeys… Soyons optimistes !

     

  • Cérémonies du 96ème anniversaire de l’Armistice de 1918 à Paris 12ème

    Ce mardi 11 novembre, je déposerai une gerbe au nom de Jean-Paul Huchon, président du Conseil régional d’Ile-de-France, au monument aux morts de la mairie du 12ème arrondissement de Paris pour le 96ème anniversaire de l’armistice de 1918 et alors que nous célébrons, cette année, le centenaire de la grande guerre.
    A 10h30, un rassemblement est prévu place Felix Eboué avec les anciens combattants et les élus du 12ème arrondissement sous la présidence de la maire Catherine Baratti-Elbaz et nous défilerons jusqu’au monument au mort.

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  • Entretien avec Patrick Klugman maire-adjoint de Paris chargé de l’international

    Ce lundi, je rencontrerai Patrick Klugman, maire-adjoint de Paris, chargé de l’action internationale. J’évoquerai notamment avec lui la mobilisation de la capitale sur la question de la lutte contre le sida mais aussi la question du respect des droits humains.

     

     

     

  • The Normal Heart, un film pour comprendre. Un film bouleversant !

    J’ai eu récemment l’occasion de visionner le film « The Normal Heart » dirigé par Ryan Murphy et écrit par Larry Kramer.
    Ce film raconte avec sensibilité la bataille d’activistes gays à New York pour sensibiliser élus et population au virus du sida de 1981 à 1983.
    Non compris par une partie des homosexuels qui ne prenaient pas la mesure de l’épidémie qui émergeait, par leur obstination, ces militants sont à l’origine de la mobilisation qui finira par se faire tardivement  - trop ! - dans la classe politique.
    Ce film raconte une période horrible où beaucoup de ces militants mourraient. Interprété par un Mark Ruffalo punchy et émouvant et par une Julia Roberts militante, ce film a été diffusé en prime time sur la grande chaine américaine HBO. Courageux pour cette chaine de monter l’importance de la mobilisation des gays au début de la pandémie de VIH. Malheureusement, aucune grande chaîne française ne semble avoir acquis ce film. Il est pourtant pédagogique et utile pour les plus jeunes qui ne savent pas à quel point l’émergence du sida fut synonyme d’exclusion et d’homophobie.
    Ce film sort en vidéo. Je ne peux que vous inciter à l’acheter pour comprendre l’impact de l’émergence du sida sur la société des années 80.
    Un des films parmi les plus bouleversants jamais écrits sur ce terrible virus et sur cette période de notre histoire collective…

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  • Mon Edito à la Newsletter du CRIPS de novembre 2014

    Tant attendue, la loi de santé arrive à grand pas !
    Au sein de l’ensemble des axes développés qui font de la prévention un des fondements de la loi et du foisonnement des mesures envisagées auxquelles nous ne pouvons que souscrire, notamment sur la promotion du dépistage, s’en trouve deux qui nous intéressent tout particulièrement au Crips Île-de-France.
    Sur les jeunes, tout d’abord. Le 19 juin dernier, Marisol Touraine déclarait, lors de la présentation des orientations de la prochaine loi de santé, qu’elle souhait « instaurer un parcours éducatif en santé », permettant ainsi « à tous les enfants, de la maternelle au lycée, d’acquérir des connaissances en santé et d’adopter les bons réflexes ». Elle précisait : « Il ne s’agit pas d’avoir une heure de cours par-ci, par-là sur la santé. Il s’agit que les enjeux de santé imprègnent le contenu de tous les enseignements ». Le 15 octobre dernier, le discours prononcé suite la présentation en Conseil de ministres ne mentionnait pas explicitement ce point mais le dossier de presse, lui, évoquait le renforcement de la promotion de la santé en milieu scolaire dans l’axe « prévenir ». C’est bien évidemment une annonce qui ne peut que satisfaire le Crips Île-de-France. Rappelons que, au-delà de son intervention directe notamment au sein du monde scolaire sur les thématiques des addictions ou de la vie affective et sexuelle, c’est bel et bien un véritable accompagnement vers une culture de prévention que le Crips souhaite mettre en œuvre !
    La deuxième mesure à mettre en exergue concerne la possibilité d’expérimentation pendant 6 ans du dispositif des salles de consommations à moindre risque, dispositif fonctionnant chez nos voisins européens avec des résultats objectivement fort intéressants tant sur le plan individuel que collectif. Bien évidemment, le Crips ne va pas se lancer dans l’expérimentation de ces structures et en créer une mais il a toute sa place dans l’accompagnement des acteurs de terrain en termes de formation, d’évaluation et  d’aide au diagnostic. De façon plus large, et tout aussi utile, le Crips Île-de-France a également un rôle à jouer sur la compréhension collective et donc l’acceptation et l’adhésion à cette politique de réduction des risques : le lancement de la campgne « La RdR expliquée par ma grand-mère » s’inscrit complètement dans cet objectif.
    Affaire à suivre donc !       

     

  • Articles du Dauphiné Libéré sur mon déplacement à Annecy

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  • Le 2 novembre, Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, à Paris en photos

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  • Débat sur le sida à Clermont-Ferrand

    Ce mardi soir, à 18h30, je participerai à un débat sur le VIH/sida organisé par le Cadis de Clermont-Ferrand. Le débat réunira une représentante de l’ARS, un militant d’AIDES et un médecin.
    Dans moins d’un mois aura lieu la journée mondiale contre le sida.

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  • Invité d'Europe 1 à 11h05 sur la fin de vie et Brittany Maynard

    Vers 11h05, je serai l'invité du Direct de la santé animé par Jean-Marc Morandini sur Europe 1.
    Nous reviendrons sur la mort de la jeune Brittany Maynard, cette américaine de 29 ans, atteinte d'un cancer foudroyant et qui a choisi de mourir dans la dignité en Oregon où le suicide assisté est légal.
    Je reviendrai aussi sur le débat sur la fin de vie et le dernier sondage de l'Ifop qui indique que 96% des Français sont favorables à la légalisation de l'euthanasie. 96%...

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  • Mon débat à C a vous sur France 5


    "Téléréalité" politique : Jean-Luc Roméro et... par C-a-vous

  • Débat sur la fin de vie au syndicat de la magistrature

    Ce lundi, avant le conseil d’arrondissement, je participerai à un débat organisé sur la fin de vie par le Syndicat de la magistrature au Palais du Luxembourg.
    A ce débat participeront aussi Philippe Maddaleno, médecin en soins palliatifs, et la sénatrice Corinne Bouchoux.

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  • Ma tribune dans l'Humanité

    Lorsqu’il s’est agit du divorce, de l’avortement, du mariage pour tous, et malgré les esprits les plus conservateurs de notre société, le législateur a créé les conditions du choix et l’encadrement des pratiques afin que ce choix s’exerce librement, sans contrainte et sans aucune dérive.
    Sur le sujet de la fin de vie – tabou s’il en est, tant cette question est empreinte en France de notre héritage chrétien – il ne faut pas agir autrement. Laisser l’individu choisir, encadrer les pratiques de la fin de vie afin de s’assurer de son consentement libre et éclairé et de se garder de tout risque de dérive.
    La dignité, c’est précisément cela. Agir selon sa conscience, sa volonté, fixer soi-même les limites de sa propre condition de femme ou d’homme et refuser d’en franchir les frontières qui font passer de la vie, belle et magique, à la survie, dramatique et douloureuse.
    Pourquoi, en France, contrairement aux Pays-Bas, à la Belgique, au Luxembourg…, pays qui nous sont si proches, des médecins, des religieux, des croyants imposeraient aux autres leurs propres opinions ? N’est-ce pas avoir foi en l’homme que de croire en son jugement et de le respecter, même si cela va à l’encontre de nos convictions personnelles ?
    En matière de fin de vie, la dignité, c’est maîtriser les conditions de sa propre fin de vie. Avoir le choix entre être prolongé dans sa thérapie car chaque jour gagné est une victoire sur la maladie ; bénéficier d’un lit dans une unité de soins palliatifs, ce qui est loin d’être le cas dans notre pays tant le manque de moyens hospitaliers est cruel, contrairement à ce qui existe dans les pays du Benelux ; bénéficier d’une aide active à mourir, qu’il s’agisse d’une euthanasie active ou d’un suicide assisté, parce que la mort est là, que le diagnostic de fin de vie a été posé, que la médecine est impuissante non seulement à guérir mais également à soulager et que le patient la demande.
    Dans notre pays démocratique, seule une loi républicaine assurera les bonnes pratiques ainsi que l’égalité entre chaque citoyen, sans considération de sa fortune personnelle qui lui permettrait de se rendre en Suisse ou de ses relations qui lui permettraient de bénéficier du coup de pouce d’un médecin plus compatissant et plus audacieux que les autres.
    Le tout dernier sondage (Ifop – octobre 2014) rappelle combien les Français sont attachés à cette ultime liberté, celle de choisir le moment et la manière d’éteindre la lumière. En effet, 96% de nos concitoyens sont favorables à la légalisation de l’euthanasie, quand les médecins y sont tout de même favorables à 60% (Ipsos – janvier 2013 pour le Conseil national de l’Ordre des médecins). Dans le même temps, 94% des Français comprennent le choix de leurs compatriotes qui s’exilent en Suisse pour y mourir dignement, puisque c’est pour 92% le signe du caractère insatisfaisant de la loi Leonetti.
    Nous pourrons débattre des heures. Nous pourrons parler d’Hippocrate et de Dieu. Du don et du Sacré. Néanmoins, aucun argument ne viendra à bout de la supériorité de la liberté et du choix sur les croyances et l’autoritarisme, voire le paternalisme. C’est aussi cela, la dignité de l’homme : décider pour lui-même et ne pas subir d’influences.
    Alors, comment assurer une fin de vie digne en France ? Ecoutez la souffrance et la demande de celui qui est dans le lit. Ne parlez pas en son nom. Epargnez-lui les tourments de la fin de vie si tel est son choix. Epargnez-lui le temps de l’agonie s’il le demande.
    La dignité du mourant est de rester un citoyen libre et responsable jusqu’au bout. Un citoyen écouté et respecté. Aux détracteurs du droit de mourir dans la dignité, je rappellerai aussi que la dignité des vivants est de respecter autrui et de ne pas lui imposer ses vues. C’est une question de principe et de droit.

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  • A 16h, place de la République pour le Droit de mourir dans la dignité !

    Ce dimanche 2 novembre, journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, venez nombreuses et nombreux pour appeler le président de la République à respecter sa proposition 21.
    Dans toutes les délégations des manifestations sont organisées.
    A Paris, nous nous rassemblerons place de la République à 16h.
    Venez nombreux réclamer notre/votre Ultime Liberté !

     

  • Reportage de France 3 Alpes sur le lancement de la Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité