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Paris Autrement - Page 181

  • Pour un Skatepark couvert éphémère à Paris

    Paris Skate Culture va présenter un projet à la mairie de Paris qui aura le nom de "SKATEPARK EPHEMERE".
    Comme la mairie n’annonce un skatepark couvert que pour la prochaine mandature (sic), Rémy Walter, président de Paris Skate Culture propose au maire de Paris de créer immédiatement un lieu éphémère couvert sur le modèle de l'usine éphémère, cet ancien hôpital du 18e, mis à la disposition d’artistes - musiciens et plasticiens - pendant 3 ans.
    L’association demande à la mairie de trouver un hangar vide - il y en a, me l’assure Rémy – et, de son côté, l’association s’engage à mettre à disposition 2 rampes - une big et une mini en spine Vertical - ainsi que des modules de street.
    L’association offre le matériel - une telle proposition arrive suffisamment rarement pour le remarquer ! -, puis il suffit à la mairie de fournir un hangar. Ainsi, en attendant un vrai skatepark couvert, les jeunes et moins jeunes skaters pouront enfin rouler à couvert, ne plus subir la répression et aussi ne plus abîmer le mobilier urbain.
    Bref, tout le monde y gagnera !
    Comme Aujourd’hui, Autrement, le groupe MRC au conseil de Paris semble soutenir cette initiative.
    La balle est donc dans le cas de la mairie de Paris ! Vite, l'hiver approche...

  • Le Grand Paris avance dans les medias...

    L'idée du Grand Paris, que je défends depuis longtemps, avance aussi dans les medias. Hier, lors de l'émission de la City Radio à laquelle je participais, l'animateur a mis en avant l'intérêt du Grand Paris. Cette semaine dans Zurban dans l'article "Le bonheur est dans les près", le journaliste Julien Solonel précise: "Face à l'exiguîté du territoire [105 km², loin des 312 km² de Londres ou des 607km² de Madrid], la question délargir les limites de Paris en englobant les villes qui la touchent, évoquée depuis des années, se pose donc avec une nouvelle acuité. Et le projet de Grand Paris de l'élu UMP Jean-Luc Romero, qui propose dans un premier temps de créer une structure légère, mériterait que l'on se penche dessus." Peu à peu, le Grand Paris avance dans les medias... Encore un effort, mes chers collègues, et nous dépasserons nos réticences, parfois nos égoïsmes et souvent nos intérêts électoraux pour résoudre les problèmes des Franciliens et préparer ainsi l'avenir des futures générations.

  • Paris n’a pas soutenu financièrement le lancement de la nouvelle Cinémathèque !

    Mercredi, en fin de journée, j’ai assisté à la commission de la culture au Conseil régional d’Ile-de-France. A l’ordre du jour, un certain nombre de subventions pour des manifestations et des projets cinématographiques.
    Et parmi, ces demandes, celle de la Cinémathèque pour sa soirée de réouverture et la belle exposition Renoir/Renoir.
    Autant vous le rappeler d’entrée de jeu : je suis heureux et fier que la Cinémathèque se soit installée à Bercy et ait retrouvé ce 12e arrondissement qui l’avait vu naître en 1936.
    Je soutiens avec enthousiasme cet établissement culturel et j’estime que l’Etat, comme les collectivités locales, ont une vraie responsabilité pour favoriser le développement et le rayonnement de la Cinémathèque Française.
    J’ai cependant été surpris par le montant de ce lancement, par l’absence de financement de la ville de Paris et par la régularisation rétroactive de notre subvention régionale.
    En effet, alors que l’inauguration s’est déroulée le 28 septembre dernier, que l’exposition a commencé le même jour, je suis étonné que nous ne soyons saisis que rétroactivement de cette demande par le vice-président communiste de la région. C’est une pratique détestable et peu conforme à nos principes démocratiques que de faire voter par des élus des crédits pour une manifestation qui s’est déjà déroulée !
    D’autre part, ce lancement et l’expo sont d’un coût de 1.592.000€ - soit plus de 11 millions de Francs -, ce qui me paraît excessif.
    Enfin, si la région-capitale a décidé de financer à hauteur de 150.000€ - pour 250.000€ demandés par la Cinémathèque -, la ville de Paris n’a pas participé financièrement à cet événement important, ce qui est étonnant pour une municipalité qui se dit attachée au 7e art. Malgré ma question à l’exécutif régional, je n’ai pas eu d’explication quant à cette absence de soutien parisien.
    Cela ne m’a bien sûr pas empêché, ainsi que les membres du groupe UMP, de voter cette subvention régionale, mais j’espère avoir prochainement une explication…
    En attendant, je vous conseille de visiter la Cinémathèque qui est abritée dans un magnifique immeuble conçu par Franck O. Gehry et aménagée intérieurement par l’Atelier de l’Ile.

  • Sur la City Radio, ce mercredi, à 17h30

    J'interviendrai sur la City Radio [Groupe Radio France], par téléphone, ce mercredi à 17h30, pour évoquer le Grand Paris. Je pourrais, à cette occasion, rappeller l'intérêt d'un Grand Paris qui est la cadre idéal pour régler nos problèmes de circulation, d'environnement, de pollution, de développement économique ou de logement.

  • Oublier nos égoïsmes pour bien vivre à Paris !

     
    Le Parisien Paris de mardi nous apprend que 3588 places de stationnement disparaîtront d’ici 2007 à Paris. Pour mémoire, Paris contient 169.000 places en surface dont 35.000 restent encore gratuites.
    Si je partage la volonté de limiter l’utilisation de la voiture dans la capitale et de favoriser transports en commun et circulations douces - j’ai fait sur ce blog de nombreuses propositions en ce sens - la poursuite d’une telle politique ne peut se faire sans une concertation approfondie et totale avec les cités limitrophes.
    Je sais que le Grand Paris - seule solution à bien des problèmes de la ville lumière et que je défends avec force - ne se mettra pas en place en quelques mois ! Dommage.
    Ce n’est pas une raison pour ne pas avancer : pourquoi - au-delà des accords bilatéraux signés entre Paris et quelques villes - ne pas être à l’initiative d’une réunion trimestrielle de toutes les villes de la petite couronne ? Le maire de Paris devrait tenter une consultation permanente, même si elle reste pour l’instant informelle.
    Pour la circulation, nous pourrions ainsi évoquer différentes solutions comme le péage urbain à Paris, comme cela a été fait avec succès à Londres, la création de parkings aux terminus des lignes de métro ou de RER en banlieue et bien sûr la mise en place d’une rocade de métro.
    Cette rocade que je soutiens depuis longtemps pour un Paris Autrement et qui doit être cofinancée par Paris fait désormais partie des projets que porte la RATP. D’une longueur de 42 km pour un coût global important de 6,4 milliards d’€, cette rocade éviterait l’explosion des embouteillages en banlieue.
    Pour résoudre les problèmes liés à l’augmentation de la circulation – pollution, incidence sur la santé, embouteillages, problèmes économiques – les élus parisiens et franciliens doivent définitivement oublier leurs seuls intérêts électoraux et penser à l’avenir de Paris et de notre région… et y mettre les moyens. N’oublions pas que Vienne, Madrid dépensent le double pour leurs transports en commun !
    Certes, la plupart d’entre nous auront quitté depuis bien longtemps la vie politique quand une rocade de métro en banlieue sera achevée. Mais est-ce une raison pour reporter des décisions indispensables pour circuler dans notre région dans 30 ans, indispensables pour bien vivre à Paris et en Ile-de-France en 2030 ?

  • Commerce équitable : à quoi servent les Verts à Paris ?

    J’ai rencontré en fin d’après-midi, Rémy Walter, le président de Paris Skate culture qui milite pour un skatepark couvert à Paris. Je lui ai bien sûr confirmé mon soutien et celui de Paris Autrement en adhérant à son association - bien que ne pratiquant pas le skate… je suis trop maladroit ! Nous avons convenu de nous rencontrer régulièrement et de réfléchir aux actions concrètes pour aboutir à cette construction plus que jamais indispensable au moment où de plus en plus d’usagers du skate sont verbalisés pour la simple pratique de leur passion !
    Bureau du sida, grande cause nationale 2005 où nous avons fait un point sur le lancement de la campagne de communication qui devrait bientôt être visible sur les chaînes de télé ainsi que la préparation du 1er décembre.
    Enfin, café politique d’Aujourd’hui, Autrement au Babu consacré au commerce équitable.
    Avec Philippe Lohéac, nous savons que ce sujet n’intéresse pas encore suffisamment nos concitoyens et c’est pourquoi nous avons souhaité organisé cette réunion. La foule des grands jours n’était pas là … Mais les militants présents n’ont pas regretté leur déplacement.
    En effet, nos deux intervenants - Vincent David, directeur des relations extérieures de Max Havelaar France et Jean-Marc Borello, délégué général du groupe SOS [en photo à mes côtés] qui développe des activités de commerce équitable sous la marque Alter Mundi - ont développé avec pédagogie, mais aussi passion un argumentaire fort pour nous engager en faveur du commerce équitable et du développement durable.
    Nous avons notamment évoqué la campagne « 500 villes s’engagent pour le commerce équitable » lancée en 2002 par Max Havelaar – 150 villes dont paris ont déjà signé ce manifeste. Cette opération invite les collectivités à œuvrer pour une démarche d’achats publics équitables et plus largement à informer et à sensibiliser la population au développement durable et à la lutte contre la pauvreté.
    Deux villes sont à la pointe dans ce domaine : Dunkerque et Nantes.
    C’est en effet, en 2004, que les élus de Nantes ont créé une délégation au commerce équitable. Depuis la ville a privilégié quatre filières qui sont concernées par le commerce équitable : la filière alimentaire, la filière textile et celle qui concerne les produits phytosanitaires et les produits d’entretien. D’autre part, différentes actions d’envergure de sensibilisation de la population ont été mises en œuvre. Bref, un exemple que la ville de Paris serait bien inspirée de suivre. D’autant que le nouveau Code des marchés publics a évolué et offre désormais aux collectivités locales la possibilité d’exécuter un marché public selon des considérations sociales et environnementales.
    Certes, les Verts ne sont pas avares de vœux en faveur du commerce équitable, même au conseil de Paris. Mais alors qu’ils sont aux commandes de la capitale depuis 4 ans, leur bilan est encore très maigre dans ce domaine…
    Ce n’est pas Paris qui montre le chemin du commerce équitable mais des villes de province – une fois de plus !
    Mais à quoi servent les Verts à Paris ?

  • Allez Claude un petit effort, laisse ta voiture !

    Claude Goasguen est entier. Je ne lui reprocherai pas : moi aussi, je le suis.
    Il s’est donc laissé aller sur LCI sur la politique des transports de la ville de Paris, traitant les élus Verts de « Khmers verts »… Il a plutôt raison !
    Mais, quand le candidat à la candidature UMP annonce que s’il est élu maire de Paris, il supprimera les couloirs de bus - pour info, ils ont été initiés par Jean Tibéri, Claude étant lui aussi maire-adjoint ! -, quand il qualifie le tramway des maréchaux de projet dépassé, alors que toutes les grandes villes de France - UMP notamment ! - s’y sont mises et qu’il en avait lui-même approuvé la création, en tant que membre de l’exécutif, sous la mandature de Tibéri -, il est à contre sens des desideratas des citadins et bien sûr des objectifs de développement durable.
    Certes, il a raison de stigmatiser la volonté des Verts d’imposer tout et n’importe quoi et souvent sans réelle concertation : il est inutile de faire des voies de bus de 4,5 mètres, alors que Jean Tibéri les avaient proposées à juste titre à 3,50 mètres et provocateur de mettre en place le T3 sans travail poussé avec les villes environnantes.
    Mais quant à défendre le « tout automobile » en 2005, cher Claude, on n’est quand même plus dans les années 70 !
    Parlons-en de nos modes de circulation non polluants, du vélo…ça changera à droite : c’est aussi cela le Paris Autrement que je défends avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement.
    Pour le trafic en surface à Paris, près de 65% est le fait des voitures particulières et 12% des utilitaires. Seuls 2% pour les vélos… Même Strasbourg – ville UMP – fait bien mieux que notre chère capitale, co-gérée par les Verts, avec 10% de son trafic pour les vélos !
    Justement, soyons constructifs, que faudrait-il faire pour donner une plus grande place au vélo, aux circulations douces à Paris ?
    D’abord, comme je l’ai proposé cet été, durant la pré-campagne des primaires UMP, il s’agit d’offrir 50 euros par foyer fiscal parisien achetant un vélo [Voir Amsterdam ; ADEME donne 400€ aux particuliers pour l’achat de vélos ou scooters électriques].
    Ensuite, plutôt que de gloser et de s’émerveiller, comme le fait Denis Baupin, sur l’expérience réussie par le Grand Lyon, il faut à notre tour mettre à disposition des Parisiens 8000 velo’v, ce système de vélos « intelligent » en libre service, d’autant qu’en confiant ce service à un concessionnaire privé, cela ne grèverait guère les finances de la capitale.
    Plus de vélos, cela veut forcément dire plus de places pour les garer. Actuellement, il manque 100.000 places à Paris pour les 2 roues – seules 954 ont été créées en 2004 ! Créer au moins 2.000 places de stationnement par an pour les 2 roues et permettre, chaque fois que cela est possible, d’implanter ces places face aux commissariats de police, m’apparaissent des préalables indispensables pour faciliter la vie des cyclistes parisiens et accélérer l’augmentation des déplacements par ce moyen.
    Enfin, il faudrait développer le ramassage scolaire à pied et à vélo et la ville doit impérativement impulser ce développement.
    Plutôt que de pleurer sur le passé, voilà cinq propositions réalistes pour développer – sans forcer ! – les déplacements à vélo à Paris.
    Allez, cher Claude, un petit effort, laisse ta voiture !

  • C’est parti pour la Cité nationale de l’histoire de l’immigration !

    La Cité nationale de l’histoire de l’immigration ouvrira ses portes en 2007 dans l’ancien musée des arts océaniens de la Porte dorée [ma photo].
    Le ministre de la culture et de la communication, Renaud Donnedieu de Vabres, vient de confier au cabinet d’architectes B&H l’aménagement des 8500 m² de la future cité. Les travaux coûteront 17 millions d’€.
    C’est le député européen, Jacques Toubon, qui préside la mission de préfiguration de cette nouvelle institution parisienne.
    Je me réjouis que notre 12e arrondissement, si longtemps méprisé, attire - récemment encore, la Cinémathèque a ouvert à Bercy - de plus en plus de lieux de culture et de connaissance.

  • Paris : concilier enfin patrimoine et modernité !

    De retour de l’Existrans’, où j’ai eu le plaisir de marcher aux côtés de mon ami Jack-Yves Bohbot, conseiller de Paris UMP et d’Eddie Aït, mon collègue PRG de la région, j’ai lu tous mes journaux de la semaine qui traînaient dans mon salon et notamment Libération de mercredi dernier.
    Dans les pages cultures, un article est consacré aux dernières réalisations de l’architecte Jean Nouvel : l’extension du musée Reina Sofia à Madrid et la Tour Agbar à Barcelone. Une fois de plus, c’est de ce qui se fait dans les grandes métropoles européennes dont on parle, plus des constructions faites à Paris. Il y a bien longtemps que Paris ne montre plus la voie de la modernité architecturale !
    Certes, Jean Nouvel est aussi l’architecte du futur musée du Quai Branly, voulu par le chef de l’Etat, et qui devrait être enfin terminé au printemps 2006.
    Mais, la réalisation de la tour Agbar est l’occasion, une nouvelle fois, de s’interroger sur « le mystère Paris. »
    Comment se fait-il que toutes les capitales européennes montrent une imagination architecturale sans borne, sans pour autant détruire l’âme millénaire de leurs villes et que, dans le même temps, Paname s’installe dans le rôle de ville musée, de ville du passé incapable de concilier patrimoine et modernité.
    J’ai déjà eu l’occasion de dire que pour un Paris Autrement, je proposais de réinstaurer le concours des façades, mais aussi de faire des tours esthétiques aux entrées de Paris et de haute qualité environnementale. Je persiste et je signe.
    Au conseil de Paris, cette semaine l’exécutif de gauche a failli exploser au sujet de la crise du logement.
    La réalité a la vie dure : 102.750 familles sont en attente de logements à Paris fin 2004, plus de 10.000 sans abris - il y a même 30 fonctionnaires de la ville qui vivent à la rue ! – 976 immeubles de la ville sont insalubres…
    Des solutions existent incontestablement et elles peuvent être rapidement mises en oeuvre.
    Il faut d’abord créer une prime aux propriétaires qui ont un appartement libre – 40.000 appartements vides à Paris, même 140.000 selon le DAL – et cautionner ceux qui ont des difficultés passagères ou les personnes atteintes d’ALD 30.
    D’autre part, il faut - je me répète - construire des tours. Et cela peut être rapide.
    La Tour Agbar de Jean Nouvel a été construite en… dix mois !!!!!
    Les terrains des Batignolles pourraient être rapidement libérés par de telles constructions : on y ferait du logement social, intermédiaire et aussi des bureaux : une mixité totale.
    Pour cela, il faut un peu de courage, faire tomber partiellement cette interdiction de construire des immeubles de plus de 37 mètres que les élus s’apprêtent pourtant à reconduire dans le PLU…
    Et que les conservateurs se rassurent, on ne construira pas de tours dans le vieux centre de notre ville lumière !
    Plutôt que de disserter sans fin, agissons aujourd’hui et demain construisons enfin le … Grand Paris !

  • Nuit blanche dans le 12e

    Ce soir se déroule la quatrième édition de Nuit blanche créée par Christophe Girard. Un événement incontestablement fort de l’agenda culturel de la ville de Paris mis en scène par Jean Blaise. Cette 4e édition d’un coût de 1,2 million d’€ espère même dépasser le million de participants de 2004.
    A noter cette année les différentes manifestations qui se dérouleront dans mon cher 12e arrondissement.
    D’abord l’ambiance cinéma - et même cinéma d’horreur - tout le long de la coulée verte, cette ancienne voie de chemin de fer à 15 mètres de hauteur côté bastille traversant le 12e et qui va transformer comme l’écrit Zurban, « la promenade du Viaduc des arts en boulevard du crime. » Hitchcock, Kubrick et Lynch sur ce parcours. Bref une promenade que je ne manquerais pour rien au monde cette nuit !
    Ensuite, sur l’avenue Daumesnil, les cabines téléphoniques sonneront toute la nuit. N’hésitez pas à répondre au téléphone si la cabine s’allume : un inconnu vous racontera sa vie, puis vous écoutera… Une réalisation de Grégory Chatonsky.
    Enfin, De rue et de cirque, juste à côté de chez moi, Porte dorée, sur la pelouse de Reuilly.
    N’oubliez pas la piscine de Reuilly où Mich Kill My Dog lancera ses ondes électros sur les courageux nageurs et bien sûr la toute nouvelle Cinémathèque à Bercy dont la magnifique façade de Franck O. Gehry connaîtra de multiples animations en lumière et en images… cinéma oblige.
    Je crois que cette nuit, comme beaucoup d’entre vous, je ne vais pas beaucoup dormir…

  • Romero doit mourir

    A ce vieux responsable politique parisien - rassurez-vous, son nom est inconnu ! - qui continue malgré mon retrait de la primaire à se répandre en me qualifiant d’OVNI et de microbe - allusion fine à mon virus -, je lui offre cette belle affiche que l’un d’entre vous m’a gentiment faite.
    Romero doit mourir… mais il va se battre et gagner face aux cons !

  • La cinémathèque aujourd’hui… à Bercy !

    Après une inauguration officielle lundi soir, la Cinémathèque s’ouvre au public, ce mercredi, au 51 rue de Bercy dans ce 12e arrondissement qui m’est si cher.
    Fini les quartiers chics, le cinéma retrouve ses origines populaires en revenant dans le quartier qui l’a vu naître en 1936, à un an de son soixantième anniversaire. Sûr que son génial créateur Henri Langlois en serait ravi !
    Revenir dans un quartier qui est en passe de devenir un grand lieu de culture entre Bercy, la Bibliothèque Nationale et bientôt l’Université de Paris VII à laquelle la Cinémathèque sera reliée grâce au 37e pont parisien - la passerelle Simone de Beauvoir - qui sera ouvert en juin 2006.
    La Cinémathèque se retrouve dans un bâtiment de 15.000 m² construit par Franck O. Gehry, le génial architecte du Musée Guggenheim de Bilbao, et initialement prévu pour abriter l’American Center.
    Ce bâtiment inauguré en juin 1994 - contesté par certains - montre une certaine originalité, comparé aux bâtiments plus récents et si classiques qui inondent notre capitale. Cet immeuble lumineux, bien intégré dans son environnement, possède des espaces intérieurs exceptionnels que l’Atelier de l’Ile a particulièrement mis en valeur dans cette restructuration. Avec, ceci dit, un budget conséquent, mais mérité de 33,9M€… sans compter les 23,5M€ pour acquérir cet immeuble.
    Quatre salles de cinéma, un musée du cinéma - seul bémol, car trop exigu avec ses 1100 m² - la bibliothèque du film et dès janvier 2006 un restaurant et une librairie.
    Avec une programmation de 50 séances de cinéma par semaine - deux fois plus qu’avant -, la Cinémathèque va, je l’espère, toucher un plus large public. La volonté de Claude Berri et de Serge Toubiana de faire de grands efforts en direction des enfants et des jeunes générations est essentielle.
    Il nous faudra donc être vigilant quant à ce double objectif : séduire un public large, intéresser les jeunes générations au cinéma, leur en donner même la passion.
    Avec un budget de fonctionnement conséquent - 16,1M€ -, provenant essentiellement des pouvoirs publics, nous avons le droit et le devoir d’être exigeants.
    J’appréhende donc cette « renaissance » de la Cinémathèque avec optimisme et enthousiasme.
    Avec Berri et Toubiana, nous avons incontestablement le meilleur casting pour diriger cette institution.
    A eux, de nous apporter à leur tour…cette connaissance du 7e Art, cette magie, cette part de rêve que nous attendons toutes et tous d’une grande Cinémathèque.

  • Un moment rare

    Philippe Lohéac [ma photo] m’a demandé de l’accompagner ce soir à un rendez-vous dont il ne pouvait me parler. Il ne m’a rien dit jusqu’au bout, même si en arrivant à la mairie du 1er arrondissement, j’ai compris qu’à défaut de rendez-vous secret, une surprise m’attendait !
    En effet, Philippe et Jean-François Legaret, maire du 1er ardt [ma photo], avaient voulu me faire le cadeau de réunir pour un pot amical cette équipe de campagne pour un
    Paris Autrement qui m’a tant aidé durant ces 4 mois de pré-campagne.
    Impossible de vous cacher à quel point j’étais touché par cette rencontre où presque toute l’équipe avait répondu présent.
    Merci pour ce moment rare !

  • Dimanche sur France 3 Ile-de-France Centre à 11H55

    A l’occasion des 12èmes journées du patrimoine, Paul Wermus m’a invité pour son émission Piques et Polémiques, ce dimanche 18 septembre 2005, à 11H55, sur France 3 Ile-de-France Centre. J’y débattrai avec de nombreux invités - Roland Castro, Christophe Girard, Guillaume Durand, etc… - sur le thème « Paris, ville musée; Paris, ville morte ? ». L’occasion pour moi d’y défendre les propositions que j’ai faites, avec Aujourd'hui, Autrement, pour un Paris Autrement, un Paris qui ne veut pas être une ville musée, mais une ville vivante et actuelle.
    Rappelez-vous, j’avais défendu sur ce blog l’idée de réintroduire le concours des façades et de relancer le débat tabou sur les tours sans oublier l’idée d’un Grand Paris.
    A dimanche ?

  • The winner is…

    Comme vous, j’ai appris que seuls quatre candidats allaient finalement participer à la primaire UMP pour Paris : Claude Goasguen, Pierre Lellouche, Françoise de Panafieu et Jean Tiberi.
    En ce qui me concerne – mais de peu ! – je n’ai pu maintenir ma candidature, faute du soutien de suffisamment d’élus. Les adhérents étaient par contre au rendez-vous. Dès que j’aurai reçu la liste des militants qui m’ont parrainé directement, et qui s’ajoutent à ceux que je n’ai pas envoyés en raison de mon retrait, je publierai le nombre exact de ces soutiens.
    J’ai eu l’occasion de dire, tout au long de cette pré-campagne, que le parrainage des élus empêcherait toute candidature nouvelle. J’avais malheureusement raison.
    Sans porter de jugement de valeurs sur ces 4 personnalités, comment pensons-nous renouveler l'offre politique à droite, lancer de nouvelles propositions pour les municipales à Paris, en s’appuyant exclusivement sur les mêmes qu’en 2001 ? Tous ont eu déjà l'occasion, de diverses manières, de toucher à l'action municipale avant 2001. Ils sont - involontairement - une partie de l'explication de la victoire de Bertrand Delanoë.
    Deux avantages à ce choix, - et pour sourire une seconde ! - : cela ne coûtera pas cher en photos, car ils pourront reprendre celles des dernières municipales et en plus ils auront même l’air plus jeunes !
    Trêve de plaisanterie et sans rancœur, je souhaite que ces candidats sachent proposer une équipe et un programme à même de rassembler toute la droite et le centre.
    Mais, pour convaincre, ils ne devront pas oublier que c’est à l’Est que la victoire s’obtiendra, que ce n’est pas en stigmatisant les bobos qu’on rassemblera les Parisiens et surtout que celle ou celui qui gagnera devra savoir rassembler bien au-delà des militants UMP, c’est à dire toutes les Parisiennes et tous les Parisiens.
    En ce qui me concerne, avec Aujourd’hui, Autrement, nous allons plus que jamais contribuer au débat d’idées pour un Paris Autrement.
    Soyons bons perdants, bonne chance aux nominés !

  • Vers la verbalisation du skateboard à Paris ?

    J’ai lu dans Le Parisien Paris de lundi que les skaters, outre qu’une ordonnance de…1862 leur interdit les trottoirs, viennent de se voir interdire, un nouveau lieu, pour la pratique de leur sport.
    En effet, le parvis du palais de Tokyo leur est désormais fermé au risque de 30€ d’amende s’ils outrepassent cette interdiction…
    Si cette interdiction pourrait apparaître légitime, en raison des dégradations que cette pratique fait encourir au mobilier urbain ou pour le bruit qu’elle cause, elle apparaît aujourd’hui tout à fait provocatrice.
    Comme le rappelle Rémy Walter, responsable de l’association PARIS Skate Culture : « Si nous avions un lieu pour nous retrouver par tous les temps, on n’aurait pas besoin d’aller sur le parvis du palais de Tokyo ! »
    Certes l’adjoint aux sports du maire de Paris nous dit aujourd’hui qu’il n’est pas opposé à la construction d’un skatepark couvert à Paris, mais nous le promet pour le prochain mandat de Bertrand Delanoë ! Ce n’est guère sérieux…
    En ce qui me concerne, comme je l’ai fait pendant la pré-campagne des Primaires pour un Paris Autrement, je vais continuer avec mes amis d’Aujourd’hui Autrement à maintenir la pression pour qu’on avance enfin sur ce dossier et que l’association Paris Skate culture – je vous recommande de signer sa pétition – obtienne enfin satisfaction.

  • Désolé, Je suis là et bien là !

    Certains commentaires sur ce blog, à la suite de mon retrait de la primaire UMP, m’imaginent baissant les bras et disparaissant carrément du paysage politico médiatique… désolé, ils vont être déçus.
    Certes, je me dois de reconnaître que vendredi et samedi ont été deux journées de remise ne cause. On n’arrête pas une aventure comme celle-ci, après s’être tant engagé, sans regrets et sans amertume.
    Regrets, car je crois qu’avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement, nous n’avons pas démérité dans la définition d’un Paris, Autrement. Mais nous n’abandonnerons pas…
    Amertume, car durant cette semaine des manoeuvres honteuses, des rumeurs limites ne m’ont pas épargné. Un jour, quand le temps aura passé, et que j’aurai le recul nécessaire, je vous raconterai tout cela. Vous ne serez pas déçus : tout y était les petites lâchetés, les doubles jeux, les tricheries, les insultes…
    Cette semaine, je tourne donc une page, j’achève un chapitre, pas le livre.
    Dès ce dimanche, j'ai travaillé avec Philippe Lohéac pour réagir aux déclarations scandaleuses de Philippe de Villiers et notre réaction a été publiée par l'AFP. Outre une semaine chargée qui s'ouvre à Vigneux-sur-Seine, je vais aussi avoir de nombreux enregistrements medias.
    Pour le sida, d’abord. Avant le bureau du Sida, grande cause nationale 2005, qui se déroule aujourd’hui, en fin d’après-midi, je répondrai aux questions du journal de la santé pour France 5. Mercredi soir ensuite, j’enregistrerai Courts chez Pink qui sera diffusée en décembre et vendredi, je participerai, là en direct, à une émission de la chaîne de la TNT, Direct 8, pendant plus d’une heure. Et enfin, le bureau d'Elus Locaux Contre le sida, sera suivi par ITV qui m'accompagnera toute la journée de vendredi.
    Mardi, j’enregistrerai Jules et les filles pour France 3, émission consacrée au coming out et dimanche je participerai au débat de Paul Wermus « Piques et polémiques » sur France 3 Ile-de-France-Centre sur le thème « Paris devient-elle une ville musée ? »
    Bref, pour celui qui pronostiquait sur ce blog ma disparition du paysage médiatique, désolé, je suis là et bien là…
    En attendant, bonne semaine à toutes et tous !

  • J’ai décidé de me retirer de la primaire UMP

    J’ai pris la décision de me retirer de la course aux parrainages pour l’investiture de l’UMP à l’occasion des élections municipales à Paris en 2008.

    Du fond du coeur, je remercie celles et ceux qui m’ont fait confiance, Philippe Lohéac, mon directeur de campagne, pour son dévouement et toute ma jeune équipe d’Aujourd’hui, Autrement. Je suis aussi tout particulièrement reconnaissant à Jean-François Legaret, maire du 1er ardt, pour son aide précieuse, à Cécile Renson et à Murielle Schor, élues de Paris, pour leur engagement déterminé à mes côtés.

    Enfin, je souhaite bonne chance à celles et ceux qui concourent toujours pour obtenir ces sésames qui leur permettront de participer à la primaire UMP pour Paris.

    Si la procédure mise en place par le président de l’UMP, Nicolas Sarkozy, est une excellente façon de désigner celui ou celle qui portera à Paris les couleurs de la droite républicaine, l’application qui en a été faite l’a, en partie, pervertie.

    Le parrainage des élus, dont j’ai demandé la suppression à plusieurs reprises, implique pressions, négociations et compromis, créant de dangereux rapports de force au sein de la droite parisienne et une course effrénée des candidats - parlementaires pour obtenir le maximum de parrains, bien au-delà de ce qui est nécessaire.

    Egalement, l’attitude du président de la fédération de Paris du Parti Radical, par un jeu de parrainages en blanc qu’il a gelés, a empêché la réalisation de plusieurs promesses de parrainages qui m’avaient été faites.

    A ce jour, donc, je ne dispose que de 9 signatures [7 fermes et 2 promesses] d’élus parisiens. Et je ne souhaite pas renier mes convictions et mon projet en participant à d’aventureuses tractations.

    Néanmoins, et je m’en réjouis, je dispose du soutien de militants de l’UMP, bien au-delà de la centaine nécessaire. Les nombreux parrainages en ma possession et non encore transmis à la commission de l’UMP seront rendus aux signataires pour leur permettre de faire un nouveau choix. Si ils le souhaitent.

    Durant ces derniers mois au cours desquels j’ai décliné, avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement, de nombreuses propositions pour Paris, j’ai constaté un véritable engouement et un phénomène de sympathie allant même au-delà des clivages traditionnels. Je compte bien capitaliser cette confiance.

    Avec toutes celles et tous ceux qui se reconnaissent dans le Paris Autrement que j’ai exposé et que je continuerai à développer sur mon blog (www.romero-blog.fr) et à Aujourd’hui, Autrement, nous construirons, pour mars 2008, un Paris Autrement.

  • Merci !

    Amicale soirée au Babu ce jeudi soir.
    L’équipe, dirigée par Philippe Lohéac, qui a porté cette campagne pour un Paris, Autrement était là, tout comme les élus de Paris Jean-François Legaret, Cécile Renson et Murielle Schor. Je profite aussi de ce mot matinal pour remercier particulièrement Jean-François Legaret [ma photo].
    Après l’interdiction incroyable faite aux élus et militants par le Parti Radical Paris de parrainer les candidats, j’ai perdu deux signatures d’élus et une dizaine de militants. Cette interdiction m’a laissé une élue radicale, qui a eu le courage de braver cette consigne incroyable et totalement contraire à l’esprit des primaires. On en reparlera !
    Je reviens à Jean-François Legaret, car suite à cette consigne peu démocratique, il m’a aidé à retrouver des nouveaux soutiens :
    Je suis, aujourd’hui, à 9 parrainages dont 7 sont entre mes mains et 2 promesses. MERCI ! Mais il m’en manque toujours un…
    Eu égard aux différentes manœuvres de ces derniers jours, et comme je l’ai indiqué à France 3 Ile-de-France, présent à notre réunion, j’ai décidé que si ce vendredi matin, je ne disposais pas du 10ème soutien, je m’arrêterai afin d’éviter d’entrer dans un grand marchandage… où j’y perdrai, à coup sûr, mes principes.
    En attendant, merci à Aujourd'hui, Autrement et à toutes celles et à tous ceux qui croient dans notre campagne pour un Paris Autrement.
    Et à tout à l’heure sur ce blog pour, je l’espère encore, une bonne nouvelle !

  • Retrouvez-moi ce jeudi sur France Inter et au Babu !

    Deux rendez-vous, si vous le souhaitez, ce jeudi. A 6h25, je parlerai de mon blog sur France Inter.
    A 19h30, j’achèverai, au cours d’un café politique, ma pré-campagne pour les Primaires UMP de Paris au Babu 18, bvd Montmartre dans le 9e – salle du 1er étage. Cécile Renson et Muriel Schor participeront à mes côtés à cette réunion. Vous y êtes les bienvenus.