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Paris Autrement - Page 178

  • Paris 33ème ville où l’on vit le mieux

    Le Parisien d’hier publie les résultats du palmarès de la société Mercer Consulting qui a classé les 215 plus grandes villes du monde pour la qualité de vie qu’on y trouve.
    A partir de 39 critères, notamment l’environnement politique et social, les transports, le logement, l’environnement, les villes sont donc notées puis classées.
    Force est d’admettre que le constat que je fais dans mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux » sur le fait que Paris ne montre plus le chemin se confirme. Malheureusement !
    La « Ville des villes » comme on l’appelait au Moyen-Âge se retrouve seulement en 33ème position. Loin, bien loin de la première place…et donc des trois premières villes : Zurich, Genève, - toutes deux en Suisse - et Vancouver au Canada.
    Si Paris obtient la note maximale pour les transports en commun, les services hospitaliers ou les loisirs, elle n’obtient que 5/10 pour les embouteillages - cela n’étonnera que Denis Baupin ! -, mais aussi 5 pour la pollution et le climat.
    Bref, nos plus mauvaises notes concernent l’environnement et la circulation, des domaines gérés, comme on le voit avec succès par les maires-adjoints donneurs de leçons que sont certains Verts parisiens…
    Alors à quand ce Grand Paris qui nous permettra de résoudre bien des problèmes auxquels nous sommes confrontés – circulation, pollution, logement ?

  • Les Caramels Fous, nommés aux Molière 2006

    J’ai déjà eu l’occasion d’évoquer sur ce blog la troupe parisienne des Caramels Fous.
    Cette troupe a été créée en 1982 par le talentueux Michel Heim qui écrit toutes les comédies musicales décalées qu’elle interprète.
    Composée d’une trentaine de garçons amateurs – ils ont tous une profession qui n’a rien à voir avec le monde su spectacle ! – entraînée par des professionnelles du spectacle, cette troupe joue les comédies musicales de Michel Heim qui sont le fruit d’un subtil et hilarant détournement d’oeuvres musicales allant du classique à la variété française populaire.
    Leur dernier spectacle « Les Dindes galantes », que j’ai vu avec mon ami Philippe Lohéac, est déjà la 10ème création des Caramels Fous et sera joué, de nouveau, au Théâtre Le Trianon en novembre 2006.
    Nous saurons donc lundi si cette troupe originale et militante obtiendra le Molière 2006 pour la catégorie meilleure compagnie…
    Réponse lundi 24 avril dès 20h50 sur France 2 en direct du Théâtre Mogador.
    Je croise les doigts pour eux car ils le méritent et en attendant, je vous souhaite un excellent week-end enfin … ensoleillé !

  • Enfin une chaîne de télé consacrée à Paris et portée par la capitale ?

    Madrid, Londres et New-York ont leur chaîne de télévision – la Grosse Pomme en a carrément 10 ! - et Marseille, depuis 2005, a aussi la sienne. Nombre de villes de province ont de grandes chaînes locales, notamment Lyon et Toulouse.
    Avec le développement de la TNT, et comme je le réclame dans mon dernier livre, il devient donc urgent que Paris ait ce que la moindre capitale possède : une grande chaîne avec des moyens adéquats à la hauteur de la ville des villes.
    Le CSA va bientôt attribuer des canaux pour Paris et pour l’Ile-de-France.
    Pourtant aucune de ces deux collectivités locales ne présente un projet ambitieux laissant le champ exclusivement libre pour les groupes privés.
    Pourtant, je reste convaincu que notre capitale doit présenter avec la région Ile-de-France un projet de télé citoyenne.
    Il n’est pas encore trop tard. Alors, osons !

  • Découvrez un Paris magique et le 12ème ardt grâce au blog Paris Passion

    C’est le week-end de Pâques. Si, comme moi, vous ne quittez pas Paris, cela peut-être l’occasion de visiter des coins insolites et attachants de notre belle ville.
    Vous savez à quel point je suis attaché à ce 12ème arrondissement dans lequel je vis depuis plus de deux décennies près de la Porte Dorée. Cet arrondissement n’est malheureusement pas apprécié comme il le mérite.
    Depuis quelques semaines, je surfe régulièrement sur « Paris Passion » un merveilleux blog qui montre les richesse de notre « Ville Lumière » mais aussi de notre… 12ème arrondissement.
    Cédric et Pascal, deux passionnés de Paris, comme ils se décrivent à juste titre sur leur blog ont entrepris de nous montrer les merveilles de notre « Ville des villes » telle qu’elle était qualifiée au Moyen-âge.
    Et cette semaine, pour mon plus grand plaisir, ils sont allés se balader le long de la "promenade plantée" ou "coulée verte" qui part de La Bastille jusqu’au bois de Vincennes traversant ainsi tout le 12ème arrondissement. Je vous engage vraiment à regarder les photos et lire les commentaires sur cette visite en cliquant ici. La photo qui illustre ce post fait partie du magnifique reportage de Cédric et Pascal. Le site « Paris Passion » vous donnera, j’en suis sûr, l’envie de découvrir le 12ème arrondissement et bien sûr toute notre Ville Lumière.
    Je vous l’assure – rassurez-vous, je n’ai pas d’action dans ce blog et ne connaît même pas ces deux véritables artistes – mais j’ai vraiment eu un gros coup de coeur pour ce blog qui me fait rêver sur cette ville que nous sommes si nombreux à aimer à la folie !
    Merci, chers Cédric et Pascal, pour le plaisir que vous nous procurez !
    Joyeux week-end de Pâques à toutes et tous !

  • Un skate-park éphémère à Paris

    A quelques jours du débat que j’organise avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement avec Fabien de Sans-Nicolas, je voudrai revenir sur un dossier qui concerne bien des jeunes Parisiens mais qui n’évolue pas très vite : le dossier du skate-park couvert.
    Une preuve encore qu’il est bien difficile d’entendre la jeunesse pour une réalisation qui ne demande pas de fonds importants.
    A l’image de ce skate-park éphémère que propose Rémy Walter, président de Paris Skate Culture.
    Je vous reproduis ce que j’écris à ce sujet dans mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux. »

    « Paris reste une capitale insuffisamment à l’écoute de ses jeunes. J’ai eu l’occasion de proposer, avec mon ami Jonathan Denis, président de Jeunes Autrement Paris, qu’on revoie la composition du Conseil de la jeunesse de Paris que j’évoquais précédemment en le recentrant sur les jeunes - de 13 à 21 ans et non jusqu’à 25 ans comme aujourd’hui - et en augmentant le nombre de ses membres - 200 au lieu de 105, à raison de 10 par arrondissement et sur une base paritaire.
    J’évoque en achevant ce chapitre les aspirations des jeunes, car je reste toujours étonné qu’on ait tant de mal à comprendre leurs désirs, voire leurs cultures. A chaque époque, c’est la même chose, la même incompréhension. Qui se souvient aujourd’hui des cris d’orfraie des bien pensants, dans les années 60, après le concert de La Nation où Johnny Hallyday et les Yéyés avaient réuni des dizaines de milliers de personnes ? On nous faisait presque passer Johnny pour un terrible révolutionnaire, lui qui a toujours appelé à voter Chirac plutôt qu’Arlette L. !
    Tout ceci pour en venir simplement à une nouvelle illustration de cette incompréhension : elle concerne la pratique du skate board dans la capitale.
    En effet une vieille ordonnance de 1862, qui interdit les « jeux dangereux sur la voie publique », est régulièrement opposée aux jeunes, mais aussi aux moins jeunes, qui circulent sur la voie publique en skate.
    Certes, les skates peuvent endommager le mobilier urbain. Mais dans ce cas, il faut aménager des lieux où cette activité puisse être exercée. A Paris seuls 3 skate park d’envergure modeste et quelques spots de street permettent une pratique sûre de ce sport. Insuffisant !
    Depuis longtemps, des associations réclament, avec constance, un lieu couvert pour pratiquer en toute sécurité et sans poser de problèmes leur activité. Le temps est donc venu de répondre aux vœux des milliers de personnes qui ont signé, à ce jour, la pétition lancée par l’association
    Paris Skate Culture .
    Et en attendant, la droite pourrait soutenir la simple demande de Rémy Walter, président de cette association, qui propose de lancer un skate park éphémère. La ville trouve un hangar désaffecté – il y en a quelques uns à Paris ! – et l’association
    Paris Skate Culture prêterait le matériel. Les arrondissements de droite, si la ville ne répond pas, pourraient permettre cette réalisation à même de satisfaire tant d’usagers du skate qui ont vraiment l’impression de ne pas être des citoyens comme les autres à Paris. »
    [Extrait de La Nuit des petits couteaux - Qui gagnera la bataille de Paris ? - Jean-Claude Gawsewitch Editeur - pages 161 à 163]

  • Des contre vérités qui ont un relent d’homophobie

    Dans « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? », j’ai consacré trois pages - sur 208, désolé pour ceux qui prétendent que je ne parle que de cette question ! - à la question homo à Paris dans le chapitre « Des voies nouvelles pour un Paris, Autrement ».
    J’ai décidé de livrer à ceux qui n’ont pas lu mon dernier livre ces pages qui sont une critique de la gestion de l’actuelle municipalité de gauche sur la question, mais aussi la dénonciation des fantasmes de certains élus de droite qui, sous couvert de combattre un pseudo communautarisme gay, trouvent là le moyen de lutter hypocritement contre l’homosexualité.
    En effet, sans vouloir défendre l’actuelle municipalité, l’honnêteté veut qu’on dénonce la campagne actuelle, lancée par le livre « Le marchand de sable » qui veut faire croire que les associations homosexuelles à Paris crouleraient sous les subventions et bénéficieraient sous la direction d’un maire gay d’un régime de faveur...
    Cette accusation est absurde mais laisse un goût amer.
    1,4% de subventions - 240.000€/an - pour une population qui rassemble de 10 à 15% de la population parisienne ne me paraît pas exagéré, ni préférentiel.
    A moins qu’on soit de mauvaise foi.
    Ces contre vérités ont un relent d’homophobie…

    « Enfin, un Grand Centre gay et lesbien à Paris !

    Dès qu’on parle des gays, dans le milieu politique parisien, tout devient irrationnel dans cette ville. Un journal satirique sur Internet « Le perroquet libéré » dénonce les erreurs de gestion prêtées ou supposées à Bertrand Delanoë. Mais l’essentiel de ces indignations est consacré aux actions qui sont menées à direction des homosexuels.
    Etonnant cette obsession des rédacteurs de cette lettre : ils voient des dérives communautaires permanentes et des homos partout. Il faudrait d’ailleurs demander à un psy ce qui justifie une telle obsession. Je dirai même un délire obsessionnel.
    Rien n’échappe aux coups de bec du perroquet, qui pour être juste, découvre parfois quelques petites perles. Mais bon, de là à critiquer dès que le mot gay ou lesbienne est prononcé, il y a une marge qu’ils franchissent allègrement ! Ainsi le 21 octobre 2005, évoquant les souris qui prolifèrent dans le 3ème arrondissement, ils n’hésitèrent pas à conclure : « Qui aurait cru qu’on manquerait de tapettes dans le Marais ? » Pas fin le Perroquet !
    Car ce bon François Devoucoux du Buysson, responsable de cette lettre satirique, sait parfaitement qu’à Paris, il y a de 10 à 15% d’homosexuels qui n’ont pas toujours été à la fête dans notre bonne ville. J’en ai même parlé avec lui en juillet 2005 dans un bistrot en face de la région : il a dû oublier !
    Sous les précédents mandats, aucune association homosexuelle ne bénéficiait de subventions alors que certaines jouent incontestablement un rôle important et que notre capitale a la communauté gay la plus touchée par le sida de toute l’Union Européenne. N’oublions pas qu’un gay sur 5 à Paris est contaminé par le VIH/sida ! Sans compter le travail que font certaines associations pour limiter le suicide qui concerne les adolescents homosexuels ou la lutte contre les discriminations.
    En 2004, 3.149 associations étaient subventionnées par la mairie de Paris à hauteur de près de 174 millions d’euros. Et parmi ces associations, seules dix-sept associations homosexuelles sur les centaines que compte notre ville bénéficiaient d’une aide publique ! On est donc très loin des abus dénoncés par Le Perroquet ou par certains élus de droite qui voient rouge dès que le mot homo se retrouve dans une délibération.
    Certes, un terrible précédent qu’a dénoncé, là à juste titre, François Devoucoux du Buysson , a plombé beaucoup d’initiatives en faveur des associations gays ou lesbiennes. En septembre 2002, le Conseil de Paris a voté une subvention de 100.000€ pour la préfiguration d’un Centre d’archives homosexuelles. Ce CADHP a une utilité qui est évidente.
    A l’époque j’ai donc pris ma plus belle plume pour demander aux conseillers de Paris de droite de voter pour cette subvention. Philippe Séguin, alors président du groupe RPR au conseil, m’assura du vote de son groupe. Effectivement, l’immense majorité du Conseil de Paris adopta cette subvention et, ce faisant, la création du CADHP. Quelle déconvenue de constater que quelques années plus tard personne ne sait réellement ce qu’est devenue cette initiative et que ces 100.000€ se sont presque envolés en fumée ???
    Mais est-ce parce qu’un projet n’a pas abouti et que les deniers publics ont ainsi été mal engagés que les centaines d’associations homosexuelle de Paris doivent être punies ? Sanctionne-t-on un club sportif qui demande des subsides municipaux au motif qu’un autre club a dilapidé une précédente subvention ?
    Il faudra, en 2008, que la droite reconnaisse enfin qu’une association homosexuelle a autant de droit à bénéficier de fonds public si elle a une utilité pour la ville, que les autres associations. Ce qui est le cas du CGL.
    Justement, en ce début d’année 2006, Paris ne dispose toujours pas d’un grand Centre Gay et Lesbien comme les grandes capitales du monde. Un CGL digne de Paris va, nous promet-on, ouvrir dans un immeuble de 240 m² à proximité du centre Pompidou au cours de ce premier semestre, mais que de temps perdu depuis 2001 !
    J’espère, chers amis de droite, que vous ne vous opposerez pas à ce projet que soutiennent d’ores et déjà les exécutifs de la mairie de Paris et de la région Ile-de-France ! Il en va de l’honneur d’une droite ouverte, tolérante. Bref, une droite qui vit enfin avec son temps ! »
    [extrait de La nuit des petits coteaux – qui gagnera la bataille de Paris ? Editions Jean-Claude Gawsewitch pages 163 à 166]

  • Dîner de Paris, Autrement le 17 mars

    La fédération de Paris d’Aujourd’hui, Autrement organise un nouveau dîner au Gai Moulin - 4, rue Saint Merri 75004 Paris - chez notre ami Christophe ce vendredi 17 mars à 20h30.
    Je serai bien sûr présent à cette soirée où il vous est encore possible de vous inscrire. Vous pouvez le faire en ligne sur le site d’Aujourd’hui, Autrement ou en en envoyant un e-mail à notre amie Anne-Marie-Engler.
    Le prix de cette soirée est de 27€ tout compris (Gnocchis au basilic, suprême de volaille aux cèpes, nougat glacé, kir et Merlot à volonté).
    Cette soirée est ouverte à toutes et à tous, adhérents ou non !
    Je serais heureux de vous voir vendredi soir…

     

  • Jean-François Legaret répond à Fred

    Frédéric Latour, président des Jeunes Autrement continue ses interviews d’élus et de responsables politiques parisiens. Cette semaine, il publie l’entretien qu’il a réalisé avec notre ami Jean-François Legaret, maire du 1er arrondissement.
    Je vous reproduis la partie de l’interview qui concerne la campagne des pré primaires pour laquelle Jean-François m’avait particulièrement soutenu ainsi que la question concernant les blogs à laquelle il répond.
    Encore bravo cher Fred !

    Frédéric Latour : Tu nous as beaucoup aidé pendant la pré campagne des Primaires. Tu sais que Jean-Luc t'en ai bien sûr reconnaissant. Il a un rôle énorme à jouer dans cette campagne. Comment le vois tu évoluer dans l'optique des municipales parisiennes ?
    Jean-François Legaret : Je suis totalement convaincu qu'on a besoin de lui. Moi ce qui m'a frappé si tu veux, c'est que j'ai lu son bouquin qui est un peu coupé en deux. La 1ère partie, c'est le récit de ses mésaventures et de ses déboires dans le cadre des primaires. C'est un récit qui m'a frappé par son objectivité et il y cite les rencontres que nous avons pu échanger. C'est d'une exactitude très frappante et avec un vrai souci d'objectivité. Je peux le dire d'autant plus que j'en ai été témoin. La 2ème partie est une partie très différente dans laquelle il fait état de ses nombreuses propositions. Preuve qu'il a vraiment bossé dans le cadre de ses primaires. Je trouve qu'il y a beaucoup d'idées novatrices et intelligentes. Jean-Luc fait partie d'une génération d'élu(e)s qui a envie de s'inscrire dans une vision d'avenir. Il a un vrai rôle à jouer lors de ses municipales aux côtés de Françoise.

    Frédéric Latour : Le Blog est un support de communication intéressant et un vrai espace d'expression et de liberté. Penses-tu en ouvrir un ?
    Jean-François Legaret : J'ai l'intention de le faire. Ce qui est important c'est de le faire fonctionner. Jean-Luc me racontait qu'il passe beaucoup de temps sur son blog. Donc ça veut dire qu'il faut vraiment s'impliquer, j'ai pas encore sauté le pas, j'aurais déjà du le faire, mais c'est pour bientôt. Ce qui est important c'est d'avoir une déontologie très stricte vis à vis de son blog. Si un élu arrête de s'occuper de son blog et fait s'occuper ça par d'autres, ça se voit immédiatement. Tu sais, il faut avoir un engagement moral sur son blog.

  • Merci à La Nuit des Follivores !

    Les noctambules parisiens connaissent bien la Nuit des Follivores.
    Un rendez-vous incontournable !
    Une fois par mois, le Bataclan, grande salle de spectacle parisienne, est investi pour une soirée « chansons françaises ». Des centaines de jeunes viennent se trémousser sur les standards de Sheila, Dalida, Sylvie Vartan et bien d’autres. Et depuis des années cette soirée décalée est un must à Paris. A tel point qu’il existe maintenant des tournées des Follivores dans les discothèques de province.
    Ce soir a donc lieu la Nuit des Follivores spécial Cloclo.
    A cette occasion, je veux remercier les organisateurs, notamment Jack, d’avoir consacré
    mon livre « la Nuit des petits couteaux », chouchou du mois. J’ai découvert cette délicate attention sur les flyers de la soirée…
    Belle fête ce soir et Merci à La Nuit des Follivores pour l’honneur que vous me faîtes !

  • Un grand PSG pour un Grand Paris ?

    Les derniers événements concernant le PSG m’ont désolé comme beaucoup d’entre vous. Le match pathétique contre les remplaçants de l’OM a attristé tous ceux qui, comme moi, estiment qu’une capitale doit avoir un grand club de football.
    Dans mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux », j’ai pourtant longuement évoqué l’intérêt qu’il y aurait pour le PSG de multiplier les contacts avec les jeunes Parisiens. Malheureusement, je crains que si cela continue, plus un jeune de notre belle ville ne s’identifie à ce club qui nous a pourtant si souvent fait rêver par le passé. Mais le pire n’étant jamais sûr, rêvons encore.
    Justement rêvons à un grand stade pour un grand club !
    Le Parisien d’hier évoque la nouvelle rumeur qui enfle dans le milieu du football.
    Le PSG pourrait quitter le parc des Princes pour rejoindre le plus prestigieux de nos stades : le Stade de France.
    Certains s’y opposent au prétexte que ce stade n’est pas dans l’enceinte de notre ville, mais à l’extérieur du périphérique qui nous sépare de la banlieue tel un nouveau mur de Berlin. J’ai défendu, à plusieurs reprises le Grand Paris, et j’y consacre tout un chapitre de mon nouveau livre. Mettre le PSG en résidence au Stade de France, outre de lui donner un stade de prestige, montrerait que le Grand Paris se construit peu à peu.
    Alors pour un Grand PSG et pour un Grand Paris, si on osait ?

  • « La Nuit des petits couteaux », un mois après

    Déjà un mois qu’est sorti mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Le 9 février, je fêtais avec beaucoup d’entre vous cette sortie au Banana. Un excellent souvenir. Vraiment !
    A ce jour, les réactions au livre ont été nombreuses et souvent très encourageantes et je remercie toutes celles et ceux qui m’ont envoyé des mots ou des e-mails. De nombreux médias ont aussi parlé de ce livre et je vous reproduis la liste des critiques ou paroles de journalistes que j’ai pu collecter. Cette liste n’est pas exhaustive.
    Un seul regret pour l’instant - mais la vie de ce livre n’est pas terminée ! -, beaucoup de journalistes n’ont commenté que la première partie de mon ouvrage, celle consacrée à la primaire UMP et à certains mauvais coups…
    Incontestablement, ce livre – et celles et ceux qui m’ont envoyé des mots d’encouragements l’ont remarqué - est bien plus.
    D’ailleurs, il reste d’une brûlante actualité parce qu’il présente les acteurs majeurs de la prochaine élection municipale à Paris - en septembre 2007 ou en mars 2008 ? - mais aussi parce que ce livre dévoile mes propositions pour gérer Paris autrement, pour trouver des voies nouvelles et donne mes solutions pour créer un Grand Paris. Vous pouvez bien sûr ne pas être d’accord avec ces propositions, mais elles permettent de lancer un débat, je le crois, indispensable pour renouveler nos idées à Paris et attirer celles et ceux qu’une partie de la droite a trop méprisés ces dernières années. Ces électeurs le lui ont d’ailleurs bien rendu en 2001. Alors ne commettons plus les mêmes erreurs.
    C’est tout le sens de mon livre. N’en déplaise aux grincheux !
    Bonne lecture…

    Propos de journalistes sur…
    « La nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Jean-Claude Gawsewitch éditeur – février 2006

    « Même Jean-Luc Romero y va de sa plume avec une insolente Nuit des petits couteaux ».
    Le Parisien – Martine Chevalet – 23 janvier 2006
    « Jean-Luc Romero n’a pas été qualifié pour les primaires. A une voix près. Dans son pamphlet « la Nuit des petits couteaux », à paraître le 9 février, il balance ».
    Obs Paris – Guillaume Malaurie – 2 au 8 février 2006
    « Jean-Luc Romero – qui tenta un moment de participer aux primaires UMP – sort jeudi la nuit des petits couteaux. […] Il propose d’expérimenter le péage urbain à Paris durant un an, de faire élire directement le maire par les Parisiens ou de créer un pool d’assistantes maternelles ouvert 24 heures sur 24 ».
    Journal du dimanche – 5 février 2006
    « Les quatre vérités de Jean-Luc Romero. […] Dans la Nuit des petits couteaux, le président d’Elus Locaux contre le Sida dresse avec ironie, mais sans amertume, ces quelques mois où il a cru pouvoir jouer dans la cour des grands pour tenter sa chance aux primaires de l’UMP… [Il] propose en fin d’ouvrage sa réflexion sur le péage urbain ou sur les immeubles de grande hauteur et surtout sur tous les domaines où la droite reste en retrait : toxicomanie, homosexualité, parité… »
    Le Parisien – Sébastien Ramnoux – 6 février 2006
    « Ravaillac inspire Romero. Jean-Luc Romero a choisi le Banana, un bar branché du 1er arrondissement pour présenter son livre consacré aux municipales parisiennes la Nuit des petits couteaux. Un lieu chargé de symboles pour le conseiller régional : C’est dans cette cave que Ravaillac, après avoir tué Henri IV s’est réfugié avec son … petit couteau. »
    Le Parisien – 7 février 2006
    « A l’occasion de la sortie de son ouvrage, La Nuit des petits couteaux, Jean-Luc Romero donne son point de vue sur les primaires de l’UMP et apporte son soutien à Françoise de Panafieu, maire UMP du 17e. »
    Métro - Aurélie Sarrot – 9 février 2006
    « [Son] livre situe les enjeux de la prochaine élection municipale à Paris en 2008… Plutôt acides [les] portraits des candidats de la droite… »
    Le Républicain Magazine – Stéphane Piraud – 9 février 2006
    « Dans [son] livre, [il] dresse des portraits au karsher des quatre candidats aux primaires UMP. »
    Radio BFM – Hedwige Chevrillon – 9 février 2006
    « Les lettres de Romero. Jean-Luc Romero sort cette semaine son nouveau livre La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ?.
    Tirés de celui-ci, trois extraits de lettres croustillants, pour dire les enjeux de l’élection… Capitale ! »
    Echo d’Ile-de-France – Samy Abtroun – 3 au 9 février 2006
    « Dans [son] livre, il expose un certain nombre de propositions… S’agit-il de propositions ou d’un programme ? »
    Equivok – 4 au 17 février 2006
    « Jean-Luc Romero écrit librement à chaque candidat ce qu’il pense de lui et finit par prendre position pour Françoise de Panafieu, qui est aussi la favorite des sondages. Si elle est élue, elle devrait puiser quelques idées dans le catalogue très riche que propose Jean-Luc Romero… »
    La lettre politique et parlementaire – 13 février 2006
    « La queue qui s’était formée devant le Banana avait de quoi laisser perplexe pour un jeudi soir en période de vacances scolaires […] Le secret de cette foule hétéroclite ? Le lancement du nouveau livre de Jean-Luc Romero, la Nuit des petits couteaux, qui compte peser dans la bataille électorale pour enlever Paris à Delanoë. »
    Zurban – Alain Tap – 15 au 21 février 2006
    « Le 25 février 2006, les militants de l’UMP de Paris désigneront le candidat aux élections municipales de 2008. Jean-Luc Romero, ancien secrétaire national de l’UMP et conseiller régional d’Ile-de-France, premier élu au monde à avoir révélé sa séropositivité ne participe pas à la primaire. Dans La Nuit des petits couteaux, il s’en explique et fait le pari d’une autre droite… »
    France Info, Le livre du jour – Philippe Vallet – 17 févier 2006
    « La Nuit des petits couteaux, c’est la manière dont Jean-Luc Romero parle des primaires de l’UMP pour les candidats à la candidature pour combattre Bertrand Delanoë. »
    LCI, Le grand journal – Michel Field – 17 février 2006
    « Ce sont des méthodes héritées des années passées, dénonce Jean-Luc Romero, conseiller régional UMP [dans la Nuit des petits couteaux]. Fausses adhésions, utilisations de moyens illégaux et de fichiers, coups bas, pressions, manipulations, insultes, chantages… »
    Libération – Thomas Lebègue – 20 février 2006
    « Jean-Luc Romero a choisi la tradition festive du Banana Café, bar branché du 1er arrondissement de la capitale, pour présenter son livre, la Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ?, consacré aux municipales parisiennes. »
    Ici Paris – Catherine Monbreault – 21 au 27 février 2006
    « La Nuit des petits couteaux, c’est règlement à OK Corral. »
    TVFil 78 – Marc Nino – 22 février 2006
    « La Nuit des petits couteaux, en deux mots, c’est jeux de pouvoir et trahisons dans les coulisses de l’investiture UMP pour les prochaines municipales à Paris. C’est vrai qu’il faut avoir un poignard sur soi pour attaquer l’UMP. »
    Pink TV, Le Set – Marie Laborie – 22 février 2006
    « Un UMP atypique vient de sortir un livre La Nuit des petits couteaux. J’aime beaucoup le titre… [Il] a la dent très dure… Il y a beaucoup d’idées dans [son] livre. »
    BFM TV, le Grand Journal – Guillaume Vanhems – 26 février 2006
    « Face aux semelles compensées pour Jean-Luc Romero, c’est la nuit des petits courtauds. »
    Voici – Basile de Koch – 27 février au 5 mars 2006
    « Un regard féroce et mordant… Un livre savoureux qui vous éclaire… Des portraits sans complaisance… Il n’a pas trempé sa plume dans la verveine »
    France Bleu Ile-de-France – Olivier Daudé – 27 février 2006
    « Engagement. Il y fait de nombreuses propositions comme le Grand Paris. »
    Honcho – mars-avril 2006
    « C’est un livre qui mérite d’être lu car on y apprend beaucoup de choses. C’est un livre très bien écrit… La fin du livre est très ouverte. »
    Radio Triangle FM, Zigomatik – Jean-Luc Frydman – 1er mars 2006
    « Un livre où on y apprend qui sont les petits couteaux… »
    Direct 8, Face à Alain Minc – Guillaume Klossa - 5 mars 2006

  • Ce soir à 19h00, « Face à » Sur Direct 8

    Ce dimanche 5 mars 2006, je suis l’un des invités de l’émission « Face à » de 19 à 20 heures sur la chaîne de la TNT Direct 8.
    Avec d’autres invités, nous commenterons particulièrement trois sujets de l’actualité de la semaine. Le débat, animé par Guillaume Klossa, traitera du patriotisme économique, des primaires à Paris et de la chute du Premier ministre dans les sondages.
    Bon dimanche !

  • Visionner mon interview sur BFM TV

    Pour celles et ceux qui n’ont pas accès au câble ou au satellite, cliquez sur ce lien qui vous permettra de voir mon interview à BFM TV de dimanche dernier.
    Guillaume Vanhems m’avait interrogé sur mon dernier livre et sur les primaires à Paris. Je vais finir par maîtriser totalement Internet…

  • Ce soir sur Triangle FM à minuit

    Vous pourrez me retrouver ce mercredi soir, de minuit à deux heures du matin, sur Triangle FM qui émet sur 98.4 sur l’Ile-de-France hors Paris. L’émission sera ensuite sur le site Internet d’Homofesty durant une semaine.
    Je participerai, en compagnie de mon collègue à la région Eddie Aït, à l’émission Zigomatik de l’association Homofesty présidée par mon ami Jérôme André. Cette émission de deux heures, enregistrée la semaine dernière, me permet de parler longuement de mon nouveau livre, mais aussi des élections municipales à Paris, du Paris Autrement dont je rêve et bien sûr de la lutte contre le sida.
    Vous pouvez aussi consulter l’interview que j’ai donnée la semaine dernière à la chaîne TVFil 78 en cliquant sur ce lien. (Attention, le chargement prend plusieurs minutes)

  • Gagner les primaires n’est pas gagner les élections municipales

    Ce matin, j’ai adressé mes affectueuses félicitations à Françoise de Panafieu, qui a gagné la primaire UMP organisée à Paris suite à l’abandon de Claude Goasguen. J’avais, dès samedi suggéré à Claude de se retirer car il ne pouvait pas gagner et pour éviter cette « Nuit des petits couteaux » qui a parfois régné durant cette primaire et que j’ai décrite dans mon dernier livre. Ce geste honore donc le président du groupe UMP qui a préféré l’unité à un combat perdu d’avance, mais où tout le monde avait beaucoup à y perdre. Bravo cher Claude !
    Maintenant le plus dur commence : convaincre les Parisiennes et les Parisiens que la Droite, à Paris, a changé. Car, ne soyons pas dupes – et Françoise ne l’est pas ! - gagner les primaires n’est pas gagner les élections municipales. C’est là une bien plus difficile affaire !
    Françoise va devoir rassembler, dès aujourd’hui, toutes celles et tous ceux qui veulent pour Paris une politique de rupture, respectueuse de toutes les différences, sans sectarisme idéologique mais avec pragmatisme.
    Durant les deux années qui viennent, Françoise, si elle veut réussir son Paris Gagnant, devra construire un projet alternatif qui tiendra compte de la sociologie actuelle de la capitale et répondre aux nouvelles attentes des Parisiennes et des Parisiens. Elle devra prendre en compte les aspirations de liberté et de tolérance des Parisiennes et des Parisiens, penser le développement de la capitale au-delà de ses 20 arrondissements et comprendre que le cœur de Paris s’est déplacé à l’Est.
    Je pense plus que jamais, qu’un Paris Autrement peut émerger à la condition que Françoise réussisse à rassembler toutes les Parisiennes et tous les Parisiens sans exclusive, sans stigmatiser les bobos, les jeunes et les homos comme certains continuent à le faire.
    Un sacré challenge…

  • Un blog citoyen et engagé pour un Paris, Autrement

    Frédéric Latour, président des Jeunes Autrement donne la parole aux acteurs de la vie politique parisienne sur son blog.
    Après Françoise de Panafieu et Xavier Chinaud, il vient de mettre en ligne une interview qu’il m’a soumise dimanche soir. Vous pouvez la lire en cliquant ici.
    Merci à Fred pour ses engagements et la force de ses convictions pour ce Paris Autrement auquel nous aspirons tous les deux…

  • Sur France bleu Ile-de-France [107.1] lundi à 17h00.

    Je ne pourrai pas dire que les medias ne s’intéressent pas à mon nouveau livre ni à mes propositions et à celles de mes amis d’Aujourd’hui, Autrement pour justement un Paris… Autrement. Même Ici Paris de cette semaine présente la soirée de lancement au Banana de « la Nuit des petits couteaux » dans son édition de cette semaine !!!
    Ce lundi, je suis l’invité de la nouvelle station de Radio France, lancée le 2 janvier dernier, France Bleu Ile-de-France en FM sur 107.1 de 17 à 17h45. Après BFM TV, je pourrai aussi commenter les résultats du premier tour de la primaire UMP pour les municipales de 2008.
    J’en profite aussi pour vous recommander chaudement la lecture du dossier spécial de l’ Express titré « Où vit-on le mieux à Paris ? Arrondissement par arrondissement. »
    Tout y est passé en revue : transports en commun, population – nous sommes aujourd’hui 2.125.246 Parisiens dont 136.591 dans le 12ème qui a aussi gagné de la population -, commerces, crèches, lycées, sécurité…
    Chaque arrondissement est décrypté. Tout y passe.
    Le 12ème arrondissement, qui m’est si cher, est présenté comme « le poumon vert de la capitale. » Cet arrondissement est le 1er de tous les arrondissements pour l’offre de sports et même le 3ème pour la solidarité, alors qu’il se situe à la 13ème place du classement pour la richesse de ses habitants.
    Il est par contre mal placé pour les transports en commun, les lycées ou la culture où il n’est que le 11ème arrondissement…
    Un dossier riche en enseignements et utile pour mieux répondre aux attentes des Parisiens, notamment ceux du 12ème.

  • Primaires : éviter les alliances et combines du passé

    Les résultats sont tombés samedi soir. Sans surprises…
    Françoise de Panafieu est largement en tête avec 40,69 % suivie de très loin par Claude Goasguen ( 23,43 %), puis Pierre Lellouche qui fait un score honorable ( 18,95 %) et enfin Jean Tibéri avec 16,98 %.
    Le score sans appel de la maire du 17ème devrait la conduire à gagner cette primaire. Ceci est conforme au souhait des militants et des électeurs.
    Seule des alliances contre nature et des combines du passé pourraient conduire à une défaite de Françoise.
    C’est pourquoi eu égard à ses presque 20 points d’avance et pour éviter toutes alliances étonnantes, Claude Goasguen s’honorerait à refuser ce second tour logiquement perdu d’avance pour lui.
    Il montrerait ainsi qu’il n’a comme seule préoccupation que de faire gagner son camp.
    La balle est entre ses mains…

  • Invité sur BFM TV, ce dimanche à 19h15

    Ce dimanche soir, vers 19h15, je suis l’invité du journal de Guillaume Vanhens sur la chaîne d’informations de la TNT, BFM TV.
    A cette occasion, je réagirai aux résultats du 1er tour de la primaire de l’UMP pour les élections municipales de Paris de mars 2008. J’aurai, bien sûr, l’occasion de parler de mon livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Ensuite, je retrouverai chez moi mon amie Marie Humbert avec laquelle je passerai, comme à chaque fois, une belle soirée de partage et d’amitié.
    Bon dimanche !

  • Panafieu, le bon choix aujourd’hui

    Vous savez le choix que je fais ce samedi pour le premier tour de la primaire de l’UMP Paris. Je l’ai écrit sur ce blog comme dans mon livre « La Nuit des petits couteaux ».
    Si je choisis Françoise de Panafieu pour cette primaire, c’est d’abord le choix du coeur. Puis celui de la raison !
    Par contre, Aujourd’hui, Autrement attendra les prochaines élections présidentielles et législatives pour se positionner à Paris. Les cartes risquent d’être redistribuées après ces échéances capitales.
    Nos critères de choix se feront d’abord sur le programme : ce Paris, Autrement que j’ai défini dans mon livre est pour nous un préalable à toute victoire. Mais la droite est-elle prête à le comprendre ? Aujourd’hui, certainement pas ! Heureusement, il lui reste deux ans... Mais en aura-t-elle la volonté et l’ambition ? A moins de lire dans une boule de cristal, impossible à prédire aujourd’hui !
    En attendant, il s’agit ce samedi de choisir le meilleur candidat de l’UMP.
    Je ne redirai pas pourquoi je ne choisis pas les 3 autres prétendants même si j’ai une vraie estime pour Pierre Lellouche. Je l’ai exprimé dans les lettres que j’ai publiées sur mon blog et plus longuement dans mon livre.
    Françoise de Panafieu n’a pas encore gagné la partie. Mais si elle ouvre son cœur aux habitants de l’Est parisien comme elle l’a fait pour son cher 17ème, alors tout sera possible.
    En attendant, Panafieu, c’est le bon choix aujourd’hui !