Touchant « Couché à côté de Barbe-Bleue » de Dominique Dollé !
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Depuis ce décès de ma moitié d'orange, j'ai décidé de continuer tous mes combats, mais aussi de mieux profiter du moment présent.
Cela veut donc dire plus de pauses. c'est ce que je fais à partir d'aujourd'hui !
Une nouvelle fois avec Les Bodin's j’ai passé un moment merveilleux. C’est drôle et touchant.
Merci à Vincent Dubois et Jean-Christian Fraiscinet pour leur talent et leur humour pas du tout politiquement correct ! Ça fait du bien.
Et bravo au producteur Coco et à son humanité.
« Les derniers jours de la vie » : très émouvant spectacle de Christophe Guichet et de la compagnie Gaby Théâtre au 100 Charenton à Paris 12 !
Des sujets très lourds traités avec légèreté et humour. Une déambulation théâtrale exceptionnelle !
Un must... Vraiment !
Je comprends enfin pourquoi j'aime tant Pattaya ... :)
En ouvrant ce livre que m’a gentiment envoyé et dédicacé la journaliste Michèle Fitoussi, j’avoue que je n’avais jamais entendu parler de la journaliste américaine Janet Flanner.
Pourtant comme le rappelle l’auteure, elle fut avant-gardiste et inspira bien d’autres de ses collègues. Le fait d’être une femme l’a peut-être privée de cette notoriété qui aurait dû être la sienne. Mais avec ce livre Michèle Fitoussi lui rend justice. Et, avec talent.
La biographie de cette journaliste féministe, qui a traversé un siècle d’histoire et a sûrement été celle qui a fait du célèbre journal américain le New Yorker ce qu’il est aujourd’hui, est saisissante.
Cette femme qui consacra sa vie à l’écriture et au reportage fut aussi une amoureuse passionnée mais incapable de choisir entre les trois femmes de sa vie.
Je vous conseille vivement ce livre passionnant, inspirant et éclairant !
Ce matin, je pars pour un long repos non seulement pour la convalescence suite à ma chute mais aussi pour recharger les batteries après une année horrible.
Passez de belles fêtes ! Et, on garde le contact sur les réseaux sociaux !
Avec Valérie Trierweiler, j'rai voir mon amie Sheila qui chante dans la prestigieuse salle Pleyel à Paris. A coup sûr, un grand moment d'émotion...
Malgré le drame, que nous vivons avec la disparition de Chris, je n'ai pas voulu changer mes habitudes. Tous les ans, à Noël, je pars quelques jours avec ma jeune mère de désormais... 88 ans.
Cette année, je l'emmène à Nice, mais nous rentrons pour le réveillon de Noël que nous fêterons à Béthune, comme Chris le voulait...
N'oubliez pas de profiter des vôtres, tout est si éphémère...
24 heures dans ma ville de naissance. Un retour aux sources toujours salutaire en plein rentrée. Prolonger encore quelques heures l'atmosphère estivale !
Bon week-end à toutes et à tous !
Évidemment, quand Disney produit une comédie musicale, c’est toujours très professionnel. Parfois trop même.
Il y a quelques temps, j’allais donc voir Aladdin à Londres avec cette petite inquiétude mais aussi celle d’assister à un spectacle pour enfants.
En fait, cette comédie musicale est vraiment un spectacle pour tous.
Bien sûr, les enfants se régaleront de ce spectacle coloré, vivant, de ce conte de fées. Mais les adultes ne seront pas en reste.
Les décors sont exceptionnels, les effets spéciaux à la hauteur du défi – le tapis volant est exceptionnel – et bien sûr les artistes sont incroyables. Quel talent !
Cela finira bien par être joué à Paris, mais, en attendant, si vous passez à Londres ou à New York, n’hésitez pas à y aller.
Un bon moment assuré. Et soyez-en sûr, la magie opère !
J’ai lu d’une seul traite le livre de Serge Marquis « Le jour où je me suis aimé pour de vrai ». Les vacances se prêtent à ce style de roman bien écrit mais qui a aussi du sens. Qui fait réfléchir…
L’auteur raconte l’histoire d’une mère autocentrée déstabilisée par un fils sensible et très mature qui va la confronter à son propre narcissisme et au manque de sens de sa vie.Grâce au roman, le docteur Serge Marquis, qui avait aussi commis « On est foutu, on pense trop ! », nous interroge sur nos propres existences.
Ne nous regardons nous pas le nombril plutôt que de vivre le temps présent ? Ne courrons-nous pas toujours vers plus d’argent, d’honneurs et de biens matériels ?
Ce roman bien écrit nous oblige à réfléchir à ces questions sans jamais nous ennuyer.
Un livre pour réfléchir sur notre égo !
L’écrivain à succès Bernard Werber est un homme à part dans la littérature française. Ses livres sont toujours basés sur une forte connaissance scientifique incontestable. C’est le cas de peu de nos auteurs hexagonaux.
Hormis Les fourmis, il y a bien longtemps, je n’avais lu aucun autre roman de cet auteur. Vu le deuil impossible que je vis, je me suis demandé au début de la lecture de « Les Thanatonautes », si ce n’était pas un choix un peu maso. En fait, pas du tout !
Ce roman raconte la recherche du continent de morts par des chercheurs qui veulent relever l’éternel défi de la mort et découvrir le continent des morts comme d’autres ont, en leur temps, découvert l’Amérique, l’Australie ou l’espace...
Il faut reconnaître que ce roman est très documenté. On y apprend beaucoup de choses sur les religions et notamment sur bien de leurs similitudes. Beaucoup de références à des auteurs ou des textes sacrés y sont présentes mais elles n’alourdissent pas la lecture. Au contraire, elles lui donnent une crédibilité étonnante.
Ce voyage dans le continent de l’au-delà est d’ailleurs si intriguant qu’on en vient à se demander si l’auteur a vraiment tout inventé.
La vie serait, selon ce livre, une simple formalité que l’on mène parfois des centaines de fois pour arriver à la sagesse, comme l’assure aussi les bouddhistes.
Le voyage dans ce monde inconnu, qui effraie tant d’entre nous, a aussi finalement un côté très rassurant : et si c’était vrai ?
En ce 15 août beaucoup de joies à celles et ceux qui peuvent en profiter.
Merci bien sûr à celles et à ceux qui bossent pour nous permettre de passer de très beaux moments.
Et comme toujours pensées pour celles et ceux qui sont seuls et/ou malades car la solitude ou la souffrance ne font jamais de pont.