Mon portrait en rap par Camille Garcette dans "20H, l'invité sur Fréquence ESJ
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Pas le temps de rentrer de Bretagne que je serai déjà à Varsovie pour intervenir ce samedi matin sur la fin de vie à l'invitation du mouvement athéiste. Micheline Clayes y interviendra aussi.
Ce vendredi, à parti de midi, je serai de permanence pour la mairie de Paris 12. je célébrerai donc des mariages dès cet après-midi et bien sûr samedi... De beaux moments en perspective...
Ce jeudi après-midi, je rencontrerai le docteur Michel Bureau, président du conseil de la fin de vie du Québec. Ce sera l'occasion d'évoquer la politique québécoise et canadienne qui a légalisé l'aide active à mourir.
Ce mercredi et jeudi, je participerai à la session plénière du conseil régional d'Ile-de-France.
Parmi les dossiers, le fameux violentomètre que veut mettre en place Valérie Pécresse ou le pacte régional d'investissement dans les compétences.
Les voyages en avion ont ceci de bon qu’ils permettent de voir des films qu’on n’a pas eu le temps de voir à leur sortie.
« A star is born » fait partie de ces films que je voulais absolument voir.
C’est désormais fait au cours de mon retour de Thaïlande.
L’histoire est connue. Un artiste de renom de country sur le déclin, Jackson, tombe amoureux d’une jeune chanteuse, Ally, à qui il donne la chance de l’accompagner sur scène.
A star is born ...
Pendant qu’explose la carrière de celle qui devient sa femme, son mari s’enfonce dans l’alcool et les drogues.
Une histoire d’amour tragique.
Mais, ce duo amoureux est magistralement et sobrement interprété par une Lady Gaga, loin de ses merveilleux délires de scène. Quant à Bradley Cooper, qui joue Jackson, mais réalise aussi le film, il crève l’écran et nous livre un film mémorable...
A star is born un classique si bien revisité qu’on en oublie l’original !
Chers amis de l’ADMD,
Le Grand Débat National initié dans le courant du mois de janvier et qui se referme ces jours-ci est peut-être l’occasion de prendre notre revanche sur les débats de bioéthique de l’année dernière, verrouillés.
Grâce aux cahiers de doléances, grâce à vos contributions écrites, grâce à votre participation à des réunions organisées pour ce Grand Débat, grâce aux réunions déclarées dans ce cadre par nos délégués, nous avons pu faire entendre notre voix, comme je vous avais incité à le faire en écrivant à chacun d’entre vous en février dernier. A Paris, j’ai moi-même organisé une réunion ouverte pour poser cette question dont la réponse est, pour nous, d’évidence : Pour le droit de mourir dans la dignité ?
Parmi les quatre thèmes proposés, celui intitulé La démocratie et la citoyenneté nous a permis de rappeler que depuis quarante ans les Français demandent la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté et qu’ils ne sont pas entendus. Pire encore, les lois Leonetti qui se sont succédées depuis 2005 les privent de leur ultime liberté. Ce n’est pas démocratique, ce n’est pas le respect de la citoyenneté.
Nous verrons lors des restitutions, prévues mi-avril, ce qui aura été retenu de nos interventions, même si notre sujet de liberté ne figurait initialement pas dans les sujets soumis à débat.
Ces démarches ne nous empêcheront pas de poursuivre notre action auprès des parlementaires afin qu’ils entendent enfin la voix des 90% de Françaises et de Français qui réclament le droit de mourir dans la dignité.
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Je sais ce que l’on dit des réseaux sociaux : immédiateté, fake news, vulgarité. Certes... Pour autant, ils sont un moyen efficace et rapide de contacter journalistes et politiques qui, souvent, gèrent directement leur compte ou gardent un œil intéressé sur lui. C’est un moyen de contacter nos adhérents et les militants du droit de mourir dans la dignité et de créer une communauté.
Chaque lundi, à midi, je vous retrouve en direct sur Periscope, Facebook et Twitter. Le moyen de parler en direct à plusieurs centaines de personnes. Sans moyen technique particulier, sans déplacement.
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Ce Journal 146 de l’ADMD donne la parole à juste titre aux bénévoles de notre service Admd-Ecoute. Elles et ils font un travail formidable d’accueil, d’écoute, de soutien, de conseil à celles et ceux de nos adhérents, mais pas uniquement, qui sont confrontés à la fin de vie, la leur ou celle d’un proche. Ce service, en plus des actions militantes conduites par notre association, est un dû en forme de solidarité à ceux qui, par leur soutien financier parfois depuis l’origine de l’association, nous permettent de bien fonctionner.
Pour la troisième année consécutive, je serai ce vendredi soir, à Pattaya, membre du jury qui va désigner la Miss Queen International 2019.
Je suis fier de participer à cet événement de visibilité des personnes transgenres. Comme tous les ans, mon critère principal de sélection sera l'engagement activiste de la concurrente, notamment dans les pays où les transgenres subissent la transphobie de l'Etat.