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Politique - Page 10

  • Mon discours aux 19èmes Etats Généraux d'ELCS

    Madame la ministre,
    Mesdames, messieurs les élus,
    Mesdames, messieurs,
    Chers amis,

    elcs,jean-luc romero,politique,sida,aidsUne nouvelle fois, je suis ravi de vous retrouver aujourd’hui pour ces 19e Etats généraux des Elus Locaux Contre le Sida. Comme à chaque fois, je vois de nombreux visages connus ou des visages que je connais bien, des élus, des institutionnels, des associatifs, je ne peux évidemment pas tous vous citer mais sachez que je suis sincèrement heureux de vous voir toutes et tous réunis ici, convaincus que nous sommes que le sida se soigne et se combat aussi par la politique, même si nous sommes de moins en moins à l’affirmer.
    Nous sommes dans un beau lieu, un lieu dans lequel nous avons toujours été particulièrement bien reçus, par Bertrand Delanoë par le passé et, aujourd’hui, par Anne Hidalgo. Chère Anne, tu nous as fait l’honneur d’ouvrir ces Etats généraux et je n’oublie pas que, depuis de très nombreuses années, tu as été de tous les combats avec notre association, à nos côtés.
    Oui, le sida se soigne et se combat par la politique. Oui mais de quel politique je parle ? Celle qui divise, qui discrimine, qui, pour des raisons électoralistes, malheureusement électoralistes, accepte de s’abaisser et de s’asseoir, oui de s’asseoir, sur nos valeurs démocratiques et notre devise républicaine : « Liberté, Egalité, Fraternité ». Celle qui préfère les freins idéologiques aux progrès pragmatiques, celle qui pointe du doigt les malades responsables de tous les maux, coupables de tout. Celle qui considère la personne séropositive comme une bombe virale, un contaminateur en puissance, celle qui pénalise par principe. Celle qui refuse l’éducation et l’information notamment des plus jeunes.
    Alors cette politique ou l’autre politique ? Oui, celle qui regarde la réalité telle qu’elle est, non déformée par un prisme idéologique, celle qui agit en fonction d’un seul intérêt : l’intérêt général, celle qui croit que nous devons tous pouvoir regarder le fronton de nos mairies sans rougir, celle qui considère que l’information est la solution, que l’éducation est une chance. Celle qui croit en l’humain et qui agit pour lui. Vous le savez déjà, de mon côté, j’ai fait mon choix, et votre présence ici laisse supposer également du vôtre ! Concrètement, du travail, il y en a, croyez-le bien ! Le constat de crispations, de divisions et de tensions dans notre société, nous pouvons tous objectivement le faire. Il suffit de regarder les débats sur les salles de consommation à moindre risque, sur les programmes scolaires et l’éducation à la vie affective et sexuelle à l’école ou sur le mariage pour tous. Du travail, nous en avons beaucoup !
    Alors, l’année 2014 a été particulièrement riche en matière d’élections ; deux élections majeures  ont redessiné la France : les élections municipales et sénatoriales. Est-ce que nous sommes contents ou mécontents des résultats ? A vrai dire, on s’en fiche à ELCS. Pour être totalement honnête à ELCS, nous ne nous posons évidemment pas la question : le sida n’est ni de droite ni de gauche, voilà ce que nous défendons énergiquement ! Et ça fait bientôt 20 ans que cela dure ! Et oui, déjà 20 ans, cela ne nous rajeunit pas. En 1995, je créais l’association … Il m’est ainsi donné l’occasion de remercier avec beaucoup de sincérité et d’affection Philippe, Philippe Lohéac, trésorier d’ELCS, qui est de l’aventure d’ELCS depuis le début mais aussi beaucoup d’autres que je vois dans la salle. Je ne peux tous citer mais sincèrement un grand, un très grand merci à vous. A ce propos, je tenais à vous informer du lancement d’un projet de spot TV sur l’histoire d’ELCS et les combats portés depuis 20 ans. Ce projet, nous souhaitons le concrétiser via le site Ulule et un appel au financement participatif. En somme, ce projet ne verra le jour que si vous le souhaitez. Sincèrement, je compte sur vous !
    Revenons désormais sur le paysage politique actuel. Les élections municipales et sénatoriales créent pour ELCS un potentiel réservoir de nouveaux élus qui peuvent s’engager, avec nous, dans ce combat pour la vie, la dignité et l’égalité pour la prévention, l’information, le soutien aux personnes, l’aide aux associations, la liste est longue ! Je ne cesse de le marteler depuis longtemps, l’échelon local est particulièrement pertinent, légitime et efficace dans ces combats. Et je veux voir dans l’annonce d’Anne Hidalgo une consécration du rôle de l’échelon local : clairement l’initiative « Villes actrices de la transformation sociale », présentée par la maire de Paris, met les villes au cœur de la lutte !

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  • Conférence de presse sur l’affaire Jean Mercier à Saint-Etienne

    Ce matin, à 10h45, j’organise une conférence de presse à Saint-Etienne sur l’affaire de Jean Mercier qui est convoqué par la justice demain.
    Cet homme de bientôt 87 ans est trainé devant les tribunaux pour avoir mis à disposition de son épouse en fin de vie des médicaments comme elle le lui avait demandé de manière insistante.
    Il n’a pas participé au suicide de son épouse qui était à bout.
    Cette mise à disposition s’est faite en toute transparence et ses enfants soutiennent Jean Mercier qui n’a fait que respecter la volonté réitérée de son épouse.
    Traîner ce vieux monsieur devant les tribunaux est totalement disproportionné et très violent.
    Comprendra-t-on un jour dans ce pays qu’il est temps d’avoir une autre loi que la loi Leonetti qui conduit à de telles situations douloureuses ?

     

  • Inscrivez-vous aux 19èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida

    Le mercredi 26 novembre, à 15h30, se dérouleront les 19èmes Etats-Généraux d’ELCS à la mairie de Paris.
    Cette nouvelle édition sera placée sous le haut patronage de François Hollande et sous la présidence effective d’Anne Hidalgo, maire de Paris...
    Le thème « VIH, hépatites, les nouveaux enjeux » sera décliné par de nombreuses personnalités dont les ministres Fioraso et Pau-Langevin. (Programme ici)
    Vous pouvez toujours vous inscrire en envoyant un e-mail (ici) ou en téléphonant au 01.42.72.36.46.
    Mobilisez-vous, car le sida se soigne aussi par la politique !

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  • Itw sur le mariage pour tous sur Radio Pluriel à 12h

    Je serai interviewé dans l’émission « L’oreille indiscrète » par Michel David sur Radio Pluriel entre 12 et 13h00 sur le mariage pour tous.

  • Session du conseil régional d’Ile-de-France

    LogoIledeFrance.pngCe vendredi se tiendra la séance du conseil régional d’Île-de-France qui sera présidée par Jean-Paul Huchon.
    Parmi les dossiers soumis aux élus, le rapport annuel du délégué spécial auprès du président pour la responsabilité sociétale et la modernisation de l’action publique régionale et la stratégie de l’Ile-de-France pour une agriculture durable et de proximité.

     

  • 18ème édition de la semaine pour l’emploi des handicapés

    Cette semaine se déroule la 18ème édition de la semaine pour l’emploi des personnes en situation de handicap.
    Lancée en 1997 par l’Adapt, cette semaine est l’occasion de réunir recruteurs et personnes concernées.
    En effet, le taux de chômage des personnes en situation de handicap est de 22% contre 10,2% pour le reste de la population. Il s’élève même à 44% chez les plus de 50 ans ! Des taux inacceptables…
    Les 423 275 demandeurs d’emplois handicapés demandent à ce que cette discrimination à l’embauche cesse.
    Plus que jamais, les pouvoirs publics et les entreprises doivent changer leur regard sur le handicap et enfin respecter l’obligation d’embaucher 6% de personnes handicapées, ce qu’ils ne font toujours pas !

     

  • Mon itw dans Le Populaire du Centre

    Le populaire du centre 15 novembre 2014 romero admd elcs.jpg

  • Rencontre avec Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale d'EE-LV

    En fin de journée, je rencontrerai Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale d'Europe Ecologie - Les Verts, pour évoquer la question de la fin de vie.
    Je viendrai rappeller la demande de 96% des Français qui souhaitent une loi légalisant l'euthanasie.

  • Ma réunion ADMD-Limoges sur France 3-Limousin

  • Rendez-vous avec Emile-Roger Lombertie, maire de Limoges

    Alors que je suis à Limoges pour deux jours, je rencontrerai le maire de Limoges ce vendredi 14 novembre en fin d’après-midi.
    Il s’agira d’évoquer la mobilisation des élus locaux contre le sida.

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  • Plan de mon intervention devant la mission fin de vie Claeys/Leonetti

    A noter que M. Leonneti n'a pas daigné m'adresser la parole, ni me poser une seule question durant mon heure d'audition. Et il est un des deux députés à travailler sur la loi fin de vie. Drôle de conception de la démocaratie et de la politesse !!!

    Question préalable posée aux députés :
    Une question préalable est importante pour la suite de mon intervention.
    Pourriez-vous m’indiquer l’étendue de votre mission ? En effet, la presse s’est fait l’écho de positions contradictoires.
    Alors que la lettre de mission du 1er ministre évoque notamment « les circonstances précises dans lesquelles l’apaisement des souffrances peut conduite à abréger la vie dans le respect de l’autonomie de la personne », M. Leonetti affirme que cette mission ne traiterait ni de l’euthanasie ni du suicide assisté, et M. Claeys assurant que rien n’était tabou ?

    Messieurs les députés,
    Je développerai ces trois points au cours de cette audition.
    -       La fin de vie n’est pas une affaire médicale, mais bien citoyenne,
    -       La loi d’avril 2005 n’est pas une loi sur les droits des patients,
    -       La loi que nous voulons : accès universel aux soins palliatifs, légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté, opposabilité des directives anticipées.

    1)    La question de la fin de vie n’est pas une affaire médicale mais bien citoyenne.

    Comme pour l’avortement ou la PMA, il est nécessaire d’avoir un soignant pour faire l’acte, mais ces questions sont d’abord d’ordre citoyen et éthique.
    Contrairement à la question de l’euthanasie, elles n’ont pas été confisquées par quelques mandarins ou pseudos experts qui en font leur fonds de commerce depuis 30 ans, sans écouter les Français.
    La mobilisation dans les réunions de l’ADMD et l’explosion des adhésions dans notre association (58 000) démontrent que les Français veulent rester citoyens jusqu’au bout.
    Cette affaire concerne 100% des Français et je reste étonné que les missions menées le soient surtout auprès de mandarins (Déjà 24 professionnels de santé auditionnés par cette mission sur 32 personnes hors religieux ! Combien de malades ?)
    Les Français comprennent les enjeux de cette question comme l’a démontré le jury citoyen créé par le CCNE. Chaque Français est expert de sa propre fin de vie. Comme par hasard, leurs conclusions ne sont prises en compte par aucune autorité.

    2)    La Loi d’avril 2005.

    L’ADMD a joué son rôle pour la faire connaitre. Nous sommes les seuls à avoir faire un document grand public alors que nous n’avons aucune subvention de l’Etat, contrairement à certaines associations anti-euthanasie.
    -       Mais cette loi est une loi faite pour les médecins. J’ai subi bien des quolibets en le disant depuis des années.
    Aujourd’hui, le Pr Ameisen le dit lui-même :
    « La loi Leonetti de 2005 est une loi sur les devoirs des médecins, pas sur les droits des patients. » (La Croix du 24 octobre 2014).
    Ces affirmations sont confirmées par les sondages. Seuls 19% des Français pensent que la loi de 2005 permet le respect de la volonté du mourant. (Ifop/Le Pèlerin – septembre 2012)

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  • Entretien avec le directeur-adjoint de cabinet de Manuel Valls sur la fin de vie

    Après mon audition par les parlementaires sur la fin de vie, je rencontrerai à 19h00 Gilles Gateau, directeur-adjoint de cabinet du Premier ministre.
    Le rendez-vous concerne, une nouvelle fois, la fin de vie et les intentions du gouvernement sur cette question.
    Les Français attendent, en effet, que le gouvernement tienne l’engagement 21 du président de la République.

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  • Audition par les députés Leonetti et Claeys sur la fin de vie

    Après avoir demandé au Pr Sicard, puis au CCNE un rapport sur la fin de vie, le président de la République a demandé à deux députés Jean Leonetti et Alain Claeys de réfléchir, à leur tour, sur les contours d’une future loi sur la fin de vie.
    L’ADMD n’a pas manqué de s’étonner de la nomination de celui qui a échoué pendant 10 ans sur la fin de vie et qui s’oppose, avec détermination, à toute légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté.
    J’ai cependant souhaité être auditionné par ces élus d’autant que les auditions qu’ils ont faites jusqu’à ce jour réunissent surtout des médecins et des activistes anti euthanasie …
    L’ADMD ne pouvait être absente de ces auditions même si nous ne nous faisons pas trop d’illusions sur un rapport cosigné… par M. Leonetti. Peut-être aurons-nous une bonne surprise avec le député Claeys… Soyons optimistes !

     

  • Entretien avec Patrick Klugman maire-adjoint de Paris chargé de l’international

    Ce lundi, je rencontrerai Patrick Klugman, maire-adjoint de Paris, chargé de l’action internationale. J’évoquerai notamment avec lui la mobilisation de la capitale sur la question de la lutte contre le sida mais aussi la question du respect des droits humains.

     

     

     

  • Le 2 novembre, Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, à Paris en photos

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  • Mon débat à C a vous sur France 5


    "Téléréalité" politique : Jean-Luc Roméro et... par C-a-vous

  • Débat sur la fin de vie au syndicat de la magistrature

    Ce lundi, avant le conseil d’arrondissement, je participerai à un débat organisé sur la fin de vie par le Syndicat de la magistrature au Palais du Luxembourg.
    A ce débat participeront aussi Philippe Maddaleno, médecin en soins palliatifs, et la sénatrice Corinne Bouchoux.

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  • Ma tribune dans l'Humanité

    Lorsqu’il s’est agit du divorce, de l’avortement, du mariage pour tous, et malgré les esprits les plus conservateurs de notre société, le législateur a créé les conditions du choix et l’encadrement des pratiques afin que ce choix s’exerce librement, sans contrainte et sans aucune dérive.
    Sur le sujet de la fin de vie – tabou s’il en est, tant cette question est empreinte en France de notre héritage chrétien – il ne faut pas agir autrement. Laisser l’individu choisir, encadrer les pratiques de la fin de vie afin de s’assurer de son consentement libre et éclairé et de se garder de tout risque de dérive.
    La dignité, c’est précisément cela. Agir selon sa conscience, sa volonté, fixer soi-même les limites de sa propre condition de femme ou d’homme et refuser d’en franchir les frontières qui font passer de la vie, belle et magique, à la survie, dramatique et douloureuse.
    Pourquoi, en France, contrairement aux Pays-Bas, à la Belgique, au Luxembourg…, pays qui nous sont si proches, des médecins, des religieux, des croyants imposeraient aux autres leurs propres opinions ? N’est-ce pas avoir foi en l’homme que de croire en son jugement et de le respecter, même si cela va à l’encontre de nos convictions personnelles ?
    En matière de fin de vie, la dignité, c’est maîtriser les conditions de sa propre fin de vie. Avoir le choix entre être prolongé dans sa thérapie car chaque jour gagné est une victoire sur la maladie ; bénéficier d’un lit dans une unité de soins palliatifs, ce qui est loin d’être le cas dans notre pays tant le manque de moyens hospitaliers est cruel, contrairement à ce qui existe dans les pays du Benelux ; bénéficier d’une aide active à mourir, qu’il s’agisse d’une euthanasie active ou d’un suicide assisté, parce que la mort est là, que le diagnostic de fin de vie a été posé, que la médecine est impuissante non seulement à guérir mais également à soulager et que le patient la demande.
    Dans notre pays démocratique, seule une loi républicaine assurera les bonnes pratiques ainsi que l’égalité entre chaque citoyen, sans considération de sa fortune personnelle qui lui permettrait de se rendre en Suisse ou de ses relations qui lui permettraient de bénéficier du coup de pouce d’un médecin plus compatissant et plus audacieux que les autres.
    Le tout dernier sondage (Ifop – octobre 2014) rappelle combien les Français sont attachés à cette ultime liberté, celle de choisir le moment et la manière d’éteindre la lumière. En effet, 96% de nos concitoyens sont favorables à la légalisation de l’euthanasie, quand les médecins y sont tout de même favorables à 60% (Ipsos – janvier 2013 pour le Conseil national de l’Ordre des médecins). Dans le même temps, 94% des Français comprennent le choix de leurs compatriotes qui s’exilent en Suisse pour y mourir dignement, puisque c’est pour 92% le signe du caractère insatisfaisant de la loi Leonetti.
    Nous pourrons débattre des heures. Nous pourrons parler d’Hippocrate et de Dieu. Du don et du Sacré. Néanmoins, aucun argument ne viendra à bout de la supériorité de la liberté et du choix sur les croyances et l’autoritarisme, voire le paternalisme. C’est aussi cela, la dignité de l’homme : décider pour lui-même et ne pas subir d’influences.
    Alors, comment assurer une fin de vie digne en France ? Ecoutez la souffrance et la demande de celui qui est dans le lit. Ne parlez pas en son nom. Epargnez-lui les tourments de la fin de vie si tel est son choix. Epargnez-lui le temps de l’agonie s’il le demande.
    La dignité du mourant est de rester un citoyen libre et responsable jusqu’au bout. Un citoyen écouté et respecté. Aux détracteurs du droit de mourir dans la dignité, je rappellerai aussi que la dignité des vivants est de respecter autrui et de ne pas lui imposer ses vues. C’est une question de principe et de droit.

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  • A 16h, place de la République pour le Droit de mourir dans la dignité !

    Ce dimanche 2 novembre, journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, venez nombreuses et nombreux pour appeler le président de la République à respecter sa proposition 21.
    Dans toutes les délégations des manifestations sont organisées.
    A Paris, nous nous rassemblerons place de la République à 16h.
    Venez nombreux réclamer notre/votre Ultime Liberté !