Sur la fin de vie, dans la presse ...
A lire aussi : Paris Match (ici), Paris Normandie (ici), Le Figaro (ici), Family Protect (ici), MetroNews (ici).
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Ce jeudi, à 7h49, je serai l'invité de France Bleu Nord pour évoquer la proposition de loi sur la fin de vie qui devrait être adoptée, mardi prochain, en première lecture à 'Assemblée nationale. Je rappelerai les raisons de mon opposition à ce texte.
En cette vingtième année d’existence, Elus Locaux Contre le Sida (ELCS) sort sa 37ème lettre d’information.
Vous pouvez demander à recevoir cette lettre en écrivant (ici) pu la lire en pdf (ici).
Et n’hésitez pas à nous rejoindre et à adhérer à ELCS (ici) !
On a besoin de vous !
A l’invitation de Claude Singer, président de la Libre Pensée du Val d’Oise, je viendrai débattre de la fin de vie ce lundi 9 mars, à 19h00, à l’Espace Maradas-Larris, rue de l’Est à Pontoise.
Ce débat aura lieu la veille de la discussion de la proposition de loi sur la fin de vie à l’Assemblée nationale.
Lorsque ce journal arrivera entre vos mains, la discussion parlementaire autour de la proposition de loi de MM. Claeys et Leonetti aura débuté Peut-être même aura-t-elle été achevée. Le Gouvernement a décidé de soutenir ce texte. Grâce aux moyens de procédure mis à sa disposition par le Parlement, je crains qu’aucun des amendements présentés par des députés favorables à l’euthanasie et au suicide assisté ne soit adopté.
Si tel devait être le cas, la triste loi de 2005 sera-t-elle légèrement modifiée par celle de 2015 : une aide passive à mourir au moyen d’une sédation accompagnée d’une dénutrition et d’une déshydratation, des directives anticipées opposables et contraignantes (voir ces termes page 17) mais sous conditions : qu’elles ne soient pas déclarées par les médecins comme « manifestement inappropriées » et dès lors qu’il n’y aura pas d’ « urgence vitale »…
Assurément, la volonté du patient ne sera respectée, comme aujourd’hui, que si elle convient au chef de service.
Cette loi, tous les militants du droit de mourir dans la dignité le comprennent, est encore une loi qui protègera le médecin et infantilisera le patient. Et tant pis pour lui s’il meurt mal…
Monsieur le président de la République, mesdames et messieurs les Députés, il est encore temps de respecter les promesses de campagne ? Sinon, elles sombreront dans la même indignité que ceux que nous aimons et qui meurent. Par votre faute…
1 fille - collégienne ou lycéenne - insultée sur 4 subit des injures de nature sexiste et 7% sont victimes de violences de nature sexuelle. L’écart de salaires dans le secteur privé entre femmes et hommes est de 24% et, même si les femmes comptent pour 46 % des salariés du privé, elles ne sont que 20% des cadres dirigeants et 20 % des membres des conseils d’administration du CAC 40. Une femme sur 10 est victime de violences conjugales.
A quelques jours de la Journée mondiale des droits des femmes, j’aimerai insister sur les nombreux progrès qui ont été réalisés depuis 50 ans, notamment via des lois affirmant le principe de l’égalité et punissant les inégalités de traitement ; j’aimerai mais les données que je vous liste ne me le permettent peu ou pas.
Le constat que nous pouvons dresser est clair : à l’école, en famille, dans les processus d’orientation, dans les loisirs, dès le plus jeune âge, nous clivons les destins des jeunes filles et garçons, selon bien trop souvent une lecture stéréotypée liée au genre.
Le Crips, via son action d’interventions en éducation à la sexualité en lycées et en CFA - depuis plus de 20 ans -, tente de lutter contre ce phénomène source de discriminations. Concrètement, lors de ces animations, le thème des relations filles-garçons est très majoritairement abordé. Ce faisant, le Crips, via l’interactivité et la discussion et non pas via des arguments d’autorité assénés comme des vérités indépassables et donc inaudibles, lutte contre les stéréotypes de genre et le sexisme.
Au regard de cet axe d’action, nous ne pouvons qu’approuver le nouveau plan d’actions « pour l’égalité entre filles et garçons », lancé par la ministre de l’éducation nationale le 25 novembre 2014. Pas simple, voire complexe, de se vouloir ambitieux (« La politique éducative en faveur de l’égalité entre les filles et les garçons à l’École […] a pour finalité la constitution d’une culture de l’égalité et du respect mutuel partagée par l’ensemble des membres de la communauté éducative, élèves, personnels, parents et partenaires. ») tout en dédramatisant les choses suite à la levée de boucliers que nous n’avons pu que déplorer quant à l’ABCD de l’égalité et son lot d’exagérations et de rumeurs toutes plus folles les unes que les autres.
Le Crips sera, comme d’autres, un acteur de ce nouveau plan d’actions tout comme il tendra à faire un réel travail de déconstruction des fantasmes et de pédagogie sur ces thématiques pour contribuer à aider les équipes éducatives. A suivre !
Après la réunion des délégués de la Bretagne, j’animerai, aux côtés de Jane Chaussy, une réunion publique de l’ADMD à la Maison de la Famille à Saint-Malo.
Cette réunion est ouverte à toutes et tous.
Venez nombreux !
En cette semaine de mobilisation de l’ADMD à quelques jours du débat tronqué sur la fin de vie, je rencontre ce soir une partie des membres du comité d’honneur de l’ADMD.
En effet, de nombreuses personnalités du monde des arts, de la culture ou de la politique nous soutiennent.
Jeudi soir, je serai heureux de pouvoir partager avec certains d’entre eux comme Guy Bedos, Noëlle Châtelet, Stone, François de Closets, Bruno Masure, Mireille Dumas, André Comte-Sponville, Dominique Fernandez, Iréne Frain, Claude Sarraute, etc…
Avec Christine Feltin, déléguée pour les Hauts-de-Seine Sud, j’animerai une réunion publique de l’ADMD à l’Espace Giner, 110, avenue Victor Hugo à Vanves.
Nous vous attendons nombreux !
Je continue mon périple en Charente-Maritime avec le délégué de l’ADMD François Bon.
Ce samedi, à 10h, nous animerons une réunion publique au Palais des Congrès de Royan où je vous espère nombreux.
Ce vendredi soir, à 18h00, aux côtés de François Bon, délégué pour la Charente-Maritime, j’animerai une réunion publique de l’ADMD à la salle municipale de La Rochelle-Laleu, rue de la Muse.
Cette réunion est ouverte à tous et à toutes.
A ce soir !
Une diminution de 86% du risque d’infection au VIH : voilà ce que montre l’essai Ipergay. En somme, pour des hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes (HSH), très exposés par leurs pratiques sexuelles au risque d'infection par le VIH, la prise d'un traitement antirétroviral (Truvada) au moment des rapports sexuels diminue de 86% le risque d'infection. L’efficacité préventive du traitement est démontrée et affirmée !
Cette nouvelle est assurément enthousiasmante et porteuse de bien d’espoirs. Mais si l’enthousiasme est une bonne chose, l’euphorie est, a contrario, une bien mauvaise conseillère, surtout dans un combat aussi délicat que peut l’être la lutte contre le sida, une lutte tout autant sociale que sociétale.
C’est pour cela que je pense important de rappeler divers éléments : il faut réaffirmer que cette étude, aussi essentielle soit-elle, concerne les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) particulièrement exposés au VIH ; elle n’est donc pas « transférable » d’emblée à la population générale. Nous ne pouvons non plus ignorer que le tiers des participants a été atteint par une IST comme la gonorrhée, la syphilis, l’hépatite C … Enfin, et c’est la question des représentations qui m’inquiète : en aucun cas, il ne faut laisser penser que le Truvada serait la pilule miracle qui va solutionner le VIH/sida. Nous connaissons tous l’emballement médiatique et ses raccourcis mais cet emballement doit être accompagné pour faire comprendre tout l’intérêt du Truvada sans hypertrophier son utilité et surtout sa portée.
Ceci étant dit, il n’en reste pas moins que ces annonces peuvent et vont sûrement faire évoluer de manière extrêmement forte et positive la politique de prévention en France. Désormais, le scientifique a fait son travail, il appartient désormais au politique de le faire !
Concrètement, il va s’engager un travail d’information et de pédagogie mais surtout un travail d’influence, de vulgarisation, de traduction pour que ces annonces soient suivies d’effets et de faits. Si la plupart des outils composant la prévention combinée sont disponibles ou en phase de l’être très bientôt, aujourd'hui, le Truvada n’est à ce jour pas autorisé en France comme traitement préventif…
Plus globalement, nul doute qu’un important travail de communication devra être fait pour expliquer au mieux les enjeux du traitement comme outil de prévention et la politique de prévention combinée, une prévention qui permet de s’adapter à tous, en fonction de ses envies, ses besoins, son vécu, ses possibilités.
Espérons simplement que le politique fasse preuve de pragmatisme et d’efficacité et ne soit pas freiné par la frilosité et le moralisme ambiants !
A lire aussi sur The Huffington Post (ici).
Alors que le débat sur la fin de vie débutera le 10 mars à l’Assemblée nationale, l’ADMD se mobilisera dans toute la France du 2 au 8 mars.
Nos 132 délégations feront des marchés dans tous les départements de notre pays. Il s’agit d’obtenir un large soutien des Français et d’interpeller les élus qui, en cette période électorale, sont très présents sur les marchés.
En ce qui me concerne, je serai particulièrement mobilisé cette semaine-là : à Sèvres dans les Hauts-de-Seine le 3 mars ; à Saint Malo le 6 mars et au marché de la Porte Dorée à Paris 12 le 8 mars.
Ce soir, se déroulera le bureau national d’ELCS.
Alors que notre association fête ses 20 ans d’existence - un anniversaire dont on se serait bien passé ! – il s’agit de faire un point sur la mobilisation contre le sida des nouveaux élus issus des élections locales de 2014 et sur les villes qui pourraient avoir le label « ville engagée contre le sida. »
Nous préparerons aussi la soirée des 20 ans qui se déroulera le 11 juin à la mairie du 10ème arrondissement de Paris.
Je serai l'invité du JT de France 3 Rhône-Alpes ce samedi à 19h00 à l'occasion de mon déplacment à Lyon pour animer une réunion publique sur la fin de vie.
Ce samedi, je réunis les délégués ADMD de la région Rhône-Alpes à Lyon pour faire le point de la mobilisation de notre association dans cette région et à la veille de la discussion du projet fin de vie à l’Assemblée nationale qui sera en séance publique le 10 mars prochain.