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Santé - Page 134

  • Mon 1er vœu politique pour 2014 : Une loi d’Ultime Liberté

    Je le rappelai en fin d’année dernière sur ce blog : deux de mes combats collectifs ont été couronnés de succès en 2013 avec la libération de Florence Cassez et le vote du mariage pour tous. Deux vœux que je n’aurai donc plus à faire pour 2014 !
    Malheureusement, un combat qui me tient vraiment à cœur n’aura pas autant avancé : celui du droit de mourir dans la dignité. Après un rapport particulièrement décevant du professeur Sicard, fin 2012, un avis négatif du Conseil consultatif national d’éthique le 30 juin dernier, un avis du jury citoyen - sélectionné par l’IFOP - nous a redonné, fin décembre, une lueur d’espoir. Il était temps…
    Je n’aurai pas épargné mes forces en 2013 faisant un nouveau tour de France pour l’ADMD : plus de 50 réunions publiques et sortant un livre « Monsieur le Président, laissez-nous mourir dans la dignité ! » qui m’a permis d’interpeller médiatiquement le Président et les parlementaires.
    En 2012, François Hollande s’est engagé, dans sa proposition 21, en faveur du droit de mourir dans la dignité sans jamais cependant prononcer le mot euthanasie. Cette ambigüité n’est pas sans inquiéter légitimement les militants de l’ADMD qui ne veulent surtout pas d’une loi Leonetti de gauche !
    J’ai cependant espoir en ce début d’année : mon tour de France 2013 a montré une mobilisation sans pareille des Français dans les réunions que j’animais, comme dans mes dédicaces : il est vrai que 92% des Français, comme un sondage de l’IFOP l’a confirmé en novembre, sont favorables à la légalisation de l’euthanasie.
    De plus en plus de parlementaires sont aussi présents lors de mes réunions en province et assurent régulièrement leur adhésion aux objectifs d’une loi d’Ultime Liberté. Mais les forces conservatrices sont là, puissantes et très soutenues par une Eglise prête à tout pour empêcher cette nouvelle avancée sociétale.
    Il nous faudra donc beaucoup militer pour qu’enfin notre loi soit votée : c’est en tous cas mon premier vœu pour 2014 !

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  • EN 2014, UN NOUVEAU DROIT A CONQUERIR, UNE LOI POUR NOTRE ULTIME LIBERTE (tribune dans le Huffington Post))

    On peut regretter que le Jury citoyen n’ait été composé que de 18 personnes. Mais comment travailler et auditionner des acteurs de la fin de vie devant un collège pléthorique ? On peut également regretter que le Jury citoyen se soit réuni à huis-clos. Mais les organisateurs pouvaient-ils prendre le risque des pressions que les différentes parties auraient pu exercer, y compris par l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité que je préside ? On peut aussi regretter que le Jury citoyen ait auditionné huit militants anti-euthanasie et seulement deux personnes favorables, dont moi-même.
    Mais on peut se féliciter, pour la démocratie et la laïcité, fondements de notre République, que de vrais citoyens aient été réunis pour entendre les acteurs de la fin de vie et aient rédigé des conclusions sans esprit dogmatique, sans esprit partisan, sans esprit corporatiste. Et c’est ainsi que nous avancerons sur le chemin des droits individuels. Dans tous les domaines, nous savons que la protection des intérêts catégoriels – ceux des mandarins, professeurs de médecine en l’espèce – ne peut conduire qu’au conservatisme, qu’au maintien des privilèges et des pouvoirs. Ici, un quasi-pouvoir de droit de vie et de mort sur des personnes en fin de vie pour lesquelles ont décide sans rendre compte à personne. C’est ainsi que l’Institut National des Etudes Démographiques (Ined) annonce près de 5000 décès annuels par administration d’un produit létal, que Jean Leonetti, militant anti-euthanasie, avoue – tout en convenant que c’est illégal – avoir « débranché des respirateurs pour libérer des lits » et que les témoignages de décisions médicales absurdes qui ont conduit à des drames de fin de vie abondent.
    Je suis satisfait que le rapport remis lundi dernier ouvre la voie à une aide active à mourir qui pourrait être accordée à tous ceux qui en feront la demande, de manière lucide et réitérée – qu’ils accomplissent le geste eux-mêmes ou que ce soit un tiers qui le fasse – et qu’il préconise une exception d’euthanasie pour ceux qui sont arrivés dans une impasse thérapeutique, ne peuvent plus s’exprimer et n’ont jamais écrit de directives anticipées.
    J
    eudi 19 décembre, le ministre des relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a annoncé un projet de loi en 2014. Je lui donne le bénéfice de la bonne volonté et prends acte de ce calendrier. J’accompagnerai le mouvement. De manière loyale, constructive et vigilante. Mais avec les 51000 adhérents actifs de l’ADMD, je le redis : n’inventons pas une architecture législative incompréhensible, ne rédigeons pas une loi Leonetti de gauche, aussi inapplicable et source de drames que la loi actuelle qui date de 2005. Regardons ce qui fonctionne chez nos amis européens, chez nos voisins néerlandais, belges et luxembourgeois. Les lois de légalisation de l’euthanasie dont ils disposent fonctionnent parfaitement, protègent des dérives qui existent par contre dans notre propre pays, assurent l’égalité de traitement entre les citoyens et rassurent les populations, notamment les personnes âgées qui, si elles savent évidemment que la mort est une échéance inéluctable, savent aussi que leur médecin, jamais, ne les laisseront souffrir et qu’elles pourront mourir debout, les yeux ouverts, dans le respect de la dignité que chacun s’impose à soi-même.
    En 2014, les Français doivent obtenir cette loi de liberté qui garantira à chacun le respect de sa propre volonté lorsque sa vie n’est plus que de la survie et qu’il est temps de tirer sa révérence. Dans sa propre dignité.

    Jean-Luc Romero
    Président de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité
    Auteur de "Monsieur le Président, laissez-nous mourir dans la dignité !"
    Lire aussi sur le site du Huffington Post (ici).

     

     

  • Communiqué de presse du 26 décembre 2012

    Communiqué de presse du 26 décembre 2012
    Rajouter de la souffrance à la souffrance :
    Omar Sy, Laetitia Halliday, Nikos Aliagas … et plus de 53.000 personnes disent non !


    Aujourd’hui, en France, il est interdit d’effectuer des soins de conservation pour les personnes décédées séropositives. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Que la famille et les proches d’une personne séropositive décédée ne pourront pas lui rendre un dernier hommage.
    Plus de 5 ans que Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida se bat pour que les personnes séropositives aient droit au même respect que pour toute personne défunte.
    Plus de 5 ans que le président d’ELCS rappelle que cette interdiction est tout autant intolérable qu’injustifiée.
    -          Intolérable au regard de la souffrance qu’elle engendre du fait de ne pouvoir rendre un dernier hommage au défunt : rajouter de la souffrance dans une période profondément et intimement douloureuse est inhumain !
    -          Injustifiée car, au-delà de consacrer une conception dangereuse du VIH/sida comme maladie honteuse, elle crée un sentiment de fausse sécurité pour les thanatopracteurs : plus de 30.000 personnes ignorent leur séropositivité en France. Alors que l’interdiction crée une sécurité illusoire, c’est bel et bien l’amélioration des conditions de travail des thanatopracteurs et la réglementation de cette profession qui doivent être privilégiés comme solution.
    Tous les acteurs de santé se sont positionnées publiquement pour la levée de l’interdiction : le Conseil national du Sida le 19 mars 2009 et le 12 janvier 2013, le Haut Conseil de la santé publique en décembre 2012, la Direction générale de la Santé le 11 janvier 2012 …
    La levée de l’interdiction est également réclamée par bon nombre de personnalités politique et du monde du spectacle : Omar Sy, Laetitia Halliday, Nikos Aliagas, Anne Hidalgo ... Ce sont aussi plus de 53.000 personnes qui ont signé la pétition demandant l’égal respect dû aux morts (pétition sur le site change.org).
    Alors, Jean-Luc Romero le demande : « mesdames et messieurs les décideurs, qu’attendez vous enfin pour agir ? Pourquoi maintenez-vous une réglementation qui vise à rajouter de la souffrance à la souffrance ? »

  • Papa Noël, tu as oublié mon cadeau … (Tribune dans l'Obs.com)

    Vous trouvez le titre bien racoleur ? C’est le cas. Et c’est même assumé. Mais si ce titre est bien destiné à vous accrocher, ce n’est pas pour vous faire lire l’énième actualité si essentielle liée au buzz du jour ou vous faire larmoyer sur un chaton trop mignon, mais pour vous entretenir d’une réalité. Une réalité aussi injuste qu’injustifiée : aujourd’hui, en France, plus de 30 ans après le début de l’épidémie, il est interdit d’effectuer des soins de conservation pour les personnes décédées séropositives. Cela signifie quoi, très concrètement ? Que la famille et les proches d’une personne séropositive décédée ne pourront pas lui rendre un dernier hommage. Lui murmurer un dernier au-revoir. Lui déposer un dernier baiser sur le front. Vous trouvez cela normal ? Une personne séropositive n’a-t-elle le droit au même respect que toute personne défunte ?
    Plus de 5 ans que je me bats avec d’autres associations comme Sidaction ou Act-Up Paris pour la levée de cette interdiction. 5 ans que je dénonce cette interdiction comme humainement inacceptable et dangereuse sur le plan de la santé publique. Pourquoi ?
    Maintenir cette interdiction est intolérable et inacceptable pour les proches et les familles. Les défunts ont droit au respect. Tous les défunts. Pensez-vous que rajouter de la souffrance au deuil est une manière morale d’agir ? Je ne le crois pas.
    Maintenir cette interdiction constitue également un non-sens en termes de santé. Elle crée une sécurité bien illusoire pour les thanatopracteurs : cocher une case sur un formulaire alors que plus de 30.000 personnes sont séropositives et ne connaissent pas leur statut sérologique. Respect  de la personne défunte et sécurité de thanatopracteurs peuvent aller de pair. Comment ? Il faut Il simplement faire en sorte que les professionnels puissent travailler dans de bonnes conditions, notamment en leur donnant la possibilité d’œuvrer le plus possible en chambres funéraires. Ce n’est pas le cas aujourd’hui et le travail interministériel, maintes fois promis, est bien long à se mettre ne place.
    Lever l’interdiction, voilà la seule solution justifiée et humaine. Cette opinion, ce n’est pas seulement mon opinion mais c’est celle de l’ensemble des associations de lutte contre le sida, celle du Conseil national du Sida, celle du Défenseur des devoirs, celle du Haut Conseil à la santé publique. C’est aussi celle de nombreux politiques et personnalités du monde du spectacle comme entre autres Omar Sy, Nikos Aliagas, Laetitia Hallyday, Anne Hidalgo … et de plus de 53.000 personnes qui ont signé la pétition demandant la levée de l’interdiction sur le site change.org.
    Je ne sais plus quoi faire … alors, Papa Noël, dans ta hotte, ne te restait-il pas un dernier cadeau, un dernier cadeau en forme de respect dû aux défunts ?
    Lire sur le site de l'Obs.com (ici).  

  • Réunion de Condom dans La Dépêche

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  • Invité du « Brunch politique » sur Sud Radio à 12h00

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    Ce dimanche22 décembre, à 12h00, je serai l’un des invités de Louis Morin dans le « Brunch politique » sur Sud Radio. (ici)
    Ce sera l’occasion de revenir sur l’actualité de la semaine liée à la fin de vie et à mon livre « Monsieur, le président, laissez-nous mourir dans la dignité ! »

     

     

     

  • Débat sur Itélé à 22h40 sur la fin de vie

    Je débattrai sur Itélé sur la fin de vie ce lundi soir à 22h40.

  • A 14h en direct sur itélé

    Après LCI ce midi, je suis l'invité de Itélé dans le journal de 14h00 pour une réaction sur le rapport du jury citoyen sur la fin de vie.

    Suivre mes passages médias sur mon site : www.jeanluc-romero.com rubrique Revue de Presse

    itélé2décembre2013.JPG

  • Conclusions du jury citoyen sur la fin de vie

    Ce lundi, le jury citoyen mis en œuvre par le Conseil consultatif national d’éthique doit remettre ses conclusions.
    J’espère qu’enfin les 9 Français sur 10 qui réclament la légalisation de l’euthanasie seront enfin entendus.
    Le secret, dans lequel les auditions ont eu lieu, nous empêche d’émettre un quelconque pronostic. Si j’ai été auditionné comme M.et Mme Pierrat, je ne se sais pas si d’autres défenseurs favorables à une nouvelle loi ont été auditionnés.
    La crédibilité du rapport de ce jury se jugera aussi à l’équité des « experts » qu’ils auront entendus. J’espère donc que la méthode Leonetti - écouter 90% d’opposants et 10% de personnes favorables - n’aura pas été celle du jury citoyen. Je veux avoir confiance en eux : il ne reste plus que quelques heures et nous serons fixés !

     

  • 49 000 signataires pour l’accès aux soins de conservation des morts du sida

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    En moins de 10 jours, plus de 49 000 citoyens se sont mobilisés sur le site change.org pour que les soins de conservation soient enfin autorisés aux personnes décédées porteuses du VIH/sida.
    Cette interdiction méconnue du grand public est infondée scientifiquement comme l’ont reconnu le Conseil national du sida et le Haut conseil de la santé publique. Les trois ministres de la santé qui se sont succédés depuis que j’ai posé ce problème et fais des recours ont tous reconnu que cette interdiction était discriminatoire. Pourtant, rien n’avance !
    Outre la mobilisation des associations de lutte contre le sida, il est donc important que le mouvement s’amplifie sur Internet. Déjà, à côté des citoyens, des personnalités se mobilisent comme la chanteuse Juliette, Brigitte Lahaie, Laurence Rossignol, Rémi Féraud ou encore Anne Hidalgo.
    Je compte donc sur vous pour signer cette pétition (ici) et surtout la diffuser sur vos blogs et les réseaux sociaux. Plus nous serons nombreux, plus nous serons entendus : je compte vraiment sur vous !

     

  • Ma réunion ADMD à Toulouse dans La Dépêche du Midi

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  • Débat sur la fin de vie à Privas à 18h00

    Après le combat contre le sida au Crips Ile-de-France ce matin, la fin de vie sur LCI ce midi, je reviendrai au droit de mourir dans la dignité pour la dernière réunion de 2013 de mon tour de France pour l’Ultime Liberté.
    A l’invitation du député de l’Ardèche, Pascal Terrasse, je participerai à un débat sur la fin de vie à la salle du Champ-de-Mars de Privas à 18h00.
    Le débat s’achèvera par une dédicace de « Monsieur le Président, laissez-nous mourir dans la dignité ! » organisée par la librairie Lafontaine.

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  • Invité du JT de LCI à 12h45 sur la fin de vie

    A l'occasion du dépôt, lundi prochain, du rapport du comité citoyen sur la fin de vie, je serai l'invité du JT de LCI à 12h45.

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  • "Monsieur le président, laissez-nous mourir dans la dignité" : Un livre qui s’appuie sur les valeurs de notre République laïque.

    Un nouveau livre de Jean-Luc Romero qui nous sera d’un appui essentiel pour le combat (l’ultime ?) que nous allons avoir à mener dans les prochains mois pour une loi sur l’euthanasie, le combat de Jean-Luc Romero et j’ajouterais le combat des 51 000 adhérents de l’ADMD et de ceux qui, pour certains, nous ont quittés et qui ont jeté les bases de notre association.
    Avec son intelligence, sa pugnacité à toute épreuve, Jean-Luc Romero s’adresse au président de la République pour lui rappeler son engagement lors de la dernière campagne présidentielle.
    Il évoque avec beaucoup de pudeur et d’émotion les cas médiatisés qui ont contribués à sensibiliser l’opinion publique favorable à plus de 86% à une loi qui encadrerait l’euthanasie, le suicide assisté, sans négliger la généralisation des soins palliatifs.
    Il défend une loi de liberté qui permettrait à chaque citoyen de décider des conditions de sa fin de vie en fonction de ses options religieuses, philosophiques…
    Ce livre est un manifeste vibrant pour la loi que nous souhaitons et qui mettrait un terme à l’hypocrisie, à la clandestinité, aux manœuvres possibles grâce à l’argent, les relations.
    Un livre qui s’appuie sur les valeurs de notre République laïque.

    Michèle Skowron, déléguée pour l’Yonne pour le Journal de l'ADMD

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  • L’invité de la rédaction de RCF Vivaret à 7h20 et 12h05

    logo_RCF.pngA l’occasion de mon déplacement vendredi à Privas pour une réunion sur la fin de vie, organisée par le député Terrasse, je suis l’invité de la rédaction de RCF Vivaret ce mercredi à 7h20 avec une rediffusion à 12h05. (ici)

     

  • Article dans La Voix du Nord sur Béthune, ville engagée contre le sida

    la voix du nord 01 12 2013 bethune romero.jpg

  • Cocktail de clôture de l’opération Flash Test en Ile-de-France

    Ce soir, à 19h00, j’interviendrai au cocktail de clôture de l’opération « Flash Test » qui s’est tenue avec la coopération de l’ARS, des cinq Corevih parisiens, du Sidaction et du CRIPS Ile-de-France que je préside.
    Cette opération a constitué la plus importante opération de dépistage rapide auprès des publics les plus exposés…

     

  • Signez l’appel pour l’ouverture des soins de conservation aux personnes décédées du sida : déjà 40 000 signataires !

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    Aujourd'hui encore, les soins funéraires sont refusés aux personnes séropositives au VIH/Sida ou à une hépatite virale.
    Ne pouvant rendre un dernier hommage à leurs proches décédés, des familles ne peuvent faire leur deuil comme les autres, ajoutant à la peine de perdre un être cher, le traumatisme de ne pouvoir préserver le corps de ceux-ci.
    En 2013, ce n’est pas acceptable et pourtant rien n’avance  sur cette question.
    Avec ELCS, j’ai lancé cette semaine une pétition sur change.org et je compte sur vous pour la, signer et la faire connaître notamment sur les réseaux sociaux !
    Déjà, sans aune médiatisation, plus de 40 000 internautes l’ont signé en quatre jours...
    Signez l’appel : (ici)

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  • A 8h40 sur France Culture avec Marc Blondel sur le droit de mourir dans la dignité

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    A l’invitation de l’ex-syndicaliste, Marc Blondel, président de la Libre Pensée, je dialoguerai avec lui sur le droit de mourir dans la dignité dans l’émission « Divers aspects de la pensée contemporaine » sur France Culture ce dimanche de 8h40 à 9h00.
    Cette émission pourra ensuite être écoutée en podcast sur le site de France Culture (ici).