A 19h00 au JT de France 3 Ile-de-France
Comme vous le savez, je suis l’invité du journal télévisé de Jean-Jacques Cros sur France 3 Ile-de-France ce jeudi soir à 19 heures. A tout de suite !
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Comme vous le savez, je suis l’invité du journal télévisé de Jean-Jacques Cros sur France 3 Ile-de-France ce jeudi soir à 19 heures. A tout de suite !
A l’occasion de la campagne des élections régionales en Ile-de-France, je serai l’invité de Jean-Jacques Cros sur France 3 Ile-de-France le jeudi 7 janvier à 19 heures.
Je rappellerai pourquoi j’ai accepté d’être 4ème sur la liste parisienne d’Anne Hidalgo et de Jean-Paul Huchon.
A Paris, une femme qui souhaite avorter doit attendre 15 jours pour obtenir un rendez-vous… Un délai 3 fois supérieur à celui recommandé par la Haute autorité de santé. On imagine les conséquences d’une telle attente.
Pour mesurer les délais d’accueil des Parisiennes, la mairie de Paris souhaite proposer la mise en place d’un observatoire du droit à l’IVG en collaboration avec l’Etat et l’AP-HP. Une excellente initiative qui je l’espère se concrétisera vite.
C’est à partir de ce mercredi et jusque vendredi que le président Jean-Paul Huchon va présenter son budget pour l’Ile-de-France et l’année 2010. C’est un temps fort de la vie régionale même si les perspectives d’avenir avec la réforme autoritaire du Grand Paris, la suppression de la taxe professionnelle et la nouvelle organisation territoriale donnent de sacrées inquiétudes aux élus locaux toutes tendances confondues…
Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, salue la démarche entreprise par Jean-Marie Le Guen, adjoint au maire de Paris chargé de la santé, concernant les salles de consommation à moindre risque et demande une plus grande implication de la MILDT dans la politique de réduction des risques
Le président d’Elus Locaux Contre le Sida salue la démarche entreprise pas Jean-Marie Le Guen, adjoint au maire de Paris chargé de la santé, concernant les salles de consommation à moindre risque.
Jean-Luc Romero rappelle que ces structures présentes chez 6 de nos voisins européens doivent être vues comme une continuité de la politique de réduction des risques, politique légalisée et appliquée avec succès depuis plus de 25 ans en France. Elles permettent de mettre en place, avec l’aide du personnel médical, une démarche de soins et peuvent même au final constituer un tremplin vers l’abstinence. Sur le plan collectif, les bénéfices en termes de sécurité publique sont évidents. Un exemple de la réussite des salles de consommation à moindre risque : lors d’un référendum populaire en date du 30 novembre 2008, les suisses ont accepté à une très large majorité - près de 70% ! - la légalisation des salles d’injection à moindre risque dans leur pays.
Jean-Luc Romero soutient la démarche entreprise par Jean-Marie Le Guen et demande également à l’Etat de prendre ses responsabilités. Le président d’ELCS rappelle qu’en octobre dernier, il avait adressé une lettre ouverte à Etienne Apaire, président de la MIDLT dans laquelle il insistait sur trois priorités qui lui semblaient essentielles :
- l’extension de la réduction des risques au monde carcéral
- l’expérimentation de salles de consommation à moindre risque et de programmes de prescription d’héroïne sous contrôle médical
- la mise en place de programmes d’éducation aux risques liés à l’injection
Jean-Luc Romero demande à ce que l’on sorte de l’hypocrisie et que la priorité soit donnée à la santé publique et non aux idéologies inefficaces. La mise en place effective de ces structures innovantes serait un vrai gain en termes de santé, de sécurité et d’ordre public.
Ce lundi soir se déroule le dernier bureau national de l’ADMD de l’année 2009. L’occasion de faire le point sur le récent débat sur la légalisation de l’euthanasie à l’Assemblée nationale et de préparer le 30ème anniversaire de l’ADMD qui sera célébré fin janvier à Paris.
Mardi dernier, j’étais interviewé par Christophe Hondelatte sur RTL pour mon soutien à la liste Jean-Paul Huchon/Anne Hidalgo. Vous pouvez retrouver cette interview en podcast en cliquant ici.
L’association Ikambere, qui s’occupe des femmes africaines touchées par le VIH/sida, organise ce soir une soirée à destination de ses partenaires privés et publics pour leur rappeler l’importance de la mission de leur association. Ikambere est en effet la seule structure en Ile-de-France qui s’occupe en permanence de ces femmes en plus de la maladie sont souvent dans un grand isolement. ELCS parraine cette soirée et je serais heureux d’être aux côtés de la directrice de cette formidable association, Bernadette Rwegera.
Je serai l’invité du journal de ce mardi soir de la chaîne parlementaire de la TNT « LCP-AN » de 19h30 à 20 heures.
Je reviendrai bien sûr sur mon soutien à la liste de Jean-Paul Huchon et d’Anne Hidalgo mais aussi sur la manifestation de soutien qui était organisé par des élus pour Florence Cassez, ce midi, face à l’ambassade du Mexique à Paris (photo avec notamment la maman d'Ingrid Betancourt, les parents de Florence et le maire de Béthune). En début d’après-midi, avec les parents, Franck Berton, avocat de Florence, et Thierry Lazaro député du Nord, nous avons été reçus par l’ambassadeur du Mexique. J’aurai enfin l’occasion de revenir sur le récent débat sur l’euthanasie à l’Assemblée nationale et sur mon livre « Les voleurs de liberté.
Je serai interviewé par Christophe Hondelatte vers 18h20 sur RTL. Sujet : les élections régionales et mon soutien à la liste Huchon/Hidalgo.
Ce 8 décembre, cela fera 4 ans que Florence Cassez est incarcérée au Mexique. Elle a été condamnée en appel à 60 ans de prison, malgré des preuves irréfutables de son innocence et un montage rocambolesque pour son arrestation.
A l’occasion de ses quatre années de souffrance et d’isolement, des parlementaires et des soutiens de Florence se retrouveront à 12h30 devant l’ambassade du Mexique à 12h30, 9 rue de Longchamp à Paris (16è ardt).
Vous êtes attendus à cette manifestation où seront présents les parents de Florence et son avocat Maître Franck Berton.
Je compte sur vous !
2004, sans quitter l’UMP, j’avais pris une décision importante en créant Aujourd’hui, Autrement, un mouvement politique travaillant sur les questions de société.
Je pensais alors qu’avec ce mouvement, je pourrais peser sur l’UMP et faire avancer la droite sur les questions de société qui sont des questions majeures que les responsables politiques devraient prendre à bras le corps. Les seules questions, selon moi, où le pouvoir du politique reste intact.
Lors de la dernière élection présidentielle, je ne pourrai malheureusement que constater l’impossibilité de faire évoluer sur les questions sociétales celle qui fut, pendant plus de 20 ans, « ma famille politique ».
Il me faut aussi reconnaître que la discussion sur le PaCS et l’attitude violemment hostile de mes compagnons de l’époque, voire même franchement homophobe de certains, le renoncement aux valeurs d’humanisme et de tolérance, de respect et de liberté auxquelles je croyais que les héritiers du général de Gaulle étaient attachés, avaient ébranlé beaucoup de mes certitudes.
Le soutien de l’UMP à un certain député du nord de la France, qui considère que « le comportement homosexuel est inférieur au comportement hétérosexuel», sera l’ultime événement - une blessure même - qui a déclenché ma séparation d’avec l’UMP, dont je ne suis plus adhérent depuis 2006.
En juillet 2008, j’ai logiquement été au bout de ma logique en quittant une famille dans laquelle je ne me reconnaissais plus et qui maniait le mépris à mon égard avec d’autant plus de certitude qu’elle croit en l’universalité de sa pensée, et en rejoignant au Conseil régional d’Ile-de-France la majorité de Jean-Paul Huchon en qualité de membre apparenté au groupe des Radicaux de Gauche. Il ne s’agissait pas d’un ralliement opportuniste – comme le diront certains – car la droite avait alors le vent en poupe. Jamais, le président Huchon ne m’a demandé de renier mes convictions et au contraire, il m’a laissé une totale liberté de parole et d’expression.
De mon côté, depuis un an et demi, j’ai toujours soutenu la politique du président Huchon. Par pour lui plaire, mais parce qu’elle est juste et au service du plus grand nombre des Franciliens.
Mon ralliement à sa liste est donc une décision naturelle et logique.
Naturelle, car je n’ai renié aucune de mes convictions humanistes depuis mon adhésion à la majorité du président Huchon. Bien mieux, je suis désormais en phase avec les orientations de la région, mais aussi avec celles du maire de Paris, Bertrand Delanoë, pour lequel j’ai appelé à voter aux dernières élections municipales et avec lequel je partage tant de combats pour la liberté et l’égalité depuis 2001. Sans oublier Anne Hidalgo, présidente du CRIPS-Ile-de-France dont je suis vice président depuis plus de 10 ans.
Le soutien et l’appartenance à la liste PS se font sans qu’il ne m’ait été demandé de rejoindre une formation politique. Je ne suis pas encarté et ce sujet n’a pas été abordé.
Logique enfin, car je sais qu’à la région, si j’étais réélu sur les listes de Jean-Paul Huchon et d’Anne Hidalgo, je serais respecté et soutenu pour ces combats qui me tiennent tant à cœur : la lutte contre les discriminations et pour l’égalité et celle pour une politique forte de lutte contre le sida dans une région qui réunit la moitié des cas de sida de tout le pays.
Région qui, depuis 11 ans, - le séropositif que je suis ne peut pas l’oublier -, a mené une politique exemplaire dans ce domaine sous l’impulsion du président Huchon. C’est grâce à son soutien que j’ai pu faire voter à l’unanimité un amendement introduisant dans tous les accords de coopération internationale un volet relatif à la prévention du sida.
Jean-Luc Romero
7 décembre 2009
Lire aussi mon interview à Têtu: (ici)
Le DJ David Vendetta organise demain, vendredi 4 décembre, une soirée contre le sida dans la célèbre boîte parisienne « le Queen. » Je ne pourrai malheureusement être présent car je serais pour 3 jours en Guadeloupe. Mais la semaine dernière, j’ai tenu à aller rencontrer et féliciter David qui présentait cette soirée à la presse dans une suite du Park Hyatt.
C’est la première fois qu’un grand DJ international offre les bénéfices d’une soirée à la lutte contre le sida et souhaite ainsi sensibiliser les clubbers. Cette initiative méritait d’être encouragée et j’espère que vous serez nombreuses et nombreux à la soirée de David au Queen !