Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Medias - Page 46

  • Mon Edito dans le Journal 133 de l'ADMD : Ma mort m'appartient !

    Tout cela pour ça…
    Des années de rapports, d'avis, de missions, de commissions. Des heures de discussion au Parlement. Au final avec la mouture votée par les sénateurs (mais il y aura une seconde lecture) un texte qui flatte la frange la plus conservatrice des parlementaires, les militants anti-choix, les médecins les plus jaloux de leur pouvoir.
    Hydratation et alimentation ne seraient pas considérées comme des traitements. Il sera donc toujours possible de « gaver » des patients en fin de vie pour les empêcher de partir…
    Les directives anticipées ne seraient ni opposables ni contraignantes, même sous conditions.
    La sédation ne serait pas terminale.
    Voilà… Voulant ménager la chèvre et le chou, le pouvoir exécutif a réussi à ôter aux patients la moindre chance, non seulement de mourir en dignité, mais également de pouvoir user d'une porte de sortie, très éprouvante certes, mais abrégeant les agonies bien trop longues.
    Par leur inaction et leur incapacité à entendre les Français, les pouvoirs publics, notamment M. Leonetti, sont, par leur impuissance depuis 10 ans, responsables du drame de Vincent Lambert qui n'en finira plus de végéter, du drame de Jean Mercier qui sera toujours considéré comme un assassin, et de toutes les fins de vie brutales et douloureuses à venir de ceux que nous aimons et dont la volonté ne sera pas respectée.
    Quand se lèvera dans notre pays une nouvelle Simone Veil qui portera fièrement au Parlement notre combat de liberté, au nom du respect et de la dignité de chacun ?
    En seconde lecture, devant l'Assemblée nationale, les députés pro-euthanasie devront se compter. Ils seront sollicités. Ils devront répondre devant leurs électeurs. En 2017, il y aura des élections globales (présidentielle et législatives). Les 63 000 adhérents de l'ADMD ne seront pas amnésiques. Car, pour eux, n'en déplaisent aux élus anti choix, leur mort leur appartient... Ma mort m'appartient !
    Jean-Luc Romero,
    président de l'ADMD
    t : @JeanLucRomero

    ADMD133_COUV.jpg

  • Débat sur Public Sénat sur la fin de vie

    débat à partir de 9 min

    Lire la suite

  • Mon itw dans Nice Matin et Var Matin

  • Invité de Brigitte Lahaie à 15h30 sur RMC sur « Ma mort m’appartient ! »

    Ce lundi de 15h30 à 16h00, je serai l’invité de Brigitte Lahaie sur RMC à l’occasion de la sortie de mon dernier livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
    Lire aussi BFMTV.fr (ici).

    brigitte lahaie,jean-luc romero,rmc,admd,fin de vie

    brigitte lahaie,jean-luc romero,rmc,admd,fin de vie

    brigitte lahaie,jean-luc romero,rmc,admd,fin de vie

  • Mon edito au Crips-Info de juin

    Ouverture du mariage à tous les couples de même sexe, baisse des signalements à SOS Homophobie : autant d’éléments qui suffiraient à laisser penser que le constat à dresser, à quelques jours de la Marche des Fiertés LGBT de Paris, est particulièrement rose lorsque l’on est homosexuel en France ?
    Assurément, ce serait là un constat bien trop rapide et tout simplement faux. Au-delà du déferlement homophobe constaté lors des débats sur le mariage pour toutes et tous, ce serait oublier que, encore aujourd’hui, plus de 80% des LGBT évoquent au moins une situation discriminante vécue dans un des domaines de la vie quotidienne. Concrètement, trop souvent, les jeunes homosexuels ne peuvent vivre leur homosexualité sans se cacher, en élaborant donc des stratégies pour ne pas être « découvert ». Les conséquences de cette impossibilité de vivre normalement leur sexualité, elles sont aussi dramatiques que largement documentées : mal-être, honte, isolement, prises de risques pour leur santé, tentatives de suicide à un niveau extrêmement haut… C’est pourquoi, afin de soutenir les jeunes gays, de les aider, de les orienter, le Crips Île-de-France a lancé l’application « Tony, jeune gay ». En somme une sorte de grand frère qui conseille, informe et aide ! Assurément un dispositif impactant qui vise à améliorer la santé des jeunes homosexuels, santé pris dans le sens légitime donné par l’OMS : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ».
    Une définition retenue également par la projet de loi de santé qui inclut, pour le moment et avant les débats devant le Sénat, des avancées fort intéressantes portées par des objectifs ambitieux, notamment quant à un renforcement fort de la prévention tout au long de la vie et de l’éducation pour la santé. Mesures sur le tabagisme, l’alcool, le tiers-payant, les salles de consommation à moindre risque, les TROD, les auto-tests, autant de mesures qui auront à n’en pas douter un réel impact sur la santé publique. Evidemment au Crips, on souscrit totalement à cette approche, nous qui, au quotidien tentons d’apporter aux jeunes, quelle que soit leur situation, les moyens et les outils pour faire des choix éclairés quant à leur santé. « Contentons-nous de faire réfléchir. N’essayons pas de convaincre »…

    crips,jean-luc romero,sida,gay,homophobie

  • Les 20 ans d'ELCS sur MCE

  • Article de Presse Océan sur ma dédicace de Nantes

    presse romero nantes.jpg

  • Ma Tribune dans Le Monde des 14/15 juin sur la fin de vie

    Les sénateurs vont discuter, à partir du mardi 16 juin, de la proposition de loi Claeys-Leonetti visant à réformer la législation française sur la fin de vie en créant de nouveaux droits pour les personnes malades et les personnes en fin de vie ; ce texte voté en première lecture à l’Assemblée nationale le 17 mars dernier.
    Mais alors que les Françaises et les Français demandent la légalisation de l’aide active à mourir grâce à un geste (euthanasie comme aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, au Canada ou suicide assisté comme en Suisse, dans l’Orégon) qui permettrait de mettre un terme à une agonie longue, douloureuse et dégradante, il est proposé de légaliser la sédation terminale, c'est-à-dire une anesthésie accompagnée d’une dénutrition et d’une déshydratation.
    Pourquoi nos élus – et nos gouvernements – ne veulent-ils pas entendre cette revendication presque unanime d’une liberté de choix en fin de vie ?
    Certains nous répondent que, par son serment, le médecin doit rechercher le soulagement de la douleur et non aider à mourir. Pourtant, le médecin qui sédate puis retire les sondes qui hydratent et alimentent artificiellement un patient sait bien que le corps va lâcher. Ce qu’il ne sait pas, c’est à quel moment.
    D’autres nous répondent que le « laisser mourir » ou le « faire dormir » serait plus humain que l’administration d’un produit létal. Que dire alors des médecins français qui pratiquent déjà illégalement l’euthanasie dans notre pays (0,8% des 571.000 décès annuels, selon une étude de l’Institut national des études démographiques – Ined – soit plus de 4.500 euthanasies par an). Et que dire aussi des médecins néerlandais, belges, luxembourgeois, qui ont le même serment d’Hippocrate, font ce geste de compassion et ne sont pas moins humains que les médecins français qui s’y opposent ; au contraire, même, puisqu’ils savent qu’une vie a naturellement une fin et qu’il ne sert à rien de s’acharner…
    D’autres, encore, nous disent que la vie serait sacrée. Mais dans notre démocratie laïque, la vie n’appartient qu’à nous-mêmes. Et à personne d’autres. Les femmes ont su obtenir le droit de disposer de leur propre corps en obtenant le droit à l’IVG ; nous devons obtenir pour tous le droit de mourir dans la dignité ; un droit, et non une obligation.
    Plusieurs parlementaires favorables à l’euthanasie – et notre premier ministre auteur d’une telle proposition de loi en 2009 – recherchent le consensus pour ne pas opposer les Français. Certes. Mais selon les sondages, entre 86 et 96% des Français se prononcent en faveur de la légalisation de l’euthanasie. Le jury citoyen réuni en décembre 2013 à l’initiative du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a demandé que soit appliqué un geste létal à toute personne en fin de vie qui en ferait la demande, que ce geste soit accompli par le patient lui-même ou par un tiers, médecin ou accompagnant. S’il doit y avoir consensus, il doit se faire sur la légalisation de l’euthanasie.
    Quant au président de la République – signataire de cette proposition de loi en 2009 – il souhaite obtenir un accord de la représentation nationale…Heureusement qu’on n’a pas attendu un accord sur le droit de vote des femmes, un accord sur le divorce par consentement mutuel, un accord sur l’IVG, un accord sur l’abolition de la peine de mort, un accord sur la dépénalisation de l’homosexualité, un accord sur le mariage pour tous… Nous vivrions encore au moyen-âge ! L’accord de toutes les parties, c’est le plus petit dénominateur commun.
    Alors que Vincent Lambert est balloté entre la perspective d’une longue mort de faim et de soif sous le régime de la sédation, et les recours juridiques en cascade intentés par une étrange mère, les parlementaires doivent ouvrir un nouveau droit à ceux qui, librement et en conscience, le demandent. Ils doivent autoriser ceux pour qui la vie n’est plus qu’une survie illusoire à partir dignement. Ils doivent légaliser, comme le demandent les Français, une véritable aide active à mourir, humaine et responsable.
    Jean-Luc Romero
    Président de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité

  • Débat sur la fin de vie à 19h10 sur Public Sénat

    Alors que le Sénat a débuté, cet après-midi, la discussion sur la proposition de loi sur la fin de vie, je débattrai de ce texte sur Public Sénat ce mardi, à partir de 19h10.

    PublicSénat2015TV.JPG

    sénat,jean-luc romero,admd,fin de vie,politique,france

    sénat,jean-luc romero,admd,fin de vie,politique,france

  • Conférence de presse au Sénat sur la Ppl fin de vie

    A l'occasion de l'examen au Sénat de la proposition de loi sur la fin de vie, je participerai à une conférence de presse au Sénat à 10h30 aux côtés des sénateurs Corine  Bouchoux (EE-LV); Olivier Cadic (UDI); Annie David (PC), Joëlle Garriaud-Maylam (UMP), Jean-Pierre Godefroy, Georges Labazee et Alain Néri (PS).

    sénat,jean-luc romero,admd

    sénat,jean-luc romero,admd

  • "Ma croisade" dans Sud Ouest...

    06 01 2015 Sud Ouest Romero ADMD.jpg

  • Invité de Radio Totem à 8h05

    radio totem,jean-luc romero,vincent lambertCe jeudi 11 juin, à 8h05, je serai l'invité de Radio Totem sur l'affaire Vincent Lambert.

  • Débat chez Olivier Galzi sur Itélé à 22h45

    Je participerai au début d'Olivier Galzi sur Itélé sur l'affaire de Vincent Lambert ce mercredi à 22h45.

    itélé,jean-luc romero,olivier galzi,vincent lambert

  • Invité du Grand Journal de Canal Plus à 19h00

    Je serai l'un des invités du Grand Journal de Canal Plus sur l'affaire Vincent Lambert alors qu'est diffusée une vidéo volée et tronquée dans les médias et les réseaux sociaux de Vincent.

    vincent lambert,jean-luc romero,canal plus

    vincent lambert,jean-luc romero,canal plus

    vincent lambert,jean-luc romero,canal plus

  • Ma réunion ADMD de Pau dans La République des Pyrénées

    06 01 2015 LA R2PUBLIQUE pAU Romero ADMD.jpg

  • Invité de France Bleu Loire Océan à 7h40

    A l'occasion de mon déplacement à La Roche-sur-Yon (ce vendredi) et Nantes (samedi) pour l'ADMD et pour mon livre "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?", je suis l'invité de France Bleu Loire Océan ce vendredi à 7h40.

    france bleu océan,jean-luc romero,admd,politique,nantes

  • Invité de Place Publique sur France Bleu Alsace vendredi à 7h15

    france bleu alsace,jean-luc romero,vincent lambertAlors que la décision concernant Vincent Lambert sera rendue vendredi en fin de matinée, je serai l'invité de France Bleu Alsace dans l'émission Place Publique à 7h15.

  • Mon itw dans L'Incisif sur la fin de vie par Benjamin Bousquet

    Acteur de la scène politique depuis plus de 15 ans, Jean-Luc Romero était très présent sur les plateaux télévisés lors du débat sur le mariage pour tous. Cette fois, dans un entretien pour L'Incisif, il partage son opinion en faveur de l'euthanasie. D'un sujet de société qui divise à  un autre, le maire-adjoint chargé de la culture et du tourisme du 12ème arrondissement, montre qu'il est avant tout un homme de combat.
    A lire sur le site de l'Incisif (ici).

    --------

    Par sa proposition 21, François Hollande a promis de légaliser «une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité». Ce qui reviendrait, même si le mot n’a jamais été prononcé, à autoriser l’euthanasie «sous certaines conditions». Un débat de société qui une fois de plus est susceptible de fortement diviser?

    Cette question est la seule question sur laquelle il y a un consensus dans ce pays. Hors classes politiques, cette question interpelle le peuple. Que ce soit Libération, Le Figaro ou La Croix qui publie un tel sondage, l’écart entre ceux qui sont pour et ceux qui sont contre est toujours assez conséquent. Aujourd’hui, les Français veulent légaliser l’euthanasie. Moi qui connaît bien le débat sur le mariage pour tous, pour y avoir grandement participer, le contexte n’est ici pas du tout le même. La question religieuse peut avoir un poids, mais contrairement au mariage gay, la question ne se scinde pas en deux camps: gauche ou droite. Je suis président de l’association pour le droit de mourir dans la dignité, qui compte aujourd’hui 63 000 adhérents, et tous ne votent pas à gauche, loin de là. C’est l’une des questions-consensus, les plus compliquées pour la sphère politique aujourd’hui. Le problème, c’est qu’un certain nombre de responsables politiques, traumatisés par le débat sur le mariage pour tous, ont bien du mal à se plonger dans cette nouvelle problématique. C’est dommage car cela interpelle beaucoup de gens, on le voit aujourd’hui.

    La loi Leonetti ne «règle» pas tous les cas, aussi parce que chaque situation est unique et nécessite du «sur mesure»…

    Même si je pouvais dire le contraire à une époque, pour moi, la loi Leonetti est devenue une régression, parce qu’elle ne place pas celui qui meurt au centre de la décision. Ce sont les personnes autour du lit, comme l’entourage ou les médecins qui décident de tout, et j’aimerai qu’on sorte de ça. Il y a tant de débat aujourd’hui autour de cette loi, cela prouve bien son manque d’efficacité, voire même ses dérives cruelles: je rappelle qu’il y a notamment la clause du «laisser-mourir» où l’on arrête d’alimenter les gens. Ce sont des pratiques ancestrales. La volonté de la personne concernée, du patient, doit être désormais au centre d’une nouvelle législation. Dans mon dernier livre «Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils?» qui vient de paraître chez Michalon, je démontre en cinq exemples l’échec de 10 ans de politique sur la fin de vie: échec du développement des soins palliatifs, échec de la lutte contre l’obstination déraisonnable, échec du développement des directives anticipées, graves dérives avec 3400 personnes qui reçoivent un produit létal sans avoir rien demandé,…

    En France, se pratiquent d’ores et déjà des euthanasies. Pour vous, est-il enfin temps de sortir de cette hypocrisie ?

    Selon l’Ined, en France, il y aurait 0,8% d’euthanasie pratiquées, dans un pays qui est censé l’interdire. Donc oui, il faut sortir de cette hypocrisie.

    L’hypocrisie actuelle ne permet-elle pas la tolérance de la transgression? Ou si l’on devait résumer, n’est-il finalement pas préférable que l’euthanasie soit pratiquée mais reste illégale?

    Oui mais qui décide cette transgression? Ce sont les médecins. J’ai un respect immense pour cette profession, mais cette décision ne doit pas appartenir à ces derniers. Les dérives que j’évoquais précédemment existent par manque de cadre légal. Le problème c’est qu’aujourd’hui on fantasme sur les pays qui pratiquent légalement l’euthanasie. On dit de ces pays qu’ils tuent à tout va, qu’il y a des dérives et des abus dans tous les sens. Tout ceci est faux, des études le prouvent. Il y a peu, on entendait que toutes les personnes âgées hollandaises et belges fuyaient leur pays de peur qu’on les euthanasies. Il a fallu l’intervention des pays en question pour dire d’arrêter d’inventer de telles choses. Une loi pour l’euthanasie, ça évite les dérives, et ça protège pour ceux qui veulent vivre jusqu’au bout, parce que ça pose des principes. Cette loi, elle protège les patients. C’est le but ultime d’une loi.

    On parle beaucoup de dignité et d’ultime liberté pour appuyer la légalisation de l’euthanasie. Certains cas, de personnes physiquement atteintes, restent très durs à déterminer. L’ultime liberté d’un individu, ne serait-ce pas aussi de pouvoir continuer d’espérer alors que tout s’y oppose? Beaucoup de médecins s’accordent souvent à dire que, dans bien des cas, le dernier à espérer reste le patient lui-même.

    Bien-sûr qu’il existe des personnes qui peuvent changer d’avis. S’ils n’ont rien écrit, et qu’ils sont dans l’incapacité de le faire, il y a autre chose à imaginer, évidemment. Ceux qui font des raccourcis hâtifs pensent, qu’en tant que personne favorable au droit de mourir dans la dignité, je suis prêt à condamner toutes celles et ceux qui sont dans un état léthargique, où même communiquer avec le monde extérieur est impossible. C’est évidemment faux.

    Qui plus est, il y en a qui ont des vraies convictions dans ce domaine également. Nicole Boucheton, la vice-présidente de l’ADMD (Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité), atteinte d’un cancer, est partie en Suisse et, malgré ses convictions initiales. Elle a changé d’avis. Elle ne voulait pas avoir une vie qui n’en n’était pas vraiment une. Souvenons-nous aussi d’une chose: nous sommes le pays qui compte le plus de suicides chez les personnes âgées parmi nos voisins européens. C’est une donnée à prendre en compte. Encore une fois, l’avis du patient lui-même, doit être au cœur de ce projet de loi.

    Les médecins qui sont opposés à l’euthanasie, n’ont pas décidé un jour de se lancer dans la médecine pour tuer les gens mais pour les sauver…

    On peut comprendre leurs positions, mais il faut aussi avoir la modestie de savoir que la vie d’un être humain a une fin. Si la personne souhaite être sauver coûte que coûte, cela va sans dire qu’il faut lui apporter toute l’aide possible. Mais si cette personne ne veut pas? Le médecin, aussi charitable soit-il, ne doit pas sortir de son rôle. Il ne faut pas dire «tuer», ici, il s’agit d’accompagner une personne en fin de vie.

    Si la loi venait à passer, seriez-vous favorable à une clause de conscience pour les médecins?

    Tous les pays qui ont légalisé l’euthanasie, ont cette clause de conscience. J’y suis bien-sûr favorable également. Avec les nombreuses études qui existent sur le sujet, on se rend compte que la majorité des médecins le font et très peu utilisent une clause de conscience. Le cas de la Belgique en est le meilleur exemple.
    A lire (ici).

  • Invité du Livre France sur RFI à 7h50

    Avis aux leve-tôt !
    Ce dimanche, à 7h50, je serai l'invité de RFI dans Le Livre France pour "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?"

    rfi,jean-luc romero

  • Invité d’Isabelle Young sur France Bleu Béarn à 18h00

    A l’occasion de ma réunion publique ADMD à Pau de demain et de la dédicace de « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir les politiques le savent-ils ? », je serai l’invité de Isabelle Young sur France Bleu Béarn vers 18h00.

    france bleu béarn,jean-luc romero,admd,euthanasie,pau

    france bleu béarn,jean-luc romero,admd,euthanasie,pau

    france bleu béarn,jean-luc romero,admd,euthanasie,pau