Invité de RCF Isère à 8h00
A l'occasion de mon déplacement à Grenoble, je serai l'invité de RCF Isère ce lundi à 8h00 pour évoquer la lutte conre le sida.
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A l'occasion de mon déplacement à Grenoble, je serai l'invité de RCF Isère ce lundi à 8h00 pour évoquer la lutte conre le sida.
A l’occasion de mon déplacement à Grenoble ce lundi, je serai l’invité de la rédaction de France Bleu Isère à 7h50.
L’interview sera rediffusée dans le JT du midi.
A l’occasion de la sortie de « Ma mort m’appartient ! – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils », je suis l’invité de Marc-Olivier Fogiel sur RTL à 18h35.
A l'occasion de la sortie de mon livre "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?" -, je serai l'invité de Nathalie Lévy sur BFM-TV à 21h00.
Ce jeudi 9 avril 2015, je suis l’invité de France 3 Limousin à 12h00 à l’occasion de mes réunions fin de vie de Limoges et Guéret.
Je rappellerai bien sûr la position de l’ADMD sur la loi fin de vie actuellement en discussion en commission au Sénat et de mon prochain livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les élus le savent-ils ? » qui sort le 16 avril aux éditions Michalon. ( Le commander sur Amazon (ici)]
Ce mardi 7 avril, je serai invité de Sophie Davant dans "L'histoire continue" sur France 2, vers 15h, quelques années après avoir été invité sur le même plateau par le regretté Jean-Luc Delarue. Ce sera l'occasion pour moi de revenir sur la révélation de mon homosexualité et de ma séropositivité, mon combat contre le sida et bien sûr celui pour une fin de vie digne. Mon nouveau livre "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils?" qui sort dans une semaine, le 16 avril, sera aussi présenté.
Ce dimanche, à 18h00, avec Eddie Aït, conseiller régional d'Ile-de-France, je serai l'invité de Nicolas Kirilowits sur Radio Sensations pour parler de la lutte contre le sida à l'occasion de la fin du Sidaction.
Vous retrouverez la vidéo du Grand Journal de jeudi où je participe au lancement du Sidaction 2015. Avec le langoureux baiser d'Antoine de Caunes ! Merci à Antoine d'aider à faire tomber les préjugés...
J’animerai une réunion publique de l’ADMD ce vendredi 27 mars, à 18h00, à la Charité à Béthune.
Outre de mobiliser pour l’ultime liberté, je suis heureux de le faire dans ma ville de naissance à laquelle je reste très attaché et où vit toujours ma… maman.
A l'occasion du Sidaction 2015, je participerai ce vendredi à partir de 10h05 au débat de Sud Radio.
Avec le professeur Willy Rozenbaum et Christophe Dechavanne, je suis invité du Grand Journal de Canal Plus, à 20h00, pour le lancement du Sidaction qui démarre demain.
Que répondre à ceux qui pensent que la proposition de loi de MM. Claeys et Leonetti, votée en première lecture à l’Assemblée nationale le mardi 17 mars 2015, est une avancée ?
Voyons cela point par point…
A l’article 2, alinéa 3, il est indiqué que « La nutrition et l’hydratation artificielles constituent un traitement. » Cela est vrai depuis la loi Kouchner de 2002. Il y a 13 ans déjà. Avancée ? Non, statu quo…
A l’article 3, alinéa 5, il est indiqué que « lorsque le patient ne peut pas exprimer sa volonté et au titre du refus de l’obstination déraisonnable mentionnée à l’article L. 1110-5-1, dans le cas où le médecin arrête un traitement de maintien en vie, le médecin applique une sédation profonde et continue provoquant une altération de la conscience maintenue jusqu’au décès associée à une analgésie. » Cela existe déjà depuis le décret 2010-107 du 29 juillet 2010, dans son article 2, qui prescrit la mise en œuvre des traitements sédatifs en cas d’arrêt des traitements curatifs ; décret signé par François Fillon, premier ministre, Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé, et Michèle Alliot-Marie, garde des Sceaux. Avancée ? Non, statu quo…
A l’article 8, à propos des directives anticipées qui seraient, selon certains, opposables et contraignantes... Outre le fait que les directives anticipées existent déjà dans l’article L. 1111.11 du code de la santé publique, dans le nouveau texte « elles s’imposent au médecin, pour toute décision d’investigation, d’actes, d’intervention ou de traitement, sauf en cas d’urgence vitale pendant le temps nécessaire à une évaluation complète de la situation. Si les directives anticipées apparaissent manifestement inappropriées, le médecin doit solliciter un avis collégial. La décision collégiale s’impose alors et est inscrite dans le dossier médical. » Donc, le médecin restera, dans les faits, libre d’appliquer ou pas les directives anticipées. Avancée ? Non, statu quo…
De plus, dans ce même article 8, il est précisé que ces directives anticipées « sont rédigées selon un modèle unique dont le contenu est fixé par décret en Conseil d’Etat après avis de la Haute Autorité de santé ». Jusqu’à présent, ces directives anticipées pouvaient être rédigées sans aucun formalisme, sur papier libre. Aujourd’hui, une contrainte de forme existe. Avancée ? Non, régression…
Au final, cette proposition de loi que beaucoup de parlementaires nous présentent comme une avancée – certains ravis de détourner l’attention des Français de leurs promesses de campagne non tenues, certains autres ravis de ne rien changer à une loi dogmatique – n’est qu’un ripolinage consensuel et politicien de la loi actuelle.
Pendant ce temps, les Français vont continuer de mal mourir, de connaître les affres de la dénutrition et de la déshydratation qui se traduisent par une agonie, le rabougrissement d’un corps qui va se décharner et dont les muscles vont s’atrophier, des souffrances psychologiques pour le patient, pour ses proches et pour l’équipe soignante. Et qui sera responsables de ces agonies ? Personne. Comme toujours.
Eh bien non. Les parlementaires qui voteront ce texte, ce mardi après-midi, seront comptables de ceux que nous aimons et qui mourront mal. Au regard des consciences, au moins. Un bien faible prix à payer pour leur manque de courage politique.
Jean-Luc Romero
Président de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité
Mardi 17 mars 2015 - Le Huffington Post (ici)
Alors que les députés doivent adopter le funeste projet Leonetti sur la fin de vie, je serai l’invité de Wendy Bouchard sur Europe 1 à 13h30 pour un débat avec un adversaire de l'euthanasie.
Je serai l’invité de l’émission « L’oreille indiscrète » sur Radio Pluriel ce lundi à 12h00 pour évoquer la question de la fin de vie.