Il y a un an, Vincent Lambert était libéré de ses souffrances.
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Personne ne peut se réjouit de la mort d'un homme mais c'est un long calvaire de 11 ans qui s’achève pour Vincent Lambert.
Toutes mes pensées vont vers lui, son épouse Rachel, toute sa famille et ses proches.
Le législateur doit enfin prendre ses responsabilités pour que, plus jamais une famille ne vive un tel drame en définissant qui décide dans une telle situation.
Sur CNEWS, invité de Thomas Hugues, j’ai rappelé l’importance de rédiger des directives anticipées pour éviter d’être dans la situation de Vincent Lambert !
33 décisions de justice ont reconnu l’obstination déraisonnable : il est temps de les apppliquer pour libérer Vincent.
Je serai l'invité du journal de LCP-AN à 20h15 à propos de l'arrêt des soins de Vincent Lambert et de la question de la fin de vie.
A l'occasion de la décision de la Cour d'appel de demander la reprise des traiteras à Vincent Lambert, j'interviendrai sur LCI, France Bleu Ile-de-France, RFI, RMC, TV5 Monde et BFM TV, tout au long de la journée.
Ce mardi 29 septembre 2015, à 15h00, je serai l'invité du journal de LCI pour évoquer les nouveaux recours judiciaires dans l'affaire Vincent Lambert.
Je rappelerai, qu'il y a bien longtemps, j'ai proposé d'amender la loi sur la fin de vie pour éviter qu'à l'avenir, aucune famille ne se retrouve dans un tel conflit. La mesure est simple. M. Leonetti n'a toujours pas répondu à ma proposition de bon sens !
Ce mercredi 15 juillet, a 7h15, je serai l'invité de France Info sur l'affaire Vincent Lambert et la fin de vie.
Ce jeudi 11 juin, à 8h05, je serai l'invité de Radio Totem sur l'affaire Vincent Lambert.
Je participerai au début d'Olivier Galzi sur Itélé sur l'affaire de Vincent Lambert ce mercredi à 22h45.
Je serai l'un des invités du Grand Journal de Canal Plus sur l'affaire Vincent Lambert alors qu'est diffusée une vidéo volée et tronquée dans les médias et les réseaux sociaux de Vincent.
Alors que la décision concernant Vincent Lambert sera rendue vendredi en fin de matinée, je serai l'invité de France Bleu Alsace dans l'émission Place Publique à 7h15.
Ce mercredi, à 7h30, je serai l'invité du JT de France Bleu à 7h15 pour évoquer la décision du Conseil d'Etat et de la Cour européenne sur Vincent Lambert.
Le Conseil d'Etat se prononce en faveur de la délivrance de Vincent Lambert, mais dans des conditions qui restent cruelles par l'application d'une loi hypocrite et inhumaine
Oui, il faut une nouvelle loi sur la fin de vie. Non, à une loi Leonetti de gauche
Dans sa décision rendue ce mardi, le Conseil d'Etat autorise les médecins du jeune Vincent Lambert à mettre en oeuvre la loi du 22 avril 2005 et les décrets qui s'y rattachent, notamment celui du 29 janvier 2010. C'est ainsi qu'une sédation sera appliquée et que, selon les termes en vigueur, la médecine va se retirer (retrait des sondes). C'est donc l'application du « laisser mourir », selon l'expression même de Jean Leonetti.
Vincent Lambert, sédaté, va donc mourir de dénutrition et de déshydratation. Espérons, dans un souci d'humanité, que cela ne sera pas trop long et trop pesant pour lui et pour ceux qui l'aiment, au premier rang desquels son épouse courageuse, Rachel, et son neveu François.
Jean-Luc Romero, président de l'ADMD, rappelle tout de même la cruauté de ce qu'a enduré Vincent Lambert : des années d'état végétatif, des mois de déchirement familiaux pour se rendre à l'évidence : Vincent Lambert, par un coup du sort tragique, est à la fin de sa vie et il ne sert à rien de maintenir artificiellement ce sursis cruel, contre sa volonté maintes fois exprimée.
Plus que jamais, la loi Leonetti a fait la preuve de son incapacité à régler les difficultés de fin de vie que rencontrent nos compatriotes. Devant ses imprécisions, plus personne ne prend de décision et les familles se déchirent, et c'est à la justice, in fine, qu'il appartient de trancher. Ce n'est pourtant pas son rôle. Il faut donc qu'une nouvelle loi remplace la législation actuelle pour replacer le patient et ses volontés au centre de toutes décisions de fin de vie. C'est ainsi que l'on évitera les drames, c'est ainsi que l'on évitera les conflits d'intérêt. C'est ainsi, enfin, que plus personne ne connaîtra le destin tragique du jeune Vincent Lambert, jeune corps supplicié et empêché de s'éteindre sereinement et dignement.
Par ailleurs, l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité conteste le choix du Gouvernement de confier à Jean Leonetti le soin de modifier la législation sur la fin de vie. Comment celui qui s'est toujours opposé à placer le patient au coeur de toute décision de fin de vie, y compris l'administration d'un produit létal, pourrait-il répondre à la promesse faite aux Français par François Hollande et satisfaire le rapporteur de la proposition de loi relative au droit de finir sa vie dans la dignité que fut Manuel Valls en 2009 ? L'ADMD sera très vigilante au texte qui sera présenté au Parlement. En aucun cas, il ne devra s'agir d'une loi Leonetti de gauche, rédigée dans un consensus mollasson. Il faut une loi de rupture, et pas la énième version de la loi du 22 avril 2005 dont on connaît l'incapacité à trouver des solutions dignes et humaines.
A l'occasion de la décision sur l'affaire Vincent Lambert, je serai l'un des invités du Grand Journal de Canal Plus à 19h05.
Je commenterai la décision du Conseil d'Etat qui devrait être rendue à 16h00 par le Conseil d'Etat à 16h30, en direct, sur I-Télé.