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Santé - Page 99

  • Lancement de l'ADMD Tour à la Bastille à 15h - Paris 12

    Christophe Michel et Mélanie Raphaël, co respnsables des Jeunes ADMD, lancent la deuxième édition de l'ADMD Tour ce dimanche de 12h à 17h00 place de la Bastille dans le 12ème arrondissement de Paris. Un village associatif accompagnera ce lancement. Le bus sera inauguré à 15h00 par le célèbre animateur de Fort Boyard, Olivier Minne.
    Inutile de vous dire à quel point, en tant que président de l'ADMD, je suis fier de voir cette mobilisation des jeunes pour notre Ultime Liberté. L'ADMD Jeunes ne fait que progresser et c'est un véritable signe d'espoir...

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  • Sortie du guide API d'ELCS à 18h30 à la Concrète à Paris 12

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  • Mon Edito dans Le Journal de l'ADMD

    La séquence qui va s’ouvrir en septembre va être militante, citoyenne, politique. Avec notre assemblée générale qui se tiendra à Antibes le samedi 10 septembre (Antibes, la ville dont Jean Leonetti est le maire), l’ADMD et ses presque 68.000 adhérents va réaffirmer haut et fort sa revendication constante portée depuis sa création en 1980 : le droit de choisir librement et en conscience les conditions de sa propre fin de vie, c'est-à-dire le choix entre un accès universel aux soins palliatifs (prévu pourtant dans la loi de 2002 mais toujours en nombre notoirement insuffisant), la légalisation de l’euthanasie active et la légalisation du suicide assisté. Et ceci pour l’unique raison que notre corps nous appartient. A nous, et pas aux voleurs de liberté…
    Le 2 novembre 2016, pour la Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, les adhérents et sympathisants de l’ADMD seront appelés à se rassembler pour rappeler le souvenir de ceux de nos proches qui sont morts dans des conditions qu’ils n’ont pas souhaitées.
    Ensuite, en mars 2017, une grande réunion publique, comme le 24 mars 2012, nous permettra d’entendre les positions en matière de fin de vie des différents candidats à l’élection présidentielle. Un site d’interpellation reprendra ces informations et également les prises de position sur notre sujet des candidats aux élections législatives qui suivront l’élection présidentielle. Chaque adhérent, d’un simple clic, pourra rappeler son appartenance à l’ADMD et réaffirmer son droit à l’autodétermination en fin de vie.
    Dans toutes nos délégations, les délégués, leurs adjoints, les militants les plus actifs, iront au contact des Français pour leur demander d’appuyer, auprès des futurs élus, notre conviction qu’il existe une possibilité, dans notre pays, de mourir dignement ; ce qui existe déjà aux Pays-Bas, en Belgique et au Luxembourg.
    Comme ce fut le cas en 2012 où la question de la fin de vie a été, grâce à nous, au cœur des débats, nous porterons dans la campagne électorale la parole de ceux qui souffrent, de ceux qui ont vu des proches souffrir, et de toutes celles et de tous ceux qui se sont sentis trahis par des promesses non tenues, des artifices parlementaires, des discours confus et des désertions.
    Avec ses presque 68.000 adhérents, l’ADMD est une force que les partis politiques ne devraient ni négliger, ni mépriser. Car après tout, combien peuvent se vanter d’être aussi nombreux et mobilisés que nous ? Bien peu…
    Jean-Luc Romero,
    Président de l'ADMD
    @JeanLucRomero

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  • Sortie du guide API d'ELCS le 30 juin à 18h30 à la Concrète à Paris 12

    Le Guide API (Action, Prévention, Information) a été créé pour mieux informer les élus, les professionnels de santé, les associations de patients sur le VIH/sida, les IST, les hépatites virales et sur la lutte contre les discriminations.
    Il sera présenté au cours d'une manifestation conviviale ce jeudi 30 juin 2016 à 18 heures 30 à la Concrète Port de la Rapée, Paris 12e. (Métro Gare de Lyon)

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  • Débat sur la fin de vie au PRG

    A l'invitation de Eddie Ait, je suis l'invité du Forum pour une nouvelle France organisé par le PRG sur le thème de la fin de vie ce lundi, à 19h30. Le combat pour une fin de vie choisie continue plus que jamais !

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  • #LeTalkDuLundi à 12h00 sur Périscope et Twitter

    Comme tous les lundis, je vous retrouve à 12h00 sur Périscope et Twitter pour parler fin de vie dans #LeTalkDuLundi.
    Et n'hésitez pas à poser vos questions !

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  • Toutes et tous aux Solidays !

    Dernier jour des Solidays...
    Une foule considérable se presse sur les pelouses de Longchamp pour assister aux concerts, mais aussi aux débats et rencontrer les associations solidaires qui sont nombreuses à être représentées.
    Ce festival, soutenu fortement par la région Ile-de-France depuis longtemps, est un moment fort du calendrier annuel des manifestation françaises contre le sida.
    Toutes et tous aux Solidays !

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  • Mon intervention pour "Une Ile-de-France sans sida" au conseil régional

  • Solidays 2016 : Fin du sida et lutte contre la sérophobie ! (ma tribune dans The Huffington Post)

    Les Solidays se déroulent tout ce week-end. Cette manifestation, qui concilie concerts et solidarité, demeure essentielle car 37 millions de personnes vivent avec le VIH/sida dans le monde, 150.000 en France. Jamais autant d'hommes et de femmes n'auront vécu avec le VIH/sida ici et ailleurs et pourtant, alors que près de 4000 personnes continuent à en mourir quotidiennement dans le monde, on n'a jamais si peu parlé du VIH/sida. Pire, dans nos pays dits riches, cette maladie est devenue invisible car les personnes ont peur, encore et je dirai même plus que jamais en 2016, de dire leur séropositivité.
    Voilà le constat plus 30 ans après la découverte du virus. Croyez bien que je me sens souvent bien isolé en étant le seul élu de notre pays à avoir dit vivre avec ce virus. Et, en même temps, je comprends mes compagnons d'infortune. Dire son VIH conduit souvent aux discriminations. Toutes les études en attestent.
    Alors, à celles et à ceux qui banalisent le sida, je veux leur rappelle que plus de 20 millions de personnes touchées dans le monde n'ont pas accès aux traitements et meurent dans une indifférence glacée. Et dans notre pays où nous avons la chance d’avoir accès aux nouveaux traitements, la vie avec le VIH demeure une vie d'épreuves et d'embûches.
    Ces difficultés quelles sont-elles ?
    Difficulté, voire impossibilité, pour beaucoup de se construire une vie affective et sexuelle, tant les gens restent terrorisés face à cette maladie. Paradoxalement, on a plus peur des malades que de la maladie…
    Difficulté dans la vie professionnelle : le risque d’être sans emploi est 5 fois plus élevé pour une personne séropositive que pour la population générale. Et ce sont 62% des personnes séropositives qui ne disent pas ou ne peuvent pas dire leur séropositivité au travail.
    Difficulté, voire une quasi impossibilité de contracter un prêt pour acheter un appartement, créer une entreprise alors que nous avons presque la même espérance de vie que les personnes séronégatives ! Difficulté de voyager et s'installer à l'étranger car, tels des lépreux des temps modernes ou des terroristes, 35 pays nous interdisent encore leur territoire.
    Discriminées enfin jusqu'à la mort car en France, contre les avis de tous les organismes scientifiques ou éthiques, les personnes séropositives n'ont pas droit aux soins de conservation à leur mort et souvent mis dans un cercueil sans que leurs proches puissent leur rendre un ultime hommage.
    Malgré tout cela, l'espoir est aussi là… Un monde sans sida, c'est possible. C'est réalisable si nous nous y mettons tous, États, ONG, collectivités locales. D’ores et déjà des initiatives politiques fortes sont prises : Paris et la région Île-de-France ont ainsi voté d’ambitieux plans pour atteindre les objectif onusiens des « 90-90-90 » en 2020 et stopper les contaminations en Île-de-France à l’horizon 2030.
    Concrètement, la science a prouvé comment y arriver :
    En promouvant la prévention diversifiée, un accès au dépistage le plus large et le plus régulier possible au regard des situations d’exposition au VIH, une mise sous traitement immédiate en cas de découverte de séropositivité.
    En mettant en place une politique de lutte contre les discriminations et la précarité que subissent de plein fouet les personnes touchées par le VIH. Nous n’obtiendrons de vrais résultats qu’en mettant les personnes séropositives au cœur de la réponse, en tant qu’acteurs de prévention à part entière.
    En œuvrant avec les personnes, prioritairement celles et ceux qui sont plus exposées au VIH (HSH, migrants, transsexuels, travailleurs et travailleuses du sexe) et ce, sans dogmatisme ni déni de réalité.
    Un monde sans sida est possible.
    Une utopie qu’on n’osait à peine formuler il y a quelques années.
    Un rêve que je n'aurais pu imaginer possible, un jour de septembre 1987, où j'apprenais ma propre séropositivité.

  • Ma réunion d'Aurillac sur la fin de vie dans La Montagne

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  • Mon intervention à la région sur la prévention santé pour les jeunes

    Orientations pour une politique régionale de prévention santé en faveur des jeunes

     

     

    Madame la présidente, madame la vice-présidente, mes chers collègues,

    Vouloir mener une ambitieuse politique de prévention santé à destination des jeunes est un objectif que, je crois, nous partageons toutes et tous sur ces bancs, quelque soit le groupe politique auquel nous appartenons.
    L'hygiène de vie, la nutrition, l'éducation à la vie sexuelle et affective, le mal être et les conduites addictives sont effectivement des questions déterminantes pour la santé des jeunes.
    Mais le plus difficile reste de définir vraiment cette politique et surtout de trouver les moyens financiers pour la mettre en œuvre.
    Avec ce seul rapport qui est à notre disposition, il nous est, vous en conviendrez, très difficile de nous positionner sur les thématiques, certes fort légitimes, mais nous n'avons pas une vision précise des besoins réels et surtout des actions que mènent déjà de nombreux acteurs dans ces domaines.
    En effet, nous n'arrivons pas sur un terrain en friche et ces questions sont portées par d'autres structures associatives ou par d'autres collectivités territoriales. D'où la nécessité d'avoir un diagnostic précis qui aurait dû être inséré avec ces orientations générales. Sincèrement, je ne pense pas que tous les acteurs, notamment associatifs, investis dans l'hygiène de vie fassent mal leur travail.
    Et ce qui questionne le plus : ce sont bien sûr les moyens financiers. Vous souhaitez, et en tant qu'ancien président du Crips je m'en réjouis, confier cette mission globale de prévention santé auprès des jeunes au Crips. C'est effectivement un acteur incontournable sur ces thématiques. Mais s'il doit augmenter ses moyens contre le sida - nous en parlerons dans la délibération suivante - et mener de nouvelles actions, ce n'est pas avec son budget actuel qu'il pourra le faire ! Vous le savez.
    Les personnels du Crips, auxquels je veux rendre ici hommage pour leur dévouement, sont particulièrement formés pour l'éducation à la vie affective et sexuelle et aux conduites addictives. Mais pas dans les autres domaines.
    Si on ne veut pas baisser les actions de sensibilisation dans les lycées dans ces deux domaines et ce serait contradictoire avec votre volonté ici affirmée, il va donc falloir augmenter considérablement les moyens humains du Crips. Pas sûr que notre collectivité puisse tenir aujourd'hui un tel engagement ! Et trouver des financements dans le secteur privé entrera en concurrence avec la politique de lutte contre le sida qui doit aussi trouver d'autres partenaires financiers pour être efficiente.
    Par ailleurs, je vous rappelle que le Crips doit s'occuper des populations vulnérables au VIH/sida, notamment les gays, les trans et les migrants. Il ne faudrait pas que cette nouvelle politique se fassent au détriment de ces catégories clés pour aboutir à la fin du sida en Île-de-France.
    Enfin, reste la question du nom du  Crips.
    J'ai déjà eu l'occasion de dire à la présidente que pour moi, ce serait un mauvais signal de retirer le mot sida qui est au cœur de l'action du Crips. Je sais que désormais, il nen est pas question et je men réjouis. Rajouter une lettre pourquoi pas, mais faisons attention à ne pas avoir un message contraire à ce que nous souhaitons. Car faire de la prévention santé chez les jeunes ne peut se faire au détriment de la lutte contre le sida. Je sais que vous en convenez.
    Je vous remercie.

  • J'ai signé l'Appel du 18 joint ...

    En 1993, le CIRC (Collectif d’Information et de Recherche Cannabique) réactivait l’Appel du 18 joint, lancé en 1976 par quelques fougueux journalistes de Libération et d'Actuel, une initiative qui demandait « la dépénalisation totale du cannabis, de son usage, de sa possession et de sa culture. »
    Quarante ans plus tard, le texte de l'Appel n’a, hélas, rien perdu de son actualité. Alors que la société a radicalement changé et que les mœurs ont évolué, la loi votée en 1970 n'a cessé, elle, de se durcir. Comme le notait le texte originel, le discours stigmatisant sur le cannabis « permet de maintenir et de renforcer une répression de plus en plus lourde... Des arrestations massives de jeunes... ». Une politique qui « justifie la détention de centaines de personnes... des emprisonnements qui frappent en priorité la jeunesse » issue des quartiers populaires et de l’immigration.
    Aujourd'hui, force est de constater que la répression du cannabis a coûté très cher attisant les flammes de l'incendie qu'elle était censée éteindre en dynamisant le trafic et en multipliant le nombre de consommateurs.
    Le cannabis n’est pas interdit parce qu’il pose un problème de santé publique, mais principalement pour des raisons culturelles et politiques
    Outre-atlantique, dans le pays qui a mené une guerre acharnée contre « la drogue », la moitié des États ont légalisé le cannabis thérapeutique et plusieurs d'entre eux ont réglementé sa production, sa distribution et sa consommation récréative, ouvrant la voie à une nouvelle économie florissante… Aujourd’hui, les nombreux pays qui ont assoupli leur législation s’en félicitent.
    En France comme partout en Europe, et quelle que soit la législation, l’économie du cannabis se manifeste par la présence de centaines de commerces proposant tout le matériel nécessaire (et parfois des graines), pour s’adonner en toute sérénité à la culture domestique du cannabis. Une activité qui génère déjà des dizaines de milliers d’emplois directs et indirects, lesquels se multiplieront le jour où nos députés daigneront admettre que la consommation de cannabis est intégrée dans nos mœurs et qu’il faut l'encadrer. 
    Il ne s'agit donc plus désormais de débattre sur la pertinence de la prohibition, un échec indiscutable, mais de travailler sur une alternative qui redonnera au cannabis sa liberté et à ses usagers leur dignité.
    Parce que le cannabis est un sujet trop complexe pour être laissé aux seuls politiciens, le CIRC appelle les associations, les personnalités du monde artistique, médiatique, sportif et les simples citoyen(ne)s, à s'emparer du sujet.
    Par le présent appel, nous exigeons du gouvernement qu'il abroge  l'article L.3421-4 du Code de la Santé Publique punissant la « présentation sous un jour favorable des stupéfiants », mesure nécessaire pour permettre la tenue d’états généraux réunissant institutions et associations afin d’engager une réflexion sur la sortie de la prohibition du cannabis.

  • Session de la région : une Ile-de-France sans sida

    Ce vendredi se déroule la session du conseil régional d'Ile-de-France.
    Plusieurs dossiers sur la santé et la prévention y seront discutés. Notamment, celui pour une Ile-de-France sans sida comme je l'avais proposé durant le débat budgétaire. Anne Hidalgo a déjà lancé un Paris sans sida et il est important que notre région qui a 40% des cas de VIH/sida soit à la pointe de ce combat pour qu'en 2030, le sida disparaisse enfin !

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  • Réunion publique sur la fin de vie à Aurillac à 18h30

    Je suis l'invité, ce jeudi à 18h30, à Aurillac d'une réunion publique sur la fin de vie co-organisée par La Libre Pensée et l'ADMD.
    Je vous y attends nombreuses et nombreux !

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  • Dans La presse de la Manche...

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  • Invité des Grandes Conférences de Saint Lô à 20h30

    Ce vendredi, à 20h30, je suis l'invité des Grandes Conférences de Saint Lô à 20h30. Bien que ce soit le lacement de l'Euro de foot, j'espère vous retrouver nombreuses et nombreux pour cette rencontre-débat ! Elle sera suivie d'une dédicace de Ma Mort M'appartient.

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  • Groupe d'études sur le cannabis à la région Ile-de-France

    Je représenterai mon groupe au groupe d'études sur le cannabis qui se réunit pour la première fois ce jeudi à à la région Ile-de-France. J'espère que ce groupe en viendra à la conclusion que les tests salivaires imposés aux lycéens pour détecter leur consommation de cannabis est une très mauvaise idée et totalement contre-productive.

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  • Invité de France Bleu Cotentin à 8h40

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    A l’occasion de ma conférence sur la fin de vie, à Saint-Lô ,vendredi soir prochain, je serai l'invité, en direct ,sur France Bleu Cotentin ce jeudi à 8h40.

  • A Rouen pour ELCS : le sida se soigne aussi par la politique...

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  • Réunion du bureau national de l'ADMD

    En fin de journée se déroulera le bureau national de l'ADMD.
    Alors que notre Assemblée générale de septembre, à Antibes, marquera le lancement de notre campagne pour convaincre les candidats aux élections présidentielles et législatives, il s'agit ce soir de préparer ces échéances.