Santé - Page 162
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Itw dans Le Républicain Lorrain
Lire sur le site (ici) -
Article dans l'Alsace
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J-47 avant la manif pour notre Ultime Liberté
Le samedi 24 mars - j’y reviendrai souvent sur ce blog - je vous rappelle que l’ADMD organise une manifestation place de la République à 13h00 qui sera suivie d’un grand meeting au Cirque d’hiver à 14h00 pour interpeller les candidats à l’élection présidentielle sur la nécessité d’une loi assurant l’accès universel aux soins palliatifs et légalisant euthanasie et suicide assisté.
Pour l’organisation de ces événements nouveaux pour notre association, l’ADMD aura besoin de beaucoup de bénévoles. Si vous êtes disponibles pour donner un coup de main le 24 mars, appelez le siège de l’ADMD au 01.48.00.04.16… Nous avons besoin vous.
Si vous êtes jeunes et que vous souhaitez participer à l’organisation spécifique que met en place la commission jeunes, vous pouvez contacter dès à présent le co président de la commission Christophe Michel en cliquant (ici).
Dans 47 jours, nous devons tous être mobilisés pour notre Ultime Liberté ! -
Réunion publique pour notre Ultime Liberté à Nancy à 14h00
Ce samedi matin, départ tôt de Strasbourg pour rejoindre Nancy où j’animerai une réunion de travail des délégués ADMD de Lorraine et d’Alsace.
Pour mobiliser les militants pro euthanasie, je présiderai ensuite une réunion publique de l’ADMD, aux côtés de Jean-Claude Couturier, à 14h00, au Grand Salon de l’Hôtel de ville de Nancy.
Plus que jamais, l’ADMDest mobilisée pour obtenir enfin une loi d’Ultime Liberté et organise des réunions publiques en province qui s’achèveront par une manifestation et un grand meeting le 24 mars au Cirque d’hiver à Paris où les candidats à l’élection présidentielle seront interpellés sur la question de la fin de vie. -
A Strasbourg contre le sida !
Ce vendredi, je serais à Strasbourg au nom d’ ELCS aux côtés d’Elisabeth Ramel, conseillère municipale et membre du bureau national d’ELCS. A 15h30, nous animerons une réunion de travail sur la situation du sida en Alsace. Même s’il est difficile de mobiliser autour de la lutte contre le sida, je poursuis mon 16ème tour de France pour rappeler aux élus que le sida se soigne aussi par la politique et que derrière le mot sida on oublie trop souvent qu’il y a des femmes et des hommes souvent rejetés à cause de cette maladie considérée trop souvent comme honteuse.
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Itw pour L’Antisondage
J’ai reçu dans mon bureau du CRIPS le duo « militant » qui administre le site « Antisondage », un espace citoyen où sont interrogés des personnes diverses à l’approche des élections présidentielles.
Mon portrait/itw est sorti récemment et vous pouvez le lire en cliquant (ici). -
Débat à l’hôpital Américain de l’Association « Paroles et cancer » à 18h00
Avec mon amie Jacqueline Jencquel, secrétaire générale de l’ADMD, je participerai à un débat sur la question de la fin de vie ce jeudi à 18h00 à l’hôpital américain de Neuilly à l’invitation de l’association « paroles et cancer ».
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Sortie d’ELCS Infos 31
Cette semaine, le 31ème numéro d’ELCS Infos est disponible. Vous y retrouvez des informations sur le label « Ville engagée contre le sida », sur le combat pour les soins de conservation actuellement interdits aux personnes séropositives et de longs extraits des interventions faites aux XVIèmes Etats généraux d’ELCS qui se sont déroulés en novembre dernier à la mairie de Paris.
Vous pouvez recevoir cette lettre sur demande auprès d’ELCS : 01.42.72.36.46 ou par e-mail (ici). -
Mobilisons-nous le 24 mars pour notre Ultime Liberté : J – 53 jours
Dans 53 jours, l’ADMD organise une manifestation pour notre Ultime Liberté place de la Républiqueà 13h00 le samedi 24 mars.
Cette manifestation sera suivie à 14h15 d’un grand meeting au Cirque d’hiver où les candidats à la présidentielle ou leurs représentants seront invités à venir présenter leur programme sur les questions du droit des malades et de la fin de vie.
Jamais l’ADMD, qui réunit 48 000 adhérents, n’avait organisé des événements d’une telle ampleur à la veille d’une élection capitale. Mais après 32 ans d’existence, nos militants n’en peuvent plus de voir les gouvernements se succéder et de ne pas entendre les 85 à 94% de Français qui réclament depuis ces trois dernières décennies la légalisation de l’euthanasie.
Ce n’est pas simple pour une association composée de beaucoup de seniors de les mobiliser dans la rue, mais l’on sait qu’en démocratie que ce qui ne se voit pas n’existe pas. La mobilisation exceptionnelle que nous constatons dans nos réunions en province n’est pas vraiment connue du grand public – même d’une partie de nos adhérents ! - d’autant que les médias ne les relaient pas suffisamment.
C’est pourquoi la mobilisation de toutes et de tous est vraiment nécessaire pour faire entendre cette juste revendication de pour voir choisir les conditions de sa fin de vie. Adhérents, non adhérents de l‘ADMD, votre présence le 24 mars est essentielle. Retenez dès à présent cette date. Je compte vraiment sur vous !
[Tous renseignements au 01.48.00.04.16 ou par e-mail (ici) – Sur Twitter, utilisez : #24mars #24marsUltimeLiberte. Sans oublier la page Facebook des Jeunes ADMD (ici)] -
Article dans Midi Libre
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Le modèle français de santé devient peu à peu un contre modèle…
J’en parle très souvent sur ce blog : il devient de plus en plus difficile de se soigner pour les gens le plus modestes. Un sondage OpinionWay-Sofinscope, paru récemment, confirme mes inquiétudes. Pour 68% des personnes interrogées, le budget consacré aux soins pèse bien plus lourd qu’il y a deux ans.
En effet, ces dernières années, on a assisté à une vraie remise en cause de l’accès de tous à la santé : déremboursement des médicaments, hausse des forfaits hospitaliers, franchises médicales sur les médicaments et sur la plupart des actes, dépassements d’honoraires et bien sûr hausse des complémentaires due aux nouvelles taxes.
Aujourd’hui, le reste à charge pour un jeune est de 255€, de 570 pour un actif et de 910€ pour un retraité. En fait, pour un retraité touchant une petite retraite, c’est plus d’un mois de ses revenus qu’il doit désormais consacrer à sa santé… Et après, on s’étonne que les malades attendent la dernière minute pour se faire soigner… Le modèle français va finir par devenir un contre modèle… -
Article dans La Dépêche du Midi
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Invité du "Coup de fil de l'info" sur France Info à 10h45
A 10h45, ce vendredi, je serai l'invité du "Coup de fil de l'info" sur France Info. Ce sera l'occasion de revenir sur la nécessaire interpellation des candidats sur la question de la fin de vie et pour uen loi légalisant l'euthanasie. Pour mémoire, l'ADMD organise une grande manifestation à République le 24 mars à 13h00. Elle sera suivie d'un meeting au Cirque d'hiver où les candidats seront invités à venir s'exprimer. -
"5 minutes avec" Pascale Clark sur France Inter
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Invité ce vendredi de « 5 minutes avec » sur France Inter à 7h51
Je serai l’invité de Pascale Clark ce vendredi à 7h51 sur France Inter. Alors que François Hollande vient d’annoncer qu’il était favorable au droit de mourir dans la dignité, je dirai ma satisfaction mais aussi mes réserves sur les modalités annoncées. J’évoquerai enfin la question gay à la veille de cette élection présidentielle. Vous pourrez m’entendre sur le site de France Inter (ici).
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François Hollande s’engage pour l’euthanasie, et les autres ?
Communiqué du 26 janvier 2012
François Hollande s’engage en faveur de l’euthanasie
Le 24 mars 2012, l’ADMD invite tous les candidats à l’élection présidentielle à s’exprimer sur la question au Cirque d’Hiver-Bouglione
C’est avec une grande satisfaction que les membres de l’ADMD ont appris que le candidat socialiste à l’élection présidentielle, François Hollande, avait fait sien le projet socialiste de légaliser l’euthanasie permettant de bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité.
L’ADMD rappelle que cette légalisation constituera un droit ouvert à ceux qui le veulent, parce qu’ils jugent leurs souffrances physiques ou psychiques insupportables, un droit en faveur de la liberté individuelle. En aucun cas, ce droit ne constituera une obligation.
Bien au contraire, une loi permettra la protection de ceux qui veulent vivre leur vie jusqu’à la dernière extrémité.
Dans les pays du Benelux qui ont légiféré en la matière, aucune dérive notable n’est à signaler, alors que l’on estime à 15 000 ou 20 000 les cas d’euthanasies clandestines, annuellement, dans notre pays.
Jean-Luc Romero, président de l’ADMD, appelle les autres candidats à se prononcer clairement sur ce sujet de société qui emporte une très large adhésion de la population française (94% selon le dernier sondage Ifop – août 2011) et rappelle l’invitation lancée à venir s’exprimer le samedi 24 mars 2012, au Cirque d’Hiver-Bouglione, à Paris (14h00, réunion publique / après un rassemblement à 13h00 sur la place de la République et une marche jusqu’au Cirque d’Hiver-Bouglione).
Lire aussi sur le site LCI/TF1 (ici), Yagg (ici), Romandie News (ici) et RTL (ici). -
Mon discours au Forum "Pansons le monde"
Forum “Pansons le Monde”
25 janvier 2012
Intervention de Jean-Luc Romero
Conseiller régional d’Ile-de-France
Président du Crips Ile-de-France
Mesdames, Messieurs, Chers amis,
J’interviens, ici, dans ce forum en ma qualité de conseiller régional en Ile-de-France et c’est pourquoi mon intervention sera dans premier temps centrée sur le rôle du conseil régional dans la lutte contre le sida.
Clairement, ce combat est une priorité pour la région Ile-de-France. Evidemment tout d’abord sur le territoire francilien où la moitié des nouvelles contaminations y sont découvertes et un quart sur Paris. En Ile-de-France, la région a créé un organisme associé : le Centre régional d’information et de prévention du sida, le Crips. Cette association, dont j’assure la présidence, œuvre pour la mise en place de la politique de lutte contre le sida via des actions d’information, d’éducation et de prévention. Refermons cette parenthèse.
De manière claire et visible, la région a fait de la lutte contre le sida à l’international une réelle priorité car n’oublions pas qu’en 2012, 34 millions de personnes vivent avec le sida et 1,8 millions en sont mortes en 2010.
Tout d’abord, la région agit via l’action du Crips qui, notamment, coordonne les stands internationaux dans certains grands congrès comme ceux de l’International Aids Society ou qui forme et soutient les militants du sud, action d'ailleurs que je compte développer fortement dès cette année.
Mais l’essentiel de l’action de la Région ne passe pas que par le Crips mais plus en direct. Cela fait plus de 11 ans que la Région s’investit dans cette lutte et cet engagement a été affirmé solennellement en 2000 via l’amendement [dit “Romero”] que j’avais déposé et qui a été, il faut le noter car ce n’est pas si fréquent, voté à l’unanimité. Cet amendement prévoit la possibilité d’un volet sur le VIH/sida dans tout accord de coopération décentralisée de la région. De là ont découlé bon nombre d’actions et d’accords qu’il me semblerait quelque peu fastidieux de vous énumérer dans la totalité. Juste quelques exemples peut-être: un centre de traitement ambulatoire à Nouakchotte en Mauritanie, un centre de prévention du sida à Santiago du Chili (CRIAPS), un grand programme de soutien aux associations dans la Province du Gauteng en Afrique du Sud, où 20% de la population vit avec le sida, mais aussi des financements pour le CTA de Dakar au Sénégal, le soutien aux actions communautaires à Kayes au Mali, au service d’écoute téléphonique, Sida info Afrique, et cette semaine encore 45 000 € votés pour le dépistage prénuptial à Khayes, etc. Globalement, le montant des financements pour le volet coopération décentralisée dans le domaine VIH/sida s’élève, pour la région Ile-de-France, à près de 1.350.000 euros sur la période 2004/2011. Une somme importante sachant que le budget total du secteur international est de 10 millions.
Au-delà de ce volet sur la coopération décentralisée, la Région s’est engagée fortement dans le fonds Solidarité Sida Afrique, créé par Solidarité Sida. Elle fut la première collectivité à s’y engager et elle en est aujourd’hui le premier contributeur. Au final entre 2004 et 2011, ce sont près de 2.500.000 euros qui ont été consacrés par la région à la lutte contre le sida à l'international. -
Communiqué d'ELCS sur l'interdiction du don du sang aux gays
Communiqué de presse du 24 janvier 2012
Déclarations de Xavier Bertrand sur les soins funéraires
et l’interdiction du don du sang pour les gays
Jean-Luc Romero entre satisfaction et prudence !
Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, salue les prises des positions de Xavier Bertrand qui a publiquement déclaré qu’il comptait faire, rapidement, évoluer les législations sur l’interdiction des soins funéraires pour les personnes décédées séropositives et sur le don du sang refusé aux gays.
Le président d’ELCS se dit satisfait mais extrêmement prudent quant à la suite donnée et à la réalisation effective des promesses faites. En effet, à plusieurs reprises déjà, Xavier Bertrand et, par la suite, Roselyne Bachelot s’étaient clairement et publiquement déclarés pour la fin de l’interdiction du don du sang pour les gays. Les acteurs de la lutte contre le sida attendaient et rien n’est venu …
De même, la fin de l’interdiction des soins funéraires est un combat porté déjà de plusieurs années par ELCS et il a fallu qu’un front associatif uni se forme et bouscule les choses pour que les politiques s’intéressent enfin à la question !
Alors que la période préélectorale est propice aux promesses, les acteurs de la lutte contre le sida seront extrêmement attentifs à la réalisation de celles-ci. Aujourd’hui les promesses ont été faites, elles doivent être tenues. C’est, selon Jean-Luc Romero, une question d’égalité et de dignité. -
Mon discours "Vivre et vieillir avec le VIH/sida"
Vivre et vieillir avec le VIH/sida
Intervention de Jean-Luc Romero
Président d’Elus Locaux Contre le Sida
23 janvier 2012 - Mairie du 9ème arrondissement de ParisMesdames, Messieurs, Chers amis,
Un tiers des personnes vivant avec le VIH/sida ont plus de 50 ans et 10% plus de 60 ans. Voilà, c’est cela la réalité en France en 2012. C’est la réalité, plus de 30 ans après que le sida ait été découvert.
30 ans … c’est bref et long à la fois. Bref, si l’on regarde les extraordinaires progrès thérapeutiques. Dans très peu de pathologies, les avancées ont été aussi rapides. Aujourd’hui, même si le sida reste une maladie obstinément mortelle, on peut vivre avec le virus, on peut faire des projets, chose complètement impossible il y a quelques années où le seul horizon imaginable était simplement le lendemain. Les multithérapies permettent aujourd’hui de vivre, de vieillir avec le VIH, d’espérer. Ce droit, ce droit à l’espoir, il y a quelques années, nous était interdit. Aujourd’hui, globalement, l’espérance de vie d’une personne touchée se rapproche de celle d’une personne séronégative.
Vivre et vieillir oui, c’est possible biologiquement, mais dans quelles conditions? La question que je vais poser, elle est bien sûr au cœur de cette rencontre: quelle qualité de vie pour les personnes contaminées depuis longtemps et qui donc vieillissent avec la maladie? Qui dit qualité de vie sous-entend aussi : quelle insertion dans la société, quelle prise en compte des besoins des personnes par les pouvoirs publics ? Quelles structures d’accueil pour ces personnes, notamment en maison de retraite, surtout quand on connaît le manque de formation du personnel de ces structures au VIH ? Les différentes études dont les intervenants vont sûrement vous parler dressent un constat assez négatif tant sur la précarité des personnes que sur la stigmatisation dont elles font l’objet.





