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Réunion publique pour notre Ultime Liberté à Nancy à 14h00

Ce samedi matin, départ tôt de Strasbourg pour rejoindre Nancy où j’animerai une réunion de travail des délégués ADMD de Lorraine et d’Alsace.
Pour mobiliser les militants pro euthanasie, je présiderai ensuite une réunion publique de l’ADMD, aux côtés de Jean-Claude Couturier, à 14h00, au Grand Salon de l’Hôtel de ville de Nancy.
Plus que jamais, l’ADMDest mobilisée pour obtenir enfin une loi d’Ultime Liberté et organise des réunions publiques en province qui s’achèveront par une manifestation et un grand meeting le 24 mars au Cirque d’hiver à Paris où les candidats à l’élection présidentielle seront interpellés sur la question de la fin de vie.

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Commentaires

  • Vous parlez d'ultime liberté mais, pour qu'il y ait liberté, il faut qu'un choix soit possible. Or la personne qui demande à mourir ne fait pas un choix, elle demande à mourir, bien au contraire, parce qu'elle n'a plus le choix. Le problème est que, vous, vous vous arrêtez là, vous n'allez pas plus loin. C'est la marque de votre compassion, c'est ce que vous appelez sans doute respecter la volonté d'autrui : il vous dit vouloir mourir, il vous dit éventuellement, s'il a adopté votre vocabulaire, qu'il n'a plus sa dignité, et vous, vous acquiescez, et hop, une injection létale.
    Le problème, face à une demande de mort, est peut-être d'aller un peu plus loin que vous ne le faites, et de restaurer les conditions d'un choix possible pour le sujet qui souffre. Je vous le concède, c'est un peu plus compliqué que de le piquer tout de suite, cela implique un peu de persévérance.
    Accessoirement, cette supposée ultime liberté fait peu de cas, aussi, des personnes à qui l'on enjoint d'apporter leur concours. Croyez-vous que le médecin qui aura ainsi pratiqué une, deux, dix, vingt homicides se sentira toujours à l'aise en se regardant dans la glace ?
    Non, franchement, réfléchissez un peu plus à la question, et examinez-la sous un peu plus d'angles. Vous avez encore votre liberté de penser, puisque vous parlez de liberté, vous pouvez changer d'avis et aider ceux qui souffrent bien mieux qu'en militant pour un droit opposable à être tué.

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