Invité du JT de TV5Monde à 19h00
A l'occasion de la journée mondiale contre le sida, je serai l'un des invités du JT de TV5Monde à 19h00.
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A l'occasion de la journée mondiale contre le sida, je serai l'un des invités du JT de TV5Monde à 19h00.
Après avoir passé un long moment au village associatif à République, je rejoindrai Puteaux dans l'après-midi. Comme tous les ans, je participerai aux activités de cette ville qui a obtenu le label "ville engagée contre le sida" d'Elus Locaux Contre le Sida.
A l’occasion de la journée mondiale contre le sida, 21 associations ont répondu à l’appel du Crips que je préside. Un village associatif sera donc ouvert ce dimanche 1er décembre, de 10 à 17h00, sur la belle place de a République afin que les Parisiens puissent rencontrer les associations qui luttent au quotidien contre le sida.
N’hésitez pas à passer durant la journée !
Comme pour tous mes livres, je passerai au Furet du Nord de Béthune pour une dédicace. Comment, en effet, oublier ma ville de naissance ? Ma mère ne me le pardonnerait pas !
Je vous attends donc dès 10h30 pour dédicacer « Monsieur le président, laissez-nous mourir dans la dignité ! » et dialoguer avec mes amis béthunois.
Message à l'occasion des XVIIIe États Généraux... par elysee
A deux jours de la journée mondiale contre le sida, France 3 diffuse ce soir le magnifique documentaire de Frédéric Biamonti « Sida, la guerre de 30 ans. »
Ce documentaire, dans lequel j’interviens, raconte les 30 années qui se sont écoulées depuis l’arrivée du VIH. Il dresse la liste des drames que ce virus a causé mais aussi les espoirs d’aujourd’hui. Il montre aussi la lutte qu’ont dû mener les homosexuels pour obtenir l’égalité des droits car ce virus a pointé les discriminations dont ils étaient les premières victimes.
A l’invitation du député-maire, Stéphane Saint-André (photo), je participerai à un débat sur le sida à Béthune salle Olof Palme à 18h30. C’est avec grand plaisir que je réponds à cette invitation qui me permet d’intervenir de nouveau dans ma commune de naissance à laquelle je reste très attaché.
A la fin de la réunion, je remettrai le dossier de candidature « Béthune, ville engagée contre le sida », car la mairie souhaite obtenir ce label.
Au lendemain des 18èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida (ELCS), et à deux jours de la journée mondiale contre le sida, je serai l’un des invités de Paul Wermus dans « Les matins de Paris » sur France 3 Ile-de-France à 10h15.
Jamais autant de gens n’ont vécu avec le VIH/sida dans le monde – 34 millions – et en France – 160 000 personnes. D’où l’importance de cette journée pour la prévention mais aussi le dépistage et bien sûr la solidarité avec les personnes vivant avec le VIH/sida.
J’animerai le bureau national de l’ADMD ce jeudi 28 novembre dans la soirée. Ce sera l’occasion pour moi de faire un compte-rendu de mon audition devant le jury citoyen sur la fin de vie et de préparer nos réactions au rendu définitif des travaux du CCNE sur la légalisation de l’euthanasie.
Après ma réélection à la tête d'Elus Locaux Contre le Sida hier à l'Assemblée nationale, et à J-3 de la journée mondiale contre le sida, je serai l'invité du JT de France 3 Ile-de-France à 12h00.
Mesdames, Messieurs, Chers amis,
Je suis toujours très heureux de vous retrouver à l’occasion de nos traditionnels Etats généraux d’Elus Locaux Contre le Sida, colloque qui permet, autour de la Journée mondiale de lutte contre le sida, de faire le bilan des politiques publiques sur le sida mais aussi de se projeter dans l’avenir avec des propositions, techniques ou sociétales.
Je vais commencer par un constat global. Aujourd’hui, lequel peut-on dresser ? Celui d’une France abimée. Je veux vous préciser aussitôt qu’il n’est pas question de faire de la politique politicienne. Cela n’a jamais été le cas à ELCS ; ce ne l’est pas aujourd’hui et ne le sera jamais. ELCS peut s’enorgueillir, depuis sa création, de compter une gouvernance composée d’élus de tous bords et cela a été confirmé par l’assemblée générale qui s’est tenue aujourd’hui à 14h. Toutes les mouvances sont représentées et c’est notre raison d’être ; le cœur tout autant que la richesse de notre association.
Donc, il ne s’agit pas de faire de la politique politicienne, mais de parler de notre société. Celle dans laquelle nous vivons. Celle dans laquelle nous voulons vivre.
A quoi assiste-t-on depuis quelques temps ? A la montée du racisme, à un dénigrement machiste, à un déferlement homophobe sans précédent… Une parole libérée, véhiculée par des outils de communication débridés. Le tout venant aussi bien du citoyen que des élus de la République, les uns et les autres se comportant en véritables délinquants dès lors qu’ils enfreignent les lois de notre République. Y compris celles relatives à la liberté d’expression, aux discriminations, aux insultes, aux appels à la haine…
Au vu du nombre de ces débordements, personne ne peut plaider la simple maladresse ! Ou l’erreur. Il s’agit bien d’un mouvement profond, d’une volonté délibérée de diviser la société entre ceux qui seraient convenables, avec un sens de la morale et des valeurs, et les autres, les pervers, les détraqués, les profiteurs.
Tout ceci m’effraie. Comme malade – dont on dit que je couterais cher à la société ; comme homosexuel – dont on dit que je serais contre-nature ; comme fils d’immigré – dont on dit que je profiterais de la France.
Face à la montée de l’extrémisme dans les esprits, quid de la France, pays des droits de l’homme ? Quid de notre devise républicaine : « Liberté, Egalité, Fraternité », devise si fièrement proclamée mais qui a malheureusement du plomb dans l’aile ? Quid de notre contrat social qui permet de vivre ensemble ? Quid d’une France progressiste, tolérante et humaniste face à une France rétrograde, discriminante et moyenâgeuse voulue par certains ? Ne nous y trompons pas. Le respect des libertés individuelles ne s’inscrit pas dans un courant individualiste, mais bien dans l’intérêt général. A l’inverse, le moralisme que certains promeuvent, sous couvert de spiritualité, n’est que la volonté presque sectaire d’assurer la mainmise sur notre esprit et sur nos corps.
Il y a 18 ans, je créais avec de jeunes élus, dont mon ami Philippe Lohéac, Elus Locaux Contre le Sida (ELCS) afin de mobiliser les politiques dans la lutte contre cette pandémie et partant du principe que le sida se soigne aussi par la politique.
18 ans plus tard, cette association existe toujours alors qu’elle avait été créée pour susciter un sursaut des élus contre le sida.
18 ans plus tard, la sensibilisation des élus reste indispensable tant le sida a disparu de l’agenda politique et médiatique.
N’ayant pas trouvé une personnalité-élue pouvant continuer au quotidien cette lutte, je me suis représenté à la présidence de cette association. C’est une charge lourde mais c’est aussi un honneur.
Un honneur en hommage à celles et ceux qui sont morts de ce terrible virus. Un hommage aux militants associatifs, trop souvent oubliés des responsables politiques et qui portent ce combat pour la vie. Je mettrai dans ce nouveau mandat toute mon énergie et mon cœur et je remercie les membres d’ELCS qui m’ont de nouveau fait confiance.
Ce mercredi après-midi se dérouleront successivement l‘assemblée générale et les 18èmes états généraux des élus locaux contre le sida.
Face à la difficulté à mobiliser sur le thème du sida, je solliciterai un nouveau mandat de deux ans pour présider ELCS. Après 18 tours de France contre le sida, j’aurai bien pris un peu de champ mais le risque de voir s’effondrer ce travail de sensibilisation m’a convaincu de mener notre association vers ses 20 ans… en espérant qu’elle finisse par devenir enfin inutile ! Je crains malheureusement que dans un contexte de démobilisation autour du VIH, ELCS ait encore des raisons de perdurer un certain temps !
A l’issue de l’AG, se déroulera les 18èmes Etats Généraux à l’Assemblée nationale sous le haut patronage du président de la République et la présidence du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone.
Je serai l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC ce merdredi à 7h20 pour parler fin de vie et droit de mourir dans la dignité.
Présent ce mardi à Bruxelles, j’en profiterai pour rencontrer Jacqueline Herremens, présidente de l’ADMD-Belge et membre de la commission d’évaluation des euthanasies.
Alors qu’en France, le président s’est engagé à déposer un projet de loi sur la fin de vie, j’échangerai de nouveau avec cette militante belge qui a milité tant d’années pour que ce soit le patient qui décide enfin de ce qu’il souhaite en fin de vie.
A l’invitation de la députée européenne Véronique Mathieu, j’interviendrai ce mardi 26 novembre dans une table ronde sur la prévention du sida au Parlement Européen à Strasbourg.
A quelques jours de la journée mondiale contre le sida, ce sera l’occasion pour moi de sensibiliser les députés européens à cette pandémie mondiale qui fait près de 2 millions de mort par an.
Je serai l'invité du JT de France Info de 22h30 pour parler fin de vie et légalisation de l'euthanasie.
Après le suicide du couple d'octogénaire Georgette et Bernard, qui, avant de mourir ont laissé une lettre réclamant le droit de mourir dans la dignité, je serai l'un des invités du Grand Journal sur Canal Plus ce lundi soir vers 19h10.
Je pourrai rappeler l'urgence qu'en France, on, ait enfin une loi légalisant l'euthanasie et le suicide assisté.
Avant de rencontrer des militants sud-africains de la lutte contre le sida, j’aurai une réunion de travail avec les associations de réduction des risques à destination des usagers de drogues au Crips Ile-de-France.
Alors que le gouvernement s’est engagé à expérimenter les salles de consommation à moindre risques, je voulais discuter de nouveau avec les principaux acteurs de cette innovation importante pour la santé publique.