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Politique française - Page 173

  • Intervention à la 8ème rencontre des acteurs publics au CESE

    Ce jeudi, j’interviendrai à la 8ème Rencontre des Acteurs publics qui se déroule au Conseil économique social et environnemental ces 1er et 2 juillet.
    J’y interviendrai sur la question de la fin de vie.

     

  • Mon Edito dans le Journal 133 de l'ADMD : Ma mort m'appartient !

    Tout cela pour ça…
    Des années de rapports, d'avis, de missions, de commissions. Des heures de discussion au Parlement. Au final avec la mouture votée par les sénateurs (mais il y aura une seconde lecture) un texte qui flatte la frange la plus conservatrice des parlementaires, les militants anti-choix, les médecins les plus jaloux de leur pouvoir.
    Hydratation et alimentation ne seraient pas considérées comme des traitements. Il sera donc toujours possible de « gaver » des patients en fin de vie pour les empêcher de partir…
    Les directives anticipées ne seraient ni opposables ni contraignantes, même sous conditions.
    La sédation ne serait pas terminale.
    Voilà… Voulant ménager la chèvre et le chou, le pouvoir exécutif a réussi à ôter aux patients la moindre chance, non seulement de mourir en dignité, mais également de pouvoir user d'une porte de sortie, très éprouvante certes, mais abrégeant les agonies bien trop longues.
    Par leur inaction et leur incapacité à entendre les Français, les pouvoirs publics, notamment M. Leonetti, sont, par leur impuissance depuis 10 ans, responsables du drame de Vincent Lambert qui n'en finira plus de végéter, du drame de Jean Mercier qui sera toujours considéré comme un assassin, et de toutes les fins de vie brutales et douloureuses à venir de ceux que nous aimons et dont la volonté ne sera pas respectée.
    Quand se lèvera dans notre pays une nouvelle Simone Veil qui portera fièrement au Parlement notre combat de liberté, au nom du respect et de la dignité de chacun ?
    En seconde lecture, devant l'Assemblée nationale, les députés pro-euthanasie devront se compter. Ils seront sollicités. Ils devront répondre devant leurs électeurs. En 2017, il y aura des élections globales (présidentielle et législatives). Les 63 000 adhérents de l'ADMD ne seront pas amnésiques. Car, pour eux, n'en déplaisent aux élus anti choix, leur mort leur appartient... Ma mort m'appartient !
    Jean-Luc Romero,
    président de l'ADMD
    t : @JeanLucRomero

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  • Départ de l’ADMD-Tour, le bus de la liberté !

    A l’initiative de Christophe Michel, co-président des Jeunes de l’ADMD, l’ADMD-Tour partira aujourd’hui de Paris à 17h00.
    Pour sa première étape, le bus de la liberté sera ce mardi 30 juin stationné place de la république de 12h à 17h00. Avec Anne Hidalgo, nous l’inaugurerons à 16h30 et à 17h il s’élancera sur les routes de France où il effectuera 21 étapes.
    Vous pourrez le rencontrer sur vos lieux de villégiature.
    En attendant, venez nous rejoindre place de la République et soyez nombreux à 16h30 pour l’inauguration du bus et pour assister à son départ !

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  • Séminaire du personnel de l’ADMD

    Comme tous les ans, avant la trêve estivale, je participerai au séminaire du personnel de l’ADMD que j’ai initié depuis que j’en suis président.
    C’est notamment l’occasion de faire le point avec celles et ceux qui travaillent au quotidien pour notre association et ses 63 000 adhérents sur l’année écoulée.

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  • J-1 avant le départ de l'ADMD Tour : le bus de la liberté !

    TOURADMD1.PNG

  • Trans … ou le syndrôme de l’invisiblité : ça suffit ! (Tribune dans L'Humanité)

    Samedi : la Marche des Fiertés de Paris. Cette Marche, c’est tout simplement la manifestation annuelle qui regroupe le plus de personnes en France. Concrètement, des centaines de milliers de personnes vont marcher pour plus de respect, plus d’égalité, plus de solidarité. Au-delà de l’objectif de visibilité, cette marche a une portée sociétale extrêmement forte et constitue un beau moment d’engagement en faveur des LGBTI et, plus largement, d’un modèle de société républicaine. Réellement républicaine.
    Alors bien sûr, le débat sur le mariage pour tous aura, pendant quelques temps, « éclipsé» les autres thématiques, tant cette question était légitimement centrale. Mais sachons ne pas oublier que « LGBTI », cela signifie lesbienne, gay, bi, trans, intersexe. Assurément, tous les mots sont importants et devraient être égalitairement importants. Assurément, le mot « trans » souvent mis de côté. Ecarté. Oublié. Rendu invisible.  Limite déshumanise.
    Et pourtant les besoins sont immenses, notamment en termes de santé : oui, les personnes trans sont dans une situation sanitaire que beaucoup, et j’en fais partie, considère comme dramatique. Devrais-je ici rappeler la définition du terme santé donnée par l’OMS ? « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ». Comment être en bonne santé quand, selon une enquête de l’IDAHO en 2014, 85% des trans déclarent avoir déjà subi un acte transphobe au quotidien et 64% avoir été rejetés du système de sante à cause de leur transidentité? Alors que cette même enquête indique que les personnes interrogées ont perdu un contact avec un ou des amis dans 69% des cas, un contact avec un ou des membres de la famille dans 42% des cas, un travail dans 28 % des cas, comment imaginer être en bonne santé quand l’expression de son propre genre est facteur d’exclusion et de rejet ? Comment se sentir dans « un état de complet bien-être physique, mental et social » quand le ressenti le plus profond de son identité de genre est continuellement facteurs de moqueries et d’humiliations ? Pour rappel, alors que le niveau de discriminations est très élevé, 3% des personnes trans vont porter plainte. Seulement 3% … Cela veut tout dire …normalisation et intériorisation des discriminations…
    En fait, les spécificités de la sante des personnes trans, c’est un sujet très délicat. Délicat car, finalement, on ne sait pas exactement de quoi l’on parle. Imaginez quand même que, jusqu’en 2007 et l’enquête menée conjointement par Act Up-Paris et le Crips Île-de-France, il n’y avait pas de données sur le sujet des trans et du VIH. Depuis peu, les pouvoirs publics se sont intéressés très légitimement au sujet. Outre le rapport de la Haute autorité de santé de 2010 et celui de l’IGAS de 2011, c’est bien l’enquête INVS « Trans et santé sexuelle » de 2011 qui doit retenir notre attention et nous apporte des informations importantes, notamment, sur la prévalence au VIH/sida : ainsi, l’enquête indique que 10,9% des MtF (personnes transgenres effectuant ou ayant effectué leur transition du genre masculin vers le genre féminin) interrogés nées à l’étranger sont séropositives. 17,2 % des MtF ayant déjà été en situation de prostitution sont séropositives, sachant que 20,6 % des MtF ayant répondu au questionnaire indiquent avoir été en situation de prostitution au moins une fois dans leur vie.
    Soyons francs, évoquer le problème du VIH au sein de la population trans, c’est constater une prévalence élevée, c’est un peu, excusez cette familiarité, regarder le problème par le « petit bout de la lorgnette ». Bien sûr si des facteurs individuels peuvent contribuer à expliquer cette vulnérabilité spécifique au VIH, ce sont bien les politiques publiques qui sont un frein à la prévention et donc favorisent cette même vulnérabilité : obstacles à l’accès aux soins et à la prise en charge, difficultés juridiques liées au changement d’état civil, à l’accès à l’emploi et au logement … je pourrai continuer longtemps cette liste à la Prévert tant les difficultés sont grandes. Je vous renvoie à la lecture du rapport IGAS pour en avoir un aperçu exhaustif.
    La santé des personnes transgenres doit être vue et travaillée sous un angle global : épidémiologique, sanitaire, médical, social, juridique, éducationnel, sociétal. Les revendications des associations, nous les connaissons, elles sont portées depuis longtemps, elles sont légitimes : meilleure prise en charge médicale des transitions, simplification de la procédure de changement, développement de recherches sur les traitements médicaux et les effets de l’hormonothérapie, formation et sensibilisation pour les personnels médicaux, campagnes de lutte contre la transphobie …
    Alors qu’attendent les pouvoirs publics? Qu’attendre des pouvoirs publics ? Comme souvent, il est fort possible que la solution se trouve du côté européen. Le 22 avril 2015, le Conseil de l’Europe votait la résolution 2048 qu’on peut vraiment qualifier d’historique sur les droits des personnes trans. Toutes les thématiques sont abordées : législation contre la transphobie, traitements de conversion sexuelle, soins de santé et bonnes pratiques, reconnaissance juridique explicite faisant référence à l’identité de genre  du genre, sensibilisation du grand public formation des professionnels de santé.
    Le Conseil de l’Europe a tracé une feuille de route, une feuille de route, que certains peuvent qualifiés d’ambitieux. En ce qui me concerne, je la considère extrêmement urgente. A l’Etat français de savoir désormais quelle direction prendre : celle de la République, du respect des droits, de l’intérêt général ou celle de l’ostracisme et de l’exclusion.
    En marchant, ce samedi de juin, j’aurai une pensée toute particulière pour les personnes trans et le nécessaire respect de leurs droits. Car, pour elles, pour eux, l’invisibilité, ça suffit !

     

  • Tous aux Solidays !

    Comme tous les ans, après la marche des Fiertés LGBTI, je rejoindrai les Solidays où le CRIPS gère le stand Ile-de-France et où sont aussi présents, dans le village associatif, les Jeunes de l’ADMD.
    Les Solidays, ce sont trois jours de concerts mais aussi de débats sur le sida et la solidarité avec les pays les plus pauvres.
    La région Ile-de-France est le principal financeur de ce grand événement dont Antoine de Caunes est le président d’honneur.
    Ce sera donc un immense plaisir que de retrouver tous les militants et activistes des droits humains ce samedi en fin d’après-midi…

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  • Marche des Fiertés LGBTI à Paris

    Le dernier samedi de juin est bien sûr une date sanctuarisée pour les militants franciliens LGBT. En effet, comme tous les ans, je serai présent à la Marche des Fiertés LGBTI de Paris pour défendre l’égalité et la lutte contre l’homophobie.
    Comme les autres années, la ville de Paris, la région Ile-de-France et bien sûr le CRIPS, que je préside, y seront représentés par un char, sans compter les nombreux élus parisiens et franciliens qui marcheront...

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  • Conférence LGBT à l’ambassade des Pays-Bas

    A la veille de la marche des Fiertés, l’Inter-LGBT, présidée par Jérôme Beaugé, et l’Ambassade des Pays-Bas organisent une conférence sur a question LGBT.
    J’y interviendrai à 19h15 sur l’évolution des droits LGBT en France.

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  • Célébration de mariages à la mairie de Paris 12

    Ce vendredi, j’aurai le plaisir de célébrer de nouveaux mariages à la mairie du 12ème arrondissement.
    C’est toujours pour moi un immense plaisir d’unir des couples. Célébrer des mariages est sûrement l’une des plus belles tâches d’un élu municipal…

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  • Débat sur Public Sénat sur la fin de vie

    débat à partir de 9 min

    Lire la suite

  • Réunion publique ADMD à Créteil à 18h00

    Je continue mon tour de France pour l’ADMD et serai ce soir à Créteil pour une réunion publique autour de la nouvelle déléguée du Val-de-Marne, Catherine Ruault.
    La réunion se déroulera à 18h00 à la maison des Syndicats Michel Germa et sera suivie d’une dédicace de « Ma mort m’appartient. »
    Je vous espère nombreuses et nombreux !
    A lire aussi dans Le Parisien (ici) et 94 Citoyens (ici).

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  • Mon itw dans Nice Matin et Var Matin

  • Invité de Brigitte Lahaie à 15h30 sur RMC sur « Ma mort m’appartient ! »

    Ce lundi de 15h30 à 16h00, je serai l’invité de Brigitte Lahaie sur RMC à l’occasion de la sortie de mon dernier livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
    Lire aussi BFMTV.fr (ici).

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  • Conseil d’administration et AG du Crips Ile-de-France

    Ce lundi se déroulent le conseil d’administration et l’assemble générale du Crips.
    A quelques jours des Solidays (de vendredi à dimanche), il s’agira d’évoquer le rapport moral et financier mais aussi les manifestations importantes de cette semaine de juin essentielle pour le CRIPS.

     

  • Mon edito au Crips-Info de juin

    Ouverture du mariage à tous les couples de même sexe, baisse des signalements à SOS Homophobie : autant d’éléments qui suffiraient à laisser penser que le constat à dresser, à quelques jours de la Marche des Fiertés LGBT de Paris, est particulièrement rose lorsque l’on est homosexuel en France ?
    Assurément, ce serait là un constat bien trop rapide et tout simplement faux. Au-delà du déferlement homophobe constaté lors des débats sur le mariage pour toutes et tous, ce serait oublier que, encore aujourd’hui, plus de 80% des LGBT évoquent au moins une situation discriminante vécue dans un des domaines de la vie quotidienne. Concrètement, trop souvent, les jeunes homosexuels ne peuvent vivre leur homosexualité sans se cacher, en élaborant donc des stratégies pour ne pas être « découvert ». Les conséquences de cette impossibilité de vivre normalement leur sexualité, elles sont aussi dramatiques que largement documentées : mal-être, honte, isolement, prises de risques pour leur santé, tentatives de suicide à un niveau extrêmement haut… C’est pourquoi, afin de soutenir les jeunes gays, de les aider, de les orienter, le Crips Île-de-France a lancé l’application « Tony, jeune gay ». En somme une sorte de grand frère qui conseille, informe et aide ! Assurément un dispositif impactant qui vise à améliorer la santé des jeunes homosexuels, santé pris dans le sens légitime donné par l’OMS : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ».
    Une définition retenue également par la projet de loi de santé qui inclut, pour le moment et avant les débats devant le Sénat, des avancées fort intéressantes portées par des objectifs ambitieux, notamment quant à un renforcement fort de la prévention tout au long de la vie et de l’éducation pour la santé. Mesures sur le tabagisme, l’alcool, le tiers-payant, les salles de consommation à moindre risque, les TROD, les auto-tests, autant de mesures qui auront à n’en pas douter un réel impact sur la santé publique. Evidemment au Crips, on souscrit totalement à cette approche, nous qui, au quotidien tentons d’apporter aux jeunes, quelle que soit leur situation, les moyens et les outils pour faire des choix éclairés quant à leur santé. « Contentons-nous de faire réfléchir. N’essayons pas de convaincre »…

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  • Les 20 ans d'ELCS sur MCE

  • Congrès européen des ADMD à Berlin

    Ce samedi, se déroule le congrès européen des ADMD à Berlin.
    Avec Jacqueline Jencquel, vice-présidente de l’ADMD en charge de l’international à mes côtés, nous y présenterons la situation française sur la fin de vie et mon dernier livre sur la question traduit en anglais « My death belongs to me. »

     

  • Mon itw dans Ouest France

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  • Mon édito à la newsletter du CRIPS Ile-de-France de juin

    Voilà ce que j’ai pu, non pas seulement ressentir mais constater, avec un réel et sincère plaisir, lors de la cérémonie de présentation des projets du concours « On s’engage, on passe le message : le concours des jeunes pour les jeunes », un concours de prévention par les pairs organisé par le pôle scolaire du Crips. Concrètement, pendant plusieurs semaines, plusieurs mois, les jeunes de 7 lycées et CFA de la région francilienne ont travaillé sur la thématique de la prévention des addictions et, avec une créativité remarquable, ont produits des jeux, des affiches, des tests, des flyers, des vidéos etc. Une multitude de créations portées par une vraie démarche de prévention par les pairs, une réelle démarche d'élaboration collective et participative. Alors, bien sûr, comme il se doit dans tout concours il fallait désigner un vainqueur : après délibérations du jury, c’est le lycée Jean-Baptiste Poquelin de Saint Germain en Laye qui a gagné, mais je crois que, plus largement, c’est bien bel et bien l’esprit d’engagement et de partage qui a triomphé !
    L’engagement. La croyance en l’égalité et la solidarité.
    Voilà ce que sera sûrement notre état d’esprit lors de la Marche des Fiertés LGBT de Paris, le 27 juin prochain, nous qui nous battons au quotidien contre les discriminations via la déconstruction des préjugés et autres fausses idées. Assurément, si cet évènement est éminemment festif et populaire, il est surtout une manifestation porteuse de sens et de messages. Le nôtre sera, en mettant à l’honneur la nouvelle application du Crips Île-de-France « Tony, jeune gay », de porter un message d’information et de soutien aux jeunes gays qui, bien souvent, trop souvent, doivent vivre leur sexualité en se cachant, avec comme conséquences de subir un mal-être préjudiciable à leur santé. La fête ne doit pas faire oublier les réalités, réalités qu’il nous appartient de faire évoluer !
    L’énergie. La volonté de faire bouger les lignes.
    Comme chaque année, lors des Solidays, nous animerons le stand de la Région Île-de-France de la manifestation, une manifestation qui regroupe plus de 150.000 jeunes qui ont envie de faire bouger les choses dans la lutte contre le sida. Cette édition des Solidays est titrée : « Keep on dreaming » : au Crips, on souscrit et on partage !
    L’altruisme. L’envie. Le partage. L’engagement. La croyance en l’égalité et la solidarité. L’énergie. La volonté de faire bouger les lignes… tout ça, ça fait du bien !