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Paris Autrement - Page 175

  • Avant le très haut débit à Paris : réduire la fracture numérique !

    medium_Internet.jpgmedium_paris_lune.jpgLa semaine va être très chargée pour l’hôtel de ville.
    C’est en effet vendredi que sera lancée la conférence métropolitaine comme je vous en parlais hier et c’est aujourd’hui mardi que le maire de Paris doit faire une communication sur le développement du haut débit à Paris.
    A plusieurs reprises le maire a annoncé son ambition - que je partage - de voir « la capitale passer à la vitesse supérieure » pour Internet. A lire le JDD de dimanche dernier, « Bertrand Delanoë veut un réseau dix fois plus puissant que l’ADSL ou le câble à Paris. »
    Pour dire simple, il souhaite que les actuelles connexions ADSL ou câbles de 5 à 15 mégabits par seconde passent à 100 Mh/s. Bref le très haut débit.
    Ambition légitime, mais dont on attend avec impatience les conditions de réalisation – le maire a communiqué à plusieurs reprises sur ce dossier sans préciser les moyens d’y parvenir – et aussi comment financer une telle ambition qui coûterait entre 500 et 750 millions d’euros. Presque quatre fois le budget du logement social de la ville !
    Mais au-delà de ce plan ambitieux, il faudrait, à court terme, réduire la fracture numérique qui existe aussi à Paris comme je l’ai rappelé dans « La Nuit des petits couteaux. »
    En effet, dans mon dernier livre après avoir rappelé que seuls 42,5% des Parisiens sont abonnés à Internet, je propose de faire accéder à Internet les plus modestes, notamment les 185.000 ménages qui sont logés en HLM, c’est-à-dire près de 17% de la population de la capitale.

     

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  • Le Grand Paris avec Roland Castro le 10 juillet à 19h30

    medium_bd_peripherique_-_castro.jpgmedium_r_castro.jpgJe vous convie à nos derniers rendez-vous d’Aujourd’hui, Autrement avant la pause estivale : le dîner de Paris, Autrement vendredi prochain au Canard d’Avril et notre traditionnel café politique du deuxième lundi du mois.
    Ce sera donc le lundi 10 juillet à 19h30 au Babu – salle du 1er étage – 18 boulevard Montmartre [métro Grands Boulevards] que je serais heureux de vous recevoir pour débattre du Grand Paris.
    A cette occasion, avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement, j’ai invité l’architecte fort en gueule Roland Castro. C’est lui qui a relancé, au début des années 80, l’idée d’un Grand Paris et a fait bien des propositions concrètes, au fil des années, pour le concrétiser. Roland Castro, qui est aussi candidat à la présidence de la République, débattra avec nous sur le thème : « Le Grand Paris, utopie concrète ? La conférence métropolitaine, un leurre ? »
    Justement à propos de cette conférence métropolitaine qui doit se réunir, pour la première fois, cette semaine le 7 juillet, nous en parlerons à la région Ile-de-France. Le groupe UMP a invité ce lundi 3 juillet les maires d’arrondissement UMP et les conseillers régionaux à définir une position sur cette conférence qui est loin d’être l’embryon de ce Grand Paris que je réclame depuis bien longtemps.
    En attendant, notez bien ce débat du 10 juillet qui sera, à n’en pas douter, animé….

  • Rejoignez-nous pour le dîner de Paris Autrement le 7 juillet

    Avant la période des vacances estivales, à l’initiative de Paris, Autrement et d’Anne-Marie et d’Isabelle, nous nous retrouverons pour un dîner amical, le vendredi 7 juillet, à 20h30, au restaurant Le Canard d'Avril (5, rue Paul-Lelong - Paris IIème - métro Bourse ou Sentier).
    Le menu a été négocié au prix de 30 euros par notre amie Anne-Marie Engler (20€ pour ceux qui ont des difficultés).
    Ce repas tout compris comprend l’apéritif, une escalope de saumon au sésame et sauce aux douces épices, un cuissot de canard braisé sauce au miel et en dessert un vacherin aux fruits rouges dressé minute medium_Canard_d_Avril.jpg[Vin, eau minérale, café compris].
    Que vous soyez membre ou non d’Aujourd’hui, Autrement, vous êtes les bienvenus pour ce moment de convivialité et d’amitié et vous pouvez reserver en ligne sur le site d’Aujourd’hui, Autrement ou auprès d’Anne-Marie.
    Une soirée pour bien commencer l’été et un peu les vacances…

  • Refusons le PLU que les Verts de Paris veulent nous imposer !

    Aujourd’hui, au conseil de Paris, doit être voté le Plan local d’urbanisme qui dessinera le Paris de 2020. C’est dire l’importance du vote que s’apprêtent à émettre les élus de la ville Lumière.
    En février dernier, j’alertais les Parisiens dans « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? », sur le PLU que nous impose l’actuelle majorité. Rappelez-vous, car je n’enlèverai aucune virgule à ce constat :
    « […] On le sent bien – hormis quelques manifestations originales comme Paris Plage ou la Nuit blanche -, Paris n’illumine plus le monde. Si nous restons - de peu ! - la capitale mondiale du tourisme avec 26 millions de visiteurs par an, il y a déjà belle lurette que nous ne sommes plus le leader en ce qui concerne l’organisation des congrès. Aujourd’hui, la ville lumière, avec 75 congrès accueillis en 2004, se classe à la 5ème place des villes européennes derrière Barcelone, Vienne, Berlin et même Copenhague ! Notre première défaite intellectuelle.
    Incontestablement, notre belle capitale a longtemps étonné et émerveillé le monde par son imagination architecturale. En disant cela, on a l’impression d’évoquer des temps à jamais révolus, à tel point qu’on se demande si la Tour Eiffel aurait pu être érigée avec nos actuels et bien conservateurs gouvernants. Je pense que non !
    « On ne sent pas de vision [en matière architecturale], pas de souffle ou de volonté politique. Aujourd’hui, Paris est absent des grands concours internationaux. On parle de Bâle, de Lisbonne, d’Amsterdam... Pourrait-on refaire aujourd’hui le Centre Pompidou, un équipement purement culturel sans aucun espace commercial ? J’en doute » affirme avec tristesse l’architecte Françoise Fromonot .
    Certes, me direz-vous, les Parisiens, en refusant très majoritairement, en 2004, l’édification de tours à Paris - 62% s’y opposent, mais 55% des Parisiens de moins de 25 ans y sont favorables - semblent se satisfaire de l’absence d’une ambition architecturale moderne pour leur ville. Mais n’oublions pas les enseignements de l’histoire : les Parisiens, comme les Français, rejettent souvent dans un premier temps ce qu’ils adoreront par la suite. L’exemple de la Tour Eiffel est édifiant. Si les décideurs avaient suivi l’hystérie anti Tour Eiffel de l’époque, jamais notre belle dame de fer n’aurait vu le jour en 1889. Maupassant, Gounot, Dumas, Prudhomme, toute la fine fleur des intellectuels de l’époque, l’estimaient carrément « monstrueuse et sans utilité ». « Un déshonneur pour Paris » osaient-ils même ajouter dans La protestation, qu’ils firent paraître dans Le Temps. Presque les mêmes arguments que les actuels opposants aux tours dans Paris.
    Pour éviter que le cyclone de la régression nous submerge, il est vraiment temps de retrouver la voie de l’imagination architecturale !
    Il faut le marteler pour être entendu : l’imagination architecturale n’est vraiment plus à Paris. Elle est à Londres, à Amsterdam, à Berlin, à Barcelone, à Madrid, à Shanghai , à Sydney. Personne ne conteste ce constat déprimant.
    Chacun s’en plaint amèrement. Mais que fait-on pour remédier à cette situation ?
    La ville lumière, qui a si longtemps montré le chemin de la modernité et de l’audace architecturale, est incontestablement à la traîne des principales capitales. Si certains veulent faire de Paris un musée vivant sur son glorieux passé, ils sont incontestablement en train d’y parvenir ! Merci les Verts, mais aussi à certains de mes amis de cette droite nostalgique, éternels conservateurs dans tous les domaines ! »
    Ce propos préliminaires aux propositions que je fais dans mon dernier livre pour retrouver l’imagination architecturale, favoriser la construction de logements - 103.000 demandes toujours en attente ! -, créer la propriété sociale et éviter la fuite des entreprises - 130.000 emplois perdus depuis les années 90 -, se révèlent plus que jamais d’une grande actualité.
    La surenchère des Verts pour faire de notre ville un chef-lieu de sous-préfecture endormie doit être absolument contrecarrée.
    Un peu de courage mesdames et messieurs de la majorité.
    Refusez, avec la droite et le centre, le PLU que les Verts veulent nous imposer pour les 15 ans qui viennent : un Paris conservateur éloigné de la « ville des villes » qui a toujours montré le chemin de la modernité et de la grandeur.
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  • Brigitte Lahaie milite pour l’amour

    Vous pouvez retrouver le portrait de mon amie Brigitte Lahaie, vice-présidente d’Aujourd’hui, Autrement, dans le supplément Ile-de-France du Journal du Dimanche sous le titre « Brigitte Lahaie milite pour l’amour. »
    Dans un portrait sans concessions mais juste, le journaliste du JDD Bertrand Gréco nous retrace le parcours de celle qui anime aujourd’hui un show sur RMC, tous les jours à 14 heures, qui réalise les meilleures audiences radio de France sur cette tranche horaire.
    Un portrait que je vous recommande et qui permet de mieux connaître celle qui avec Aujourd’hui, Autrement "veut faire évoluer les mentalités".

  • Le Grand Paris va finir par faire l’unanimité !!!!

    En avril et en août 2005, lorsque je présentais mes premières propositions pour un Paris Autrement et que je relançais l’idée d’un Grand Paris, quelle ne fut pas ma surprise d’assister à un concert de contestations de droite comme de gauche dans le JDD qui avait interrogé les élus sur mes propositions ?
    Dans mon récent livre, « La Nuit des petits couteaux », j’ai consacré un long chapitre intitulé « Osons le grand Paris » à ce grand débat et ai défini le Grand Paris auquel j’aspire ainsi qu’une méthode pour y parvenir.
    J’y rappelle à quel point Paris et ses 105 km² est un nain, corseté dans son périphérique qui constitue un vrai mur de Berlin et qui nous sépare inéluctablement des villes qui nous entourent.
    Notre situation devient - tout le monde approuve désormais le constat - de plus en plus critique, comparée aux grandes métropoles qui nous entourent - Londres, Madrid, Berlin, et Moscou comme j’ai pu le constater ce week-end -, et surtout impossible pour régler les défis auxquels nous sommes confrontés : pénurie de logements, pollution grandissante, développement économique anarchique, création architecturale inégale et peu harmonieuse, insécurité grandissante, circulation automobile ingérable…
    Dans le but de ne pas effrayer les communes environnantes ni la région Ile-de-France, j’avais suggéré comme méthode d’associer le président de la région et surtout, dans un premier temps, de permettre à Jean-Paul Huchon de présider l’organisme informel qui pourrait se mettre en place rapidement – la future conférence métropolitaine.
    Mercredi, alors que je m’envolais pour la « terrible » Gay Pride de Moscou, le maire de Paris réunissait des maires de communes limitrophes et le président de la région. Et heureuse surprise, mon idée jusqu’à présent rejetée et moquée, est devenue presque une proposition de Bertrand Delanoë qui a rappelé, selon Libération, que « tout cela se fait dans le cadre de la région. »
    Je reste persuadé, en effet, que si l’on veut avancer très vite, Paris ne doit pas se montrer hégémonique afin de ne pas effrayer les communes limitrophes et surtout la région. En contrepartie, les élus des communes limitrophes doivent comprendre qu’il leur faut perdre aussi un peu de leur autonomie.
    Il y a un an et demi, quand je relançais cette idée m’inspirant des travaux de Roland Castro sur le Grand Paris, le pari paraissait impossible.
    Aujourd'hui, j’ai l’heureux pressentiment que bientôt Le grand Paris va finir par faire l’unanimité !!!!
    Il était temps...

  • Le Grand Paris, grande cause nationale

    Que ce soit durant la campagne des pré-primaires de l’UMP, il y a déjà un an, ou dans mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? », j’ai longuement insisté sur l’impérieuse nécessité d’avancer enfin dans l’édification d’un Grand Paris.
    Je ne l’ai jamais caché : mes propositions empruntent beaucoup aux idées visionnaires qu’a défendues l’architecte Roland Castro dans les années 80. Il est, en effet, celui qui avec Michel Cantal-Dupart, a défini une méthode crédible et préfiguré le Grand Paris qu’il nous faut.
    Je le rappelle : depuis 1860 où Paris est passé de 12 à 20 arrondissements - grâce à l’apport d’Auteuil, Passy, Bercy, etc.., - la ville a cessé son constant mouvement d’extension. Pire avec l’édification de fortifications par Thiers, puis l’ouverture d’un périphérique en 1973, la ville s’est désormais enclavée dans une muraille que personne n’a encore réussi à faire tomber.
    Face aux grandes métropoles européennes - Londres, Madrid, Berlin, Moscou -, Paris fait désormais figure d’un « nain » enfermé dans ses 105 km².
    Et pourtant tout le monde en convient : les problèmes de logement, d’urbanisme, de circulation, de pollution et même de sécurité ne peuvent être réglés par la capitale sans associer largement la plupart des villes qui l’entourent.
    Au moment, où toutes les villes de banlieue ont aussi une vision moderne et visionnaire de l’habitat avec l’édification de tours prestigieuses ou de gratte-ciel en haute qualité environnementale - comme La Défense, Issy ou Bagnolet -, Paris ne peut rester à l’écart des changements qui s’opèrent. Au risque de n’être plus qu’une ville musée. Qu’une ville dépassée. Du passé !
    Parce que je ne peux me résoudre à cela, j’ai participé jeudi à la conférence de presse [voir Libé et Le parisien d'hier] qu’organisait mon ami Castro pour présenter ses nouvelles initiatives pour concrétiser le Grand Paris. Il avait en effet souhaité être entouré d’un élu de gauche – Georges Sarre, maire du 11ème arrondissement – et moi-même, élu de la droite républicaine. Sachant aussi que nous sommes élus des deux collectivités locales indispensables pour aboutir au Grand Paris : la mairie et le conseil régional…
    Roland Castro en rappelant les contours de ce Grand Paris a, non sans provocation, suggéré de mettre l’Elysée à Saint-Denis et les ministères dans nombre de villes de banlieue par exemple la défense à Bobigny ou la culture à Vitry, première ville de banlieue à avoir créé un grand musée d’art moderne.
    Son idée n’est pas aussi saugrenue que certains l’imaginent. Elle est même logique car on ne peut vouloir édifier un Grand Paris et garder tous les principaux lieux de pouvoirs dans le centre historique de la Ville Lumière. Alors qu’ils ironisent !
    Au-delà de cette proposition symbolique et provocatrice à même de sensibiliser chacun à l’impérieuse nécessité dans laquelle nous nous trouvons, notre rassemblement au-delà de nos clivages montre qu’une volonté se dessine clairement. Au-delà des simples intérêts partisans.
    Le Grand Paris, c’est une vraie cause nationale.
    C’est le sens de notre conférence commune pour défendre une idée qui nous dépasse et peut rassembler tous les Parisiens et tous les Franciliens.

  • La Nuit des petits couteaux dans les medias

    Je profite de ce long week-end du 8 mai pour vous donner, pour la dernière fois, la liste presque exhaustive des critiques et paroles de journalistes sur mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Pour un livre consacré essentiellement à Paris, il a étonnement été largement évoqué dans les medias, presse écrite comme audiovisuelle. On en a même parlé au Québec…
    Ce livre qui a presque 3 mois restera d’actualité jusqu’aux élections de mars 2008, car il dresse à celles et ceux qui s’intéressent à cette échéance des portraits des futurs acteurs de 2008, tout comme il définit des voies nouvelles pour un Paris, Autrement.
    Et ce Paris, Autrement, avec mes amis d’
    Aujourd’hui, Autrement, je n’ai pas fini de vous en parler !

    Propos de journalistes sur…
    « La nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Jean-Claude Gawsewitch éditeur – février 2006

    « Même Jean-Luc Romero y va de sa plume avec une insolente Nuit des petits couteaux ».
    Le Parisien – Martine Chevalet – 23 janvier 2006

    « Jean-Luc Romero n’a pas été qualifié pour les primaires. A une voix près. Dans son pamphlet « La Nuit des petits couteaux », à paraître le 9 février, il balance ».
    Obs Paris – Guillaume Malaurie – 2 au 8 février 2006

    « Jean-Luc Romero – qui tenta un moment de participer aux primaires UMP – sort jeudi La nuit des petits couteaux. […] Il propose d’expérimenter le péage urbain à Paris durant un an, de faire élire directement le maire par les Parisiens ou de créer un pool d’assistantes maternelles ouvert 24 heures sur 24 ».
    Journal du dimanche – 5 février 2006

    « Les quatre vérités de Jean-Luc Romero. […] Dans la Nuit des petits couteaux, le président d’Elus Locaux contre le Sida dresse avec ironie, mais sans amertume, ces quelques mois où il a cru pouvoir jouer dans la cour des grands pour tenter sa chance aux primaires de l’UMP… [Il] propose en fin d’ouvrage sa réflexion sur le péage urbain ou sur les immeubles de grande hauteur et surtout sur tous les domaines où la droite reste en retrait : toxicomanie, homosexualité, parité… »
    Le Parisien – Sébastien Ramnoux – 6 février 2006

    « Ravaillac inspire Romero. Jean-Luc Romero a choisi le Banana, un bar branché du 1er arrondissement pour présenter son livre consacré aux municipales parisiennes la Nuit des petits couteaux. Un lieu chargé de symboles pour le conseiller régional : C’est dans cette cave que Ravaillac, après avoir tué Henri IV s’est réfugié avec son … petit couteau. »
    Le Parisien – 7 février 2006

    « A l’occasion de la sortie de son ouvrage, La Nuit des petits couteaux, Jean-Luc Romero donne son point de vue sur les primaires de l’UMP et apporte son soutien à Françoise de Panafieu, maire UMP du 17e. »
    Métro - Aurélie Sarrot – 9 février 2006

    « [Son] livre situe les enjeux de la prochaine élection municipale à Paris en 2008… Plutôt acides [les] portraits des candidats de la droite… »
    Le Républicain Magazine – Stéphane Piraud – 9 février 2006

    « Dans [son] livre, [il] dresse des portraits au karsher des quatre candidats aux primaires UMP. »
    Radio BFM – Hedwige Chevrillon – 9 février 2006

    « Les lettres de Romero. Jean-Luc Romero sort cette semaine son nouveau livre La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ?.
    Tirés de celui-ci, trois extraits de lettres croustillants, pour dire les enjeux de l’élection… Capitale ! »
    Echo d’Ile-de-France – Samy Abtroun – 3 au 9 février 2006

    « Dans [son] livre, il expose un certain nombre de propositions… S’agit-il de propositions ou d’un programme ? »
    Equivok – 4 au 17 février 2006

    « Jean-Luc Romero raconte dans la Nuit des petits couteaux les divers épisodes de cette drôle de primaire […] Les pages les plus intéressantes du livre sont celles où il raconte comment, sous les pressions des autres candidats ou de l’appareil UMP, ceux qui avaient promis leur signature vont finalement se désister […] Jean-Luc Romero écrit librement à chaque candidat ce qu’il pense de lui et finit par prendre position pour Françoise de Panafieu, qui est aussi la favorite des sondages. Si elle est élue, elle devrait puiser quelques idées dans le catalogue très riche que propose Jean-Luc Romero… »
    La lettre politique et parlementaire – 13 février 2006

    « La queue qui s’était formée devant le Banana avait de quoi laisser perplexe pour un jeudi soir en période de vacances scolaires […] Le secret de cette foule hétéroclite ? Le lancement du nouveau livre de Jean-Luc Romero, la Nuit des petits couteaux, qui compte peser dans la bataille électorale pour enlever Paris à Delanoë. »
    Zurban – Alain Tap – 15 au 21 février 2006

    « Le 25 février 2006, les militants de l’UMP de Paris désigneront le candidat aux élections municipales de 2008. Jean-Luc Romero, ancien secrétaire national de l’UMP et conseiller régional d’Ile-de-France, premier élu au monde à avoir révélé sa séropositivité ne participe pas à la primaire. Dans La Nuit des petits couteaux, il s’en explique et fait le pari d’une autre droite… »
    France Info, Le livre du jour – Philippe Vallet – 17 févier 2006

    « La Nuit des petits couteaux, c’est la manière dont Jean-Luc Romero parle des primaires de l’UMP pour les candidats à la candidature pour combattre Bertrand Delanoë. »
    LCI, Le grand journal – Michel Field – 17 février 2006

    « Ce sont des méthodes héritées des années passées, dénonce Jean-Luc Romero, conseiller régional UMP [dans La Nuit des petits couteaux]. Fausses adhésions, utilisations de moyens illégaux et de fichiers, coups bas, pressions, manipulations, insultes, chantages… »
    Libération – Thomas Lebègue – 20 février 2006

    « Jean-Luc Romero a choisi la tradition festive du Banana Café, bar branché du 1er arrondissement de la capitale, pour présenter son livre, la Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ?, consacré aux municipales parisiennes. »
    Ici Paris – Catherine Monbreault – 21 au 27 février 2006

    « La Nuit des petits couteaux, c’est règlement à OK Corral. »
    TVFil 78 – Marc Nino – 22 février 2006

    « La Nuit des petits couteaux, en deux mots, c’est jeux de pouvoir et trahisons dans les coulisses de l’investiture UMP pour les prochaines municipales à Paris. C’est vrai qu’il faut avoir un poignard sur soi pour attaquer l’UMP. »
    Pink TV, Le Set – Marie Laborie – 22 février 2006

    « Un UMP atypique vient de sortir un livre La Nuit des petits couteaux. J’aime beaucoup le titre… [Il] a la dent très dure… Il y a beaucoup d’idées dans [son] livre. »
    BFM TV, le Grand Journal – Guillaume Vanhems – 26 février 2006

    « Face aux semelles compensées pour Jean-Luc Romero, c’est la nuit des petits courtauds. »
    Voici – Basile de Koch – 27 février au 5 mars 2006

    « Un regard féroce et mordant… Un livre savoureux qui vous éclaire… Des portraits sans complaisance… Il n’a pas trempé sa plume dans la verveine »
    France Bleu Ile-de-France – Olivier Daudé – 27 février 2006

    « Engagement. Il y fait de nombreuses propositions comme le Grand Paris. »
    Honcho – mars-avril 2006

    « C’est un livre qui mérite d’être lu car on y apprend beaucoup de choses. C’est un livre qui est très bien écrit… La fin du livre est très ouverte. »
    Radio Triangle FM, Zigomatik – Jean-Luc Frydman – 1er mars 2006

    « Un livre où on y apprend qui sont les petits couteaux… »
    Direct 8, Face à Alain Minc – Guillaume Klossa - 5 mars 2006

    « Quand on est un magazine gay, comment passer à côté de Jean-Luc Romero, un des rares hommes politiques à avoir fait son coming out ? Il nous parle de sa vie et de son cinquième livre La nuit des petits couteaux. »
    Mec’s Mag – Edward Spleen – mars 2006

    « La Nuit des petits couteaux. Ou les dessous de la politique vus par le prisme des primaires UMP pour Paris. Mais pas seulement…Des marchandages, des camouflets variés et assortis, mais aussi des soutiens fidèles. Que nous raconte l’auteur avec un humour emprunt de tristesse et de surprise aussi, parfois, lui qui pourtant s’est voué à la politique voici quelque vingt ans.
    Une somme de tractations diverses, des uns comme des autres, aboutissant pour finir à ce qu’il nomme « le bal des revenants. » Dont il dresse des portraits savoureux mais sans la moindre concession. La plume candide et drôle se fait parfois assassine. […]
    C’est ensuite Paris qu’il raconte. […] Il ajoute un vibrant plaidoyer pour le projet d’un Grand Paris qui permettrait de rationaliser toute une série de dossiers. Chiffres à l’appui mais sans jamais nous lasser. »
    Résiliencetv.fr – Hélène Keller-Lind – 19 mars 2006

    « Un autre livre car il écrit beaucoup, La Nuit des petits couteaux. Ce n’est pas sur le sida. Une autre bataille… »
    France Ô [RFO], L’Hebdo – Walles Kotra – 1er avril 2006

    « Qui battra Bertrand Delanoë ? Jean-Luc Romero, auteur de La Nuit des petits couteaux, décrypte la situation… et propose un Paris, Autrement. »
    La lettre du cadre territorial – Hugues Périnel – 1er avril 2006

    « Le nouveau livre de [Jean-Luc Romero], La Nuit des petits couteaux. Il faut le dire : c’est bien écrit. »
    TFJ, Compte à Rebours – Paul Wermus – 9 avril 2006

    « Qui battra Bertrand Delanoë ? [Dans La Nuit des petits couteaux, Jean-Luc Romero] passe en revue les différents candidats de droite… Il fait également de nombreuses propositions pour un Paris Autrement. »
    Tribu Move Magazine – Thierry Calmont – avril 2006

    « Jean-Luc Romero, [son] livre qui vient de sortir : La Nuit des petits couteaux, sur les élections municipales à Paris. »
    Direct 8, Morandini ! – Jean-Marc Morandini – 12 avril 2006

    « Le livre, c’est La Nuit des petits couteaux. On en avait déjà parlé à propos de la bataille de Paris. »
    I>Télé, Grande Edition – Guillaume Durand – 13 avril 2006

    « Vous pouvez retrouver Jean-Luc Romero avec son dernier livre…La Nuit des petits couteaux. »
    Différence numéro 1 – avril 2006

    « Si on n’aime pas la politique, on aimera au moins pour le côté polard de ce livre, qui donne le programme de celui qui a été écarté de la primaire UMP. Si on aime la politique, on adorera savoir ce qui se passe en sous bassement d’une élection. Si on aime ni l’un ni l’autre, on appréciera au moins le coté bien écrit, de celui qui parle franchement avec son cœur, sans démagogie ni ménagement, mais sans haine ni aigreur non plus. A lire absolument. »
    Coming – Guillaume de Thomas – avril 2006

    « Jean-Luc Romero a une petite actualité. Il a sorti en février La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? qui n’a rien à voir avec l’actualité de l’émission [l’euthanasie]… Quoique ! »
    France Culture, Science Culture – Julie Clarini – 21 avril 2006

    « Jean-Luc Romero publie La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? Pas grand-chose à voir avec la prostitution [thème de l’émission]. C’est la mairie de Paris. Comme [il] le dit lui-même, cela fait partie des thèmes. La politique, c’est ça. »
    France 3, France Europe Express – Christine Ockrent – 25 avril 2006

    « Jean-Luc Romero récidive : La Nuit des petits couteaux. Seul homme politique ouvertement homosexuel et premier élu à avoir osé révéler sa séropositivité, Jean-Luc Romero est l’auteur de plusieurs essais et revient en 2006 avec une analyse politique très critique. »
    Le Point (Québec, Canada) – Roger-Luc Chayer – avril, mai 2006

  • Paris 33ème ville où l’on vit le mieux

    Le Parisien d’hier publie les résultats du palmarès de la société Mercer Consulting qui a classé les 215 plus grandes villes du monde pour la qualité de vie qu’on y trouve.
    A partir de 39 critères, notamment l’environnement politique et social, les transports, le logement, l’environnement, les villes sont donc notées puis classées.
    Force est d’admettre que le constat que je fais dans mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux » sur le fait que Paris ne montre plus le chemin se confirme. Malheureusement !
    La « Ville des villes » comme on l’appelait au Moyen-Âge se retrouve seulement en 33ème position. Loin, bien loin de la première place…et donc des trois premières villes : Zurich, Genève, - toutes deux en Suisse - et Vancouver au Canada.
    Si Paris obtient la note maximale pour les transports en commun, les services hospitaliers ou les loisirs, elle n’obtient que 5/10 pour les embouteillages - cela n’étonnera que Denis Baupin ! -, mais aussi 5 pour la pollution et le climat.
    Bref, nos plus mauvaises notes concernent l’environnement et la circulation, des domaines gérés, comme on le voit avec succès par les maires-adjoints donneurs de leçons que sont certains Verts parisiens…
    Alors à quand ce Grand Paris qui nous permettra de résoudre bien des problèmes auxquels nous sommes confrontés – circulation, pollution, logement ?

  • Les Caramels Fous, nommés aux Molière 2006

    J’ai déjà eu l’occasion d’évoquer sur ce blog la troupe parisienne des Caramels Fous.
    Cette troupe a été créée en 1982 par le talentueux Michel Heim qui écrit toutes les comédies musicales décalées qu’elle interprète.
    Composée d’une trentaine de garçons amateurs – ils ont tous une profession qui n’a rien à voir avec le monde su spectacle ! – entraînée par des professionnelles du spectacle, cette troupe joue les comédies musicales de Michel Heim qui sont le fruit d’un subtil et hilarant détournement d’oeuvres musicales allant du classique à la variété française populaire.
    Leur dernier spectacle « Les Dindes galantes », que j’ai vu avec mon ami Philippe Lohéac, est déjà la 10ème création des Caramels Fous et sera joué, de nouveau, au Théâtre Le Trianon en novembre 2006.
    Nous saurons donc lundi si cette troupe originale et militante obtiendra le Molière 2006 pour la catégorie meilleure compagnie…
    Réponse lundi 24 avril dès 20h50 sur France 2 en direct du Théâtre Mogador.
    Je croise les doigts pour eux car ils le méritent et en attendant, je vous souhaite un excellent week-end enfin … ensoleillé !

  • Enfin une chaîne de télé consacrée à Paris et portée par la capitale ?

    Madrid, Londres et New-York ont leur chaîne de télévision – la Grosse Pomme en a carrément 10 ! - et Marseille, depuis 2005, a aussi la sienne. Nombre de villes de province ont de grandes chaînes locales, notamment Lyon et Toulouse.
    Avec le développement de la TNT, et comme je le réclame dans mon dernier livre, il devient donc urgent que Paris ait ce que la moindre capitale possède : une grande chaîne avec des moyens adéquats à la hauteur de la ville des villes.
    Le CSA va bientôt attribuer des canaux pour Paris et pour l’Ile-de-France.
    Pourtant aucune de ces deux collectivités locales ne présente un projet ambitieux laissant le champ exclusivement libre pour les groupes privés.
    Pourtant, je reste convaincu que notre capitale doit présenter avec la région Ile-de-France un projet de télé citoyenne.
    Il n’est pas encore trop tard. Alors, osons !

  • Découvrez un Paris magique et le 12ème ardt grâce au blog Paris Passion

    C’est le week-end de Pâques. Si, comme moi, vous ne quittez pas Paris, cela peut-être l’occasion de visiter des coins insolites et attachants de notre belle ville.
    Vous savez à quel point je suis attaché à ce 12ème arrondissement dans lequel je vis depuis plus de deux décennies près de la Porte Dorée. Cet arrondissement n’est malheureusement pas apprécié comme il le mérite.
    Depuis quelques semaines, je surfe régulièrement sur « Paris Passion » un merveilleux blog qui montre les richesse de notre « Ville Lumière » mais aussi de notre… 12ème arrondissement.
    Cédric et Pascal, deux passionnés de Paris, comme ils se décrivent à juste titre sur leur blog ont entrepris de nous montrer les merveilles de notre « Ville des villes » telle qu’elle était qualifiée au Moyen-âge.
    Et cette semaine, pour mon plus grand plaisir, ils sont allés se balader le long de la "promenade plantée" ou "coulée verte" qui part de La Bastille jusqu’au bois de Vincennes traversant ainsi tout le 12ème arrondissement. Je vous engage vraiment à regarder les photos et lire les commentaires sur cette visite en cliquant ici. La photo qui illustre ce post fait partie du magnifique reportage de Cédric et Pascal. Le site « Paris Passion » vous donnera, j’en suis sûr, l’envie de découvrir le 12ème arrondissement et bien sûr toute notre Ville Lumière.
    Je vous l’assure – rassurez-vous, je n’ai pas d’action dans ce blog et ne connaît même pas ces deux véritables artistes – mais j’ai vraiment eu un gros coup de coeur pour ce blog qui me fait rêver sur cette ville que nous sommes si nombreux à aimer à la folie !
    Merci, chers Cédric et Pascal, pour le plaisir que vous nous procurez !
    Joyeux week-end de Pâques à toutes et tous !

  • Un skate-park éphémère à Paris

    A quelques jours du débat que j’organise avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement avec Fabien de Sans-Nicolas, je voudrai revenir sur un dossier qui concerne bien des jeunes Parisiens mais qui n’évolue pas très vite : le dossier du skate-park couvert.
    Une preuve encore qu’il est bien difficile d’entendre la jeunesse pour une réalisation qui ne demande pas de fonds importants.
    A l’image de ce skate-park éphémère que propose Rémy Walter, président de Paris Skate Culture.
    Je vous reproduis ce que j’écris à ce sujet dans mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux. »

    « Paris reste une capitale insuffisamment à l’écoute de ses jeunes. J’ai eu l’occasion de proposer, avec mon ami Jonathan Denis, président de Jeunes Autrement Paris, qu’on revoie la composition du Conseil de la jeunesse de Paris que j’évoquais précédemment en le recentrant sur les jeunes - de 13 à 21 ans et non jusqu’à 25 ans comme aujourd’hui - et en augmentant le nombre de ses membres - 200 au lieu de 105, à raison de 10 par arrondissement et sur une base paritaire.
    J’évoque en achevant ce chapitre les aspirations des jeunes, car je reste toujours étonné qu’on ait tant de mal à comprendre leurs désirs, voire leurs cultures. A chaque époque, c’est la même chose, la même incompréhension. Qui se souvient aujourd’hui des cris d’orfraie des bien pensants, dans les années 60, après le concert de La Nation où Johnny Hallyday et les Yéyés avaient réuni des dizaines de milliers de personnes ? On nous faisait presque passer Johnny pour un terrible révolutionnaire, lui qui a toujours appelé à voter Chirac plutôt qu’Arlette L. !
    Tout ceci pour en venir simplement à une nouvelle illustration de cette incompréhension : elle concerne la pratique du skate board dans la capitale.
    En effet une vieille ordonnance de 1862, qui interdit les « jeux dangereux sur la voie publique », est régulièrement opposée aux jeunes, mais aussi aux moins jeunes, qui circulent sur la voie publique en skate.
    Certes, les skates peuvent endommager le mobilier urbain. Mais dans ce cas, il faut aménager des lieux où cette activité puisse être exercée. A Paris seuls 3 skate park d’envergure modeste et quelques spots de street permettent une pratique sûre de ce sport. Insuffisant !
    Depuis longtemps, des associations réclament, avec constance, un lieu couvert pour pratiquer en toute sécurité et sans poser de problèmes leur activité. Le temps est donc venu de répondre aux vœux des milliers de personnes qui ont signé, à ce jour, la pétition lancée par l’association
    Paris Skate Culture .
    Et en attendant, la droite pourrait soutenir la simple demande de Rémy Walter, président de cette association, qui propose de lancer un skate park éphémère. La ville trouve un hangar désaffecté – il y en a quelques uns à Paris ! – et l’association
    Paris Skate Culture prêterait le matériel. Les arrondissements de droite, si la ville ne répond pas, pourraient permettre cette réalisation à même de satisfaire tant d’usagers du skate qui ont vraiment l’impression de ne pas être des citoyens comme les autres à Paris. »
    [Extrait de La Nuit des petits couteaux - Qui gagnera la bataille de Paris ? - Jean-Claude Gawsewitch Editeur - pages 161 à 163]

  • Des contre vérités qui ont un relent d’homophobie

    Dans « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? », j’ai consacré trois pages - sur 208, désolé pour ceux qui prétendent que je ne parle que de cette question ! - à la question homo à Paris dans le chapitre « Des voies nouvelles pour un Paris, Autrement ».
    J’ai décidé de livrer à ceux qui n’ont pas lu mon dernier livre ces pages qui sont une critique de la gestion de l’actuelle municipalité de gauche sur la question, mais aussi la dénonciation des fantasmes de certains élus de droite qui, sous couvert de combattre un pseudo communautarisme gay, trouvent là le moyen de lutter hypocritement contre l’homosexualité.
    En effet, sans vouloir défendre l’actuelle municipalité, l’honnêteté veut qu’on dénonce la campagne actuelle, lancée par le livre « Le marchand de sable » qui veut faire croire que les associations homosexuelles à Paris crouleraient sous les subventions et bénéficieraient sous la direction d’un maire gay d’un régime de faveur...
    Cette accusation est absurde mais laisse un goût amer.
    1,4% de subventions - 240.000€/an - pour une population qui rassemble de 10 à 15% de la population parisienne ne me paraît pas exagéré, ni préférentiel.
    A moins qu’on soit de mauvaise foi.
    Ces contre vérités ont un relent d’homophobie…

    « Enfin, un Grand Centre gay et lesbien à Paris !

    Dès qu’on parle des gays, dans le milieu politique parisien, tout devient irrationnel dans cette ville. Un journal satirique sur Internet « Le perroquet libéré » dénonce les erreurs de gestion prêtées ou supposées à Bertrand Delanoë. Mais l’essentiel de ces indignations est consacré aux actions qui sont menées à direction des homosexuels.
    Etonnant cette obsession des rédacteurs de cette lettre : ils voient des dérives communautaires permanentes et des homos partout. Il faudrait d’ailleurs demander à un psy ce qui justifie une telle obsession. Je dirai même un délire obsessionnel.
    Rien n’échappe aux coups de bec du perroquet, qui pour être juste, découvre parfois quelques petites perles. Mais bon, de là à critiquer dès que le mot gay ou lesbienne est prononcé, il y a une marge qu’ils franchissent allègrement ! Ainsi le 21 octobre 2005, évoquant les souris qui prolifèrent dans le 3ème arrondissement, ils n’hésitèrent pas à conclure : « Qui aurait cru qu’on manquerait de tapettes dans le Marais ? » Pas fin le Perroquet !
    Car ce bon François Devoucoux du Buysson, responsable de cette lettre satirique, sait parfaitement qu’à Paris, il y a de 10 à 15% d’homosexuels qui n’ont pas toujours été à la fête dans notre bonne ville. J’en ai même parlé avec lui en juillet 2005 dans un bistrot en face de la région : il a dû oublier !
    Sous les précédents mandats, aucune association homosexuelle ne bénéficiait de subventions alors que certaines jouent incontestablement un rôle important et que notre capitale a la communauté gay la plus touchée par le sida de toute l’Union Européenne. N’oublions pas qu’un gay sur 5 à Paris est contaminé par le VIH/sida ! Sans compter le travail que font certaines associations pour limiter le suicide qui concerne les adolescents homosexuels ou la lutte contre les discriminations.
    En 2004, 3.149 associations étaient subventionnées par la mairie de Paris à hauteur de près de 174 millions d’euros. Et parmi ces associations, seules dix-sept associations homosexuelles sur les centaines que compte notre ville bénéficiaient d’une aide publique ! On est donc très loin des abus dénoncés par Le Perroquet ou par certains élus de droite qui voient rouge dès que le mot homo se retrouve dans une délibération.
    Certes, un terrible précédent qu’a dénoncé, là à juste titre, François Devoucoux du Buysson , a plombé beaucoup d’initiatives en faveur des associations gays ou lesbiennes. En septembre 2002, le Conseil de Paris a voté une subvention de 100.000€ pour la préfiguration d’un Centre d’archives homosexuelles. Ce CADHP a une utilité qui est évidente.
    A l’époque j’ai donc pris ma plus belle plume pour demander aux conseillers de Paris de droite de voter pour cette subvention. Philippe Séguin, alors président du groupe RPR au conseil, m’assura du vote de son groupe. Effectivement, l’immense majorité du Conseil de Paris adopta cette subvention et, ce faisant, la création du CADHP. Quelle déconvenue de constater que quelques années plus tard personne ne sait réellement ce qu’est devenue cette initiative et que ces 100.000€ se sont presque envolés en fumée ???
    Mais est-ce parce qu’un projet n’a pas abouti et que les deniers publics ont ainsi été mal engagés que les centaines d’associations homosexuelle de Paris doivent être punies ? Sanctionne-t-on un club sportif qui demande des subsides municipaux au motif qu’un autre club a dilapidé une précédente subvention ?
    Il faudra, en 2008, que la droite reconnaisse enfin qu’une association homosexuelle a autant de droit à bénéficier de fonds public si elle a une utilité pour la ville, que les autres associations. Ce qui est le cas du CGL.
    Justement, en ce début d’année 2006, Paris ne dispose toujours pas d’un grand Centre Gay et Lesbien comme les grandes capitales du monde. Un CGL digne de Paris va, nous promet-on, ouvrir dans un immeuble de 240 m² à proximité du centre Pompidou au cours de ce premier semestre, mais que de temps perdu depuis 2001 !
    J’espère, chers amis de droite, que vous ne vous opposerez pas à ce projet que soutiennent d’ores et déjà les exécutifs de la mairie de Paris et de la région Ile-de-France ! Il en va de l’honneur d’une droite ouverte, tolérante. Bref, une droite qui vit enfin avec son temps ! »
    [extrait de La nuit des petits coteaux – qui gagnera la bataille de Paris ? Editions Jean-Claude Gawsewitch pages 163 à 166]

  • Dîner de Paris, Autrement le 17 mars

    La fédération de Paris d’Aujourd’hui, Autrement organise un nouveau dîner au Gai Moulin - 4, rue Saint Merri 75004 Paris - chez notre ami Christophe ce vendredi 17 mars à 20h30.
    Je serai bien sûr présent à cette soirée où il vous est encore possible de vous inscrire. Vous pouvez le faire en ligne sur le site d’Aujourd’hui, Autrement ou en en envoyant un e-mail à notre amie Anne-Marie-Engler.
    Le prix de cette soirée est de 27€ tout compris (Gnocchis au basilic, suprême de volaille aux cèpes, nougat glacé, kir et Merlot à volonté).
    Cette soirée est ouverte à toutes et à tous, adhérents ou non !
    Je serais heureux de vous voir vendredi soir…

     

  • Jean-François Legaret répond à Fred

    Frédéric Latour, président des Jeunes Autrement continue ses interviews d’élus et de responsables politiques parisiens. Cette semaine, il publie l’entretien qu’il a réalisé avec notre ami Jean-François Legaret, maire du 1er arrondissement.
    Je vous reproduis la partie de l’interview qui concerne la campagne des pré primaires pour laquelle Jean-François m’avait particulièrement soutenu ainsi que la question concernant les blogs à laquelle il répond.
    Encore bravo cher Fred !

    Frédéric Latour : Tu nous as beaucoup aidé pendant la pré campagne des Primaires. Tu sais que Jean-Luc t'en ai bien sûr reconnaissant. Il a un rôle énorme à jouer dans cette campagne. Comment le vois tu évoluer dans l'optique des municipales parisiennes ?
    Jean-François Legaret : Je suis totalement convaincu qu'on a besoin de lui. Moi ce qui m'a frappé si tu veux, c'est que j'ai lu son bouquin qui est un peu coupé en deux. La 1ère partie, c'est le récit de ses mésaventures et de ses déboires dans le cadre des primaires. C'est un récit qui m'a frappé par son objectivité et il y cite les rencontres que nous avons pu échanger. C'est d'une exactitude très frappante et avec un vrai souci d'objectivité. Je peux le dire d'autant plus que j'en ai été témoin. La 2ème partie est une partie très différente dans laquelle il fait état de ses nombreuses propositions. Preuve qu'il a vraiment bossé dans le cadre de ses primaires. Je trouve qu'il y a beaucoup d'idées novatrices et intelligentes. Jean-Luc fait partie d'une génération d'élu(e)s qui a envie de s'inscrire dans une vision d'avenir. Il a un vrai rôle à jouer lors de ses municipales aux côtés de Françoise.

    Frédéric Latour : Le Blog est un support de communication intéressant et un vrai espace d'expression et de liberté. Penses-tu en ouvrir un ?
    Jean-François Legaret : J'ai l'intention de le faire. Ce qui est important c'est de le faire fonctionner. Jean-Luc me racontait qu'il passe beaucoup de temps sur son blog. Donc ça veut dire qu'il faut vraiment s'impliquer, j'ai pas encore sauté le pas, j'aurais déjà du le faire, mais c'est pour bientôt. Ce qui est important c'est d'avoir une déontologie très stricte vis à vis de son blog. Si un élu arrête de s'occuper de son blog et fait s'occuper ça par d'autres, ça se voit immédiatement. Tu sais, il faut avoir un engagement moral sur son blog.

  • Merci à La Nuit des Follivores !

    Les noctambules parisiens connaissent bien la Nuit des Follivores.
    Un rendez-vous incontournable !
    Une fois par mois, le Bataclan, grande salle de spectacle parisienne, est investi pour une soirée « chansons françaises ». Des centaines de jeunes viennent se trémousser sur les standards de Sheila, Dalida, Sylvie Vartan et bien d’autres. Et depuis des années cette soirée décalée est un must à Paris. A tel point qu’il existe maintenant des tournées des Follivores dans les discothèques de province.
    Ce soir a donc lieu la Nuit des Follivores spécial Cloclo.
    A cette occasion, je veux remercier les organisateurs, notamment Jack, d’avoir consacré
    mon livre « la Nuit des petits couteaux », chouchou du mois. J’ai découvert cette délicate attention sur les flyers de la soirée…
    Belle fête ce soir et Merci à La Nuit des Follivores pour l’honneur que vous me faîtes !

  • Un grand PSG pour un Grand Paris ?

    Les derniers événements concernant le PSG m’ont désolé comme beaucoup d’entre vous. Le match pathétique contre les remplaçants de l’OM a attristé tous ceux qui, comme moi, estiment qu’une capitale doit avoir un grand club de football.
    Dans mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux », j’ai pourtant longuement évoqué l’intérêt qu’il y aurait pour le PSG de multiplier les contacts avec les jeunes Parisiens. Malheureusement, je crains que si cela continue, plus un jeune de notre belle ville ne s’identifie à ce club qui nous a pourtant si souvent fait rêver par le passé. Mais le pire n’étant jamais sûr, rêvons encore.
    Justement rêvons à un grand stade pour un grand club !
    Le Parisien d’hier évoque la nouvelle rumeur qui enfle dans le milieu du football.
    Le PSG pourrait quitter le parc des Princes pour rejoindre le plus prestigieux de nos stades : le Stade de France.
    Certains s’y opposent au prétexte que ce stade n’est pas dans l’enceinte de notre ville, mais à l’extérieur du périphérique qui nous sépare de la banlieue tel un nouveau mur de Berlin. J’ai défendu, à plusieurs reprises le Grand Paris, et j’y consacre tout un chapitre de mon nouveau livre. Mettre le PSG en résidence au Stade de France, outre de lui donner un stade de prestige, montrerait que le Grand Paris se construit peu à peu.
    Alors pour un Grand PSG et pour un Grand Paris, si on osait ?

  • « La Nuit des petits couteaux », un mois après

    Déjà un mois qu’est sorti mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Le 9 février, je fêtais avec beaucoup d’entre vous cette sortie au Banana. Un excellent souvenir. Vraiment !
    A ce jour, les réactions au livre ont été nombreuses et souvent très encourageantes et je remercie toutes celles et ceux qui m’ont envoyé des mots ou des e-mails. De nombreux médias ont aussi parlé de ce livre et je vous reproduis la liste des critiques ou paroles de journalistes que j’ai pu collecter. Cette liste n’est pas exhaustive.
    Un seul regret pour l’instant - mais la vie de ce livre n’est pas terminée ! -, beaucoup de journalistes n’ont commenté que la première partie de mon ouvrage, celle consacrée à la primaire UMP et à certains mauvais coups…
    Incontestablement, ce livre – et celles et ceux qui m’ont envoyé des mots d’encouragements l’ont remarqué - est bien plus.
    D’ailleurs, il reste d’une brûlante actualité parce qu’il présente les acteurs majeurs de la prochaine élection municipale à Paris - en septembre 2007 ou en mars 2008 ? - mais aussi parce que ce livre dévoile mes propositions pour gérer Paris autrement, pour trouver des voies nouvelles et donne mes solutions pour créer un Grand Paris. Vous pouvez bien sûr ne pas être d’accord avec ces propositions, mais elles permettent de lancer un débat, je le crois, indispensable pour renouveler nos idées à Paris et attirer celles et ceux qu’une partie de la droite a trop méprisés ces dernières années. Ces électeurs le lui ont d’ailleurs bien rendu en 2001. Alors ne commettons plus les mêmes erreurs.
    C’est tout le sens de mon livre. N’en déplaise aux grincheux !
    Bonne lecture…

    Propos de journalistes sur…
    « La nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Jean-Claude Gawsewitch éditeur – février 2006

    « Même Jean-Luc Romero y va de sa plume avec une insolente Nuit des petits couteaux ».
    Le Parisien – Martine Chevalet – 23 janvier 2006
    « Jean-Luc Romero n’a pas été qualifié pour les primaires. A une voix près. Dans son pamphlet « la Nuit des petits couteaux », à paraître le 9 février, il balance ».
    Obs Paris – Guillaume Malaurie – 2 au 8 février 2006
    « Jean-Luc Romero – qui tenta un moment de participer aux primaires UMP – sort jeudi la nuit des petits couteaux. […] Il propose d’expérimenter le péage urbain à Paris durant un an, de faire élire directement le maire par les Parisiens ou de créer un pool d’assistantes maternelles ouvert 24 heures sur 24 ».
    Journal du dimanche – 5 février 2006
    « Les quatre vérités de Jean-Luc Romero. […] Dans la Nuit des petits couteaux, le président d’Elus Locaux contre le Sida dresse avec ironie, mais sans amertume, ces quelques mois où il a cru pouvoir jouer dans la cour des grands pour tenter sa chance aux primaires de l’UMP… [Il] propose en fin d’ouvrage sa réflexion sur le péage urbain ou sur les immeubles de grande hauteur et surtout sur tous les domaines où la droite reste en retrait : toxicomanie, homosexualité, parité… »
    Le Parisien – Sébastien Ramnoux – 6 février 2006
    « Ravaillac inspire Romero. Jean-Luc Romero a choisi le Banana, un bar branché du 1er arrondissement pour présenter son livre consacré aux municipales parisiennes la Nuit des petits couteaux. Un lieu chargé de symboles pour le conseiller régional : C’est dans cette cave que Ravaillac, après avoir tué Henri IV s’est réfugié avec son … petit couteau. »
    Le Parisien – 7 février 2006
    « A l’occasion de la sortie de son ouvrage, La Nuit des petits couteaux, Jean-Luc Romero donne son point de vue sur les primaires de l’UMP et apporte son soutien à Françoise de Panafieu, maire UMP du 17e. »
    Métro - Aurélie Sarrot – 9 février 2006
    « [Son] livre situe les enjeux de la prochaine élection municipale à Paris en 2008… Plutôt acides [les] portraits des candidats de la droite… »
    Le Républicain Magazine – Stéphane Piraud – 9 février 2006
    « Dans [son] livre, [il] dresse des portraits au karsher des quatre candidats aux primaires UMP. »
    Radio BFM – Hedwige Chevrillon – 9 février 2006
    « Les lettres de Romero. Jean-Luc Romero sort cette semaine son nouveau livre La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ?.
    Tirés de celui-ci, trois extraits de lettres croustillants, pour dire les enjeux de l’élection… Capitale ! »
    Echo d’Ile-de-France – Samy Abtroun – 3 au 9 février 2006
    « Dans [son] livre, il expose un certain nombre de propositions… S’agit-il de propositions ou d’un programme ? »
    Equivok – 4 au 17 février 2006
    « Jean-Luc Romero écrit librement à chaque candidat ce qu’il pense de lui et finit par prendre position pour Françoise de Panafieu, qui est aussi la favorite des sondages. Si elle est élue, elle devrait puiser quelques idées dans le catalogue très riche que propose Jean-Luc Romero… »
    La lettre politique et parlementaire – 13 février 2006
    « La queue qui s’était formée devant le Banana avait de quoi laisser perplexe pour un jeudi soir en période de vacances scolaires […] Le secret de cette foule hétéroclite ? Le lancement du nouveau livre de Jean-Luc Romero, la Nuit des petits couteaux, qui compte peser dans la bataille électorale pour enlever Paris à Delanoë. »
    Zurban – Alain Tap – 15 au 21 février 2006
    « Le 25 février 2006, les militants de l’UMP de Paris désigneront le candidat aux élections municipales de 2008. Jean-Luc Romero, ancien secrétaire national de l’UMP et conseiller régional d’Ile-de-France, premier élu au monde à avoir révélé sa séropositivité ne participe pas à la primaire. Dans La Nuit des petits couteaux, il s’en explique et fait le pari d’une autre droite… »
    France Info, Le livre du jour – Philippe Vallet – 17 févier 2006
    « La Nuit des petits couteaux, c’est la manière dont Jean-Luc Romero parle des primaires de l’UMP pour les candidats à la candidature pour combattre Bertrand Delanoë. »
    LCI, Le grand journal – Michel Field – 17 février 2006
    « Ce sont des méthodes héritées des années passées, dénonce Jean-Luc Romero, conseiller régional UMP [dans la Nuit des petits couteaux]. Fausses adhésions, utilisations de moyens illégaux et de fichiers, coups bas, pressions, manipulations, insultes, chantages… »
    Libération – Thomas Lebègue – 20 février 2006
    « Jean-Luc Romero a choisi la tradition festive du Banana Café, bar branché du 1er arrondissement de la capitale, pour présenter son livre, la Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ?, consacré aux municipales parisiennes. »
    Ici Paris – Catherine Monbreault – 21 au 27 février 2006
    « La Nuit des petits couteaux, c’est règlement à OK Corral. »
    TVFil 78 – Marc Nino – 22 février 2006
    « La Nuit des petits couteaux, en deux mots, c’est jeux de pouvoir et trahisons dans les coulisses de l’investiture UMP pour les prochaines municipales à Paris. C’est vrai qu’il faut avoir un poignard sur soi pour attaquer l’UMP. »
    Pink TV, Le Set – Marie Laborie – 22 février 2006
    « Un UMP atypique vient de sortir un livre La Nuit des petits couteaux. J’aime beaucoup le titre… [Il] a la dent très dure… Il y a beaucoup d’idées dans [son] livre. »
    BFM TV, le Grand Journal – Guillaume Vanhems – 26 février 2006
    « Face aux semelles compensées pour Jean-Luc Romero, c’est la nuit des petits courtauds. »
    Voici – Basile de Koch – 27 février au 5 mars 2006
    « Un regard féroce et mordant… Un livre savoureux qui vous éclaire… Des portraits sans complaisance… Il n’a pas trempé sa plume dans la verveine »
    France Bleu Ile-de-France – Olivier Daudé – 27 février 2006
    « Engagement. Il y fait de nombreuses propositions comme le Grand Paris. »
    Honcho – mars-avril 2006
    « C’est un livre qui mérite d’être lu car on y apprend beaucoup de choses. C’est un livre très bien écrit… La fin du livre est très ouverte. »
    Radio Triangle FM, Zigomatik – Jean-Luc Frydman – 1er mars 2006
    « Un livre où on y apprend qui sont les petits couteaux… »
    Direct 8, Face à Alain Minc – Guillaume Klossa - 5 mars 2006

  • Ce soir à 19h00, « Face à » Sur Direct 8

    Ce dimanche 5 mars 2006, je suis l’un des invités de l’émission « Face à » de 19 à 20 heures sur la chaîne de la TNT Direct 8.
    Avec d’autres invités, nous commenterons particulièrement trois sujets de l’actualité de la semaine. Le débat, animé par Guillaume Klossa, traitera du patriotisme économique, des primaires à Paris et de la chute du Premier ministre dans les sondages.
    Bon dimanche !