A Rennes, à l’invitation de l’association des élèves directeurs d’hôpitaux de l'EHESP, j’ai pu rappeller que le combat que nous menons à l’ADMD-FRANCE n’est pas un choix entre la vie et la mort.

Mais bien entre deux morts.

Effectivement, il devient urgent que le gouvernement de Michel Barnier reprenne la discussion du projet sur la fin de vie interrompu par la dissolution et que madame le docteur et ministre @gdarrieussecq écoute enfin les Français qui souhaitent disposer de leur ultime liberté ! Et pas les seuls médecins…

Merci encore pour l’invitation des étudiants, futurs cadres hospitaliers, à cette journée consacrée à la fin de vie !

Heureux d’avoir retrouvé à cette occasion  @LMaillart qui, en juin, avait soutenu avec détermination le texte à l’Assemblée-Nationale aux côtés d'Olivier Falorni …

#Rennes #MaMortMAppartient @SermentDeBerne

J’aimerais être optimiste et confiant dans le vote prochain d’une loi de liberté sur la fin de vie !

Mais quand Michel Barnier annonce la « reprise du dialogue » avec le parlement sur le projet de loi en janvier prochain, cela ne me rassure pas forcément !

Car, ce n’est pas d’une reprise de dialogue dont nous avons besoin, mais bien d’un engagement sur la discussion d’un projet de loi ou de la proposition d'Olivier Falorni !

D’autre part, janvier c’est bien trop tard, car s’il faut un an pour le vote de ce texte, une nouvelle dissolution risquerait  d’empêcher, une nouvelle fois, le vote d’une loi d’ultime liberté !

Bref, arrêtons de procastiner et que l’Assemblée Nationale mette un texte sans tarder à l’ordre du jour !

Loïc Resibois nous a quittés…

Je suis soulagé que ses souffrances s’arrêtent enfin, même s’il n’a pu bénéficier de cette loi pour laquelle il s’est tellement battu.

Je pense à sa femme Caroline et ses proches qui perdent un être lumineux et tellement bienveillant.

Notre pays perd de son cote un militant de la liberté exceptionnel et si courageux.

Merci Loïc de nous avoir montré le meilleur de que peut apporter un homme pour défendre une cause qui nous dépasse.

À l’invitation du Fonds du bien commun, j’ai visité l’Ehpad de Grenelle à Paris dans le cadre du projet « Parlons terrain ! ». Merci à François Philippon, le directeur, et ses équipes pour l’accueil ainsi que pour l’accompagnement offert aux résidents de ce bel établissement.

J’ai eu le plaisir d’échanger avec le comité d’éthique composé de résidents, de soignants, de famille et de bénévoles. Ce comité, qui existe depuis plus de 20 ans, permet l’échange et le dialogue entre toutes et tous sur de nombreux sujets de société dont bien évidemment celui de la #FinDeVie.

Les membres de ce comité partage l’idée qu’il faut parler de la mort sans tabou, qu’il faut la préparer, afin de pouvoir vivre et profiter pleinement de la vie en sachant que son choix pour sa fin de vie sera respecté.

Encore un grand bravo aux équipes pour le travail et l'accompagnement du grand âge dans des conditions sereines et humaines.

Vivre sa fin de vie dans la dignité : un droit à respecter et faire respecter partout en France.

Retrouvez mon débat avec une opposante à une fin de vie libre dans le mensuel Union Sociale !

Toujours étonné que certain.e.s s’opposent avec tant de détermination à une loi qui n’impose absolument rien à personne, respecte toutes les consciences et donne un nouveau droit.

Une loi d’ultime liberté donnera la possibilité de choisir le moment et la manière d’éteindre la lumière exclusivement à celles et à ceux qui le souhaitent et le demandent expressément !

Et AUCUN soignant - aucun ! - ne sera jamais obligé de faire ce soin ultime grâce à une clause de conscience !

Alors pourquoi continuer à s’opposer à une loi qui respecte enfin nos Droits Humains ?

Michel Barnier, on attend que vous repreniez rapidement la discussion de cette loi : le texte de Olivier Falorni est prêt !!!

Les Français en ont marre d’attendre !

Dans Le Populaire, j’évoque aussi mon combat pour une fin de vie digne et libre et interpelle le Premier ministre Michel Barnier :

On ne peut laisser sans suite le débat sur la fin de vie qui a été avorté avec l’hasardeuse dissolution !

Les Français en ont marre d’attendre une loi d’ultime liberté !

@ADMDFRANCE

Sur France Culture, Christophe Bitaud de la Libre pensée parle de #LeSerment2Berne : « j’ai lu & apprécié son livre que je vous recommande vivement ! »

Un récit qui évoque l’histoire du combat pour une fin de vie digne et démontre l’urgence de voter une loi !

Toujours heureux de retrouver à Limoges les militantes et les militants ADMD toujours très mobilisés pour obtenir enfin une loi d’ultime liberté !

Merci au député Stéphane Delautrette pour sa présence et son action inlassable aux côtés de Olivier Falorni pour obtenir à l’Assemblee Nationale cette loi que 9 Français sur 10 attendent !

Aux Assises nationales des EHPAD, j’ai rappelé lors de la table ronde sur la #FinDeVie à quel point les Françaises et les Français attendent une évolution de la loi pour permettre enfin à toutes et tous à la fois l’accès universel aux soins palliatifs et également l’aide active à mourir.

La dissolution a stoppé les discussions alors même que pour la toute première fois, les parlementaires avaient l’opportunité de faire aboutir un projet de loi pour ouvrir ce nouveau droit fondamental.

Il est essentiel que le futur nouveau Gouvernement Barnier s’empare de ce sujet transpartisan : les Françaises et les Français sont prêts !

Retrouvez-moi dimanche à 9h40 sur France Culture pour parler de la loi sur la fin de vie que nous sommes si nombreux à attendre.

J’y évoquerai aussi mon livre #LeSerment2Berne - de la mort solitaire a la mort solidaire, plaidoyer pour une fin de vie libre et digne qui demontre l’urgence d’accorder enfin au français une loi d’ultime liberté !

Cette émission a été enregistrée avant la dissolution de l’Assemblée Nationale. Aujourd’hui, l’urgence est à la reprise des discussions pour enfin permettre aux françaises et français de choisir leur fin de vie !

Tout mon soutien et mon affection à Loïc Résibois et à sa famille. Son combat est le nôtre…

Refuser une sédation profonde et continue à un malade atteint de Charcot est profondément choquant et inhumain.

Si un malade atteint d’une telle maladie ne peut être entendu, qui peut l’être ?

Comme à une époque, on avait laissé Marie Humbert seule face à la souffrance et à la volonté de mourir de son enfant, va-t-on continuer encore longtemps dans le pays des Droits Humains à abandonner des mourants qui veulent partir et laisser aux familles la responsabilité d’aider les leurs -  qui le demandent - à abréger une survie inutile ?

Chaque jour qui passe nous conduit à des drames inacceptables et violemment douloureux !

Il devient vraiment urgent que la France légalise l’aide à mourir et nous permette enfin d’avoir notre ultime liberté !

Il y a 10 ans, mon amie Nicole Boucheton s’éteignait en Suisse accompagnée par l’association Ex-International.

Elle avait dû fuir son pays pour mourir librement.

10 ans plus tard, rien n’a changé et la fuite à l’étranger - si on en a les moyens - ou se suicider violemment restent les seules alternatives quand les douleurs et les souffrances de la maladie sont insupportables.

Elle fut à mes côtés et à ceux de Chris, une vice-présidente de l’ADMD-FRANCE active, bienveillante et très exigeante. Elle reste un de mes modèles.

Elle fut aussi très militante à la Libre Pensée.

Je pense à son compagnon et à sa soeur qui perpétuent avec détermination la mémoire de cette femme d’exception.

Elle est pour toujours dans mon coeur.

Tout mon soutien et mon affection aux Jeunes Admd qui ont été menacés à Versailles alors qu’ils tractaient sur un marché.

La mairie de Versailles a refusé d’accueillir l’étape de l’#AdmdTour - créé il y a 9 ans par Christophe Michel-Romero - qui sillonne actuellement le pays pour sensibiliser les Francais aux directives anticipées.

Que dire ?

Plus que jamais - et malgré les circonstances politiques dramatiques -, l’ADMD-FRANCE continue sa mobilisation pour obtenir une loi d’ultime liberté ! Toujours se battre ! Toujours…

Bravo aux Jeunes Admd, à leurs co-responsables Deborah Fort & Franck Duquesnoy, à Bastien et à tous les jeunes mobilisés pour ce nouvel #AdmdTour, créé il y a 9 ans par Christophe Michel-Romero.

Heureux d’avoir participé à l’étape de Strasbourg avec le trésorier et ancien responsable des #JeunesAdmd Benjamin Mattely et d’y avoir retrouvé notre délégué Robert, mais aussi l’emblématique présidente de l’Admd-Belgique Jacqueline Herremans !

Merci Emman Fernandes, député sortant et candidat d’être passé nous rencontrer, mais surtout d’avoir été un député plus que mobilisé pour une loi d’ultime liberté.

Il a fait partie des députés réellement les plus engagés dans la discussion parlementaire avortée pour la loi que nous souhaitons.

Merci aussi à Marie-Dominique Dreyssé, VP de Strasbourg Métropole de sa venue et de son soutien !

Le combat continue !

84% des Francais veulent la poursuite de l’examen du projet de loi sur la fin de vie.

Bien sûr, les temps sont bien trop graves pour s’en prendre à un camp plutôt qu’à un autre.

Mais, malgré les discours, aucune des coalitions républicaines susceptible de gagner les #ElectionsLégislatives2024 - Renaissance et Font populaire - n’a mis dans son programme une loi sur la fin de vie. AUCUNE.

C’est une faute.

Cette question est aussi prioritaire.

Le contexte fait que l’urgence a conduit à cela et montre que, nous, militantes et militants de l’ultime liberté, ne sommes pas assez entendus et écoutés sur un sujet pourtant essentiel.

Il n’y a rien à attendre du RN et il faut aussi le dire haut et fort. Ne pas le faire serait une grave erreur au vu de ce contexte inédit et inquiétant.

Plus que jamais, il nous appartient personnellement d’interpeller nos candidats.

Celles et ceux qui sont proches d’une des deux coalitions doivent leur rappeler l’impérieuse nécessité de relancer dès leur élection une loi sur l’ultime liberté.

La période est terriblement inquiétante à de très nombreux égards, mais notre responsabilité de militantes et de militants pour une fin de vie libre et digne nous oblige à continuer de porter une question qui concerne toutes les Francaises et tous les Francais.

Même si bien évidemment, ce n’est pas la seule priorité et il faut aussi avoir la modestie de le reconnaître.

#PourUneFinDeVieLibreEtDigne

#NonAuRn

Sur France Info, j’ai redit mon immense tristesse après le décès de cette icône qu’était, pour ma génération, Francoise Hardy et bien sûr mes affectueuses pensées pour Thomas Dutronc et Jacques Dutronc.

J’ai rappelé que si l’interprète de « Comment te dire adieu ? », ne voulait pas qu’on dise qu’elle était « une militante » sur la fin de vie digne, elle a, avec Line Renaud, symbolisé depuis la sortie son livre autobiographique « Le désespoir des singes », ce combat.

En décembre, elle qui reconnaissait ne plus être en capacité de partir en Suisse, avait interpellé le président Emmanuel Macron pour qu’il propose enfin une loi d’ultime liberté !

Malheureusement, la dissolution a stoppé la discussion du projet de loi la fin de vie après le travail incroyable qu’a mené Olivier Falorni.

Le Président s’engage à reprendre ce texte mais, soyons sûrs, que si le RN est au pouvoir, nous n’aurons aucune chance d’avoir une loi.

Aucune !

« Si tu crois un jour que tu m’aimes … »

 

L’élégante et si talentueuse Francoise Hardy nous a quittés.

Une de nos icônes a rejoint les étoiles.

Les yéyés sont en deuil.

Ses mélodies valseront pour toujours dans nos têtes.

Je n’oublie pas nos rencontres dans des débats sur la fin de vie.

Je pense au chagrin de son fils Thomas Dutronc et à Jacques Dutronc.

 

« L’amour est plus fort que la mort ! »

Cette loi sur la fin de vie n’est pas la loi belge sur la fin de vie que nous étions nombreuses et nombreux à promouvoir et à espérer, mais, ENFIN, l’article sur le droit à une aide active à mourir a été voté par les députés !

Quand la loi sera adoptée définitivement, beaucoup de nos compatriotes n’auront plus à fuir à l’étranger pour mourir dignement et librement.

Aucun principe supérieur, dans une république laïque, ne peut nous obliger à mourir le plus tard possible et agoniser dans la souffrance !

Il etait temps que nos élus nous entendent…

Merci Olivier Falorni qui ne cesse de se battre pour que cette loi soit la plus complète et qui a fait face à la trahison de certains députés qui se disent nos alliés..

Mais le chemin législatif n’est pas terminé : après le vote en 1ere lecture à l’Assemblée Nationale, le 18 juin - quel beau symbole ! - espérons que le Sénat sera aussi progressiste qu’il a pu l’être pour la constitutionnalisation de l’avortement !

Enfin !

Les députés ont adopté l’article 5 du projet de loi sur la fin de vie qui autorise le suicide assisté et, si la personne ne peut pas faire elle-même le geste, l’#euthanasie.

Si cela est évidemment insuffisant, - il aurait fallu autoriser l’un et l’autre -, il est quand même historique que l’@AssembleeNat vote enfin une aide active à mourir avec le soutien d’un gouvernement.

La France va désormais rejoindre les nombreux pays qui nous entourent et qui accordent cette ultime liberté. Il était temps !