Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

admd

  • La fin de vie arrive largement en tête des préoccupations des Français !

    Alors que François Bayrou ne cesse de tergiverser sur la loi sur la fin de vie et réitère sa volonté de deux textes distincts pour, une fois de plus, satisfaire droite et extrême-droite, les Français lui rappellent dans un nouveau sondage leur attachement à une législation sur notre ultime liberté.
    Selon un sondage Ipsos-France pour la Tribunedu Dimanche, ils sont 88% à demander un référendum !
    La fin de vie arrive largement en tête des préoccupations et des sujets sur lesquels les Français voudraient être consultés !
    Même s’il paraît difficile d’avoir juste une réponse binaire sur un tel texte, les atermoiements des gouvernements successifs conduisent les Français à vouloir trancher enfin et eux-mêmes, puisque les gouvernements successifs en ont été incapables.
    Il serait temps que  le Premier ministre cesse ses fake news sur l’euthanasie et d’opposer le bien - soins palliatifs - et le mal -aide active à mourir - alors que les deux sont un soin ultime !
    Qu’il entende enfin une demande de 9 Français sur 10 favorables à une loi qui donne un droit, n’oblige personne et ne viole aucune conscience !

    IMG_3864.jpeg

    httpsstatic.latribune.fr2529245journal-la-tribune-dimanche-09-02-2025.pdf.jpeg

  • Il serait temps que le Premier ministre cesse de privilégier ses convictions religieuses

    Il serait temps que le Premier ministre cesse de privilégier ses convictions religieuses et s’inspire d’un de ses modèles, VGE, qui sut légaliser l’IVG, malgré sa foi !
    Au moment où dans #LaTribuneDimanche les « 184 » - les membres de la convention
    citoyenne - appellent @bayrou à reprendre la discussion d’un texte complet sur la #findevie, le Premier ministre persiste dans ses errements.
    Après avoir propagé des fake news sur la Belgique, @bayrou réitère sa volonté de scinder la loi en « deux questions absolument distinctes et, j’allais même dire, moralement (sic) distinctes. »
    Opposer soins palliatifs et aide active à mourir, comme il le fait, est inacceptable !
    A l’entendre, seuls les soins palliatifs sont une réponse humaniste en opposition avec l’aide à mourir qui n’est qu’une « question de droit, qui peut engendrer des débats de conscience extrêmement lourds. »
    Je me suis toujours battu avec l’ADMD-FRANCE pour un accès universel aux soins palliatifs, mais avec ses propos, on va finir par passer de l’acharnement thérapeutique à l’acharnement palliatif,  car oui monsieur #Bayrou, il y a des situations où les soins palliatifs sont impuissants et ça doit aussi rester un droit que de souhaiter en bénéficier ou non.
    Soins palliatifs et Aide à mourir sont une réponse humaniste aux fins de vie difficiles et sont totalement et indissociablement complémentaires. Les deux sont un soin ultime !

    IMG_3683.jpeg

  • François Bayrou n’est pas Premier Ministre de la France pour imposer sa vision réligieuse de la société.

    La loi sur la fin de vie doit reposer sur ses deux jambes !
    D’un côté, l’accès universel aux soins palliatifs, qui concernera la majorité de nos concitoyens.
    De l’autre côté, l’aide active à mourir, car certaines souffrances ne peuvent être apaisées par les soins palliatifs.
    Cela doit être un droit, quand on souffre, d’éteindre la lumière et de ne pas être obligé de vivre une longue agonie.
    François Bayrou n’est pas Premier Ministre de la France pour imposer sa vision réligieuse de la société.
    Comme Valéry Giscard d’Estaing avait su, avec Simone Veil, dépasser ses convictions intimes pour permettre l’avortement, François Bayrou doit, dans une république laïque, entendre la majorité des Français qui veulent enfin une loi d’ultime liberté pour être maîtres de leurs derniers instants.

    IMG_3339.jpeg

  • Le Premier ministre ne peut faire passer ses convictions religieuses avant les considérations d’intérêt général

    Toujours heureux d’animer au Mans une réunion ADMD-FRANCE avec Rémi Marchand dont l’énergie militante est communicative !
    Nos adhérents Admd-Sarthe ont encore montré leur pugnacité pour obtenir une loi d’ultime liberté !
    Merci à Catherine Brulé d’avoir, une fois de plus, été présente !
    Nous ne pouvons accepter la proposition de François Bayrou de scinder le texte sur la fin de vie en deux.
    Les soins palliatifs et l’aide active à mourir sont complémentaires et doivent être traités par l’Assemblée-Nationale en même temps.
    Le Premier ministre ne peut faire passer ses convictions religieuses avant les considérations d’intérêt général d’une loi qui respecte en plus toutes les consciences !
    Assez de tergiversations : le texte de Olivier Falorni doit être discuté en février comme Yael BRAUN-PIVET s’y est engagée !

    cfe64b5d-3788-46af-b9e0-43a6d506619b.jpeg

    609ade0f-c4a8-42fd-8070-fd082df1a586.jpeg

    53a83b5f-91a0-45bf-844e-f2dbb5de8055.jpeg

  • Au Mans, le 25 janvier pour une fin de vie digne !

    f72d24ea-8211-4ba6-8e17-0071c887a72c.jpeg

  • Monsieur Bayrou, laissez enfin les parlementaires discuter d’une loi d’ultime liberté !

    Monsieur Bayrou, laissez enfin les parlementaires discuter, en février, d’une loi d’ultime liberté !
    Au-delà de vos convictions intimes et religieuses que je respecte, vous devez écouter les Français qui n’en peuvent plus de ne pas être entendus sur la fin de vie.
    D’autant qu’une telle loi respecte TOUTES les consciences, notamment la vôtre d’opposant de longue date à une aide à mourir, puisqu’elle s’en tient à la seule décision du mourant : mourir le plus tard possible ou abréger des souffrances qu’il estime inutiles et insupportables !
    Alors, agissez enfin : vous avez clairement une majorité pour cette loi à l’Assemblee Nationale !

     

  • La fin de vie est une question de liberté et de dignité.

    La fin de vie est une question de liberté et de dignité.
    Dans mon interview pour @lavoixdunord Hauts-de-France du 8 janvier, je souligne que le projet de loi actuel est une avancée, mais reste insuffisant. Personne ne devrait être forcé de quitter la France pour mourir dignement.
    En tant que président d'honneur de l'@ADMDFRANCE, je continuerai de me battre pour une loi qui respecte pleinement le droit de chacun à choisir les conditions de sa #findevie. C'est une question de justice et de droits humains.
    Une interview à retrouver sur le site de lavoixdunord.fr.

    4bd8f85b-c473-480e-a250-1c03ddf220cb.jpeg

    2b8bd11e-2b5d-418e-b9d5-8a58842a6a19.jpeg

    52227c13-c998-46a5-a393-5d3b20182d00.jpeg

    43c0d232-b11c-40af-9259-a29891177dda.jpeg

    efd81a4a-c558-4f1e-a59c-fdd8ba24f8fd.jpeg

    f4f39478-231c-46dc-8f5c-651eb828d32a.jpeg

     

  • Encore un message déchirant d'une personne qui n'en peut plus de souffrir !

    Encore un message déchirant d'une personne qui n'en peut plus de souffrir ! J'ai envie de le partager avec vous pour vous rappeler l'inhumanité de nos lois sur la fin de vie.
    Il faut que ça change !
     
    Cher Monsieur Romero-Michel,
     
    Quelque chose d'inexpliqué m'a décidé, en vous voyant il y a quelques semaines dans un reportage télévisé sur une drogue de synthèse qui fait des ravages chez les jeunes, à reprendre contact avec vous pour essayer de relancer une conversation que j'avais tenté d'entamer Il y a maintenant une quinzaine d'années (voir messages ci-dessous).
     
    J'étais parvenu à l'époque à entrer en contact avec Mme Marie Humbert après quelques recherches sur Internet, qui m'avait gentiment appelé pour une conversation qui avait finalement duré une bonne heure. Vous m'étiez apparu à l'époque comme un bon point de continuation pour discuter de l'aspect légal de la question de la fin de vie. Comme vous pouvez le constater ci-dessous, j'avais fini par renoncer votre emploi du temps très occupé. J'imagine que cette situation n'a pas vraiment changé vu les fonctions que vous occupez, mais je vais cette fois me contenter de vous envoyer quelques remarques en espérant simplement qu'elles soient lues et trouvent un jour leur place dans le débat national.
    Je fait partie de la catégorie de personnes que j'appelle les laissés pour compte des lois sur la fin de vie. Ces personnes qui ne sont pas mourantes, mais vivent un calvaire au quotidien qui peut se prolonger indéfiniment. Je ne voudrais pas vous ennuyer avec l'histoire de ma vie, mais quelques informations sur mon passé vous donneront peut-être une meilleure idée de ce que je ressens au quotidien.
    J'ai passé toute mon enfance en Côte d'Ivoire où je suis né, avant de finir ma terminale et de passer une année en faculté de médecine à Nice. Je me suis tout de suite rendez compte que ce n'était pas vocation, et je suis parti aux États-Unis pour continuer mes études, en finance et comptabilité. J'ai eu la chance d'être diplômé de bonnes écoles (Wharton et Columbia Business School) et de pouvoir commencer une carrière professionnelle à Philadelphia, New York puis Washington. En tout, un séjour d'une douzaine d'années qui s'est terminé après un accident en 2002.
    Depuis l'enfance, j'ai mené une vie faite d'activités physiques, en extérieur, ou les deux. Judo, tennis, planche à voile, aviation, moto... Malgré ce que pourrait suggérer mes diplômes, je n'ai jamais vraiment été quelqu'un stimulé par l'activité intellectuelle. Mes loisirs à l'âge adulte étaient essentiellement l'aviation (j'ai une licence de pilote professionnel) et la course moto en amateur, que je pratiquais en alternance l'hiver et à la belle saison. C'est lors d'une compétition sur un circuit en Virginie Occidentale que j'ai subi un grave accident en 2002 auquel j'ai eu la malchance de survivre. Je mesure bien le poids de mes mots.
    Cet accident est pour moi l'équivalent de la peine capitale telle qu'elle est pratiquée aux États-Unis, avec des procédures d'appel à répétition s'étalant sur des décennies. Lors de mon premier séjour hospitalier à Washington après l'accident, un médecin m'a informé qu'une personne dans mon état avait une espérance de vie moyenne d'environ 7 ans. Je trouvais déjà que cela faisait 7 ans e trop pour une personne en perte totale d'autonomie sur le plan moteur, incapable de tenir un verre d'eau ou un morceau de pain. J'étais prêt à partir le jour même si l'option m'était présentée, et mon avis n'a pas changé en 22 ans.
    Je suis revenu en France un an après l'accident à l'insistance de mes parents pour des opérations chirurgicales et de la rééducation, et j'attends depuis que les lois changent et permettent à des personnes comme moi de mourir dignement. Lors de mon premier séjour hospitalier en France en 2003, ma famille s'inquiétait de mon état d'esprit et m'a fait évaluer par mon médecin rééducateur à Berck.  Celui-ci est rapidement parvenu à la conclusion que j'étais parfaitement rationnel et que mon désir à ne pas vivre avec une forme lourde de tétraplégie n'était en aucun cas lié à une quelconque forme de dépression.
    Beaucoup de personnes lourdement handicapées trouvent des raisons personnelles de s'accrocher à la vie, quelque soit sa qualité. Je les admire et les envie. Ce n'est simplement pas mon cas. Je ne souscris pas à la croyance que toute vie est sacrée et vaut mieux que la mort. Dans un sens, c'est un peu comme la foi. Certains l'ont, d'autres pas. Ça n'en fait ni de meilleures, ni de plus mauvaises personnes. Les gens sont juste différents face à certaines situations et je pense qu'il faut respecter ces différences, à défaut de les comprendre. Personnellement, ma position sur le sujet a été forgée par une visite avec mon père chez mon arrière-grand-mère quand j'avais 15 ans, pour ce qui s'est révélé plus tard avoir été ma dernière occasion de la voir vivante. Je me souviens les avoir laissés tous les deux et être sorti de la chambre pour aller pleurer dans une autre pièce de la maison. Et j'ai ressenti pour la première fois de ma vie ce sentiment de préférer qu'elle ne soit plus de ce monde plutôt que de la voir dans cet état de fatigue et de démence mentale. Mon opinion sur la question de fin de vie n'a donc rien à voir avec ma situation personnelle et s'était déjà construite 15 ans auparavant.
    Incapable de produire quoi que ce soit, je ne suis d'aucune utilité à la société. Je représente juste un coût Imposé à des personnes qui travaillent et paient des impôts. Pourquoi donc cette société dans son ensemble s'oppose-t-elle par le biais de ses politiques à mon droit de disposer comme je l'entends de ma vie, en rendant illégaux des produits qui pourraient m'aider à mourir dignement sur mes propres termes, et en menaçant toute personne qui aurait la générosité de m'y aider? Comment peut-on justifier de traiter des animaux de compagnie avec plus de compassion que des personnes humaines? Pourquoi décide-t-on qu'un chien souffre trop pour continuer de vivre alors qu'il est impossible d'obtenir son consentement, alors que l'on refuse ce droit à une personne qui peut t'exprimer son choix ?
    La cause fondamentale de cette situation, que les personnes l'admettent ou pas, est enracinée dans l'histoire religieuse de nos sociétés modernes. Je ne suis pas fondamentalement opposé à toute influence religieuse dans l'écriture de textes loi de la vie civile, mais il faut savoir faire la part des choses. Dans "Tu ne tueras point", des personnes rationnelles devrait être capables de faire la différence entre un meurtre et une personne désireuse d'en finir avec une vie insoutenable. Faire du zèle en empêchant des personnes de choisir d'elles-mêmes de vivre ou non dépasse, à mon avis, le cadre de l'influence acceptable de convictions religieuses sur la vie des personnes qui ne les partagent pas. J'ai conscience d'assez mal exprimer mon opinion sur ce sujet. J'étais plutôt mauvais en philosophie au lycée, principalement parce que je trouvais cela subjectif et inutile, et c'est la seule matière où je n'ai pas eu la moyenne au baccalauréat. La piètre qualité de mes compositions reflétait de façon trop évidente mon manque de respect pour la matière. Mais j'ai toujours cru très fort au principe selon lequel la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres.
    On pourrait me répondre que si je voulais vraiment mourir, il suffirait de me laisser aller sur le plan de l'hygiène et des soins, et d'arrêter de m'alimenter. Mais comme je l'ai expliqué au médecin qui avait été chargé de m'évaluer sur le plan psychologique à Berck, je n'ai pas le moindre désir de souffrir inutilement dans une agonie prolongée. Je ne suis pas suicidaire. Je suis juste fatigué d'une vie pénible passée sur un lit médicalisé. À cause de complications survenues très tôt sur lesquelles je ne me suis pas étendu ici, je ne sors de chez moi qu'en brancard, lorsque je dois me rendre à un rendez-vous médical à l'hôpital. Et parce que je fais le nécessaire pour rester en bonne santé, Il m'est arrivé à plusieurs reprises de passer plus de 5 ans sans mettre le nez dehors. D'une certaine façon, mon quotidien s'apparente à celui d'un nourrisson, fait du lever au coucher d'une succession de tâches humiliantes pour un adulte, contrairement au nourrisson qui n'est pas encombré par le fardeau du concept de dignité qu'il n'a pas encore connue.
    Je ne prétendrai pas que je serais intéressé par des sorties au musée ou dans des parcs floraux si je pouvais m'asseoir confortablement dans un fauteuil roulant, mais le fait est que ma vie se résume à rester vivant en évitant les escarres ou une septicémie. Cela est difficile à imaginer pour des personnes menant d'une vie normale, mais il y a là de quoi presque remplir une journée sans avoir rien accompli. Alors non, je ne suis pas mourant, mais j'aimerais que les politiciens m'expliquent la différence. Parce que le pire, c'est que je serai un jour non seulement dans mon état actuel, mais également mourant d'autre chose. Probablement quelque chose qui n'aura pas été diagnostiqué à temps parce que je ne ressens rien dans plus de 80% de mon corps. Et j'aurai passé des décennies à végéter inutilement pour en arriver au même point.
    Voilà donc, en gros, la perspective d'une personne non-mourante, mais pas vraiment vivante, laissée en marge du débat sur la fin de vie. Je n'attends pas forcément de réponse, et encore moins de solutions de votre part, mais j'espère que vous serez au moins arrivé au bout de ce message et que certaines de ces opinions seront intégrées à vos pensées lors de futurs débats dans le combat que vous menez. Si je croyais au Père Noël, je vous demanderais d'imprimer et envoyer ce courrier au président Macron et à son ministre de la santé. Mais je suis conscient qu'il existe de nombreuses personnes en plus grande souffrance immédiate qui méritent la priorité dans ce combat.
    Je reste néanmoins à votre disposition pour toute information supplémentaire ou témoignage que je pourrais vous apporter. Je vous souhaite de joyeuses fêtes une très bonne année 2025.
     
    Bien cordialement,

  • Rennes : Plus que jamais, les militants sont impatients !

    Malgré les incertitudes politiques, heureux d’avoir retrouvé des Rennais vraiment mobilisés et très interactifs dans la réunion ADMD-FRANCE, que j’ai animée avec le docteur Jacques Orvin, membre de notre commission médicale, ce jeudi soir, à Rennes.
    Plus que jamais, les militants sont impatients : ils ne comprennent toujours pas qu’une loi d’ultime liberté, qui respecte effectivement TOUTES les consciences, mette autant de temps à être adoptée !
    Ils ne lâchent rien et sont mobilisés pour février 2025 : le nouveau gouvernement doit enfin entendre 90% des Francais ! Vraiment…

    rennes,jean luc romero michel,admd,euthanasie

    rennes,jean luc romero michel,admd,euthanasie

  • Ce jeudi soir à 17h, à Rennes, pour une réunion publique ADMD-FRANCE !

    Plus que jamais, il faut continuer la mobilisation pour une loi d’ultime liberté sur la fin de vie.
    Je serais encore ce jeudi soir à 17h, à Rennes, pour une réunion publique ADMD-FRANCE !
    Je vous y attends nombreuses et nombreux.
    On ne peut plus attendre : le texte doit être discuté début février comme s’y est engagée la présidente de l’@AssembleeNat @YaelBRAUNPIVET !

    IMG_2544.jpeg

     

  • Bruno Retailleau rappelle, une nouvelle fois, son opposition TOTALE à une fin de vie assistée.

    Alors que 184 membres de la convention citoyenne - c’est-à-dire l’immense majorité de ses membres ! - demandent encore, aujourd’hui, dans la Tribune Dimanche le vote d’une loi sur la fin de vie, Bruno Retailleau, sur RTL-France, rappelle, une nouvelle fois, son opposition TOTALE à une fin de vie assistée.
    « Je ne veux pas entrebâiller une porte sur n’importe quoi comme aux Pays-Bas. » ose-t-il même ajouter, insultant ainsi avec une fake news un de nos pays voisins, qui fut le premier au monde à légaliser l’#euthanasie, ce qu’aucun parti démocratique hollandais ne veut d’ailleurs remettre en cause.
    Il serait temps que Michel Barnier nous dise si c’est lui ou son ministre qui fixe le calendrier parlementaire !
    Après une telle annonce, et le silence assourdissant sur le sujet, depuis son arrivée, de la ministre de la santé G. Darrieussecq, il est urgent que le Premier ministre confirme la tenue de la discussion d’une loi d’ultime liberté en janvier.
    Il en va de sa crédibilité et de sa parole sur un texte attendu par l’immense majorité des Francais et qui a la faveur de la majorité de l’Assemblée Nationale !

    IMG_1838.jpeg

  • Avec les adhérents de l’ADMD-FRANCE, nous étions encore mobilisés à Auray.

    Avec les adhérents de l’ADMD-FRANCE, nous étions encore très mobilisés hier soir pour un ciné-débat autour du film « Johnny got his gun », au cinéma Ti Hanok de Auray.
    Après ce film bouleversant de Dalton Trumbo, nous avons pu rappeler nos attentes, nos exigences et notre impatience concernant le texte sur la fin de vie qui devrait être discuté en janvier à l’Assemblée-Nationale !
    Nous n’avons que trop attendu … Vraiment !
    Merci pour sa presénce et son soutien à la députée Nicole Le Peih.
    Bravo à notre nouvelle déléguée Véronique Habrias pour la parfaite organisation de ce moment d’echanges souvent très émouvants.
    Un remerciement particulier et affectueux à mon amie et notre ancienne déléguée Renée Jeanjean, qui pendant 11 ans, a porté, avec brio et enthousiasme, notre parole dans le département du Morbihan. Merci pour son travail incroyable !

    IMG_1796.jpeg

    270ADCBA-D2F1-49D9-9504-DF8B12317827.jpeg

    image0000011.jpeg

  • Bonne nouvelle d’avoir enfin un calendrier pour l’examen du texte sur la Fin De Vie

    C’est une bonne nouvelle d’avoir enfin un calendrier pour l’examen du texte sur la Fin De Vie à l’Assemblée nationale : nous serons toutes et tous mobilisés entre le 27 janvier et le 3 février 2025 pour faire entendre la volonté des Françaises et des Français qui souhaitent avoir le choix de leur fin de vie !
    De nombreux parlementaires sont d’ailleurs prêts à rependre les débats, comme les 220 députés qui ont d’ores et déjà co-signés la PPL d’@OlivierFalorni qui contient le texte du PJL tel qu’il était au moment de la dissolution avec les différents amendements adoptés. Il est essentiel de ne pas repartir de zéro. Il faudra que le gouvernement opte pour l’urgence, car on ne peut avoir 18 mois de discussions avec le risque d’une nouvelle dissolution en septembre.
    On a eu suffisamment de débats et de conventions depuis 20 ans et les Français attendent enfin le vote d’une loi de dernière liberté qui respecte toute les consciences.

    IMG_1645.jpeg

     

  • En ce 2 novembre, tous nos espoirs et nos exigences sont donc tournés vers l’Assemblée-Nationale !

    Il y a déjà 17 ans, en proposant la création de la 1ere journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité à notre fédération mondiale et en la lançant à #Paris, je n’imaginais pas que de nombreux pays nous devanceraient en obtenant, bien avant la France, une législation de liberté sur la fin de vie.
    Pourtant, nous avons eu le fol espoir d’avoir une loi cette année. Il fut littéralement balayé par la dissolution.
    Tout le processus législatif est à reprendre. C’est pourquoi, il doit l’être sans attendre et sans tergiverser encore !
    En ce 2 novembre, tous nos espoirs et nos exigences sont donc tournés vers l’Assemblée-Nationale : votez enfin cette loi de société humaniste majeure que 9 Francais sur 10 attendent et qui respectera les consciences de 100% des Francais.

    IMG_1585.jpeg

  • Le jury populaire a tranché !

    Le jury populaire a tranché !
    Le septuagénaire qui a aidé, à sa demande, son épouse malade à mourir pour qu’elle ne souffre plus, a été acquitté par la Cour d’Assises de #Troyes !
    On ne peut plus continuer à laisser des malades souffrant terriblement n’avoir comme seules solutions que d’être aidés par des proches qui prennent de grands risques, ou de se suicider violemment ou de fuir, tels des coupables, à l’étranger !
    De plus, à chaque fois qu’une affaire d’#euthanasie passe devant la #justice celles et ceux qui ont aidé, à la demande du mourant et par compassion, sont toujours acquittés !
    Il est temps d’arrêter ces calvaires juridiques inhumains et ces souffrances inutiles !
    Michel Barnier et G. Darrieussecq agissez enfin en reprenant dès maintenant les discussions parlementaires pour une loi d’ultime liberté !
    Les malades et leurs proches n’en peuvent plus d’attendre !

    Capture d’écran . 2024-10-30 à 16.22.07.jpeg

     

  • « Il nous faut une loi ! »

    « Il nous faut une loi ! »
    Que rajouter de plus ?
    Merci Line Renaud !

    IMG_1502.jpeg

  • Le combat que nous menons à l’ADMD-FRANCE n’est pas un choix entre la vie et la mort.

    A Rennes, à l’invitation de l’association des élèves directeurs d’hôpitaux de l'EHESP, j’ai pu rappeller que le combat que nous menons à l’ADMD-FRANCE n’est pas un choix entre la vie et la mort.
    Mais bien entre deux morts.
    Effectivement, il devient urgent que le gouvernement de Michel Barnier reprenne la discussion du projet sur la fin de vie interrompu par la dissolution et que madame le docteur et ministre @gdarrieussecq écoute enfin les Français qui souhaitent disposer de leur ultime liberté ! Et pas les seuls médecins…
    Merci encore pour l’invitation des étudiants, futurs cadres hospitaliers, à cette journée consacrée à la fin de vie !
    Heureux d’avoir retrouvé à cette occasion  @LMaillart qui, en juin, avait soutenu avec détermination le texte à l’Assemblée-Nationale aux côtés d'Olivier Falorni …
    #Rennes #MaMortMAppartient @SermentDeBerne

    10dba5f0-d687-4bae-9d8f-b0423e75ce07.jpeg

  • Bref, arrêtons de procastiner sur le projet de loi sur la fin de vie !

    J’aimerais être optimiste et confiant dans le vote prochain d’une loi de liberté sur la fin de vie !
    Mais quand Michel Barnier annonce la « reprise du dialogue » avec le parlement sur le projet de loi en janvier prochain, cela ne me rassure pas forcément !
    Car, ce n’est pas d’une reprise de dialogue dont nous avons besoin, mais bien d’un engagement sur la discussion d’un projet de loi ou de la proposition d'Olivier Falorni !
    D’autre part, janvier c’est bien trop tard, car s’il faut un an pour le vote de ce texte, une nouvelle dissolution risquerait  d’empêcher, une nouvelle fois, le vote d’une loi d’ultime liberté !
    Bref, arrêtons de procastiner et que l’Assemblée Nationale mette un texte sans tarder à l’ordre du jour !

    IMG_0807.jpeg

     

  • Loïc Resibois nous a quittés…

    Loïc Resibois nous a quittés…
    Je suis soulagé que ses souffrances s’arrêtent enfin, même s’il n’a pu bénéficier de cette loi pour laquelle il s’est tellement battu.
    Je pense à sa femme Caroline et ses proches qui perdent un être lumineux et tellement bienveillant.
    Notre pays perd de son cote un militant de la liberté exceptionnel et si courageux.
    Merci Loïc de nous avoir montré le meilleur de que peut apporter un homme pour défendre une cause qui nous dépasse.

    e6141488-92ee-47cd-a6c6-cd970e61e615.jpeg

  • Vivre sa fin de vie dans la dignité : un droit à respecter et faire respecter partout en France.

    À l’invitation du Fonds du bien commun, j’ai visité l’Ehpad de Grenelle à Paris dans le cadre du projet « Parlons terrain ! ». Merci à François Philippon, le directeur, et ses équipes pour l’accueil ainsi que pour l’accompagnement offert aux résidents de ce bel établissement.
    J’ai eu le plaisir d’échanger avec le comité d’éthique composé de résidents, de soignants, de famille et de bénévoles. Ce comité, qui existe depuis plus de 20 ans, permet l’échange et le dialogue entre toutes et tous sur de nombreux sujets de société dont bien évidemment celui de la #FinDeVie.
    Les membres de ce comité partage l’idée qu’il faut parler de la mort sans tabou, qu’il faut la préparer, afin de pouvoir vivre et profiter pleinement de la vie en sachant que son choix pour sa fin de vie sera respecté.
    Encore un grand bravo aux équipes pour le travail et l'accompagnement du grand âge dans des conditions sereines et humaines.
    Vivre sa fin de vie dans la dignité : un droit à respecter et faire respecter partout en France.

    IMG_0673.jpeg

    1CB67307-CF1B-4497-808D-CADB84DFFB7D.jpeg