Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Euthanasie, ADMD et WFRtDS - Page 108

  • Mon itw dans La Montagne

    La Montagne JLR ADMD.jpg

  • Mon itw à Ouest France

    OuestFrance27avril.jpg

  • Soirée Terry Pratchett et réunion avec Dignity in Dying à Londres

    Avec Jacqueline Jencquel, je serai à Londres pour rencontrer les responsables de l’association sœur de l’ADMD Dignity in Dying. Nous évoquerons des prochaines actions communes ainsi que l’intervention en clôture de leur réunion annuelle que je dois faire le 22 mai prochain.
    Le soir nous assisterons à la soirée en l’honneur de Terry Pratchett.

     

  • Réunion publique ADMD à Caen à 14h00

    Après avoir déjeuné avec les militants de l’ADMD du Calvados, j’animerai une réunion publique de l’ADMD au Grand Amphithéâtre du Mémorial de Caen à 14h00 aux côtés de la déléguée départementale Françoise Bordet.
    Je vous attends nombreux pour réclamer notre Ultime liberté ! A tout à l’heure !

    admd,jean-luc romero,politique,france

    admd,jean-luc romero,politique,france

     

  • Communiqué du 24 avril 2013

    Communiqué du 24 avril 2013

     

    De peur d’une loi qui permettrait à chaque citoyen de pouvoir enfin maitriser son propre parcours de fin de vie (respect de la proposition n°21), Jean Leonetti propose de légiférer ce qui existe déjà (loi du 22 avril 2005 et décret du 29 janvier 2010) et qui permet aux Français en fin de vie, de manière inhumaine et hypocrite, de mourir de faim et de soif

     

    Non, la sédation terminale de monsieur Leonetti n’est pas une avancée !

     

    La PPL n°754 est une manœuvre d’enfumage !

     

    La commission des affaires sociales de l’Assemblée a rejeté le texte.

     

                    A l’occasion des récents débats sur la fin de vie et des débats à venir à l’Assemblée nationale, il a souvent été question de la sédation terminale.

     

                    La proposition de loi n°754 déposée par Jean Leonetti, rejetée par la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale le 17 avril dernier et qui sera discutée le jeudi 25 avril 2013 viserait à parfaire le dispositif de la loi du 22 avril 2005. En apparence…

     

                    La loi 2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie, dite loi Leonetti, prescrit par son article 2 et introduit à l’article L. 1110-5 du code de la santé publique, la disposition suivante : « Si le médecin constate qu’il ne peut soulager la souffrance d’une personne, en phase avancée ou terminale d’une affection grave et incurable, quelle qu’en soit la cause, qu’en lui appliquant un traitement qui peut avoir pour effet secondaire d’abréger sa vie, il doit en informer le malade, sans préjudice des dispositions du quatrième alinéa de l’article L. 1111-2, la personne de confiance visée à l’article L. 1111-6, la famille ou, à défaut, un des proches. »

     

                    Selon l’article 2 du décret 2010-107 du 29 janvier 2010 relatif aux conditions de mise en œuvre des décisions de limitation ou d’arrêt des traitements à visée curative, et d’un arrêt de la nutrition et de l’hydratation (considérées par la médecine française comme des traitements), « le médecin met en œuvre les traitements, notamment antalgiques et sédatifs ».

     

                    Ces protocoles – double effet et sédation, terminale ou en phase terminale, selon les auteurs – conduisent inévitablement à la mort car le patient est endormi profondément, inconscient, et « la médecine se retire », c'est-à-dire qu’il n’y a plus ni traitement, ni hydratation, ni alimentation ; seuls demeurent les soins de confort. Et chacun des acteurs a parfaitement conscience de l’issue, sans toutefois en connaître l’échéance.

     

                    Ce que veulent les Français à plus de 90% - et les médecins à 60% - c’est la légalisation de l’euthanasie, c'est-à-dire une aide active à mourir grâce à un traitement létal. Parce que la mort, lorsque la vie est arrivée à son terme, interviendra en quelques minutes. La sédation, quant à elle, pouvant prendre entre quelques heures et quelques semaines selon l’état des organes vitaux du patient en fin de vie, dans des souffrances certaines pour le patient comme pour les accompagnants.

     

                    Dans le cas de Michel Salmon, exposé dans le documentaire d’Anne Georget intitulé Quand un homme demande à mourir et diffusé sur France 5 le 5 octobre 2012, atteint d’un locked-in syndrom à la suite de plusieurs AVC, la Maison médicale Jeanne-Garnier, établissement parisien de soins palliatifs, a appliqué à sa demande, en mars 2011, une sédation terminale qui, par la combinaison de traitements sédatifs, la privation de l’alimentation et de l’hydratation, ont conduit à son décès intentionnel en plusieurs semaines. Et ceci, dans le cadre de la loi du 22 avril 2005 et des décrets pris en la matière.

     

                    Cette prétendue découverte de la sédation terminale, proposée par le Conseil national de l’Ordre des médecins dans sa communication du 14 février 2013 et qui figure dans une nouvelle proposition de loi déposée par Jean Leonetti et qui sera discutée à l’Assemblée nationale en séance publique le 25 avril 2013 (n°754 enregistrée à la présidence de l’Assemblée nationale le 27 février 2013) ne vise qu’à réécrire la loi du 22 avril 2005, dont l’expérience nous prouve combien elle crée des drames liés à la fin de vie et, surtout, à détourner l’attention des parlementaires de la proposition n°21 faite par le président de la République au cours de sa campagne électorale du printemps 2012 et visant à permettre à celui qui le souhaite de bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité.

     

                    De plus, en proposant la validation des directives anticipées par le médecin et par le patient, cette nouvelle proposition de loi marque un recul par rapport à la démocratie sanitaire et à la liberté du patient de rédiger, seul, ses directives anticipées. Ces directives anticipées, selon le docteur Leonetti, n’aurait aucun effet contraignant, le médecin restant libre en cas « d’urgence vitale immédiate ». Rappelons que dans les pays du Benelux, les directives anticipées s’imposent au corps médical quand bien même elles n’auraient pas été validées par un médecin. Ainsi, s’agissant d’un testament, ce document n’a pas à recevoir une forme d’imprimatur du corps médical.

     

                    Enfin, la constitution d’un collège médical pour mettre en œuvre la sédation restreint encore les droits des patients. Les lois néerlandaise et belge, qui existent depuis plus de dix ans et fonctionnent sans dérives, prévoient deux médecins. Les propositions de loi débattues à l’Assemblée nationale (novembre 2009) et au Sénat (janvier 2011) prévoient le recours à quatre médecins. Créer ce collège rendra tout avis unanime impossible dans des délais raisonnables et, par défaut, le patient sera laissé à ses souffrances et n’obtiendra pas satisfaction.

     

                    Les Françaises et les Français ne veulent plus d’une loi du « laisser-mourir », comme qualifie Jean Leonetti lui-même le dispositif pensé en 2005 ; ils veulent, pour ceux qui le demandent en conscience et de manière réitérée, une loi qui permette de respecter, enfin, la seule volonté du patient, comme elle existe déjà aux Pays-Bas, en Belgique et au Luxembourg.

     

                    L’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité a envoyé un argumentaire aux parlementaires afin de les informer et qu’ils ne votent pas une loi Leonetti bis... encore plus restrictive que la précédente.

     

  • Petit-Déjeuner des sénateurs sur le droit de mourir dans la dignité

    Je rencontrerai jeudi matin des sénateurs favorables au droit de mourir dans la dignité et à l'ADMD.
    En effet, alors que près de 90% des Français sont favorables au droit de mourir dans la dignité, il faut qu’une loi soit bientôt votée. Le président Hollande qui a eu le courage de faire adopter le mariage pour tous par le Parlement s’est aussi engagé durant sa campagne.
    Il s’agit maintenant que les parlementaires s’emparent de ce grand sujet de société et ne se laissent pas intimider par les éternels extrémistes religieux qui, en ce moment, monopolisent la parole dans les médias…

     

  • Marché Porte Dorée pour notre ultime Liberté à 10h30

    L’ADMD est mobilisée depuis le 15 avril sur les marchés de France pour demander aux Français de continuer à nous soutenir pour obtenir enfin notre Ultime Liberté.
    François Hollande s’est engagé à enfin dépasser la loi Leonetti avec sa proposition 21.
    Mais Jean Leonetti essaie de faire diversion ces jours-ci en proposant un texte qui serait même un retour en arrière par rapport à son propre texte de 2005. M. Leonetti retire peu à peu le pouvoir au patient de décider ce qui est le mieux pour lui en fin de vie.
    Pour que nous n’ayons pas une loi Leonetti de gauche mais bien  la légalisation de l’euthanasie, l’ADMD est donc plus que jamais mobilisée.
    A 10h30, avec des militants du 12ème ardt de Paris, j’irai à la rencontre des Parisiens. N’hésitez pas à nous rejoindre !

    admd,jean-luc romero,euthanasie,politique,france

    admd,jean-luc romero,euthanasie,politique,france

    admd,jean-luc romero,euthanasie,politique,france

     

  • Réunion publique de l’ADMD à 14h00 à Brive-la-Gaillarde

    Aux côtés de la déléguée de Corrèze, Frédérique Perrin, j’animerai une réunion publique de l’ADMD ce vendredi à 14h00 salle du Pont-du-Buy à Brive-la-Gaillarde.
    Cette réunion sera précédée d’un déjeuner avec les militants de l’ADMD et je dédicacerai Les voleurs de liberté à l’issue de la réunion publique qui est bien sûr ouverte à tous. [Photos de la réunion et notamment de l'intervention de la députée Sophie Dessus.]

    Brive2013JleDessus.JPG

    Brive2013JlePresse.JPG

  • Grand meeting de la DGHS à Berlin

    La DGHS, association allemande soeur de l'ADMD, organise une grande réunion publique ce mardi à 18h00 à Berlin.
    Elke Baezner, présidente de la DGHS, m'a invité avec la sécrétaire générale de l'ADMD. Elke ayant souvent répondu à nos invitations à Paris, nous serons heureux de al soutenir à notre tour et de participer ce soir à ce grand rassemblement pour le droit de mourir dans la dignité.

  • Réunion publique ADMD à Bar-le-Duc à 14h00

    Je continue ma mobilisation dans les petites délégations de l’ADMD qui n’ont pas de délégué. Je serai donc à Bar-le-Duc ce samedi 13 avril à 14h00 à l’Espace Sainte-Catherine – 4, bd des Ardennes.
    Cette réunion ouverte à tous me permettra de rappeler l’urgence que notre Parlement votre enfin une loi d’Ultime Liberté.

    sallevideadmd.JPG

     

  • Mon itw dans l'est Eclair sur l'euthanasie

    Est Eclair 2013 avril.jpg

  • A Bâle pour notre Ultime Liberté !

    Il y a trois semaines, à Bruxelles, je rencontrais de nombreux responsables belges sur la question de l’euthanasie pour s’imprégner du contexte belge de la fin de vie et pour imaginer l’avenir que pourrait avoir notre association si une loi d’Ultime Liberté était votée en France comme dans leur pays.
    Ce lundi, avec la secrétaire générale de l’ADMD, Jacqueline Jencquel, j’irai rencontrer à Bâle le docteur Erika Preisig, présidente de Life Circle, qui pratique des suicides assistés comme cela est possible légalement en Suisse.
    Cette journée de travail permettra de voir comment collaborer entre nos deux associations et d’imaginer ce que pourrait faire l’ADMD France si le suicide assisté était légalisé en France.

     

  • Pas de loi Leonetti bis ou de loi Leonetti de gauche !

    Dans l’art de l’enfumage sur la question de la fin de vie, l’UMP Jean Leonetti est devenu maître.
    Avec de nombreux élus de son groupe, il a déposé pouune proposition de loi pour préciser les conditions de mise en œuvre de la sédation terminale.
    Curieusement, ce texte n’est qu’une simple redécouverte de la sédation terminale mais est surtout destiné à détourner l’attention des parlementaires de la proposition 21 faite par le président de la République au cours de sa campagne du printemps 2012 et visant à permettre à celui qui le souhaite de bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité.
    De plus, en proposant la validation des directives anticipées par le médecin et le patient, cette nouvelle proposition de loi marque un net recul par rapport à la démocratie sanitaire et à la liberté du patient de rédiger, seul, ses directives anticipées. Rappelons que dans les pays du Benelux, les directives anticipées s’imposent au corps médical.
    Pire, le député UMP propose même que la décision de procéder à une sédation ne soit plus prise par le médecin mais par un collège de médecins complexifiant cette décisions et l’éloignant encore plus du patient en fin de vie qui n’est décidemment pas maître des décisions qui le concernent.
    Ce que veulent les Français à plus de 90 % - et les médecins à 60% - c’est la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté.
    La sédation terminale peut prendre entre quelques heures et trois semaines. Les Français ne veulent plus se contenter d’une loi du laisser mourir comme qualifie Jean Leonetti le dispositif de la loi de 2005. Ils veulent, pour ceux qui le demandent en conscience et de manière réitérée, une loi qui permette de respecter, enfin, la seule volonté du patient, comme elle existe aux Pays-Bas, en Belgique et au Luxembourg.
    Non à une loi Leonetti bis ! Non à une loi Leonetti de gauche !

     

     

     

  • Mon itw dans La dépêche du Midi

    La dépêche23mars2013.jpg

  • Mon itw dans L'Indépendant

    carcassonne,jean-luc romero,euthanasie,politique,france,santé

  • Réunion publique de l’ADMD à Carcassonne à 14h00

    Après avoir déjeuné avec les délégués ADMD de la région et les militants de l’Aude, j’animerai, aux côtés de Joëlle Salmon et de la députée de l’Aube, Marie-Hélène Fabre, une réunion publique de l’ADMD ce samedi 23 mars à 14h00.
    Cette réunion se déroulera Salle Joë-Bousquet dans l’ancienne mairie et sera suivie d’une dédicace des Voleurs de liberté.
    Venez nombreux !
    Lire aussi La dépêche du Midi (ici).

    carcassonne,jean-luc romero,admd,politique,france,santé,euthanasie

    carcassonne,jean-luc romero,admd,politique,france,santé,euthanasie

    carcassonne,jean-luc romero,admd,politique,france,santé,euthanasie

     

  • N’ayons pas peur de copier les lois belges et hollandaises sur la fin de vie !

    Les Pays-Bas et la Belgique ont des lois légalisant l’euthanasie et le suicide assisté depuis plus de 10 ans. Plus personne de sérieux ne souhaite, dans ces pays, revenir sur ces lois qui ont placé la volonté du patient au centre  des décisions médicales de fin de vie.
    Dans ces pays, incontestablement, on y meurt mieux accompagné que dans le nôtre comme le confirme l’étude annuelle faite par l’Economist Intelligence Unit car la Belgique est 5ème, les Pays-Bas 7ème dans la prise en charge de la fin de vie, bien loin devant la France qui ne se retrouve qu’au 12ème rang.
    Et contrairement à ceux qui s’opposent à la législation humaniste de ces pays, la confiance dans leur système de santé est forte – particulièrement en Belgique où 92% des Belges sont satisfaits de leur système de santé – plus fort taux européen ! – bien loin des rumeurs qui prétendent – sans rire, Boutin le dit souvent ! – que les Belges fuient leurs pays de peur d’être euthanasiés !
    Au moment où le gouvernement réfléchit à une nouvelle loi sur la fin de vie, je lui conseille d’entendre les  Français et de ne pas inventer une nouvelle loi Leonetti de gauche mais tout simplement de copier les législations de nos amis du Benelux, Luxembourg compris qui, tout en permettant un réel accès aux soins palliatifs, permettent aux personnes qui n’en peuvent plus de leurs souffrances d’obtenir une mort douce, sans souffrance et accompagnée.
    Billet à lire sur le Huffigton Post (ici).

    belgique,jean-luc romero,pays-bas,france,santé

     

  • Conseil d’administration de l’ADMD

    Ce samedi, je présiderai le conseil d’administration de l’ADMD.
    A quelques mois de la présentation d’un projet de loi sur la fin de vie, l’ADMD doit plus que jamais se mobiliser.
    Durant le CA de ce samedi, nous préparerons notamment la semaine de mobilisation qui doit se dérouler du 15 au 21 avril et les différentes actions qui doivent être mises en œuvre pour mobiliser les parlementaires.

    Logo_ADMD_30_ans.JPG

     

  • Podcast de « Un an déjà » sur Europe 1

    Vendredi dernier, le journaliste Bruno Donnet consacrait sa rubrique « Un an déjà » à la campagne choc que l’ADMD avait mise en œuvre durant la campagne présidentielle pour interpeller les candidats que la question de la fin de vie.
    Cette campagne, qui a fait le tour du monde, a permis que la question de l’euthanasie soit évoquée durant la campagne électorale. C’était une première.
    Pour écouter ce reportage, vous pouvez cliquer (ici).

     

  • 3,1% des morts en France prises illégalement dans l’intention de précipiter la mort

    Depuis bien longtemps, l’ADMD ne cesse de clamer que dans notre pays nombre de décisions de fin de vie sont prises en contradiction avec la loi, d’où la nécessité d’avoir enfin une légistion qui permette d’entendre la patient.
    La longue étude de l’Ined parue en décembre est assez édifiante.
    Je voudrai y revenir rapidement tant les voleurs de liberté qui s’opposent à l’euthanasie refusent de s’appesantir sur cette étude incontestable.
    Dans 3,1% des morts, une décision a été prise dans l’intention de précipiter la mort ce qui est contraire à la loi actuelle.
    0,8% des décès – plusieurs milliers ! – ont été provoqué par un médicament avec l’intention de mettre délibérément et instantanément fin à la vie. Seules 0,6% des aides ont été faites à la demande du patient. 
    L’Ined précise que les demandes d’euthanasies explicites sont de 1,8% des décès soit 9000 demandes par an. Le Pr Aubry, médecin opposé à l’euthanasie, assure même en extrapolant ces résultats que 17 000 décisions seraient prises chaque année dans l’intention de donner la mort et que 14 000 décès seraient provoqués sans le consentement du patient !
    Je vous laisse méditer ces chiffres…
    Ils démontrent que l’euthanasie est une réalité dans notre pays mais que la volonté du patient n’est pas toujours entendue.
    Cette étude incontestable démontre, une fois de plus, qu’il faut sortir de l’hypocrisie et qu’il faut enfin une loi légalisant l’euthanasie et qui pose comme première condition, la seule volonté du patient !