Le rapport sur l’établissement privé Stanislas publié par Mediapart est affligeant.
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En ouvrant le roman autobiographique de la cinéaste Maria Larrea « Les gens de Bilbao naissent où ils veulent », je ne m’attendais pas à vivre une histoire aussi touchante que palpitante.
Une jeune femme découvre tardivement grâce à un cartomancien qu’elle n’est pas la fille naturelle de ses parents. Le choc. L’incrédulité.
Et pourtant, ses parents adoptifs lui avouent.
Faisant fi de sa vie personnelle - un mari et des enfants -, de ses parents adoptifs qui vieillissent, elle entre dans une course effrénée pour connaître ses origines.
Tout est bon pour cela : des sites internet aux autorités locales en passant par un détective privé.
On lit ce livre aussi vite que l’on saute d’un évènement a un autre.
Une course aux origines qui vous envoute et vous émeut.
A lire. Vraiment.