Mon itw dans La Nouvelle République
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A l’invitation de Françoise Casado, déléguée pour la Vienne, j’animerai une réunion publique de l’ADMD à Poitiers ce samedi à 14h30 à l’IUFM Poitou-Charentes.
Cette réunion sera précédée d’un déjeuner avec les militants ADMD de Poitiers.
Après avoir déjeuné avec les militants de l’ADMD du Calvados, j’animerai une réunion publique de l’ADMD au Grand Amphithéâtre du Mémorial de Caen à 14h00 aux côtés de la déléguée départementale Françoise Bordet.
Je vous attends nombreux pour réclamer notre Ultime liberté ! A tout à l’heure !
Je rencontrerai jeudi matin des sénateurs favorables au droit de mourir dans la dignité et à l'ADMD.
En effet, alors que près de 90% des Français sont favorables au droit de mourir dans la dignité, il faut qu’une loi soit bientôt votée. Le président Hollande qui a eu le courage de faire adopter le mariage pour tous par le Parlement s’est aussi engagé durant sa campagne.
Il s’agit maintenant que les parlementaires s’emparent de ce grand sujet de société et ne se laissent pas intimider par les éternels extrémistes religieux qui, en ce moment, monopolisent la parole dans les médias…
L’ADMD est mobilisée depuis le 15 avril sur les marchés de France pour demander aux Français de continuer à nous soutenir pour obtenir enfin notre Ultime Liberté.
François Hollande s’est engagé à enfin dépasser la loi Leonetti avec sa proposition 21.
Mais Jean Leonetti essaie de faire diversion ces jours-ci en proposant un texte qui serait même un retour en arrière par rapport à son propre texte de 2005. M. Leonetti retire peu à peu le pouvoir au patient de décider ce qui est le mieux pour lui en fin de vie.
Pour que nous n’ayons pas une loi Leonetti de gauche mais bien la légalisation de l’euthanasie, l’ADMD est donc plus que jamais mobilisée.
A 10h30, avec des militants du 12ème ardt de Paris, j’irai à la rencontre des Parisiens. N’hésitez pas à nous rejoindre !

Il y a trois semaines, à Bruxelles, je rencontrais de nombreux responsables belges sur la question de l’euthanasie pour s’imprégner du contexte belge de la fin de vie et pour imaginer l’avenir que pourrait avoir notre association si une loi d’Ultime Liberté était votée en France comme dans leur pays.
Ce lundi, avec la secrétaire générale de l’ADMD, Jacqueline Jencquel, j’irai rencontrer à Bâle le docteur Erika Preisig, présidente de Life Circle, qui pratique des suicides assistés comme cela est possible légalement en Suisse.
Cette journée de travail permettra de voir comment collaborer entre nos deux associations et d’imaginer ce que pourrait faire l’ADMD France si le suicide assisté était légalisé en France.
Dans l’art de l’enfumage sur la question de la fin de vie, l’UMP Jean Leonetti est devenu maître.
Avec de nombreux élus de son groupe, il a déposé pouune proposition de loi pour préciser les conditions de mise en œuvre de la sédation terminale.
Curieusement, ce texte n’est qu’une simple redécouverte de la sédation terminale mais est surtout destiné à détourner l’attention des parlementaires de la proposition 21 faite par le président de la République au cours de sa campagne du printemps 2012 et visant à permettre à celui qui le souhaite de bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité.
De plus, en proposant la validation des directives anticipées par le médecin et le patient, cette nouvelle proposition de loi marque un net recul par rapport à la démocratie sanitaire et à la liberté du patient de rédiger, seul, ses directives anticipées. Rappelons que dans les pays du Benelux, les directives anticipées s’imposent au corps médical.
Pire, le député UMP propose même que la décision de procéder à une sédation ne soit plus prise par le médecin mais par un collège de médecins complexifiant cette décisions et l’éloignant encore plus du patient en fin de vie qui n’est décidemment pas maître des décisions qui le concernent.
Ce que veulent les Français à plus de 90 % - et les médecins à 60% - c’est la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté.
La sédation terminale peut prendre entre quelques heures et trois semaines. Les Français ne veulent plus se contenter d’une loi du laisser mourir comme qualifie Jean Leonetti le dispositif de la loi de 2005. Ils veulent, pour ceux qui le demandent en conscience et de manière réitérée, une loi qui permette de respecter, enfin, la seule volonté du patient, comme elle existe aux Pays-Bas, en Belgique et au Luxembourg.
Non à une loi Leonetti bis ! Non à une loi Leonetti de gauche !
Après avoir déjeuné avec les délégués ADMD de la région et les militants de l’Aude, j’animerai, aux côtés de Joëlle Salmon et de la députée de l’Aube, Marie-Hélène Fabre, une réunion publique de l’ADMD ce samedi 23 mars à 14h00.
Cette réunion se déroulera Salle Joë-Bousquet dans l’ancienne mairie et sera suivie d’une dédicace des Voleurs de liberté.
Venez nombreux !
Lire aussi La dépêche du Midi (ici).
Ce samedi, je présiderai le conseil d’administration de l’ADMD.
A quelques mois de la présentation d’un projet de loi sur la fin de vie, l’ADMD doit plus que jamais se mobiliser.
Durant le CA de ce samedi, nous préparerons notamment la semaine de mobilisation qui doit se dérouler du 15 au 21 avril et les différentes actions qui doivent être mises en œuvre pour mobiliser les parlementaires.
Vendredi dernier, le journaliste Bruno Donnet consacrait sa rubrique « Un an déjà » à la campagne choc que l’ADMD avait mise en œuvre durant la campagne présidentielle pour interpeller les candidats que la question de la fin de vie.
Cette campagne, qui a fait le tour du monde, a permis que la question de l’euthanasie soit évoquée durant la campagne électorale. C’était une première.
Pour écouter ce reportage, vous pouvez cliquer (ici).
« La France est la France quand elle va de l’avant sur l’égalité des droits – y compris le mariage pour tous -, sur la démocratie – y compris le non cumul des mandats -, et sur le respect de la dignité humaine – y compris lors de la fin de vie. »
Je relisais cette belle citation de François Hollande lors de ses premiers vœux aux Français le 31 décembre dernier.
Pour un président que l’on présente souvent comme frileux sur les questions de société, le moins que l’on puisse dire est que, hors le droit de vote des étrangers – ce que je regrette vraiment -, le président a promis que 2013 serait l’année de trois grandes réformes sociétales importantes.
Je ne reviens pas sur le mariage pour tous, on aura bien d’autres occasions !
Le cumul des mandats est aussi un chantier essentiel et qui doit s’appliquer dès 2014.
Restent la fin de vie et le texte que nous attendons pour le mois de juin mais pour lequel nous n’avons aujourd’hui aucunes informations claires.
J’espère que notre président - dont chacun sait que je soutiens l’action - entendra l’appel de l’immense majorité des Français qui souhaitent enfin qu’on sorte du débat médical dans lequel on nous a enfermés depuis 30 ans.
C’est une question citoyenne et François Hollande laissera une marque indélébile dans son mandat s’il accorde cette ultime liberté que 90% des Français attendent !
Depuis bien longtemps, l’ADMD ne cesse de clamer que dans notre pays nombre de décisions de fin de vie sont prises en contradiction avec la loi, d’où la nécessité d’avoir enfin une légistion qui permette d’entendre la patient.
La longue étude de l’Ined parue en décembre est assez édifiante.
Je voudrai y revenir rapidement tant les voleurs de liberté qui s’opposent à l’euthanasie refusent de s’appesantir sur cette étude incontestable.
Dans 3,1% des morts, une décision a été prise dans l’intention de précipiter la mort ce qui est contraire à la loi actuelle.
0,8% des décès – plusieurs milliers ! – ont été provoqué par un médicament avec l’intention de mettre délibérément et instantanément fin à la vie. Seules 0,6% des aides ont été faites à la demande du patient.
L’Ined précise que les demandes d’euthanasies explicites sont de 1,8% des décès soit 9000 demandes par an. Le Pr Aubry, médecin opposé à l’euthanasie, assure même en extrapolant ces résultats que 17 000 décisions seraient prises chaque année dans l’intention de donner la mort et que 14 000 décès seraient provoqués sans le consentement du patient !
Je vous laisse méditer ces chiffres…
Ils démontrent que l’euthanasie est une réalité dans notre pays mais que la volonté du patient n’est pas toujours entendue.
Cette étude incontestable démontre, une fois de plus, qu’il faut sortir de l’hypocrisie et qu’il faut enfin une loi légalisant l’euthanasie et qui pose comme première condition, la seule volonté du patient !
Vers 16h00, je terminerai ma longue série de consultations à Bruxelles sur la question de l’euthanasie avec le docteur Yves de Locht qui est très impliqué dans ce combat pour l’Ultime Liberté en Belgique.
Le Dr Yves de Locht vient d’ailleurs souvent animer des réunions pour l’ADMD-France afin de faire connaître la loi belge et sa mise en œuvre.
Je serai interviewé dans la rubrique « Un an après » de Bruno Donnet sur Europe 1 demain vendredi 8 mars vers 6h53.
Bruno Donnet reviendra sur la campagne choc faite, il y a un an, par l’ADMD pour mobiliser les candidats à l’élection présidentielle sur la question de la fin de vie.
Je dirai où nous en sommes un an après…
A l’initiative de Sophie Grassano, la nouvelle déléguée de l’ADMD dans le 19ème arrondissement de Paris, j’animerai une réunion publique ce mardi 5 mars 2013 à 18h00 dans la salle des mariages de la mairie du 19ème.
Pour mémoire, j’ai entamé depuis janvier un nouveau tour de France pour mobiliser pour que nous obtenions enfin une loi d’Ultime Liberté. Le gouvernement doit déposer un projet de loi en juin.
Avec Michèle Skowron, déléguée de L’ADMD pour l’Yonne et Philippe Lohéac, nous animerons une réunion publique à Troyes ce vendredi 1er mars à 18h00. Cette réunion ouverte à toutes et tous se déroulera à la maison des associations, 63 avenue Pasteur.
Nous vous attendons nombreux !