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admd - Page 114

  • Mobilisation à Saint-Affrique

    Photo 038.jpgPhoto 037.jpgMême si un déplacement d’une journée à Saint-Affrique est épuisant, j’en suis revenu heureux.
    Heureux de voir dans un département peu peuplé, autant de militants de l’ADMD se mobiliser un samedi grâce notamment au travail de notre délégué Gérard Tourette. Ravi de constater que les délégués des départements voisins n’ont pas hésité à passer pour certains plus de deux heures en voiture pour être aux côtés des militants de l’Aveyron. Fier de voir enfin le maire et le député de la circonscription dépasser leurs différences pour être à nos côtés et côte à côte durant la conférence de presse.
    Une preuve encore que la légalisation de l’euthanasie est demandée par bien des Français. 91% selon le dernier sondage !Photo 041.jpg

  • Réunion des délégués ADMD Ile-de-France

    logo 2008 tout f.JPGJe réunirai aujourd’hui les délégués de ADMD d’Ile-de-France et de Paris afin de préparer le grand meeting du 31 octobre prochain qui se déroulera à la mairie de Paris à l’occasion du congrès mondial des ADMD et surtout pour travailler sur le lancement de la 1ère journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité du 2 novembre prochain au Trocadéro.
    En effet, l’année derrière, j’avais soumis au Board de la World Federation l’idée de créer une journée mondiale et elle avait été approuvée. La date du 2 novembre, qui correspond à la fête des morts mais aussi à la fin de notre congrès mondial, a été retenue. C’est donc la France qui organisera le lancement de cette journée mondiale en présence de tous les dirigeants ADMD du monde. Le rassemblement du 2 novembre doit donc être exemplaire et c’est pour cela que nous allons travailler avec les délégués d’Ile-de-France pour que ce lancement soit mémorable.

  • A Saint-Affrique pour l’ADMD

    C’est une journée chargée qui m’attend ce samedi. Départ par le 1er avion du matin, direction Toulouse, puis long transfert en voiture pour rejoindre Saint-Affrique au cœur du beau pays de l’Aveyron.Saint-Affrique.jpg
    A 10h00, rencontre avec les délégués de l’ADMD : Gérard Tourette de l’Aveyron (148 adhérents), à l’initiative de cette journée, Anders Naessil du Lot (227 adhérents), Francine Galambrun de Lozère (81 adhérents), et Claude-André Despré du Tarn (202 adhérents).
    Puis, à 11h45, vin d’honneur offert par Alain Fauconnier, maire et vice-président du Conseil régional de Midi-Pyrénées, en présence des élus locaux, suivi d’un déjeuner avec les responsables ADMD. Cette journée s’achèvera par une grande réunion publique à 14h00 dans un endroit appelé. Le caveau… En découvrant ma feuille de route, j’ai aussi découvert le nom de la salle et je ne sais pas si c’est de l’humour noir… Une réunion sur la fin de vie au caveau, ça promet !
    Trêve de plaisanterie, je me rends dans une ville où nous avons peu d’adhérents - car peu d’habitants…- mais pour encourager les responsables et militants locaux qui font un travail remarquable pour faire avancer nos idées.

  • Interview pour le Point.fr

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    J’ai répondu, cette semaine, à une interview pour lePoint.fr sur l’euthanasie. Cet entretien, intitule « une loi sur l’euthanasie protégerait les gens », me permet de faire le point sur les travaux de la commission Léonetti qui doit rendre ses conclusions en novembre prochain. J’y fais part de mon inquiétude quant à des conclusions dont on sent bien qu’elles ne seront pas à la hauteur de l’attente des français…
    Mais espérons encore ! Et continuons notre travail de mobilisation pour faire entendre raison à nous gouvernants : les Français veulent une loi de liberté !
    Vous pouvez lire l’interview
    en cliquant ici.

  • Bureau national de l’ADMD ce soir

    Le bureau national de l’ADMD se réunira ce vendredi soir dans le 12ème arrondissement de Paris. Ce sera évidemment l’occasion de faire un point sur l’organisation du congrès mondial du 30 octobre prochain et la 1ère journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité - même si plusieurs membres du bureau assistent aux réunions du comité d’organisation que je préside tous les lundis au siège.
    Parmi les nombreux sujets, nous évoquerons aussi l’assemblée générale de 2009 qui, pour la première fois de l’histoire de notre association, sera décentralisée en province puisqu‘elle se déroulera à Lyon. Nous ferons aussi un point important sur le suivi de la commission Léonetti qui est censée rendre ses travaux en novembre prochain, juste après notre congrès mondial.
    A noter enfin que je reprends mon tour de France des délégations ADMD la semaine prochaine par une réunion à Saint-Affrique dans l’Aveyron.

  • Mon podcast de rentrée pour l'ADMD

    Après mon podcast de rentrée pour ELCS, celui pour l’ADMD. La rentrée sera très importante pour l’ADMD avec le rapport Léonetti, le congrès mondial des ADMD et la journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité qui se déroulera le 2 novembre prochain.

     

  • Mon édito dans le journal de l’ADMD

    Résolu à vous mener à bon port ! [Edito du Journal 1008 de septembre 2008]

     

    Notre mois de juin a été troublé. Certains de nos administrateurs ont pris le large. Je regrette cette situation car je sais combien vous ressentez durement ces départs - surtout quand ils sont médiatisés au détriment de notre association - qui sont autant de coups de canif donnés au contrat moral qui nous lie à vous pour conduire notre association vers notre ultime liberté. A la lumière de ces nouveaux événements, ma proposition d’élection d’une équipe autour d’un projet commun n’en est que plus pertinente.

    L’été est passé. Notre association n’a jamais été aussi forte, en croissance constante et active. Je vous remercie sincèrement de votre confiance, de votre vigilance et de votre mobilisation qui restent, je l’ai constaté avec plaisir lors de l’opération grandement réussie 100 000 cartes pour notre dernière liberté, indéfectibles.

    Cette rentrée est chargée. Tant mieux. C’est dans l’action que nous sommes les meilleurs car nous prouvons alors à nos adversaires que nous sommes absolument résolus à réussir.Une Journal 108 ADMD.JPG

    Durant l’automne, Jean Leonetti remettra au Premier ministre les conclusions du travail mené par sa Mission d’évaluation. Il ne peut que faire le constat tragique de l’inadaptation de la législation actuelle en matière de fin de vie. Et ce ne sera pas un retour vers plus d’obscurantisme qui nous mettra au niveau des pays les plus humains, mais bien un élan vers une meilleure écoute de l’autre et le respect de la volonté du patient.

    A la fin du mois d’octobre, notre 17ème congrès mondial se tiendra à Paris. Ce sera une démonstration de force pour tous les observateurs et une source de rassemblement pour chacun d’entre nous.

    Enfin, le 2 novembre, la 1ère journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité sera lancée simultanément dans nos 105 délégations et dans le monde entier. Vos délégués – que je remercie chaleureusement – sont en première ligne pour mobiliser et médiatiser autour de notre combat.

    A titre personnel, je voulais remercier toutes celles et tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, m’ont fait comprendre que le bateau sur lequel nous menons notre combat suit le bon cap. Je vous assure être résolu à vous mener à bon port. Dans un esprit d’équipe. Loin des querelles mesquines.

    Soyez assurés de mon dévouement amical et sincère,

     

    Jean-Luc Romero

    Président de l’ ADMD

     

  • Interview au Parisien suite au décès du jeune Rémy SaLvat

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  • Rémy Salvat : Pourquoi tant d’acharnement ?

    Comme après le décès du jeune Vincent Humbert ou celui de Chantal Sébire, la machine judiciaire s’est mise en route immédiatement après le décès de Rémy.
    Personne ne doutait de la volonté d’abréger une vie qui n’en était plus une à leur point de vue pour Vincent et Chantal. Un livre pour l’un, de nombreuses déclarations aux medias pour l’autre attestaient d’une volonté de mourir. Et pourtant, pendant deux ans, Marie Humbert fut interdite de quitter le territoire national et dut passer plusieurs expertises psychiatriques. Depuis le décès de Chantal Sébire, la justice cherche celui qui serait coupable d’une provocation au suicide de Chantal ! Insensé. Inhumain même.
    Et comme si la douleur qu’ont suscitée ces précédentes affaires n’avait pas existé inutilement, la justice n’a même pas attendu le temps du deuil pour « voler » le corps de Rémy à sa famille, quelques heures avant l’enterrement programmé, et commencer à auditionner ses proches. Certes, des questions peuvent être posées, mais ne pouvait-on laisser à cette famille le temps de faire son deuil d’autant qu’on semble déjà disposer d’éléments prouvant la volonté de Rémy ?Rémy salvat.jpg
    A voir la justice si prompte dès qu’il s’agit d’euthanasie et si lente pour des crimes crapuleux, on en vient à se demander pourquoi tant d’acharnement ?
    Ne serait-ce pas parce que nos gouvernants craignent une telle pression de la population pour changer la loi ? En tentant de mettre le doute sur le vrai sens du départ des Vincent, Chantal ou Rémy, ils croient retarder une législation de liberté que chacun sait aujourd’hui inéluctable, car indispensable. Et leur discours se répète en boucle : « Il ne faut pas légiférer sous le coup de l’émotion » et « La loi Leonetti doit être mieux expliquée et mieux comprise ». Absurde !
    Mais, en attendant cette loi de liberté, verra-t-on un juge mettre en cause le pouvoir pour inhumanité ou non assistance à personne dans la souffrance ? C’est une question que l’on peut se poser après l’ultime interpellation de Rémy au pouvoir.

  • Ne plus laisser les Rémy, Vincent et Chantal à leurs souffrances !

    A des milliers de kilomètres de Paris, je viens d’apprendre le drame qu’ont vécu Rémy, se maman Régine et sa famille.
    Atteint d’une maladie mitochondriale depuis l’âge de 6 ans, Rémy, qui avait aujourd’hui 23 ans, ne pouvait plus du tout marcher et souffrait terriblement comme l’a rappelé sa maman en annonçant qu’il s’était suicidé dimanche.
    Rémy avait écrit au président de la République pour lui demander de changer la loi pour l’autoriser à être aidé à mourir. Le 6 août, Nicolas Sarkozy lui répondait qu’il ne pouvait répondre à la demande de Rémy pour des « raisons philosophiques et personnelles.» Après cette réponse, il a décidé d’en finir. Seul.mains.jpg
    Sans avoir tous les éléments, il faut bien sûr être prudent. Mais en même temps, on ne peut que compatir au malheur de Rémy et de sa famille. Contrairement à ce qu’on nous dit, ce drame, comme ceux de Chantal Sébire ou de Vincent Humbert -, ne sont pas exceptionnels. Des milliers de familles les vivent en France. Si on avait une loi, comme aux Pays Bas, ce serait 2% des morts qui auraient lieu par euthanasie, soit plus de 10.000 personnes par an ! Va-t-on encore longtemps rester sourds à ces souffrances que la médecine ne peut soulager ?
    Comment peut-on encore tolérer qu’on ait laissé Rémy seul face à son drame alors qu’à une heure de Thalys de chez lui, en Belgique, il aurait pu être aidé et non pas laisser dans la solitude affronter ses derniers instants ?
    Comment enfin comprendre notre président et les hommes politiques qui préfèrent laisser passer leurs convictions personnelles et religieuses, à l’image d’une Christine Boutin, plutôt que de défendre une conception laïque de la fin de vie, c'est-à-dire une loi de liberté qui permette, pour les personnes qui le demandent expressément en fin de vie ou en cas de souffrance atroces à être aidés à partir ?
    Combien faudra t-il encore de Rémy, de Chantal de Vincent pour obtenir une loi Républicaine comme nos voisins hollandais, belges et demain luxembourgeois ont eu l’humanité de mettre en place eux qui ont des pourtant des régimes monarchiques ?

  • Sur France Culture le 24 juillet à 18h15

    logo France culture.gifJe serai l’un des invités de Florian Delorme dans « Contre Expertise » sur France Culture le jeudi 24 juillet de 18h15 à 19h00.
    Dans cette émission quotidienne cet été et qui sera rediffusée à plusieurs reprises, il s’agira de revenir avec d’autres invités sur le débat de la fin de vie relancé cette année par le cri émouvant de Chantal Sébire. Vous pouvez écouter France Culture sur 93,5FM à Paris ou 98 dans ma chère ville de Béthune et en cliquant ici.

  • Bureau national de l’ADMD ce soir

    Le dernier bureau national de l’ADMD se réunira ce lundi soir à partir de 19 heures. Ce sera sa dernière réunion avant la pause estivale.
    L’occasion de faire le point sur l’organisation du congrès mondial et de la journée mondiale pour le doit de mourir dans la dignité du 2 novembre prochain qui sera lancée au Trocadéro en présence de nombreuses personnalités.
    Nous ferons aussi le point sur la mobilisation politique pour obtenir enfin une loi permettant l’aide active à mourir sans oublier les travaux de la commission Léonetti.

  • Surfez sur le site du Congrès mondial des ADMD !

    Comme je vous l’ai déjà indiqué sur mon blog, le congrès mondial des associations qui se battent pour le droit de mourir dans la dignité se déroulera du 30 octobre au 2 novembre 2008 à Paris. A cette occasion sera lancée la 1ère journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité le 2 novembre prochain.Logo congrès 2008.JPG
    Pour avoir toutes les informations sur ces événements, n’hésitez pas à consulter le site qui leur est consacré en cliquant ici.

  • Rencontre avec Dignitas à Zurich vendredi

    Je rencontrerai le responsable de l’association Dignitas ce vendredi 18 juillet. J’ai souhaité, avec le docteur Claudine Lassen, responsable de la commission médicale de l’ADMD, me rendre à Zurich afin d’avoir une discussion franche et sans tabous avec les dirigeants de cette association qui est l’une des seules à accepter d’aider les étrangers, donc des Français, qui souhaitent mourir dans la dignité.

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    Toutes les personnes que nous connaissons qui ont accompagné leurs proches pour un suicide assisté avec Dignitas nous ont dit combien l’accompagnement de cette association était de bonne qualité, tant sur le plan purement physique qu’humain. Depuis quelques mois, les nouvelles procédures mises en œuvre, les suicides assistés à l’hélium et le coût important demandé aux patients - 6000€ - ont suscité des polémiques compréhensibles de la part de la presse et les associations pro life ont sauté sur l’occasion pour tenter de discréditer le mouvement pro légalisation de l’euthanasie. Ces interrogations méritent bien sûr des réponses et c’est pourquoi nous les poserons aux responsables de cette association.
    A l’ADMD, nous ne souhaitons évidemment pas qu’un tourisme de la mort se mette en place. Mais dans le même temps, il est un peu facile d’accuser une association qui, ne l’oublions pas, est légale et pallie les carences de la législation française. L’euthanasie serait légale en France, certains Français n’auraient pas besoin de fuir notre pays pour mourir dignement. Et cette polémique avec Dignitas n’aurait pas non plus lieu d’être.
    Au-delà de cette évidence, nous tiendrons compte des réponses dans nos relations futures avec cette association tout en rappelant que l’ADMD n’a pas de liens institutionnels avec Dignitas et ne peut en aucun cas être tenue responsable des actions de Dignitas… N’en déplaise à nos détracteurs.

  • A 18h15 interrogé sur I-Télé par Thomas Hugues

    I-Télé Grande édition JLR aa8.JPGJe serai interrogé en direct sur le plateau de Thomas Hugues ce jeudi soir à 18h15 sur I-télé.
    Il s’agira de revenir sur la polémique qu’a lancée un ancien responsable de l’ADMD qui se prononce contre le suicide assisté alors que jusqu’à sa démission, il n’avait jamais évoqué un tel problème de fond. Je n’entrerai pas dans les détails de cette affaire où c’est plus une discussion sur le bénévolat associatif qui est le vrai enjeu : un membre d’un bureau d’association peut-il être rémunéré pour une activité liée à l’association ?

  • Article dans Le Républicain Lorrain

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  • Assemblée générale ADMD à Loriol

    Drôme.pngProfitant de mon passage dans la Drôme, Jacques Besset, délégué ADMD, a organisé l’assemblée générale des adhérents de notre association à l’hôtel Salons de France à Loriol près de Valence.
    Ce sera l’occasion d’évoquer la mobilisation de notre association dans le cadre du congrès mondial des ADMD qui se déroulera le 31 octobre à Paris et la 1ère journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité lancé aussi à Paris le 2 novembre prochain.
    Retour en fin de journée à Paris.

  • Réunion publique ADMD à Bourg-lès-Valence

    Aux côtés de Jacques Besset, délégué ADMD de la Drôme et trésorier national de notre association, j’animerai une réunion publique à 20h30 dans la salle François Mitterrand à l’hôtel de ville de Bourg-lès-Valence.Drôme.gif
    J’évoquerai la situation actuelle de la fin de vie et la nécessité d’avoir enfin une loi républicaine légalisant l’aide active à mourir.
    Alors que notre association compte aujourd’hui 45.768 adhérents, la Drôme en comptabilise 357 et toute la région Rhône-Alpes, 4603.
    Cette réunion est ouverte à tous et vous y êtes cordialement invités adhérent ou non de l’ADMD. A ce soir !

  • 230 milllions pour les soins pallitifs, bravo, mais…

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    Bien sûr, vendredi dernier, je me suis réjoui de l’annonce faite par le président de la République d’une augmentation des moyens alloués aux soins palliatifs, en France à hauteur de 230 millions d’euros. En effet, dans notre pays, la prise en charge de la douleur et de la fin de vie est très largement imparfaite.
    Pour autant, ces moyens resteront insuffisants pour atteindre l’objectif idéal de 5 lits de soins palliatifs pour 100 000 habitants. Et également insuffisants pour atteindre le niveau de pays européens comme la Belgique (3,5 lits pour 100 000 habitants, contre 1,2 % actuellement en France) qui, tout en ayant voté une loi sur l’euthanasie, s’est également dotée d’une grande loi sur les soins palliatifs. En doublant en 4 ans le nombre de places, la France ne pourra accueillir, au plus, que 30 % des patients qui devraient intégrer une unité de soins palliatifs. Que faisons-nous alors des 70 % restants ?
    Avec l’ADMD, je regrette que cette annonce ne soit pas accompagnée par une annonce sur l’aide active à mourir parce que, quelle que soit la qualité de ces soins palliatifs et le dévouement de son personnel , il existe en France (10 000 selon une estimation fondée sur les chiffres de nos voisins néerlandais, soit 2 % des décès aux Pays-Bas) des personnes qui souhaitent terminer leur vie debout, chez eux, entourés de leurs proches.
    J’espère enfin que cette annonce ne viendra pas court-circuiter le travail mené actuellement par Jean Leonetti dans le cadre de la mission d’évaluation de sa propre loi qui lui a été confiée par le Premier ministre même si les premières auditions ne permettent pas beaucoup d’optimisme quant aux conclusions de cette mission.

  • Interview dans le Républicain Lorrain

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