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Paris Autrement - Page 117

  • Débat sur la fin de vie au PRG

    A l'invitation de Eddie Ait, je suis l'invité du Forum pour une nouvelle France organisé par le PRG sur le thème de la fin de vie ce lundi, à 19h30. Le combat pour une fin de vie choisie continue plus que jamais !

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  • Célébrations de mariages à Paris 12

    J'adore célébrer des mariages et je ne vais pas être déçu d'en avoir toute la journée de ce samedi...
    Ces célébrations sont toujours un beau moment pour les élus car nous partageons un moment d'intense émotion avec les nouveaux époux. Rare...

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  • Présentation du Pass Culture à Paris 12

    Afin de mieux faire connaître le Pass Culture de Paris 12, vous êtes attendus au kiosque citoyen de 17 à 21h.
    De nombreux acteurs culturels qui régulièrement donnent des offres privilégiées aux habitants de Paris 12 seront présents à ce kiosque pour vous présenter leur programme culturel.
    A ce soir !

    paris,jean-luc romero,pass culture

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  • Fête (faîtes) de la musique à Paris 12 !

    C'est le premier jour de l'été - on ne s'en était pas rendu compte ! - et donc, c'est la fête de la musique...
    Dans cette ambiance morose, c'est une occasion de sortir car la musique sera partout à Paris 12, comme partout.
    Alors sortez et découvrez l'immense talent de tant d'amateurs qui, aux côtés des concerts officiels, vont jouer, chanter, danser aux quatre coins de notre arrondissement.
    Et, peut-être, nous rencontrerons-nous ?
    Faites de la musique et profitez de ce moment rare.
    A ce soir !

  • Mon intervention à la région sur la prévention santé pour les jeunes

    Orientations pour une politique régionale de prévention santé en faveur des jeunes

     

     

    Madame la présidente, madame la vice-présidente, mes chers collègues,

    Vouloir mener une ambitieuse politique de prévention santé à destination des jeunes est un objectif que, je crois, nous partageons toutes et tous sur ces bancs, quelque soit le groupe politique auquel nous appartenons.
    L'hygiène de vie, la nutrition, l'éducation à la vie sexuelle et affective, le mal être et les conduites addictives sont effectivement des questions déterminantes pour la santé des jeunes.
    Mais le plus difficile reste de définir vraiment cette politique et surtout de trouver les moyens financiers pour la mettre en œuvre.
    Avec ce seul rapport qui est à notre disposition, il nous est, vous en conviendrez, très difficile de nous positionner sur les thématiques, certes fort légitimes, mais nous n'avons pas une vision précise des besoins réels et surtout des actions que mènent déjà de nombreux acteurs dans ces domaines.
    En effet, nous n'arrivons pas sur un terrain en friche et ces questions sont portées par d'autres structures associatives ou par d'autres collectivités territoriales. D'où la nécessité d'avoir un diagnostic précis qui aurait dû être inséré avec ces orientations générales. Sincèrement, je ne pense pas que tous les acteurs, notamment associatifs, investis dans l'hygiène de vie fassent mal leur travail.
    Et ce qui questionne le plus : ce sont bien sûr les moyens financiers. Vous souhaitez, et en tant qu'ancien président du Crips je m'en réjouis, confier cette mission globale de prévention santé auprès des jeunes au Crips. C'est effectivement un acteur incontournable sur ces thématiques. Mais s'il doit augmenter ses moyens contre le sida - nous en parlerons dans la délibération suivante - et mener de nouvelles actions, ce n'est pas avec son budget actuel qu'il pourra le faire ! Vous le savez.
    Les personnels du Crips, auxquels je veux rendre ici hommage pour leur dévouement, sont particulièrement formés pour l'éducation à la vie affective et sexuelle et aux conduites addictives. Mais pas dans les autres domaines.
    Si on ne veut pas baisser les actions de sensibilisation dans les lycées dans ces deux domaines et ce serait contradictoire avec votre volonté ici affirmée, il va donc falloir augmenter considérablement les moyens humains du Crips. Pas sûr que notre collectivité puisse tenir aujourd'hui un tel engagement ! Et trouver des financements dans le secteur privé entrera en concurrence avec la politique de lutte contre le sida qui doit aussi trouver d'autres partenaires financiers pour être efficiente.
    Par ailleurs, je vous rappelle que le Crips doit s'occuper des populations vulnérables au VIH/sida, notamment les gays, les trans et les migrants. Il ne faudrait pas que cette nouvelle politique se fassent au détriment de ces catégories clés pour aboutir à la fin du sida en Île-de-France.
    Enfin, reste la question du nom du  Crips.
    J'ai déjà eu l'occasion de dire à la présidente que pour moi, ce serait un mauvais signal de retirer le mot sida qui est au cœur de l'action du Crips. Je sais que désormais, il nen est pas question et je men réjouis. Rajouter une lettre pourquoi pas, mais faisons attention à ne pas avoir un message contraire à ce que nous souhaitons. Car faire de la prévention santé chez les jeunes ne peut se faire au détriment de la lutte contre le sida. Je sais que vous en convenez.
    Je vous remercie.

  • Conseil d'arrondissement de Paris 12

    Ce lundi, à 19h00, se déroule le dernier conseil d'arrondissement avant la pause estivale. Il sera bien sûr présidé par la maire Catherine Baratti-Elbaz et est ouvert au public.

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  • Mon intervention "Pour une région Ile-de-France sans sida"

    « Pour une région Île-de-France sans sida » 

    Intervention de Jean-Luc Romero-Michel

    Conseiller régional d’Île-de-France,

    Ambassadeur d'une Île-de-France sans sida

     

    Paris - Vendredi 17 juin 2016

     

     

    Madame la présidente, Madame la vice-présidente, Mes chers collègues,

     37 millions de personnes vivent avec le VIH/sida dans le monde, 150 000 en France et près de 40 % de ces personnes séropositives sont sur le territoire de notre région Île-de-France qui est ainsi la région métropolitaine la plus concernée par ce terrible virus.
    Madame la présidente, mes chers collègues, jamais autant d'hommes et de femmes n'auront vécu avec le VIH/sida ici et ailleurs !
    Et pourtant, alors que près de 4000 personnes continuent à en mourir quotidiennement dans le monde, on n'a jamais aussi peu parlé du VIH/sida. Pire, dans nos pays dits riches, cette maladie est devenue invisible car les personnes ont peur, encore et je dirai même plus que jamais en 2016, de dire leur séropositivité.
    Je me sens souvent bien isolé en étant le seul élu de notre pays à avoir dit vivre avec ce virus. Et, en même temps, je comprends mes compagnons d'infortune. Dire son VIH conduit souvent aux discriminations. Toutes les études en attestent.
    Alors, à celles et à ceux, qui banalisent, je rappelle que même avec les nouveaux traitements que nous avons la chance d'avoir dans nos pays - une pensée pour les 22 millions de séropositifs dans le monde qui n'y ont pas accès et qui meurent dans une indifférence glacée - la vie avec le VIH est une vie d'épreuves et d'embûches.

     * Difficulté, voire impossibilité, pour beaucoup de se construire une vie affective et sexuelle, tant les gens restent terrorisés face à cette maladie. Paradoxalement, on a plus peur des malades que de la maladie…

    * Difficulté dans la vie professionnelle : le risque d’être sans emploi est 5 fois plus élevé pour une personne séropositive  que pour la population générale. 62% des personnes séropositives ne disent pas, ne peuvent pas dire leur séropositivité au travail.

    * Difficulté, voire une quasi impossibilité de contracter un prêt pour acheter un appartement, créer une entreprise alors que nous avons presque la même espérance de vie que les personnes séronégatives !

    * Difficulté de voyager et s'installer à l'étranger car, tels des lépreux des temps modernes ou des terroristes, 35 pays nous interdisent encore leur territoire.

    * Discriminés enfin jusqu'à la mort car en France, contre les avis de tous les organismes scientifiques ou éthiques, les personnes séropositives n'ont pas droit aux soins de conservation à leur mort et sont souvent mis dans un cercueil sans que leurs proches puissent leur rendre un ultime hommage.
    Et pourtant, l'espoir est aussi là… Un monde sans sida, c'est possible. C'est réalisable si nous nous y mettons tous, États, ONG, collectivités locales.
    En lançant La déclaration de Paris, la maire Anne Hidalgo a déjà convaincu plus de 200 grandes villes à travers le monde de s'engager dans le 3 fois 90 d'ONUSIDA. Un plan a depuis été décliné pour la capitale qui est désormais engagée Pour un Paris sans sida !
    Lors de la session budgétaire, j'ai demandé que notre région s'engage Pour une région Île-de-France sans sida et vous m'aviez répondu favorablement, madame la présidente. Je me réjouis de votre réactivité et de bien vouloir vous approprier ce défi.
    Ce plan qui sera présenté à l'automne a cependant des préalables.
    D'une part, pour réussir, et le rapport le précise, il doit s'inscrire dans un travail commun avec Paris, mais aussi avec d'autres collectivités comme la Seine-Saint-Denis, deuxième département le plus touché par le VIH/sida en Île-de-France après la capitale. Mais aussi avec les villes franciliennes.
    Élus Locaux Contre le Sida (ELCS) mobilise les communes de notre région pour qu'elles s'engagent et nous avons créé, il y a 3 ans, un label « ville engagée contre le sida ». Plusieurs villes de droite comme de gauche ont souhaité candidaté et ont obtenu ce label.
    Il faudra donc aussi s'appuyer sur ce réseau car si les élus locaux ne s'engagent pas, nous ne pourrons aboutir à une Île-de-France sans sida.
    D'autre part, ce plan ne pourra se faire sans les associations de lutte contre le sida, mais aussi sans celles qui accompagnent les populations les plus vulnérables, c'est-à-dire, les gays, les trans, les migrants, les travailleurs et travailleuses du sexe, les usagers de drogues…
    Enfin, il ne faudra pas oublier le volet international et le travail déjà entrepris par la précédente majorité avec Métropolis et Dakar, Gauteng, Antananarivo, Kayes, Santiago du Chili, etc.
    Ces préalables posés, il ne s'agit pas aujourd'hui de voter un plan ou un agenda. Il sera fixé par une conférence des associations appuyées par l'ORS et le Crips.
    Il s'agit d'affirmer ce vendredi 17 juin 2016, et je l'espère unanimement, que nous sommes déterminés à aboutir au 3 X 90 en 2020 et à une Île-de-France sans sida en 2030.
    Quelques évidences cependant.
    Il faudra axer notre réponse sur la promotion de la prévention diversifiée, un accès le plus large possible au dépistage, une lutte sans faille contre les discriminations et la précarité que subissent les personnes infectées.
    A ELCS, nous nous battons depuis longtemps pour la gratuité des préservatifs masculins et féminins, au moins pour les précaires, les jeunes et les personnes séropositives. C'est plus que jamais d'actualité.
    La PrEP constitue une révolution dans la prévention, donner ce traitement préventif aux populations les plus vulnérables pour qu'elles évitent d'être infectées est essentiel et l'expérience de San Francisco montre son efficacité impressionnante. Quand il y a une volonté politique, on progresse vraiment.
    L'accès universel au dépistage est un des piliers d’une politique efficace. Il faudra notamment assurer dans les associations la possibilité de fournir gratuitement l'autotest car 28€, ce n'est pas acceptable, comme il faudra donner plus de moyens aux associations pour mener les TROD qui ont montré leur efficacité. Quand j'étais président du CRIPS, avec le bureau, nous avions voulu lancer un bus de prévention et avions demandé l'agrément pour effectuer des TROD. Il faudra donner plus de moyens à cette mission pour toucher notamment les départements les plus éloignés, et qui ont souvent moins accès au dépistage, le 95, 91, 78, 95 et bien sûr la Seine-et-Marne.
    Il ne peut y avoir de lutte efficace contre le sida sans associer et prendre en compte les personnes vivant avec ce virus. Le volet lutte contre les discriminations et la précarité, notamment pour les migrants sans papiers, devra être conséquent.
    J'en termine en me réjouissant, même si l'émotion est forte, que l’Île-de-France poursuive sa mobilisation contre le sida et, grâce à cet engagement, l'amplifie.
    Aux côtés de Jean Spiri, je serai, si vous le votez, madame la présidente, mes chers collègues, un ambassadeur d'une Île-de-France sans sida très exigeant, qui ne prend pas ce titre comme un simple symbole et je sais, madame la présidente, que vous respecterez cette exigence  d’efficacité.
    Comme personne vivant avec le VIH depuis près de 30 ans, je mettrai toute mon expérience, toutes ces souffrances vécues, cette force que m'a même donné ce virus en m'obligeant à le combattre quotidiennement, au service de notre région jusqu’à la disparition totale du VIH et pour laisser aux jeunes générations une Île-de-France sans sida. Un monde sans sida.
    Un rêve que je n'aurais jamais pu imaginer possible, un jour de septembre 1987, quand j'apprenais ma propre séropositivité.
    Je vous remercie.

  • J'ai signé l'Appel du 18 joint ...

    En 1993, le CIRC (Collectif d’Information et de Recherche Cannabique) réactivait l’Appel du 18 joint, lancé en 1976 par quelques fougueux journalistes de Libération et d'Actuel, une initiative qui demandait « la dépénalisation totale du cannabis, de son usage, de sa possession et de sa culture. »
    Quarante ans plus tard, le texte de l'Appel n’a, hélas, rien perdu de son actualité. Alors que la société a radicalement changé et que les mœurs ont évolué, la loi votée en 1970 n'a cessé, elle, de se durcir. Comme le notait le texte originel, le discours stigmatisant sur le cannabis « permet de maintenir et de renforcer une répression de plus en plus lourde... Des arrestations massives de jeunes... ». Une politique qui « justifie la détention de centaines de personnes... des emprisonnements qui frappent en priorité la jeunesse » issue des quartiers populaires et de l’immigration.
    Aujourd'hui, force est de constater que la répression du cannabis a coûté très cher attisant les flammes de l'incendie qu'elle était censée éteindre en dynamisant le trafic et en multipliant le nombre de consommateurs.
    Le cannabis n’est pas interdit parce qu’il pose un problème de santé publique, mais principalement pour des raisons culturelles et politiques
    Outre-atlantique, dans le pays qui a mené une guerre acharnée contre « la drogue », la moitié des États ont légalisé le cannabis thérapeutique et plusieurs d'entre eux ont réglementé sa production, sa distribution et sa consommation récréative, ouvrant la voie à une nouvelle économie florissante… Aujourd’hui, les nombreux pays qui ont assoupli leur législation s’en félicitent.
    En France comme partout en Europe, et quelle que soit la législation, l’économie du cannabis se manifeste par la présence de centaines de commerces proposant tout le matériel nécessaire (et parfois des graines), pour s’adonner en toute sérénité à la culture domestique du cannabis. Une activité qui génère déjà des dizaines de milliers d’emplois directs et indirects, lesquels se multiplieront le jour où nos députés daigneront admettre que la consommation de cannabis est intégrée dans nos mœurs et qu’il faut l'encadrer. 
    Il ne s'agit donc plus désormais de débattre sur la pertinence de la prohibition, un échec indiscutable, mais de travailler sur une alternative qui redonnera au cannabis sa liberté et à ses usagers leur dignité.
    Parce que le cannabis est un sujet trop complexe pour être laissé aux seuls politiciens, le CIRC appelle les associations, les personnalités du monde artistique, médiatique, sportif et les simples citoyen(ne)s, à s'emparer du sujet.
    Par le présent appel, nous exigeons du gouvernement qu'il abroge  l'article L.3421-4 du Code de la Santé Publique punissant la « présentation sous un jour favorable des stupéfiants », mesure nécessaire pour permettre la tenue d’états généraux réunissant institutions et associations afin d’engager une réflexion sur la sortie de la prohibition du cannabis.

  • Session de la région : une Ile-de-France sans sida

    Ce vendredi se déroule la session du conseil régional d'Ile-de-France.
    Plusieurs dossiers sur la santé et la prévention y seront discutés. Notamment, celui pour une Ile-de-France sans sida comme je l'avais proposé durant le débat budgétaire. Anne Hidalgo a déjà lancé un Paris sans sida et il est important que notre région qui a 40% des cas de VIH/sida soit à la pointe de ce combat pour qu'en 2030, le sida disparaisse enfin !

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  • Commission permanente de la région Ile-de-France

    Ce mercredi, se déroule la commission permanente de al région Ile-de-France sous la présidence de Valérie Pécresse.
    Je suivrai particulièrement deux dossiers.
    D'une part, la subvention pour la Marche des Fiertés LGBTI de Paris et l'implication de la région dans cette manifestation pour l'égalité.
    D'autre part, la subvention pour l'établissement culture, le 100 Charenton, qui est situé dans le 12ème arrondissement.

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  • Vidéo de la Fête Arc-en-Ciel à la Foire du Trône à Paris 12

  • Groupe d'études sur le cannabis à la région Ile-de-France

    Je représenterai mon groupe au groupe d'études sur le cannabis qui se réunit pour la première fois ce jeudi à à la région Ile-de-France. J'espère que ce groupe en viendra à la conclusion que les tests salivaires imposés aux lycéens pour détecter leur consommation de cannabis est une très mauvaise idée et totalement contre-productive.

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  • Réunion du bureau national de l'ADMD

    En fin de journée se déroulera le bureau national de l'ADMD.
    Alors que notre Assemblée générale de septembre, à Antibes, marquera le lancement de notre campagne pour convaincre les candidats aux élections présidentielles et législatives, il s'agit ce soir de préparer ces échéances.

  • Lancement de la 10ème édition du Festival June Events à Paris 12

    Avec Catherine Baratti-Elbaz, maire du 12ème arrondissement, j'assisterai à la soirée d'ouverture de la 10ème édition du Festival June Events à la Cartoucherie, située à Paris 12. Ce festival est organisé par l'Atelier de Paris-Carolyn Carlson.

  • Sortie du Guide API 2016-2017 d'ELCS à la Concrète à Paris 12

    Ce mercredi soir, à 18h30, après le bureau national d'ELCS, se déroule la sortie du Guide API 2016-2017 d'Elus Locaux Contre le Sida à la Concrète dans le 12ème arrondissement de Paris.
    Le Guide API est un livre engagé réalise par ELCS. Ce guide permet d'appréhender les enjeux de la lutte contre le sida pour les élus. Il contient aussi les actes des 20èmes Etats Généraux d'ELCS qui se sont déroulés au ministère de la santé en novembre 2015.

  • Conseil du 12ème arrondissement

    Ce lundi, à 19h00, se déroule le conseil d'arrondissement sous la présidence de la maire Catherine Baratti-Elbaz.
    Je vous rappelle que toutes les séances sont ouvertes au public.

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  • #LeTalkDuLundi sur Périscope à 12h

    Comme chaque lundi, vous pourrez me retrouver à 12h00 sur Périscope ou Twitter pour #LeTalkDuLundi consacré à l'ADMD et à la fin de vie. Je vous rappelle que vous pouvez poser vos questons sur mon site www.jeanluc-romero.com !
    A tout à l'heure...

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  • Venez à la sortir du Guide d'ELCS

    Depuis 1996, ELCS publie chaque année les Actes des Etats Généraux des Elus Locaux Contre le Sida, avec depuis 2011 un guide d'information. Depuis juin 2013, ce livre porte le nom de "Guide API" : API pour Action, Prévention, Information. 
    Le Guide API 2016-2017 sortira le mercredi 1er juin 2016. Dans ce cadre, je serais heureux de vous retrouver à la soirée de présentation à 18 heures 30 à la Concrète à Paris 12. N'hésitez pas à vous inscrire à info@elcs.fr !

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  • L'ADMD au Salon infirmier

    Comme tous les ans, l'ADMD tient un stand au salon infirmier qui se déroule Porte de Versailles à Paris. Ce jeudi, j'assurerai la permanence de l'après-midi aux côtés des militants de l'ADMD.

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  • 8ème édition du Festival des Cultures Urbaines à Paris 12

    Les cinq centres d’animation et la Maison des Ensembles organisent la 8ème édition du Festival des Cultures Urbaines. Ce festival sera lancé ce mercredi 25 mai à 18h00 au Centre d’animation Maurice Ravel - 6 avenue Maurice Ravel à Paris 12ème. Venez nombreuses et nombreux !

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