Paris Autrement - Page 110
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J-14 avant la sortie de "SurVivant - mes 30 ans avec le sida" chez Michalon
J-14 avant la sortie de "SurVivant - mes 30 ans avec le sida" chez Michalon : dans ce livre, les candidats qui débattent ce soir pour la primaire de droite et du centre pourront y trouver de nombreuses propositions pour mener une politique de lutte contre le sida efficace et humaine...
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Souvenir en photos de mon 2 novembre de militant ADMD : #Le2novJaccuse
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J-15 avant la sortie de "SurVivant - mes 30 ans avec le sida" chez Michalon
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Invité des Grandes Gueules sur RMC et Numéro à 11h20
Ce mercredi 2 novembre, à l'occasion de la 9ème journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, je serai l'invité des Grandes Gueules sur RMC. L'émission est aussi diffusée sur la chaîne de la TNT Numéro 23.
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J-16 avant la sortie de "SurVivant - mes 30 ans avec le sida" chez Michalon
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J-17 avant la sortie de "SurVivant - mes 30 ans avec le sida" chez Michalon
J-17 avant la sortie de "SurVivant - mes 30 ans avec le sida" chez Michalon.
Dans mon nouveau - et 10ème - livre, j'y évoque toutes les personnalités qui ont osé dire qu'elles étaient séropositives ou atteintes du sida comme notamment Freddie Mercury le 23 novembre 1991. Ce fut un choc planétaire... Ces révélations ont donné une image à la maladie et ont souvent été plus efficaces que bien des campagnes de prévention. -
Retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi sur Périscope/Twitter à 12h00
Comme tous les lundis, retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi à 12h00 sur Périscope et Twitter.
A deux jours du 2 novembre, neuvième journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, il s'agit d'appeler à la mobilisation des militants de l'Ultime Liberté. -
J-19 avant la sortie de "SurVivant - mes 30 ans avec le sida" chez Michalon
J-19.
"SurVivant - mes 30 ans avec le sida" c'est bien sûr une histoire personnelle de vie avec ce virus mais c'est aussi l'histoire incroyable et émouvante de ces militants qui, dès 1981, notamment à New York, se sont mobilisés et on pris en charge cette mlaldie face à l'inertie des gouvernants à travers le monde... -
Hommage à Benoîte Groult
Ce mercredi soir, à l'initiative des éditions Grasset mais aussi de Blandine et Lison de Caunes, aura lieu un hommage à Benoîte Groult.
C'est avec beaucoup d'émotion que je me rendrai à cette cérémonie pour rendre hommage à cette immense femme de lettre mais aussi d'engagements. Tout le monde connaissait ses engagements féministes mais moins son combat de longue date pour le droit de mourir dans la dignité.
C'était une militante infatigable qui nous manque vraiment beaucoup ! -
#LeTalkDuLundi sur Périscope et Twitter à 12h00
Comme tous les lundis, retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi à 12h00 sur Périscope pour vous parler fin de vie et ADMD.
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Retrouvez les acteurs culturels de Paris 12 à 17h
Ce jeudi, dès 17h, les acteurs culturels de Paris 12 qui participent au Pass Culture seront présents au Kiosque citoyen à Daumesnil.
N'hésitez pas à venir les rencontrer mais aussi à passer pour obtenir un Pass culture si vous n'en avez pas... A ce soir ! -
Bureau national de l'ADMD
Ce mardi soir se déroule le bureau national de l'ADMD.
Il sera noitamment consacré à notre mobilisation du 2 novemmbre pour la journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité. -
La manif pour « tous » en campagne, la haine à l’honneur ! (ma tribune dans le Plus Obs)
J’ai, depuis le début, un peu de mal avec ce terme : manif pour tous. Sans forcément juger leurs valeurs d’un temps révolu, je me demande comment un mouvement peut se dire pour tous sachant que leur principal combat est de tout faire pour ne pas accorder les mêmes droits à une partie de leurs concitoyens. J’ai beau faire preuve de souplesse intellectuelle, j’avoue que je ne comprends pas la signification de leur « tous ». A dire que le « pour tous » est mensonger et usurpé, il n’y a qu’un pas … qu’à titre personnel, je franchis allègrement !
Alors, où en sommes-nous avec la manif pour « tous » ? Et bien, manifestement, le fait d’avoir eu l’immense plaisir de voir la joie sur ces milliers de visages de néo-mariés (dont je fais partie !), nous qui sommes de terribles pourfendeurs de la civilisation les a remotivés. Le 16 octobre, la manif pour « tous » part en campagne.
Une date fort symbolique puisqu’elle se situe le lendemain du rendez-vous annuel de l’Existrans, une manifestation essentielle dédiée à la promotion des droits des personnes trans, des droits au mieux bafoués, au pire inexistants. Il est presque certain - et nous ne pouvons que le regretter - que cette marche humaine, pour le respect des droits, sera peu couverte, bien trop peu, en comparaison du marketing de la haine du lendemain. Après, nous pouvons peut-être espérer une forme d’équilibre et d’éthique de la part des journalistes ? Soyons francs : il y aura sûrement du monde, et la manif pour « tous » aura sûrement la primeur de tous les journaux télévisés avec un message triomphant et menaçant à l’attention des politiques qui voudraient ériger en programme la casse sociétale (traduction : croire qu’une personne LGBTI est un citoyen comme un autre !).
Que faire par rapport à ça ? Un de mes amis me dit souvent que la Manif pour tous, c’est un peu la puce sur le dos d’un chien. Je ne suis pas d’accord avec sa vision et cette vision des choses. Il ne faut pas traiter avec mépris la manif pour « tous », de même qu’il ne faut pas traiter avec mépris les 25% d’électeurs du Front national en France. Ces professionnels de la haine sont certes une minorité qui fait du bruit, mais un groupuscule qui est installé et qui nourrit les divisions de notre société. Et c’est en ça qu’il ne faut pas les traiter avec mépris : car ils sont dangereux.
C’est notre vivre-ensemble qu’ils attaquent avec ce vernis de beaux sentiments fédérateurs.
C’est notre Déclaration des droits de l’homme qu’ils piétinent.
C’est notre solidarité, notre mixité, notre richesse qu’ils haïssent.
C’est notre République qu’ils attaquent.
C’est sur notre France qu’ils crachent.
La réponse à la manif pour « tous », c’est simple : Tous égaux. -
Invité de BFMTV à 8h45
Pas de grasse matinée ce dimanche...
En effet, vous pourrez le retrouver sur BFMTV à 8h45 en ce jour de manifestation des anti mariage poour tous. -
Invité de ITélé à 20h40
Alors que se déroule ce samedi l'Existrans, manifestation en faveur des droits des trans et intersexes, et qu'aura lieu demain la terrible Manif Pour Tous, je suis l'invité de Itélé ce samedi à 20h40.
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Toutes et tous à l'Existrans ce samedi à 14h
Alors que la Manif pour tous va envahir les rues de Paris de sa haine ce dimanche, ce samedi se déroule l'Existrans, la manif de soutien aux revendications des personnes trans.
Soyons nombreuses et nombreux à les rejoindre et les soutenir ! -
Ma tribune sur les salles de consommation à moindre risque (parue dans Le Huffington Post)
Salle de consommation à moindre risque
ou la nécessité du pragmatisme en santé publique
Par Jean-Luc Romero-Michel, président d’Elus Locaux Contre le Sida
Nous y sommes, enfin. Nous sommes à la fin d’une grande hystérie qui a vu, in fine, triompher la santé publique en lieu et place des postures politiciennes matinées de peur, d’ignorance volontaire et d’intérêts. Oui, ça y est, la salle de consommation à moindre risque ouvre ! C’est là le résultat d’une longue lutte menée par des acteurs que je veux féliciter très sincèrement et chaleureusement au premier rang desquels Anne Hidalgo, maire de Paris et Rémi Féraud, maire du 10e arrondissement de Paris ainsi que l’ensemble des associations de réduction des risques qui ont su porter le projet, sans l’imposer, mais toujours avec ce souci d’ouverture et de discussion, en répondant aux questionnements, en tenant bon malgré les coups et les découragements dus aux reculades diverses et variées.
Militant de longue date de la réduction des risques en direction des usagers de drogues, est-ce que je suis satisfait de cette ouverture ? Oui. Oui, à moitié.
D’abord, commençons par le côté positif des choses, le « oui » : un dispositif innovant de santé publique a pu voir le jour en France sur la base de très nombreuses publications scientifiques, françaises et internationales, et de retours d’expérience de nos voisins européens et ça, c’est tant mieux ! Nous les connaissons bien, tous les avantages de ce type de structure, aussi bien en termes de santé individuelle des usagers que d’avantages collectifs liés à la sécurité et à la salubrité publique. Nul besoin de revenir dessus.
Je pense aussi que la démarche dans laquelle a été monté ce dispositif doit être soulignée et être un réel motif de satisfaction : un esprit d’ouverture, de discussion et de transparence. A ce propos, à chaque fois que je vais à la rencontre de directeurs de dispositifs de réduction des risques à l’étranger, et notamment à Genève, l’ensemble de ces personnes me parlent du dialogue comme condition sine qua non de la bonne inscription du dispositif dans le tissu local. J’en suis persuadé, ce dialogue, il doit se faire au départ, mais surtout, il doit perdurer.
Ensuite, le « oui à moitié » : cette salle de consommation à moindre risque ne constitue pas une solution miracle mais un outil supplémentaire dans le panel global des outils de réduction des risques. Ce n’est pas avec une seule salle que l’on va régler le problème de la contamination au VHC des usagers de drogues ! Il ne faudrait pas que, en en ayant tellement parlé, on attende de cette structure des résultats auxquels elle ne peut répondre seule. Autre point : cette salle de consommation à moindre risque, au-delà du fait qu’elle en appelle d’autres en France, ne doit pas signer la fin de l’innovation en matière de réduction des risques. Cette politique a toujours fait de ce sens de l’innovation son fondement et son moteur et je sais bien que les acteurs de la RdR sauront ne pas l’oublier. J’ai un exemple précis en tête d’un dispositif mis en œuvre notamment en Suisse, qui fonctionne particulièrement bien et donne d’excellents résultats : la délivrance d'héroïne sous contrôle médical. C’est là, je crois, une des pistes sérieuses que l’on doit étudier dans un avenir proche. En somme, ce n’est pas tant un « oui, à moitié » que je veux exprimer mais plutôt un « oui, attention ! ».
La leçon de tout ça : on manque de pragmatisme dès que l’on veut innover, en France, en santé publique. C’est bel et bien à nos décideurs d’adopter cette culture du pragmatisme souvent éloignée, et bien peu compatible il faut le dire, des contingences politiciennes. Bien évidemment je doute fort que la tenue des élections présidentielles et législatives permette ce type de démarche efficace mais que voulez-vous, l’espoir fait vivre ! Mais je le dis avec cette fois-ci plus de sérieux : on ne peut considérer la santé publique que sous l’angle humain et pragmatique. C’est la seule façon d’avancer convenablement, étape par étape.
Cela fait plus 20 ans que je fais, chaque année, une sorte de tour de France contre le sida, allant dans les villes, de toute taille, pour rencontrer élus, associations et autres acteurs de la lutte contre le sida. Ce que je retiens de toutes ces années, c’est que le moralisme et le dogmatisme sont des freins terribles au(x) progrès. Alors si, bien sûr, il faut s’attacher à discuter, notamment des peurs et des craintes, c’est le sens du concret, le volontarisme qui fait et fera avancer notre société. C’est la pensée que j’ai, à chaque fois, en terminant une journée de déplacement lors ces tours de France contre le sida.
Ce pragmatisme a été à l’œuvre pour ce projet de salle de consommation à moindre risque, espérons qu’il le soit pour tous les projets innovants en santé, au service des personnes, au plus près des besoins de toutes et tous, sans exception.
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Commission permanente de la région Ile-de-France
Ce matin, j'assiterai à la commission permanente de la région Ile-de-France qui sera présidée par Valérie Pécresse.
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Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux à 19h00 pour le 1er Meet Up ADMD