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xavier bertrand

  • Région Hauts-de-France reçoit le label région engagée contre le sida de ELCS

    Avec Jean Spiri, nous irons à Saint-Quentin dans le cadre de la Boucle du Ruban Rouge. A cette occasion, nous signerons avec Xavier Bertrand le label région engagée contre le sida.

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  • Communiqué d'ELCS sur l'interdiction du don du sang aux gays

    Communiqué de presse du 24 janvier 2012
    Déclarations de Xavier Bertrand sur les soins funéraires
    et l’interdiction du don du sang pour les gays
    Jean-Luc Romero entre satisfaction et prudence !


    Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, salue les prises des positions de Xavier Bertrand qui a publiquement déclaré qu’il comptait faire, rapidement, évoluer les législations sur l’interdiction des soins funéraires pour les personnes décédées séropositives et sur le don du sang refusé aux gays.
    Le président d’ELCS se dit satisfait mais extrêmement prudent quant à la suite donnée et à la réalisation effective des promesses faites. En effet, à plusieurs reprises déjà, Xavier Bertrand et, par la suite, Roselyne Bachelot s’étaient clairement et publiquement déclarés pour la fin de l’interdiction du don du sang pour les gays. Les acteurs de la lutte contre le sida attendaient et rien n’est venu …
    De même, la fin de l’interdiction des soins funéraires est un combat porté déjà de plusieurs années par ELCS et il a fallu qu’un front associatif uni se forme et bouscule les choses pour que les politiques s’intéressent enfin à la question !
    Alors que la période préélectorale est propice aux promesses, les acteurs de la lutte contre le sida seront extrêmement attentifs à la réalisation de celles-ci. Aujourd’hui les promesses ont été faites, elles doivent être tenues. C’est, selon Jean-Luc Romero, une question d’égalité et de dignité.

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  • Médicaments surveillés : et nous patients, comment réagir ?

    Après le scandale du Médiator, la volonté de transparence de Xavier Bertrand est particulièrement louable. Les patients doivent savoir si les médicaments qui leur sont prescrits ont des effets secondaires disproportionnés par rapport au bénéfice thérapeutique qu’ils leurs apportent.
    Mais rendre public 77 médicaments sans qu’aucune information n’ait été donnée préalablement aux pharmaciens ou aux médecins, cela fragilise particulièrement des patients légitimement inquiets.
    Dans cette liste, j’ai deux médicaments que je prends quotidiennement dont l’un, l’Actos, qui est prescrit pour mon diabète, fait partie de ceux qui devraient être retirés rapidement selon des informations distillées dans la presse mais non confirmées par les pouvoirs publics.
    Le hic, c’est que lorsque vous demandez à votre médecin ou à votre pharmacien, comme je l’ai fait hier, ils ne savent pas quoi vous répondre… Ils vous conseillent de poursuivre les traitements – cela fait plus de 7 ans que je prends de l’Actos à forte dose – en attendant d’en savoir plus. Et comme, je n’ai pas réussi à avoir de rendez-vous avec ma diabétologue avant fin mars, vous imaginez ma perplexité !!!
    Il devient donc urgent que le directeur général de la santé écrive aux médecins et aux pharmaciens et leur dise clairement ses intentions concernant les 77 médicaments listés.
    Il s’agit de dire lesquels seront définitivement retirés d’abord et ensuite quelles conduites à tenir vis-à-vis de patients aujourd’hui légitimement inquiets et incontestablement doublement fragilisés : par leur maladie et par l’incertitude liée aux effets secondaires des traitements qu’ils prennent.
    Ils doivent, en effet, avoir toutes les informations nécessaires pour décider si le bénéfice thérapeutique de ces médicaments est suffisamment important pour en accepter des effets secondaires.

     

  • Mon courrier à Xavier Bertrand sur la lutte contre le sida

    Communiqué de presse du 29 novembre 2010

    Trois mesures à mettre en œuvre urgemment dans la lutte contre le VIH/sida :

    Jean-Luc Romero interpelle Xavier Bertrand et lui rappelle ses promesses,
    non tenues par l’ancienne ministre de la santé !



    A deux jours de la Journée mondiale de lutte contre le sida, Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, souhaite attirer l’attention de Xavier Bertrand sur trois dossiers pour lesquels l’intervention des pouvoirs publics est urgente :

    - l’interdiction toujours opposée aux homosexuels de donner leur sang : Jean-Luc Romero rappelle que Xavier Bertrand, alors ministre de la santé, avait déclaré le 10 juillet 2006 que « la contre-indication permanente actuelle visant "les hommes ayant des rapports sexuels avec d'autres hommes" ne (…) semblait pas satisfaisante, car elle stigmatisait de facto une population et non des pratiques. Elle va donc disparaître ». Cette interdiction est toujours d’actualité à cause de l’opposition de certaines agences gouvernementales et de la position de l’ancienne ministre de la santé, Roselyne Bachelot.

    - l’interdiction des soins de conservation pour les personnes décédées séropositives : la législation en vigueur a pour effet que les proches, la famille, les amis d’une personne morte du sida ne peuvent lui rendre un dernier hommage, son corps devant être immédiatement enfermé dans un cercueil. Ainsi, même face à la mort, les séropositifs sont discriminés ! Sur saisine d’ELCS, le Conseil national du sida a rendu un avis, sur ce problème, jugeant l’arrêté fondant l’interdiction hautement discriminant et injustifié dans ce sens où les précautions universelles sont suffisantes. Selon Jean-Luc Romero, maintenir cette législation valide le fait que le sida reste une maladie honteuse, une maladie qui doit être cachée. Il plaide donc pour une levée de cette interdiction, tout en renforçant la formation des thanatopracteurs aux réalités du VIH/sida.

    - les préservatifs : Jean-Luc Romero sollicite l’appui des ministres quant à la gratuité totale des préservatifs masculins et féminins. En effet, sans tomber dans un cynisme inhumain, le président d’ELCS rappelle que prévenir coûterait bien moins cher que traiter une personne durant toute sa maladie. Il demande donc la mise en débat de cette idée de gratuité totale du préservatif.

    Le président d’ELCS attend des réponses concrètes. Il rappelle que la lutte contre le VIH/sida réclame une volonté politique extrêmement forte. Plus que jamais, le sida se soigne aussi par la politique !

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  • RDV avec Xavier Bertrand

    A son invitation, et - vraie coïncidence - à la veille de la sortie de mon livre, je rencontre aujourd’hui l’ancien ministre et actuel secrétaire général de l’UMP, Xavier Bertrand, pour lui parler de la question de la fin de vie en ma qualité de président de l’ADMD. Alors qu’il était ministre de la santé, j’ai beaucoup travaillé avec lui à la fin de l’année sida, grande cause nationale 2005. Mais il avait aussi accepté de me recevoir avec le président de l’ADMD de l’époque, mon ami Gérard Payen, pour évoquer les revendications de l’ADMD. Je sais que dans le contexte actuel, l’influence de M. Leonetti empêche toute évolution de l’UMP. Mais, il n’est jamais inutile et vain de défendre ses convictions surtout avec un homme d’écoute d’autant ques des parlementaires UMP comme Henriette Martinez ou Alain Fouché nous soutiennent.

  • Don du sang des gays : saisine de la Halde

    J’avais saisi la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité le 3 mai 2005 de l’interdiction faite aux gays de donner leur sang, l’estimant discriminatoire. En effet, un hétérosexuel qui aurait des conduites à risques serait écarté provisoirement et non pas définitivement comme un homosexuel.

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    Suite à cette saisine, la HALDE avait rendu une délibération le 6 février 2006 et déclarait que « la décision d’exclusion définitive du don du sang d’une personne paraît devoir être prise sur la base des risques liés à son comportement ».
    La délibération a servi de bases aux débats qui ont eu lieu entre les agences gouvernementales, la
    HALDE, les associations et le ministère de la santé. Le 10 juillet 2006, Xavier Bertrand, alors ministre de la santé, déclarait : « la contre-indication permanente actuelle visant "les hommes ayant des rapports sexuels avec d'autres hommes" ne (…) semblait pas satisfaisante, car elle stigmatisait de facto une population et non des pratiques. Elle va donc disparaître ». Roselyne Bachelot, ministre de la santé, déclarait le 27 novembre qu’elle allait « suspendre l'interdiction » pour les homosexuels de donner leur sang, une interdiction que la ministre a qualifiée de « démarche discriminatoire qui n'est pas tolérable ».
    Pour autant, il se trouve que malgré tout cela, rien n’a évolué de façon satisfaisante et le don du sang reste interdit aux homosexuels comme l’a confirmé l’Etablissement français du sang. Le ministère de la santé explique aujourd'hui qu'il a demandé une nouvelle étude pour évaluer le risque. Il devrait trancher en septembre dans le cadre d'un plan plus large sur le don du sang.
    C’est pourquoi, j’ai tenu à saisir la Halde du non-respect flagrant de votre délibération et me tiens à votre entière disposition si vous souhaitez en discuter de vive voix. Affaire à suivre… encore et toujours !

  • Don du sang toujours interdit aux gays

    646402420.jpgAlors que se tenait hier la 4ème journée mondiale contre l'homophobie, l'EFS confirme que le don du sang restera interdit aux gays malgré la2147196974.gif décision de la Halde - suite à mon recours du 3 mai 2005 - et les annonces successives des ministres Xavier Bertrand et Roselyne Bachelot. J'ai réagi à cette décision pour RTL et vous pouvez entendre le reportage de RTL sur cette affaire en cliquant ici.