Invité du JT de LCI à 12h45
Alors que se tient le procès Bonnemaison, qu’on attend la décision du Conseil d’Etat sur l’affaire Vincent Lambert, je serai l’invité de du JT de LCI à 12h45.
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Alors que se tient le procès Bonnemaison, qu’on attend la décision du Conseil d’Etat sur l’affaire Vincent Lambert, je serai l’invité de du JT de LCI à 12h45.
Durant deux jours se déroule la session du conseil régional d’Ile-de-France présidée par Jean-Paul Huchon.
A l’ordre du jour de cette session : le compte administratif 2013 présenté par Marie-Pierre de la Gontrie, une communication sur la réforme territoriale de la décentralisation, l’actualisation du plan régional en faveur de la mobilité durable, etc…
A l'occasion du 74ème anniversaire de l'appel du général de Gaulle, je déposerai une gerbe au nom du président de la région Ile-de-France aux cérémonies commémoratives organisées par la maire du 12ème ardt Catherine Baratti-Elbaz.
Ce mercredi, dès 8h40, je serai l’invité de Philippe Vandel dans « Tout et son contraire » sur France Info. Un entretien de 15 minutes sur mon parcours sera découpé tout au long de la journée avec es passages prévus à 8h40 ; 11h10 ; 14h20 ; 16h20 ; 17h25 ; 18h55; 21h25: 23h25 et enfin pour l'intégrale 0h45 et 3h15. Ces heures de diffusion ne sont pas complétement garanties.
Au cours de cet entretien j’y parle de tous mes combats : sida, égalité, droit de mourir dans la dignité, de mon parcours, de mes livres et d’amis qui me tiennent à cœur comme Valérie Trierweiler.
Vous pouvez retrouver cette émission (ici) et ne ratez pas l'intégrale à 00h45 ou 3h15...
Ce soir, au nom de l'ADMD, je recevrai de nombreux membres de notre comité d'honneur au cours d'un dîner amical.
Alors que les adversaires de l'euthanasie se mobilisent, il est important de s'appuyer sur les nombreux intellectuels et artistes qui nous soutiennent.
Mot d’accueil de Jean-Luc Romero-Michel
Président du Crips Île-de-France
90e rencontre du Crips Ile-de-France
« Réduction des risques : regards critiques et perspectives »
16 juin 2014 – Mairie du 10e arrdt de Paris
Mesdames, Messieurs, Chers amis,
Je vois beaucoup de visages connus dans l’assistance, beaucoup de visages de personnes qui, depuis longtemps, travaillent sur cette thématique de la réduction des risques et tentent de faire comprendre, faire émerger, faire appliquer une vision de santé publique, une vision de promotion de la santé publique, une vision de promotion de la citoyenneté, une vision de promotion de la dignité.
J’aurais beaucoup de monde à saluer mais permettez-moi de saluer tout particulièrement deux personnes : Martine Baudin, directrice de Première Ligne, association genevoise qu’on ne présente plus tant elle fait office de modèle dans le monde, que ce soit avec la structure Quai 9 ou avec ses autres activités. Je vais à peu près tous les ans à Genève et cela a été encore le cas en ce début d’année où Martine Baudin a eu la gentillesse de me recevoir. Alors que certains se plaisent à critiquer le modèle suisse remettant en cause tout leur système politique de démocratie directe, et ce même parmi nos anciens présidents de la République, moi je préfèrerai que l’on adopte le pragmatisme suisse et donc leur efficacité et non un idéologisme simple et populiste.
Je veux également saluer Rémi Féraud. Rémi nous avait déjà accueilli dans sa mairie en début d’année pour un atelier sur les trans’ et aujourd’hui pour cette 90e rencontre du Crips sur la réduction des risques. Vous en conviendrez, on ne peut pas dire que c’est un maire qui se planque sur les sujets sociétaux, même parmi les moins simples ! Vous le savez toutes et tous, il a porté le projet d’ouverture d’une salle de consommation à moindre risque au sein de son arrondissement et je voudrais saluer son courage : croyez-bien que le monde politique n’est pas un monde simple, je le sais bien, et tenir ses convictions sur la thématique des drogues l’est encore moins. Beaucoup parlent de grands principes, d’autres agissent concrètement. Rémi, merci de faire partie de cette seconde catégorie.
Avant de vous laisser œuvrer tout au long de cette journée, je voudrais dire quelques mots sur la thématique de la rencontre « Réduction des risques : regards critiques et perspectives ». Je ne vais pas refaire l’historique de la RdR, le fait que cette politique ait été portée par la droite comme par la gauche, chose assez rare pour être soulignée ! -, également le fait que cette politique ait été légalisée. Non, je voudrais insister sur quelques autres points :
Déjà, je veux redire cette évidence : la politique de réduction des risques répond à des besoins humains et sanitaires, notamment liés au VIH/ sida et l’hépatite C. Elle n’est, en aucun cas, une politique laxiste. Elle n’est pas née, elle n’a pas été pensée, elle n’a pas été développée pour se droguer tranquille ! Oui, c’est une évidence mais parfois, c’est bien de le redire. Et puis, si c’était si évident que cela, en 2006, 78 parlementaires n’auraient pas écrit au Premier ministre pour s’étonner des « alliances que la MILDT développait avec les associations revendiquant la légalisation des drogues, telles ASUD et Technoplus, ou bien le maintien dans une toxicomanie supposée “plus propre”, telle SOS Drogue International. ». Si c’était si évident que cela, il n’y aurait pas eu de proposition, en 2009, de classer le Subutex parmi les produits stupéfiants. Si c’était si évident que cela, la MILDT, sous Etienne Apaire, n’aurait pas porté un discours basé sur le tout répressif, discours aussi moralisateur que dangereux sur le plan sanitaire.
Ensuite, je veux redire que la politique de réduction des risques est une politique de santé mais aussi de citoyenneté. Elle est une des politiques de santé les plus efficaces qu’il soit, notamment pour ce qui concerne le VIH mais elle est aussi une politique qui permet de restaurer l’usager dans la Cité, avec un « c » majuscule. L’usager de drogues est un être multiple : parent, frère, fille, victime, acteur de sa prévention, salarié, commerçant … On pourrait continuer la liste bien longtemps sans dire le mot délinquant! Oui, l’usage de drogues ne fait pas l’identité de la personne. Je le redis : la RdR restaure la dignité de la personne et cela, ça n’a pas de prix. C’est d’ailleurs la vision que le Crips va défendre en lançant à la rentrée prochaine, avec beaucoup d’autres associations, une campgne de communication et d’information sur le sujet.
Enfin, je veux redire que la politique de réduction des risques ne se résume pas au débat sur les salles de consommation à moindre risque. Je le dis sans aucune provocation : au contraire ! J’aimerai saluer l’efficacité des associations qui ont porté ce dossier, qui l’ont sorti de la zone de confort que peut constituer la discussion entre associations et qui l’ont imposé sur la sphère publique, obligeant ce sujet à être un sujet à discuter. Merci à elles ! Vraiment. Quand je dis que la politique de réduction des risques ne se résume pas au débat sur les salles de consommation à moindre risque, je veux dire que les salles sont un outil du panel global et beaucoup d’autres choses restent à mettre en place : je pense par exemple au programme d’injection d’héroïne sous contrôle médicalisé mais pas seulement. Bien d’autres choses sont à mettre en place ou à imaginer, d’autres méthodes, d’autres outils. Je fais confiance aux associations : même si le secteur s’est professionnalisé avec les CAARUD, la capacité d’innovation est forte, je le sais !
Je vais conclure pour vous laisser œuvrer et avoir de très constructifs et passionnés débats mais avant, je voudrais simplement vous poser une question, une question que j’aime à poser, même si je sors sans doute quelque peu de mon champ de président du Crips.
Mesdames, messieurs, de celui qui s’injecte une drogue ou de celui qui refuse l’approfondissement de la politique de réduction des risques en tant que politique de santé, qui est le plus criminel des deux ? Je vous laisser juger.
Je vous remercie.
J’animerai une réunion publique de l’ADMD ce lundi 16 juin aux côtés de la déléguée de l’Yonne Michèle Skowron. Cette réunion se déroulera dès 18h30 à l’Institut supérieure de l’Yonne à Sens.
Je vous y attends nombreuses et nombreux !
Le débat de France 24 - Procès Bonnemaison en... par france24
Ce samedi 14 juin, je présiderai le conseil d’administration de l’ADMD qui se réunira à Paris.
La majeure partie de notre conseil sera consacrée aux actions de rentrée que nous comptons mettre en œuvre pour que les pouvoirs publics se décident enfin à voter une loi d’Ultime Liberté.
Pour la rentrée sont déjà prévus une grande réunion publique à Strasbourg avec des associations sœurs d’Europe, 100 pique-niques militants et un immense meeting à Paris.
Nous mettrons tout en œuvre pour nos 55 000 adhérents et les 9 Français sur 10 favorables à la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté soient enfin entendus !
Ma fin d’après-midi de ce vendredi sera consacrée à rencontrer différents acteurs culturels du 12ème arrondissement de Paris dont je suis le maire-adjoint à la culture.
C’est ainsi que je rencontrerai Rui Frati, directeur du théâtre de l’Opprimé pour lequel j’ai récemment défendu une subvention au conseil d’arrondissement, Frédéric Golbronn de l’association Videadoc, Caroline Brechet du CEHAT et enfin Christian Mrasilevici de CINAPS.
Je terminerai mon après-midi culturel par un passage au vernissage « Le Mur » à la Maison Rouge.
En ma qualité de maire-adjoint du 12ème arrondissement, ce soir, j’irai assister au spectacle d’Elizabeth Czerczuk « L’Adieu à l’automne » au théâtre Laboratoire de Paris qui se trouve rue Marsoulan dans le 12ème.
Ce théâtre, qui a été récemment rénové, a la volonté de s’ouvrir plus aux habitants de notre 12ème arrondissement et je ne pouvais que venir supporter l’équipe de ce théâtre dans sa volonté de faire accéder de nouveaux publics à un théâtre de grande qualité.
Je serai invité de BFM à 21h30 et débattrai sur I-télé à 22h30 sur la question de la fin de vie.
Je débattrai sur France 24 ce mercredi à 19h10 sur la question de la fin de vie.
Je serai l'invité de Wendy Bouchard dans Europe Midi sur Europe 1 ce mercredi à 13h15 pour évoquer la question de la fin de vie à l'hôpital.
Hier soir, en conseil d’arrondissement du 12ème, en ma qualité de maire-adjoint en charge de la culture, j’ai soumis au vote de mes collègues une subvention de 80 000€ visant à reconduire la subvention annuelle de 160 000€ pour un établissement culturel solidaire, la société coopérative d’intérêt collectif le 100 Charenton situé, comme vous le savez, dans notre arrondissement depuis l’été 2007. 80 000€ avaient déjà été adoptés lors d’un précédent conseil.
Pour mémoire, les trois associations à l’origine du 100 - le Cent, atelier en commun, le SOCLE et Matière première - ont fusionné le 8 janvier 2013 dans cette SCIC, le 100, dont le gérant est Frédéric de Beauvoir et les 3 autres associés sont les présidents des associations fondatrices du 100.
Le 100 est devenu la 1ère fabrique culturelle sur Paris, c’est un lieu de référence. Aucune pratique n’y est oubliée : art plastique, art visuel, écriture, multimédia, photographie, vidéo, spectacle vivant, etc… Plus de 1000 artistes y sont inscrits, on approcherait même les 1500.
Même si le 100 dépasse largement les frontières de notre 12ème arrondissement, cette structure culturelle est pleinement ancrée dans la vie locale notamment avec le festival 12X12 qui permet, en amont de la nuit blanche, de présenter 12 projets culturels dans 12 lieux différents de notre arrondissement. Un moment très fort de la vie culturelle du 12ème.
A l’occasion de l’ouverture du procès Bonnemaison, je serai invité du décrochage national de France Bleu ce mercredi vers 7h30. J’y parlerai bien sûr fin de vie et loi pour l’euthanasie.
L'itw c'est (ici).
Ce soir se déroule le 3ème conseil d’arrondissement du nouveau mandat sous la présidence de la maire Catherine Baratti-Elbaz.
Il se déroule à partir de 19h00 à la mairie du 12ème arrondissement et est bien sûr ouvert au public.