Débat public sur la fin de vie à Toulouse !
Ce samedi, à Toulouse, je suis l'invité de la Libre Pensée pour débattre sur la question de la fin de vie. J'espère vous retrouver nombreuses et nombreux !
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Ce samedi, à Toulouse, je suis l'invité de la Libre Pensée pour débattre sur la question de la fin de vie. J'espère vous retrouver nombreuses et nombreux !
Ce rendez-vous est désormais hebdomadaire. Tous les lundis, je vous retrouve sur Périscope à 12H00 pour évoquer les questions liées à la fin de vie. Désormais, vous pouvez me poser vos questions sur mon site www.jeanluc-romero.com !
Comme tous les lundis, vous pouvez me retrouver, en direct à 12h00, pour "Le Talk du lundi" sur la question de la fin de vie.
J'en profite pour remercier Jordan, membre de l'équipe des Jeunes ADMD, qui a diffusé, sur Périscope, samedi dernier, notre débat avec Noëlle Châtelet à "Lire à Limoges".
Ce samedi 2 avril, je suis invité au salon du livre de Limoges.
J'y dédicacerai "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?"
Avec mon amie Noëlle Châtelet, je participerai à 12h00 à un café littéraire. Je vous y attends nombreuses et nombreux.
Depuis trois semaines, je vous retouve en direct sur l'application Périscope tous les lundis pour vous parler de mon actualité liée à l'ADMD et à la question de la fin de vie.
Ce lundi de Pâques, notre rendez-vous est maintenu et je vous espère nombreuses et nombreux à 12h sur Périscope...
Ce lundi, j'ouvrirai le séminaire d'ADMD Ecoute, le service de l'ADMD qui, chaque jour, est à la disposition de nos 67 000 adhérents de 10 à 19h00.
Des bénévoles répondent à vos questions sur vos directives anticipées, la loi actuelle, l'acharnement thérapeutique, etc...
Avec Christophe Michel, j'animerai une réunion ADMD à Chambéry, en Savoie, dans une délégation qui n'a plus de délégué, ce samedi 19 mars à 14h30.
Je compte sur vous pour vous mobiliser et venir nombreux à cette réunion publique !
Ce samedi matin, je continue mon déplacement pour rencontrer les associations suisses d'aide au suicide assisté.
Ce matin, je rencontrerai avec Jacqueline Jencquel, vice présidente de l'ADMD, Madeleine Schleiss, présidente de Ex international, à Berne. Nous visiterons les locaux de cette association qui accueille des étrangers en fin de vie qui souhaitent bénéficier d'un suicide assisté. De plus en plus de Français font appel aux associations suisses.
Ce vendredi, à Genève, je rencontrerai la présidente et le vice-président de la nouvelle association d'aide au suicide assisté Liberty Life. Cette association accueille aussi des étrangers qui ne peuvent mourir comme ils le souhaitent dans leur pays...
Je rencontrerai aussi Elke Baezner, présidente de al grande association allemande, DGHS, qui est présente ce jour à Genève.
Ce mercredi, à 19H45, à l'invitation de la mairie du 2ème arrondissement de Paris et la conseillère de Paris, Véronique Levieux, j'animerai, avec Stone, déléguée ADMD du 2ème ardt, une réunion sur la fin de vie à la mairie.
Cette réunion est ouverte à toutes et à tous !
Ce samedi, je passerai la journée avec Damien et Nicolas Delmer.
Damien était jusqu'à récemment co-responsable des Jeunes de l'ADMD avec Christophe Michel. Ayant dépassé l'âge limite, il a passé la main.
Mais Damien, tout comme son frère Nicolas, sont de grands militants de notre combat. Ils sont tous les deux atteints d'une maladie incurable et ont publié, il y a quelques mois, un livre émouvant.
Je suis heureux de revoir ces jeunes militants qui tout en se battant pour al vie, refusent dès à présent, d'être obligés, un jour,n de survivre contre leur volonté.
Dans un changement éthique et sociétal aussi profond que celui induit par la légalisation de l’euthanasie et le suicide assisté, il y a trois batailles à mener : celle de l’opinion publique, celle des soignants et celle des élus :
L’ADMD et les militants pour le droit de mourir dans la dignité ont déjà remporté une bataille de façon très nette. Celle de l’opinion publique. Selon les différents sondages, entre 90 et 96% des Français sont favorables à la légalisation de l’euthanasie et le suicide assisté (ce sont ces mots que comprend l’opinion publique, et aucun autre…).
Par l’agrément obtenu initialement en 2006 pour la représentation des usagers du système de santé dans les instances hospitalières ou de santé publique, par le travail des représentants de l’ADMD, par le travail fait auprès des médecins, des infirmiers et des étudiants de ces deux professions, le corps des soignants est devenu pour la première fois, en janvier 2013, majoritairement favorable à notre revendication. Des médecins se déclarent favorables à la légalisation de l’euthanasie et/ou du suicide assisté, d’autres pratiquent des gestes ou assistent. Et il n’y a pas si longtemps, le président du Conseil national de l’Ordre des médecins que j’ai rencontré indiquait qu’à la condition qu’elle ne soit pas « médicalisée », il n’était pas opposé à l’aide active à mourir. Notre Fichier national des directives anticipées est régulièrement interrogé par des médecins pour connaître les volontés de leurs patients. Le ministère de la santé comme la HAS nous sollicitent régulièrement…
Enfin, il reste à gagner la bataille des élus. Pourtant, jamais, depuis quelques années, la question de l’aide active à mourir n’a été autant débattue à l’Assemblée nationale et au Sénat : plusieurs propositions de loi ont suivi un beau parcours législatif. En 2009, une proposition de loi presque parfaite était discutée en séance publique à l’Assemblée nationale. Pour la première fois, dans un programme présidentiel, cette question y figurait puis a occupé plusieurs années d’un quinquennat inachevé. Certes, ce processus n’a pas abouti – pas encore – de la façon que nous souhaitions.
Notre association est arrivée à un point qu’elle n’a jamais atteint, tant en terme de notoriété que de puissance médiatique, financière et militante.
Nous devons continuer à agir et rester mobilisés, même si la déception existe…