Santé - Page 32
-
-
Beaucoup de témoignages émouvants à La Réunion !
Malgré la situation sanitaire et dans le respect des règles, heureux d’avoir pu animer une réunion sur la fin de vie à La Réunion !Beaucoup de témoignages émouvants : comment comprendre que Emmanuel Macron puisse rester si insensible aux conditions de fin de vie en France ? -
Euthanasie, sida, Hidalgo... Mes réponses - Antenne Réunion
-
Il faut une loi d’Ultime Liberté maintenant : 30 ans de tergiversations ca suffit !
Sur Réunion 1ere, je viens de rappeler qu’une commission citoyenne sur la fin de vie est un moyen d’empêcher les 300 députes de voter une nouvelle loi.Non aux manœuvres politiques ! -
Réunion publique ADMD à La Réunion à 16h00
-
Je serai l'invité de Réunion 1ere Tele à 06h45.
Tous les sondages indiquent de manière concordante que les Français sont presque unanimement en faveur d’une loi de légalisation de l’aide active à mourir. #FindeVie -
Rencontre avec le député Ratenon à Saint-Denis-De-La-Réunion
Rencontre avec le Député Ratenon à Saint-Denis-De-La-Réunion : discussion sur l’urgence d’avoir une loi d’Ultime Liberté.Ensemble, nous condamnons la nouvelle commission citoyenne sur la fin de vie du gouvernement.15 rapports en 10 ans, ca suffit ! -
Réunion 1ère - Légalisation de l'euthanasie...
-
Table ronde ce jeudi des Elus Contre le Sida à La Réunion
Le VIH/sida est toujours là mais qui en parle ?J'animerai une table ronde ce jeudi des Elus Contre le Sida à La Réunion en présence de la Maire de Saint-Denis-de-la-Réunion madame Bareigts et des associations locales. -
Sur Antenne Réunion à 19h
-
Sur Réunion Première : la légalisation de l’euthanasie, c’est une loi de liberté.
Sur Réunion Première, j’ai pu rappeler que demander la légalisation de l’euthanasie, c’est voter une loi qui permettre - si on le souhaite ! - d’abréger des souffrances inutiles. C’est une loi de liberté. -
Retrouvons-nous pour #LeTalkDuLundi à 13h00 sur Twitter, Instagram et Facebook !
-
Message à l’occasion de l’assemblée générale de la Fédération Française de Crémation
Madame la Présidente, Chers amis,
Cette année encore, la situation sanitaire exceptionnelle ne nous permet pas de nous retrouver. C’est un regret, tant le contact humain est un élément essentiel de la vie. La vie qui n’en est plus tout à fait une quand on n’est plus en capacité de se toucher, de se sentir, de se voir... Espérons que l’année prochaine, les choses se seront améliorées.
Chaque jour qui passe montre les limites et les insuffisances de la loi actuelle sur la fin de vie, la loi Claeys-Leonetti de 2016. Les drames qui nous sont rapportés quotidiennement, et aussi par la presse, nous rappellent que cette loi est avant tout une loi dogmatique, qui répond à la demande précise de ceux que je qualifie de voleurs de liberté, bien plus qu’à la volonté de prendre en charge les souffrances et les douleurs de fin de vie des Françaises et des Français, et, plus encore, à la volonté de respecter la démocratie sanitaire, pourtant inscrite dans la loi depuis 1999.
En quelques mots, je rappelle ici ce que propose la loi de 2016 en matière de fin de vie… Une personne malade, dès lors que son pronostic vital est engagé à court terme (c’est-à-dire que les médecins attendent sa mort dans les toutes prochaines heures, voire les tout prochains jours) peut demander à bénéficier d’une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès, c’est-à-dire la mise dans un état d’inconscience, la dénutrition totale et la déshydratation partielle, avec arrêt de toute assistance. La mort intervient alors, en général, du fait d’une insuffisance rénale sévère. Tout cela implique que le patient ne peut obtenir l’aide à mourir proposée par la loi de 2016 qu’une fois qu’il en entré dans la phase agonique. Pourquoi imposer la souffrance avant la délivrance à celles et ceux qui voudraient être délivrés avant que les douleurs et la déchéance physique et intellectuelle exercent sur eux une perte de repère, une perte de valeurs, une perte de dignité ? Dans les pays de liberté comme les Pays-Bas, la Belgique, la Suisse et bien d’autres encore, une personne atteinte d’une pathologie grave et incurable, dès lors qu’elle est arrivée à un stade avancé de la maladie, peut demander à bénéficier d’une aide active à mourir avant que les souffrances ne deviennent par trop insupportables. Une porte de sortie dans un tunnel qui se fait trop sombre. C’est ce que nous demandons depuis plus de quarante ans.
Sans entrer dans les autres détails de la réalité de la loi française sur la fin de vie, je vous dirai aussi qu’elle n’offre aucun secours, aucune solidarité, aucune fraternité aux patients atteints d’une maladie neurodégénérative (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques…) puisque les souffrances, physiques et psychiques, intolérables, se font ressentir bien avant d’être entré dans le stade final de la maladie. Et c’est ainsi qu’Anne Bert ou Alain Cocq ont dû s’exiler – elle en Belgique, lui en Suisse – pour trouver enfin la paix et l’apaisement de leurs souffrances, et pour mourir dans le respect de leur volonté.
Nous rencontrons sur le chemin de notre liberté en fin de vie les mêmes individus que vous rencontrez vous-mêmes dans votre propre combat. Je parle de celles et ceux qui prétendent nous dicter notre conduite, nous imposer leur propre vision du monde ; celles et ceux qui prétendent définir le bien et le mal, à l’aune de leurs croyances ou de leur aveuglement. Une prétention intolérable, s’agissant – pour la Fédération Française de Crémation comme pour l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité – de combats qui prennent place à la toute fin de notre vie et qui a quelque chose à voir avec l’image que nous avons de nous-mêmes et que nous souhaitons laisser aux autres ; qui a quelque chose à voir, bien sûr, avec ce que nous partageons de plus profond, vous comme nous, je veux dire la laïcité.
Vous comme nous réclamons le droit à l’autodétermination. Car qui mieux que nous sait ce qui est préférable pour nous-mêmes ?
Vous comme nous réclamons le droit de douter. Et puisque nous ne savons pas toujours, avant l’échéance, ce que nous voudrons, il nous semble indispensable d’ouvrir le champ des possibles.Vous comme nous réclamons le droit de ne croire en rien d’autre que dans la vie et dans les faits. Comme notre corps nous appartient, notre mort nous appartient…
Je vous adresse les amitiés sincères des membres du conseil d’administration de l’ADMD. -
Essai clinique pour son vaccin ARNm contre le VIH dès aujourd’hui !
La recherche mondiale face à la pandémie de COVID a permis à Moderna de démarrer un essai clinique pour son vaccin ARNm contre le VIH dès aujourd’hui !Une potentielle prouesse scientifique à suivre de près qui, je l’espère, après tant d’annonces, sera enfin la bonne. #AIDS -
L’Italie pourrait avoir un référendum sur l’euthanasie ! Et nous Emmanuel Macron ???
L’Italie pourrait avoir un référendum sur l’euthanasie !Pendant ce temps-là, en France, Geoffrey s’est exilé en Belgique pour mourir !Et Emmanuel Macron n’a toujours pas répondu aux 300 députés qui demandent de reprendre le débat sur la proposition de loi Fin de vie libre d’Olivier Falorni ! -
Pensées pour Geoffrey...
Pensées pour Geoffrey, qui part aujourd’hui en Belgique pour être libéré de ses souffrances !Il n’a eu d’autre choix que de fuir à l’étranger ! Encore un… -
Al’Warnet dans Garçon Magazine : « Plus Vivant Que Jamais, un récit d’une grande beauté. »
Al’Warnet : « Plus Vivant Que Jamais, un livre résilience sur l’être tant aimé… Un récit d’une grande beauté. »Retrouvez toute cette critique de #PlusVivantQueJamais dans Garcon Magazine en kiosque depuis le 2 août ou en vous abonnant à garcon-magazine.com.Lien permanent Catégories : Adjoint à la maire de Paris, Chemsex, Christophe Michel-Romero, Conseil de Paris, Coup de coeur, Disparitions, Disparitions et hommage, Homosexualité et homophobie, Livre Plus Vivant Que Jamais !, Ma Vie Sans Chris, Medias, Mes Livres, Politique française, Santé 0 commentaire -
1ère euthanasie en Espagne depuis la mise en vigueur de la loi.
La 1ère euthanasie en Espagne a été faite depuis la mise en vigueur de la loi.En France, on n’a toujours pas droit à un geste d’amour.Emmanuel Macron que faites-vous pour soulager les souffrances des personnes en fin de vie ???« No es fácil morir así, pero ella ya no estaba en esta vida y no quería estar » -
« Je veux avoir le droit d’éteindre la lumière. Le droit de dire : STOP. - Urbania
-
Adhérents de l’ADMD, votez pour Jonathan Denis et son équipe…
Merci encore aux Jeunes Admd pour cet Admd Tour 2021.Je pense à Chris qui l’a créé et qui serait si fier, comme il serait heureux de me voir soutenir Jonathan Denis à la présidence de l’ADMD-FRANCE !Jonathan sera un grand président pour notre lutte et je serai à ses côtés dans sa team !Adhérents de l’ADMD, votez pour lui et son équipe…