Réunion publique ADMD à Toulouse à 14h00
J’animerai ma troisième réunion publique ADMD dans le Sud-Ouest en une semaine ce samedi à 18h00 à Toulouse.
Je compte sur votre mobilisation !
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J’animerai ma troisième réunion publique ADMD dans le Sud-Ouest en une semaine ce samedi à 18h00 à Toulouse.
Je compte sur votre mobilisation !
Ce samedi matin, j’animerai la réunion régionale des délégués ADMD du Sud-Ouest. Quelques jours après l’affaire Jean Mercier et avant le débat à l’Assemblée du 5 octobre sur la fin de vie, il s’agit d’organiser au mieux notre mobilisation pour une loi d’Ultime Liberté.
Je continue ma mobilisation pour l’ADMD dans le Sud-Ouest.
Après Agen, vendredi dernier, je suis ce vendredi à Auch à 18h00 à l’université.
Cette réunion ouverte à tous sera suivie d’une dédicace de « Ma mort m’appartient. »
Je vous attends nombreuses et nombreux.
Ce jeudi, j’animerai une réunion ADMD à la maison des associations du 12ème arrondissement de Paris à 18h00.
Cette réunion est ouverte à tous.
Ce jeudi, se déroule la dernière session du conseil régional d’Ile-de-France présidée par Jean-Paul Huchon.
Cette session aura une valeur émotionnelle importante car Jean-Paul Huchon, après avoir présidé depuis 1998 la région, ne se représente plus.
Il laisse un bilan excellent et termine en beauté avec la mise en œuvre du Passe Navigo à 70 € pour toute la région. Une grande mesure de justice sociale.
Je veux lui dire toute ma reconnaissance pour ce qu’il a fait. Nous, Franciliens, lui devons beaucoup…
Ce mardi, à 13h30, s'ouvre le procès de Jean Mercier à Saint Etienne.
Jean Mercier, 86 ans, atteint de la maladie de Parkinson, est en effet jugé pour avoir aidé sa femme très malade à mourir.
Ce matin, avec Mickaël Boulay, son avocat, Henri Duchez, déélgué ADMD et bien sûr Jean Mercier, nous organisons une conférence de presse.
A 13h30, toutes celels et tous ceux qui sont scandalisés de voir ce vieux monsieur traîné devant les tribunaux pour avoir simplement aidé son épouse et à sa demande expresse peuvent nous rejoindre à 13h00 sur les marches du Palais de Justice pour dire notre soutien à Jean Mercier alors que son procès s'ouvrira à 13h30...
Mobilisez-vous !
Ce lundi 21 septembre 2015, à 18h30, je participerai à une réunion publique de l'ADMD à l'amphithéâtre de l'Université Jean Monnet à Saint Etienne pour soutenir Jean Mercier, 86 ans, poursuivi pour avoir aidé sa femme à mourir et qui sera jugé demain.
Chers amis,
Il ne m’est pas possible de débuter cette intervention sans renouveler mes remerciements au maire d’Annecy, Jean-Luc Rigaut, et à l’équipe municipale, dont sa directrice de cabinet Anne-Marie Aubry, pour l’accueil qu’ils nous ont réservé, ce samedi. Certes, l’éloignement de Paris a généré quelques petites difficultés d’organisation, mais qui ont été largement compensées par le soutien logistique qui nous a été offert. Tout comme par la beauté de la ville dans laquelle nous avons, durant quelques heures, le privilège de séjourner.
Merci aux adhérents pour ces 97% de voix pour mon rapport moral. Cela me touche et m'oblige.
Nos amis suisses nous ont donc présenté la situation qui existe dans leur Confédération. Quel contraste avec notre pays dans lequel le débat parlementaire sur la fin de vie piétine. Quel contraste avec cette liberté que nos voisins helvètes ont le droit d’exercer – ou pas – et cette obligation qui nous est faite en France, ici, à seulement quelques kilomètres de la frontière, d’abdiquer nos droits de citoyen libre et responsable pour nous mettre entre les mains de personnes – quelles que fussent leurs compétences et leur humanité – qui décideront à notre place. Pourquoi ? Parce qu’une personne âgée, une personne qui souffre, une personne en fin de vie ne serait plus capable de raisonner et de décider ? Quel est ce nouveau paternalisme…
Merci donc à nos amis suisses, non seulement d’avoir fait le déplacement jusqu’à Annecy, mais aussi de nous donner un espoir.
Car non seulement la Suisse peut être la solution pour ceux d’entre nous qui n’arriveraient pas à être entendus et respectés dans notre pays – sans excès évidemment, car il ne s’agit pas de provoquer l’exode massif de tous les Français soucieux de trouver une mort apaisée – mais la Suisse est également la preuve qu’un pays rigoureux, démocratique, moderne, paisible et pacifique peut trouver des solutions respectables et acceptées qui permettent à chacun d’exercer librement un choix de fin de vie lorsque la vie n’est plus que de la survie.
En France, vous l’avez noté, le débat s’enlise. Depuis l’élection de François Hollande et son engagement 21 sur le droit de mourir dans la dignité, rien n’avance. Je ne vais pas une nouvelle fois vous faire la liste des missions, réunions, avis consultatifs, avis citoyens, commissions… qui ont été sollicités depuis 3 ans. Je vous rappellerai seulement que lorsque les Français ont été interrogés par le Comité consultatif national d’éthique dans le cadre du Jury Citoyen, ils sont allés très loin puisqu’ils réclamaient la légalisation d’une aide active à mourir pour tous ceux qui en font la demande ou en aurait fait la demande, qu’ils soient aujourd’hui conscients ou inconscients, et une exception d’euthanasie pour ceux qui, inconscients, n’auraient rien dit, comme c’est le cas de Vincent Lambert.
Je m’arrête une seconde sur le cas de Vincent Lambert. Comment comprendre que la proposition de loi Leonetti n’ait même pas essayé de régler pour l’avenir le problème de celui ou de celle qui est en fin de vie et qui n’a pas rédigé de directives anticipées, alors même que Vincent Lambert vit, avec son épouse et ceux qui l’aiment, un véritable calvaire ? Quelle surdité : Quel aveuglement !
Cela aurait pourtant été simple… Dans la loi belge, tout a été prévu. Si aucun représentant légal n’a été désigné, la loi prévoit une série de représentation en cascade. D’abord le partenaire de vie. Puis l’enfant majeur. Puis les parents… Tout le monde est hiérarchisé, ce qui évite les incertitudes et les disputes.
Et bien malgré la médiatisation de l’affaire Lambert, aucun amendement ne tente de résoudre pour l’avenir ce terrible problème qui est au cœur de la tragédie de Vincent Lambert.
Pour aller plus loin, revenons à l’avis du Jury citoyen qui est conforme à ce que toutes les enquêtes d’opinion sur le sujet révèlent depuis 30 ans : les Français plébiscitent la légalisation de l’euthanasie.
Alors que se passe-t-il ? Pourquoi rien n’avance ? Vous le savez déjà. D’une part le président de la République comme le Gouvernement – pourtant très favorables à la revendication de l’ADMD – ne font pas de cette question une priorité de ce mandat. Ensuite, le lobbying des milieux intégristes catholiques, le poids des religions sur les décisions publiques, l’influence néfaste des mandarins qui refusent d’abdiquer la moindre parcelle de pouvoir en rendant leur voix aux patients, bloquent toute avancée et s’en remettent au jugement partial et conservateur du spécialiste autoproclamé sur la fin de vie, le bon docteur Jean Leonetti, qui, n’exerçant plus la médecine depuis des années et n’étant ni malade ni en fin de vie, ne délivre qu’une opinion politicienne, partisane et liberticide sur ce sujet, en contradiction avec ce que demandent presque unanimement les Français.
Et pourtant, de plateaux de télé et auditions, du Parlement aux nombreux forums de bioéthique, il débite mensonges, contre-vérités et fantasmes sur ce qui se passe dans les pays du Benelux ou en Suisse, assurant son auditoire des pires dérives dans ces pays qui provoqueraient un exode massif de déambulateurs sur les routes européennes pour trouver refuge, peut-être au Vatican ou en Pologne, et d’un retour à la peine de mort et à l’eugénisme dans notre pays si jamais ont acceptait que le patient puisse prendre enfin en charge sa propre fin de vie.
Et c’est ainsi que notre débat parlementaire, débuté au printemps dernier à l’Assemblée nationale puis poursuivi au Sénat, pris entre le statu quo proposé par Jean Leonetti et Alain Claeys et le retour en arrière, c’est à dire l’acharnement thérapeutique proposé par quelques vieux barbons UMP du Palais du Luxembourg, n’a débouché sur rien et qu’il faudra attendre une seconde lecture – le 5 octobre, un lundi, jours où les députés sont peu présents à Paris... – pour savoir si oui ou non nous pourrons un jour jouir de notre ultime liberté.
Alors il faudra continuer à nous battre auprès de nos parlementaires. Il faudra continuer à militer, à écrire, à râler, à manifester, à aider nos proches et nos adhérents qui se trouvent dans des impasses de fin de vie et leur accorder ce soutien qu’ils sont légitimement en droit de recevoir de notre part.
L’année prochaine, dans la perspective des élections présidentielles et législatives, il faudra alors définir une nouvelle stratégie pour notre association, tout en conservant en mémoire que dans notre République parlementaire, c’est le Parlement qui fait les lois et que l’Assemblée comme le Sénat sont des points de passages obligés pour toute réforme sociétale. Et en se rappelant également que nos adhérents ne sont pas des révolutionnaires prêts à renverser les tables et que nous n’avons toujours pas trouvé nos « 343 salopes ». Autre temps, autres mœurs…
Il nous faudra rester unis et soudés. Bien sûr, je comprends que certains, anticipant l’échec de notre stratégie, s’inquiètent et s’interrogent. Je sais que les plus en difficultés d’entre nous se demandent s’ils pourront bénéficier, sans avoir besoin de faire appel à la Suisse ou à la Belgique ou dans un geste clandestin, d’une mort douce, apaisée et préparée. Evidemment, je perçois les aigris au-delà de notre association et les ennemis de notre revendication d’une loi de liberté qui surfent sur quelques mouvements d’humeur pour gagner une mesquine notoriété. Mais ce n’est pas au milieu du gué qu’il faut changer de direction. Et le jour où nous changerons de cap, forcément après le vote définitif du texte actuellement en discussion, celui-ci sera proposé par le conseil d’administration à l’ensemble de nos adhérents. Nous avons la chance d’être dans une association qui vote au moins une fois par an. Sous contrôle d’un huissier de justice. Il faut laisser la voix à la démocratie. Et quoi de plus démocratique que l’élection ?
A ceux qui s’interrogent sur l’avenir de notre association je rappellerai combien elle n’a jamais été aussi forte, aussi puissante qu’aujourd’hui avec nos près de 65.000 adhérents. Je rappellerai aussi combien elle est entendue, reçue et respectée comme jamais. Je rappellerai la mobilisation de nos responsables, administrateurs, délégués et délégués adjoints, bénévoles d’ADMD-Ecoute, salariés pour que les choses évoluent dans le sens que nous souhaitons.
A vous tous, je promets que nous arriverons à faire entendre notre voix, la justesse de nos arguments et la légitimité de notre revendication.
Entre temps, comme nous l’avons toujours fait, nous continuerons d’aider celles et ceux qui connaissent des fins de vie difficiles, dans le respect de chacun et de manière généreuse.
Je compte sur vous. Ensemble, nous allons gagner notre Ultime Liberté ! Et nous redonnerons vie à la dignité!
Je vous remercie.
Jean-Luc Romero
Président de l’ADMD
Ce vendredi 18 septembre 2015, à 18h30, j’animerai une réunion publique de l’ADMD à Cap Cinéma à 18h30 à Agen.
A quelques jours du procès de Jean Mercier et de la nouvelle discussion sur la fin de vie à l’Assemblée nationale, il s’agira, une fois de plus, de mobiliser nos militants pour qu’ils interpellent les députés afin qu’ils votent enfin une loi d’Ultime Liberté attendue par une très grande majorité de Français.
A la fin de la réunion, je dédicacerai « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
Je vous attends nombreuses et nombreux à cette réunion !
Aujourd’hui, les autotests sont enfin lancés, sa sortie a été retardée par quelques problèmes administratifs qui ont heureusement été solutionnés. Je dis heureusement car avec plus de 6.000 découvertes de séropositivité toujours constatées chaque année en France dont 25% d’entre elles sont qualifiées de tardives et 20% des porteurs du virus qui ignorent leur séropositivité, renforcer et diversifier l’offre de dépistage au VIH est une priorité avec comme buts avoués d’en augmenter la précocité et la fréquence.
Le dépistage est en effet au cœur de la réponse au VIH/sida car il comporte un double bénéfice : individuel et collectif. Individuel dans ce sens où il constitue la porte d’entrée vers la prise de traitement en cas de résultat positif et, on ne le sait que trop bien, un diagnostic tardif est cause de pertes de chances pour la santé des personnes touchées. Collectif, d’une part, car tout retard au dépistage maintient une épidémie « cachée » favorisant ainsi une transmission secondaire, et d’autre part, car le traitement antirétroviral diminue la charge virale et réduit de ce fait le risque que la personne séropositive transmette le VIH par voie sexuelle. Concrètement, cet autotest constitue et constituera un élément d’autonomisation de la personne et sera un outil important à destination de celles et ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas avoir recours au dépistage gratuit via CDAG (futur CEGIDD) ou les associations.
Pour autant, il s’agit d’être prudent quant à la portée de ces autotests : ils constituent un outil important certes, mais seulement un outil. Ils ne sont en rien une fin en soi, ni une unique solution. Rappelons qu’ils s’intègrent dans une politique cohérente de renforcement du dépistage, illustrée notamment par la montée en puissance des tests rapides d’orientation diagnostique (TROD) et la réforme CDAG-CIDDIST actant la naissance des CEGIDD.
Comme de nombreux acteurs de la lutte, j’ai de réelles inquiétudes quant au coût unitaire de cet outil qui pourrait sans aucun doute constituer un frein important, non pas à son appropriation, mais tout simplement à son accessibilité. Il coûte tout de même 28 euros ! Honnêtement, on en sera tous d’accord : c’est cher. Trop sans doute pour que sa diffusion soit la plus efficace possible et produise les effets attendus et espérés ! 28 euros, c’est trop ! Je comprends bien sûr les impératifs économiques et commerciaux mais il faudra de manière impérative arriver à faire baisser le prix unitaire de l’autotest pour en assurer le succès. Voir également penser au remboursement de cet autotest ou appliquer un tarif social ou même une gratuité pour les personnes précaires par exemple. Le principe doit être affirmé : le manque de ressources financières ne doit pas constituer un obstacle à la bonne diffusion de cet outil de prévention. Egalement et de manière complémentaire il sera nécessaire que le rôle des associations soit renforcé et puisse bénéficier d’un stock d’autotests gratuits.
Plus globalement, le consensus est clairement établi depuis plusieurs années quant à l’impérieuse nécessité de penser et d’organier la prévention en combinant efficacement l’ensemble des approches comportementales, biomédicales et structurelles. Le renforcement de l’offre de dépistage via les autotests s’inscrit dans cette politique, mais il faut aller au-delà : nous attendons, comme l’ensemble des acteurs de la lutte contre le sida, l’autorisation de la politique de délivrance de la PrEP (prophylaxie pré-exposition), c’est-à-dire la prise de médicament anti-VIH par des séronégatifs dans un but préventif.
Dépistage régulier, mise sous traitement immédiate en cas de séropositivité, PrEP, la science le dit, la science le prouve, ce sont les éléments permettant, d’une part de « coller » au mieux avec les réalités de vies des personnes et à leurs envies et possibilités, d’autre part, de lutter le plus sérieusement possible contre le VIH.
Tout ceci ne produira son efficacité pleine et entière à la seule condition qu’un travail structurel sur notre société soit réellement entamé quant à la « dicibilité » de cette maladie, quant aux discriminations qui touchent de plein fouet les personnes séropositives, contre l’isolement terrible qui en est bien souvent la conséquence. Concrètement, cela ne pourra passer que par l’éducation, l’information, la communication. Mais surtout, et cela vaut pour l’ensemble des mesures qui viennent d’être citées : cela passera par une prise de conscience du politique, une prise de conscience de l’urgence à aller plus vite, à innover, à défendre, à être courageux. Car, oui, la frilosité politique tue et il n’est là nullement question de division partisane mais d’engagement dans un combat pour la vie.
Le défi est ambitieux mais, aujourd’hui, nous connaissons le comment. Nous connaissons la feuille de route qui pourrait voir concrétiser une fabuleuse utopie devenue aujourd’hui une réalité à portée de main : la fin du sida.
Ce lundi, je présiderai le bureau national d'ELCS qui sera notamment consacré aux XXèmes Etats Généraux d'ELCS qui se dérouleront en novembre prochain.
Je voudrai remercier tout particulièrement les milliers adhérents de l’ADMD qui ont voté à près de 97% mon rapport moral 2014, faisant de ce rapport celui qui a obtenu le meilleur pourcentage.
Cela m’oblige encore plus à me mobiliser pour obtenir une loi d’Ultime Liberté et vous pouvez vraiment compter sur moi.
Par ailleurs, plus de 93% des votants ont adopté la réforme de statuts de notre association et je m’en réjouis. Il nous appartient désormais à tous de respecter ces votes qui ont permis à des milliers d’adhérents de s’exprimer et tout cela sous le contrôle d’un huissier.
Après l’AG de l’ADMD, se déroule une réunion publique cet après-midi à Annecy.
A cette réunion, interviendront de nombreux représentants des associations suisses mais aussi le député Jean-Louis Touraine à l’origine d’un amendement sur la légalisation de l’euthanasie.
Vous êtes attendus nombreuses et nombreux !
Ce samedi matin se déroule l’AG de l’ADMD.
Il s’agit d’y faire les rapports traditionnels mais aussi de voter une réforme des statuts.
Durant tout l’été, nous adhérents ont pu voter par correspondance et le vote a été contrôlé par huissier.
A l’occasion de l’Assemblée générale de l’ADMD qui se déroule ce 12 septembre, le maire d’Annecy invitera ce soir les délégués de l’ADMD à une petite cérémonie d’accueil.
La réception sera suivie d’un dîner des délégués organisé par l’ADMD.
A la veille de l’Assemblée Générale de l’ADMD qui se déroule cette année à Annecy, je présiderai le conseil d’administration de l’ADMD.
Il s’agira notamment de préparer la journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité.
Ce vendredi, à l'occasion de l'Assemblée générale de l'ADMD, qui se déroulera à Annecy, je serai l'invité de la rédaction de France Bleu Pays de Savoie ce vendredi 11 septembre à 7h50.
Ce jeudi, à 18h, Claude Bartolone, candidat à la présidence de la région Ile-de-France inaugurera son local de campagne à 18h en compagnie d’Anne Hidalgo et du président sortant, Jean-Paul Huchon.
Situé dans le 14ème arrondissement, ce local permettra aux équipes de travailler dans de bonnes conditions.
La présence de Jean-Paul Huchon est un beau signe de transmission. Jean-Paul laisse une région forte et modernisée. Il s’agit aussi de lui rendre hommage pour le travail accompli.