Le 31 octobre, à l’occasion de la Journée de visibilité trans, Ada et Ash, personnes transgenres réfugiées de Russie, ont été agressé•es pour avoir porté le drapeau trans.

Après avoir fui un régime homophobe et transphobe, il est intolérable qu’iels soient à nouveau confronté·es à de telles violences en France.

La Ville de Paris condamne fermement ces actes discriminatoires et réaffirme son soutien aux victimes. Paris reste aux côtés des personnes transgenres.

Ce vendredi marquait le 36ᵉ anniversaire de Gedhun Choekyi Nyima, le 11ᵉ Panchen Lama du Tibet.

À cette occasion, les membres du Parlement européen ont réaffirmé leur soutien indéfectible à sa libération et ont exigé que le gouvernement chinois révèle immédiatement où il se trouve. Sa disparition reste le symbole de la répression brutale exercée par la Chine contre la culture, la religion et l'identité tibétaines depuis tant d'années.

Au nom des droits humains, Paris est et restera aux côtés du peuple tibétain.

En soutien à l’Union des Ukrainiens de France, nous avons voté la mise à disposition de matériel pour leurs mobilisations.

Depuis 2022, Paris agit : accueil des réfugié·es, soutien aux associations, aide sur le terrain.

Face à la guerre d’agression menée par l’autocrate Poutine, notre solidarité est totale.

Paris n’oublie pas. Paris résiste.

L’islamophobie tue.

A La Grand-Combe, le jeune Aboubakar a été assassiné dans la mosquée, où il priait.

Pensées pour ce jeune homme qui n’était qu’au début de sa vie et pour ses proches effondrés par un tel drame.

Une vie volée par la haine…

Aujourd’hui, à 18h, que ce soit dans les manifestations organisées en France ou chez soi, faisons une minute de silence en hommage à Aboubakar et à toutes les victimes de l’islamophobie !

À l’occasion de la journée de visibilité lesbienne du 26 avril, la Ville de Paris célèbre la richesse et la diversité des cultures lesbiennes à travers une Semaine des visibilités lesbiennes, en partenariat avec de nombreuses associations engagées.

Cette semaine est l’occasion de rendre hommage à celles qui, trop souvent invisibilisées, se battent contre de multiples discriminations dont la lesbophobie et le sexisme.

Il y a 12 ans, l’Assemblée nationale votait l’ouverture du mariage à toutes et tous.

Une avancée historique, fruit de décennies de luttes menées par les militant·es, les associations et par toute une société civile déterminée à faire triompher l’égalité. Nous y étions.

Aujourd’hui plus que jamais, alors que les personnes LGBTQIA+, et en particulier les personnes trans, voient leurs droits attaqués de toutes parts, notamment aux États-Unis et en Europe, nous devons rester vigilant·es et mobilisé·es. Ces offensives sont inacceptables. Nous ne céderons rien.

À Paris, ville des droits humains et ville refuge, nous portons fièrement ces combats. Une ville rempart, qui protège les plus vulnérables, qui soutient les associations et qui agit au quotidien, notamment autour des 16 et 17 mai. Une ville qui a ces valeurs dans son histoire, dans son empreinte.

Paris ne cédera pas face à la haine. Parce que l’égalité, la dignité et l’amour ne se négocient jamais.

L’amour reste plus fort que tout.

Je me joins à toutes celles et tous ceux qui refusent l’injustice faite à Pınar Selek, sociologue, écrivaine et militante franco-turque, persécutée depuis plus de 25 ans par un système judiciaire arbitraire.

Le 25 avril 2025, une nouvelle audience aura lieu à Istanbul dans ce cinquième procès absurde, basé sur un dossier vide. Pınar risque la perpétuité pour un crime… qui n’a jamais existé.

Notre présence compte, à Istanbul comme en France. Elle dissuade, elle protège, elle montre que Pınar n’est pas seule. Pour dire non à la criminalisation des intellectuelles, des féministes et des dissidentes. »

Thérapies de conversion : agir, encore et toujours.

Interdites depuis 2022, ces pratiques barbares persistent. À Paris, nous ne fermons pas les yeux. Aux côtés des associations, la Ville renforce les dispositifs d’accueil, de soutien et de protection des victimes.

C’est un combat pour la dignité. Pour la liberté d’être soi.

Cette semaine, le Conseil de Paris a voté une aide d’urgence de 50 000 € pour soutenir la population birmane.

La Birmanie s’enfonce dans la répression. Le séisme du 28 mars a aggravé la crise : 20 millions de personnes ont besoin d’aide, 3,5 millions sont déplacées.

Depuis le coup d’État militaire de 2021, au nom de la Maire de Paris, je n’ai cessé d’alerter sur Birmanie et je regrette qu’il ait fallu un tremblement de terre pour qu’on s’intéresse enfin aux souffrances du peuple birman.

Paris appelle aussi l’État français à sortir de son silence, à agir pour l’aide humanitaire et à accueillir dignement les réfugié-es.

À l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les LGBTQIA+phobies, je vous donne rendez-vous les 16 et 17 mai 2025 pour deux journées fortes à Paris : mobilisation, mémoire et fête au cœur de notre capitale.

Sous l’impulsion de la Maire de Paris, @annehidalgo, nous réaffirmons notre engagement sans faille pour les droits des personnes LGBTQIA+.

 

Au programme :

Conférence internationale « Défendre les droits LGBTQIA+ en 2025 : comprendre et résister face aux régressions internationales », à l’Hôtel de Ville.

8ème Prix international pour les droits LGBTQIA+ : et remise de trois prix : international, francophone et français, à l’Hôtel de Ville.

Bal de l’Amour pour la 3e édition, Place de la Bastille.

Hommages à Jean Diot et Bruno Lenoir, derniers

condamnés à mort pour homosexualité, rue Montorgueil.

Inauguration du premier Mémorial en France aux victimes LGBT de la déportation et des persécutions à travers l’histoire, aux côtés d’Anne Hidalgo et de Laurence Patrice, Jardin du Port de l’Arsenal.

Deux jours pour rappeler haut et fort que Paris sera toujours une ville de liberté, d’égalité et de fierté.

Tout mon soutien à l’association AIDES, actuellement la cible d’un acharnement médiatique et politique en raison de son engagement en faveur des usagers de drogues.

Depuis octobre, l’association a ouvert un nouveau centre d’accueil dédié à ces publics, et je tiens à saluer cette initiative essentielle. Ces lieux sont indispensables pour assurer une réduction des risques efficace et offrir un accompagnement individualisé aux personnes concernées. Le fermer ne ferait que remettre à la rue des personnes qui ont besoin d’accompagnement et cela n’apaiserait pas le quartier.

Cet acharnement doit cesser. #Paris est aux côtés de ces associations qui mènent, au quotidien, un travail remarquable auprès de populations souvent marginalisées et vulnérabilisées.

Honoré d’avoir présenté au Conseil de Paris des subventions à hauteur de 166 500 € en soutien à 32 associations engagées dans la lutte contre les discriminations, et d’avoir soutenu un vœu contre toutes les formes de racisme et d’antisémitisme.

Alors que l’intolérance progresse dans de nombreuses régions du monde, Paris doit plus que jamais affirmer son rôle de rempart face à la haine et à l’exclusion.

Soutenir ces projets, c’est défendre l’accès aux droits fondamentaux pour toutes et tous, accompagner les personnes en situation de vulnérabilité, et interroger collectivement nos pratiques pour construire une société plus juste et inclusive.

Antonina Kravtsova, Sergueï Kareline, Konstantin Gabov, Artiom Krieger.

Condamné-es en Russie pour avoir exercé leur métier de journaliste, pour avoir documenté la vérité. Aux côtés d’Alexeï Navalny, ils ont refusé de se taire.

Désormais, il n’existe plus de médias indépendants en Russie. Ils sont tous basés à l’étranger.

Plus de presse indépendante, plus d’opposant-es, plus d’associations de droits humains ni d’associations LGBTQiA+, Poutine a désormais tous les pouvoirs.

Pensées pour les Russes qui essaient de résister et les organisations @Rus_Lib ou encore @france_memorial

Au Conseil de Paris, j’ai réaffirmé l’engagement indéfectible de Paris en faveur des droits humains et des droits LGBTQIA+ à l’échelle mondiale.

Les dérives politiques observées outre-Atlantique constituent des atteintes graves aux libertés fondamentales, en particulier à l’égard des personnes LGBTQIA+, notamment les personnes transgenres.

Face à la montée des discours haineux et discriminatoires, Paris choisit de rester debout. Une ville qui regarde le monde en face, qui défend, protège et agit.

La semaine dernière au Conseil de Paris, j’ai proposé l’attribution de 170 000 euros à 20 associations œuvrant pour l’accès aux droits.

Dans une ville où une personne sur cinq a connu un parcours migratoire, #Paris, ville refuge, doit réaffirmer son engagement historique en faveur de l’inclusion, à une époque où la solidarité est plus que jamais mise à l’épreuve.

Soutenir ces associations, c’est garantir un meilleur accès à la santé, au logement, à la citoyenneté, et renforcer l’inclusion sociale pour toutes et tous.

Je souhaite une merveilleuse année au peuple de Thailande !

Plein de joies et beaucoup de moments accompagnés de gens aimés pour cette fête de Songkran !

De Bangkok, je vous envoie quelques images de cette première soirée de lancement des festivités !

Avec des pensées pour les habitants de Birmanie qui fêtent ce nouvel an lunaire dans la desolation, le deuil et la dictature…

#Songkran2025 #ThailandSongkranFestival2025

Au Conseil de Paris, suite à un vœu présenté par Remi Feraud pour le groupe Paris En Commun, nous avons réaffirmé notre soutien à la Pride de Budapest.

Face à une politique gouvernementale hongroise qui alimente les discours de haine et multiplie les menaces contre les personnes et associations LGBTQIA+, allant jusqu’à l’interdiction de la Marche des fiertés, notre solidarité est totale.

Paris se tient aux côtés de la Budapest Pride et appelle le gouvernement hongrois à respecter ses engagements internationaux en matière de droits humains. À l’invitation de la Pride de Budapest, je représenterai Paris à la conférence organisée le 26 juin à Budapest.

Ému d’avoir eu la chance de rencontrer le Dr Izzeldin Abuelaish, médecin palestinien et ardent défenseur de la paix. Malgré les drames qu’il a traversés, il incarne la force du dialogue, du pardon et de l’humanité.

Alors que Gaza traverse l’une des plus graves crises humanitaires de notre temps, sa voix nous rappelle l’urgence de défendre les droits humains et de ne jamais renoncer à la paix.

Je vous invite toutes et tous à découvrir « Un médecin pour la paix ». Le film bouleversant de Tal Barda, en salle à partir du 23 avril, est un témoignage essentiel et porteur d’espoir dans le contexte actuel.

Face à l’ampleur de la tragédie, la mobilisation internationale pour un cessez-le-feu, l’accès à l’aide humanitaire et le respect du droit international est plus que jamais nécessaire. À Paris comme ailleurs, nous devons continuer de porter cette exigence de justice et de paix pour toutes et tous.

Lors du Conseil de Paris, nous avons franchi une étape décisive pour la création d’un Centre communautaire de mémoire des archives LGBTQIA+ à Paris.

Depuis des années, des associations, des militantes et des militants se battent pour que nos luttes, nos récits, nos vies aient l’espace qu’ils méritent dans notre histoire collective.

Ce projet, porté par le Collectif Archives LGBTQI+ et soutenu dès le départ par la Ville de Paris, verra le jour au 149 rue de l’Ourcq dans le 19e arrondissement de Paris, un local trouvé par la ville de Paris auprès de la Siemp que préside David Belliard, grâce à un engagement politique, financier et humain fort :

300 000 € d’investissement ;

50 000 € de subvention de fonctionnement annuelle dès la signature du bail ;

Une réduction de 40% du loyer et 10 mois de franchise représentant un allègement de 55 500 € ;
La prise en charge par la RIVP des travaux d’installation d’un ascenseur interne à hauteur de 38 500 € ;

Le soutien renouvelé de Paris, alliée indéfectible des droits LGBTQIA+.

 

Merci à toutes les associations mobilisées, à la RIVP et à mes collègues engagé-es, en particulier David Belliard et Francois Dagnaud.

Je remercie également l’@AcademieGayLesb et l’association Archives, Recherches et Cultures lesbiennes que Paris soutient aussi, car ces deux associations font un travail exceptionnel pour notre mémoire.

La mémoire est un combat politique. Et Paris montre qu’elle est à la hauteur.

Un grand bravo au travail de terrain mené par Shams-France. Avec Remi Feraud, nous avons pu échanger aujourd’hui avec son président @djebelnouaryaci.

Leur campagne de santé sexuelle ciblée en Seine-Saint-Denis a permis de réaliser 2 fois plus de dépistages sans ordonnance. Ce succès va permettre le développement d’une campagne nationale l’an prochain.

L’association va également créer le premier festival pour les personnes séropositives, le « Festival Positif » à la Cité Fertile à Pantin le 10 mai prochain.

Sur Paris, l’association mène également un travail essentiel en inter-associations pour venir en aide aux personnes LGBTQIA+