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  • Dîner de Paris, Autrement le 17 mars

    La fédération de Paris d’Aujourd’hui, Autrement organise un nouveau dîner au Gai Moulin - 4, rue Saint Merri 75004 Paris - chez notre ami Christophe ce vendredi 17 mars à 20h30.
    Je serai bien sûr présent à cette soirée où il vous est encore possible de vous inscrire. Vous pouvez le faire en ligne sur le site d’Aujourd’hui, Autrement ou en en envoyant un e-mail à notre amie Anne-Marie-Engler.
    Le prix de cette soirée est de 27€ tout compris (Gnocchis au basilic, suprême de volaille aux cèpes, nougat glacé, kir et Merlot à volonté).
    Cette soirée est ouverte à toutes et à tous, adhérents ou non !
    Je serais heureux de vous voir vendredi soir…

     

  • Débat de ce soir reporté

    L’épouse de Frédéric Tellier vient de m’apprendre qu’en raison d’un problème de santé, son époux ne pourrait animer le débat sur l’Iran ce soir.
    Dans l’impossibilité de trouver un intervenant de qualité à la dernière minute, avec mes amis d'Aujourd'hui, Autrement, je n’ai pas d’autre solution que de reporter ce débat.
    Je m’en excuse auprès de celles et ceux qui comptaient se déplacer - Philippe Lohéac et Mauel Charrier assureront un accueil au Babu - et je souhaite un prompt rétablissement à Frédéric.

  • Ce soir débat sur l’Iran avec Frédéric Tellier

    Je vous rappelle que nous organisons un débat sur l’Iran ce soir - important dans le contexte international actuel…
    Avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement, j’ai donc invité Frédéric Tellier, chercheur à l'IRIS, expert du Moyen Orient et auteur d’un ouvrage qui fait vraiment référence sur le sujet : « L'heure de l'Iran » paru aux Editions Ellipses au café politique mensuel d’Aujourd’hui, Autrement ce lundi 13 mars à 19h30 au Babu - salle du 1er étage - 18, boulevard Montmartre à Paris [Métro Grands Boulevards].
    Le thème de cette réunion sera « Iran : doit-on craindre une menace nucléaire ? »
    Nous évoquerons cette crise à rebondissements qui se joue avec l’Iran depuis octobre 2003 quand ce pays acceptait de suspendre ses activités liées à l’enrichissement de l’uranium et autorisait les visites de l’AIEA. Depuis février 2004, après un rapport critique de l’AIEA, les discussions sont bloquées et malgré le nouvel accord de Paris, en novembre 2004, sur la suspension de l’enrichissement, la crise ne cesse d’enfler à tel point que les gouvernements européens jugent la saisine du conseil de sécurité de l’ONU aujourd’hui indispensable.
    Au-delà de cette crise, nous débattrons plus généralement de la situation politique en Iran et bien sûr des droits de l’Homme dans ce pays.
    A ce soir !

  • Ce lundi 13 mars sur Vivre FM

    Je répondrai aux questions de Jacques Dejeandile sur la radio Vivre FM [FM93.9 en Ile-de-France et sur Internet www.vivrefm.fr ] de 16h00 à 17h00.
    Je parlerai longuement de mon livre « La Nuit des petits couteaux » et des idées que j’y défends pour un Paris, Autrement.
    Je ferai aussi un bilan de l’année sida, grande cause nationale 2005, et reviendrai sur l’affaire Humbert. Je parlerai enfin de l’interdiction faite aux personnes atteintes de pathologies lourdes de contracter un prêt et de l’évolution de ce dossier.
    L’émission sera rediffusée à l’antenne et sur Internet.

  • Jean-François Legaret répond à Fred

    Frédéric Latour, président des Jeunes Autrement continue ses interviews d’élus et de responsables politiques parisiens. Cette semaine, il publie l’entretien qu’il a réalisé avec notre ami Jean-François Legaret, maire du 1er arrondissement.
    Je vous reproduis la partie de l’interview qui concerne la campagne des pré primaires pour laquelle Jean-François m’avait particulièrement soutenu ainsi que la question concernant les blogs à laquelle il répond.
    Encore bravo cher Fred !

    Frédéric Latour : Tu nous as beaucoup aidé pendant la pré campagne des Primaires. Tu sais que Jean-Luc t'en ai bien sûr reconnaissant. Il a un rôle énorme à jouer dans cette campagne. Comment le vois tu évoluer dans l'optique des municipales parisiennes ?
    Jean-François Legaret : Je suis totalement convaincu qu'on a besoin de lui. Moi ce qui m'a frappé si tu veux, c'est que j'ai lu son bouquin qui est un peu coupé en deux. La 1ère partie, c'est le récit de ses mésaventures et de ses déboires dans le cadre des primaires. C'est un récit qui m'a frappé par son objectivité et il y cite les rencontres que nous avons pu échanger. C'est d'une exactitude très frappante et avec un vrai souci d'objectivité. Je peux le dire d'autant plus que j'en ai été témoin. La 2ème partie est une partie très différente dans laquelle il fait état de ses nombreuses propositions. Preuve qu'il a vraiment bossé dans le cadre de ses primaires. Je trouve qu'il y a beaucoup d'idées novatrices et intelligentes. Jean-Luc fait partie d'une génération d'élu(e)s qui a envie de s'inscrire dans une vision d'avenir. Il a un vrai rôle à jouer lors de ses municipales aux côtés de Françoise.

    Frédéric Latour : Le Blog est un support de communication intéressant et un vrai espace d'expression et de liberté. Penses-tu en ouvrir un ?
    Jean-François Legaret : J'ai l'intention de le faire. Ce qui est important c'est de le faire fonctionner. Jean-Luc me racontait qu'il passe beaucoup de temps sur son blog. Donc ça veut dire qu'il faut vraiment s'impliquer, j'ai pas encore sauté le pas, j'aurais déjà du le faire, mais c'est pour bientôt. Ce qui est important c'est d'avoir une déontologie très stricte vis à vis de son blog. Si un élu arrête de s'occuper de son blog et fait s'occuper ça par d'autres, ça se voit immédiatement. Tu sais, il faut avoir un engagement moral sur son blog.

  • Merci à La Nuit des Follivores !

    Les noctambules parisiens connaissent bien la Nuit des Follivores.
    Un rendez-vous incontournable !
    Une fois par mois, le Bataclan, grande salle de spectacle parisienne, est investi pour une soirée « chansons françaises ». Des centaines de jeunes viennent se trémousser sur les standards de Sheila, Dalida, Sylvie Vartan et bien d’autres. Et depuis des années cette soirée décalée est un must à Paris. A tel point qu’il existe maintenant des tournées des Follivores dans les discothèques de province.
    Ce soir a donc lieu la Nuit des Follivores spécial Cloclo.
    A cette occasion, je veux remercier les organisateurs, notamment Jack, d’avoir consacré
    mon livre « la Nuit des petits couteaux », chouchou du mois. J’ai découvert cette délicate attention sur les flyers de la soirée…
    Belle fête ce soir et Merci à La Nuit des Follivores pour l’honneur que vous me faîtes !

  • Sébastien Nouchet se désespère qu’on lui rende justice

    Hier, avec mon collaborateur Bastien Vibert-Vichet, coordinateur d’ELCS, j’ai reçu longuement chez moi, Porte Dorée, Sébastien Nouchet.
    Une actu en zappe une autre et Sébastien a été oublié par la plupart des medias.
    Alors que son drame fut largement et légitimement médiatisé, ce qu’il est devenu ne semble plus vraiment intéressé les journalistes. Inquiétant. Sébastien aurait bien besoin de la presse pour faire avancer une justice qui semble bien lente.
    L’affaire de Sébastien : je pense que vous vous en rappelez toutes et tous.
    Après avoir été harcelé avec son ami Patrice, pendant des mois, par de jeunes homophobes sévissant dans la région de Noeux-les-Mines et de Lens, Sébastien sera brûlé vif devant chez lui.
    Après des mois de souffrances atroces - Sébastien doit aujourd’hui encore subir plusieurs opérations de la peau, des membres et se faire enlever toutes ses dents ! -, Sébastien s’en est heureusement sorti.
    Depuis, il a réussi à reconnaître son agresseur.
    Pourtant aujourd’hui, l’affaire reste encore au point mort… et Sébastien se désespère qu’on lui rende justice.
    Sébastien sacrifié, Sébastien oublié ?

  • Un grand PSG pour un Grand Paris ?

    Les derniers événements concernant le PSG m’ont désolé comme beaucoup d’entre vous. Le match pathétique contre les remplaçants de l’OM a attristé tous ceux qui, comme moi, estiment qu’une capitale doit avoir un grand club de football.
    Dans mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux », j’ai pourtant longuement évoqué l’intérêt qu’il y aurait pour le PSG de multiplier les contacts avec les jeunes Parisiens. Malheureusement, je crains que si cela continue, plus un jeune de notre belle ville ne s’identifie à ce club qui nous a pourtant si souvent fait rêver par le passé. Mais le pire n’étant jamais sûr, rêvons encore.
    Justement rêvons à un grand stade pour un grand club !
    Le Parisien d’hier évoque la nouvelle rumeur qui enfle dans le milieu du football.
    Le PSG pourrait quitter le parc des Princes pour rejoindre le plus prestigieux de nos stades : le Stade de France.
    Certains s’y opposent au prétexte que ce stade n’est pas dans l’enceinte de notre ville, mais à l’extérieur du périphérique qui nous sépare de la banlieue tel un nouveau mur de Berlin. J’ai défendu, à plusieurs reprises le Grand Paris, et j’y consacre tout un chapitre de mon nouveau livre. Mettre le PSG en résidence au Stade de France, outre de lui donner un stade de prestige, montrerait que le Grand Paris se construit peu à peu.
    Alors pour un Grand PSG et pour un Grand Paris, si on osait ?

  • « La Nuit des petits couteaux », un mois après

    Déjà un mois qu’est sorti mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Le 9 février, je fêtais avec beaucoup d’entre vous cette sortie au Banana. Un excellent souvenir. Vraiment !
    A ce jour, les réactions au livre ont été nombreuses et souvent très encourageantes et je remercie toutes celles et ceux qui m’ont envoyé des mots ou des e-mails. De nombreux médias ont aussi parlé de ce livre et je vous reproduis la liste des critiques ou paroles de journalistes que j’ai pu collecter. Cette liste n’est pas exhaustive.
    Un seul regret pour l’instant - mais la vie de ce livre n’est pas terminée ! -, beaucoup de journalistes n’ont commenté que la première partie de mon ouvrage, celle consacrée à la primaire UMP et à certains mauvais coups…
    Incontestablement, ce livre – et celles et ceux qui m’ont envoyé des mots d’encouragements l’ont remarqué - est bien plus.
    D’ailleurs, il reste d’une brûlante actualité parce qu’il présente les acteurs majeurs de la prochaine élection municipale à Paris - en septembre 2007 ou en mars 2008 ? - mais aussi parce que ce livre dévoile mes propositions pour gérer Paris autrement, pour trouver des voies nouvelles et donne mes solutions pour créer un Grand Paris. Vous pouvez bien sûr ne pas être d’accord avec ces propositions, mais elles permettent de lancer un débat, je le crois, indispensable pour renouveler nos idées à Paris et attirer celles et ceux qu’une partie de la droite a trop méprisés ces dernières années. Ces électeurs le lui ont d’ailleurs bien rendu en 2001. Alors ne commettons plus les mêmes erreurs.
    C’est tout le sens de mon livre. N’en déplaise aux grincheux !
    Bonne lecture…

    Propos de journalistes sur…
    « La nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Jean-Claude Gawsewitch éditeur – février 2006

    « Même Jean-Luc Romero y va de sa plume avec une insolente Nuit des petits couteaux ».
    Le Parisien – Martine Chevalet – 23 janvier 2006
    « Jean-Luc Romero n’a pas été qualifié pour les primaires. A une voix près. Dans son pamphlet « la Nuit des petits couteaux », à paraître le 9 février, il balance ».
    Obs Paris – Guillaume Malaurie – 2 au 8 février 2006
    « Jean-Luc Romero – qui tenta un moment de participer aux primaires UMP – sort jeudi la nuit des petits couteaux. […] Il propose d’expérimenter le péage urbain à Paris durant un an, de faire élire directement le maire par les Parisiens ou de créer un pool d’assistantes maternelles ouvert 24 heures sur 24 ».
    Journal du dimanche – 5 février 2006
    « Les quatre vérités de Jean-Luc Romero. […] Dans la Nuit des petits couteaux, le président d’Elus Locaux contre le Sida dresse avec ironie, mais sans amertume, ces quelques mois où il a cru pouvoir jouer dans la cour des grands pour tenter sa chance aux primaires de l’UMP… [Il] propose en fin d’ouvrage sa réflexion sur le péage urbain ou sur les immeubles de grande hauteur et surtout sur tous les domaines où la droite reste en retrait : toxicomanie, homosexualité, parité… »
    Le Parisien – Sébastien Ramnoux – 6 février 2006
    « Ravaillac inspire Romero. Jean-Luc Romero a choisi le Banana, un bar branché du 1er arrondissement pour présenter son livre consacré aux municipales parisiennes la Nuit des petits couteaux. Un lieu chargé de symboles pour le conseiller régional : C’est dans cette cave que Ravaillac, après avoir tué Henri IV s’est réfugié avec son … petit couteau. »
    Le Parisien – 7 février 2006
    « A l’occasion de la sortie de son ouvrage, La Nuit des petits couteaux, Jean-Luc Romero donne son point de vue sur les primaires de l’UMP et apporte son soutien à Françoise de Panafieu, maire UMP du 17e. »
    Métro - Aurélie Sarrot – 9 février 2006
    « [Son] livre situe les enjeux de la prochaine élection municipale à Paris en 2008… Plutôt acides [les] portraits des candidats de la droite… »
    Le Républicain Magazine – Stéphane Piraud – 9 février 2006
    « Dans [son] livre, [il] dresse des portraits au karsher des quatre candidats aux primaires UMP. »
    Radio BFM – Hedwige Chevrillon – 9 février 2006
    « Les lettres de Romero. Jean-Luc Romero sort cette semaine son nouveau livre La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ?.
    Tirés de celui-ci, trois extraits de lettres croustillants, pour dire les enjeux de l’élection… Capitale ! »
    Echo d’Ile-de-France – Samy Abtroun – 3 au 9 février 2006
    « Dans [son] livre, il expose un certain nombre de propositions… S’agit-il de propositions ou d’un programme ? »
    Equivok – 4 au 17 février 2006
    « Jean-Luc Romero écrit librement à chaque candidat ce qu’il pense de lui et finit par prendre position pour Françoise de Panafieu, qui est aussi la favorite des sondages. Si elle est élue, elle devrait puiser quelques idées dans le catalogue très riche que propose Jean-Luc Romero… »
    La lettre politique et parlementaire – 13 février 2006
    « La queue qui s’était formée devant le Banana avait de quoi laisser perplexe pour un jeudi soir en période de vacances scolaires […] Le secret de cette foule hétéroclite ? Le lancement du nouveau livre de Jean-Luc Romero, la Nuit des petits couteaux, qui compte peser dans la bataille électorale pour enlever Paris à Delanoë. »
    Zurban – Alain Tap – 15 au 21 février 2006
    « Le 25 février 2006, les militants de l’UMP de Paris désigneront le candidat aux élections municipales de 2008. Jean-Luc Romero, ancien secrétaire national de l’UMP et conseiller régional d’Ile-de-France, premier élu au monde à avoir révélé sa séropositivité ne participe pas à la primaire. Dans La Nuit des petits couteaux, il s’en explique et fait le pari d’une autre droite… »
    France Info, Le livre du jour – Philippe Vallet – 17 févier 2006
    « La Nuit des petits couteaux, c’est la manière dont Jean-Luc Romero parle des primaires de l’UMP pour les candidats à la candidature pour combattre Bertrand Delanoë. »
    LCI, Le grand journal – Michel Field – 17 février 2006
    « Ce sont des méthodes héritées des années passées, dénonce Jean-Luc Romero, conseiller régional UMP [dans la Nuit des petits couteaux]. Fausses adhésions, utilisations de moyens illégaux et de fichiers, coups bas, pressions, manipulations, insultes, chantages… »
    Libération – Thomas Lebègue – 20 février 2006
    « Jean-Luc Romero a choisi la tradition festive du Banana Café, bar branché du 1er arrondissement de la capitale, pour présenter son livre, la Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ?, consacré aux municipales parisiennes. »
    Ici Paris – Catherine Monbreault – 21 au 27 février 2006
    « La Nuit des petits couteaux, c’est règlement à OK Corral. »
    TVFil 78 – Marc Nino – 22 février 2006
    « La Nuit des petits couteaux, en deux mots, c’est jeux de pouvoir et trahisons dans les coulisses de l’investiture UMP pour les prochaines municipales à Paris. C’est vrai qu’il faut avoir un poignard sur soi pour attaquer l’UMP. »
    Pink TV, Le Set – Marie Laborie – 22 février 2006
    « Un UMP atypique vient de sortir un livre La Nuit des petits couteaux. J’aime beaucoup le titre… [Il] a la dent très dure… Il y a beaucoup d’idées dans [son] livre. »
    BFM TV, le Grand Journal – Guillaume Vanhems – 26 février 2006
    « Face aux semelles compensées pour Jean-Luc Romero, c’est la nuit des petits courtauds. »
    Voici – Basile de Koch – 27 février au 5 mars 2006
    « Un regard féroce et mordant… Un livre savoureux qui vous éclaire… Des portraits sans complaisance… Il n’a pas trempé sa plume dans la verveine »
    France Bleu Ile-de-France – Olivier Daudé – 27 février 2006
    « Engagement. Il y fait de nombreuses propositions comme le Grand Paris. »
    Honcho – mars-avril 2006
    « C’est un livre qui mérite d’être lu car on y apprend beaucoup de choses. C’est un livre très bien écrit… La fin du livre est très ouverte. »
    Radio Triangle FM, Zigomatik – Jean-Luc Frydman – 1er mars 2006
    « Un livre où on y apprend qui sont les petits couteaux… »
    Direct 8, Face à Alain Minc – Guillaume Klossa - 5 mars 2006

  • Femmes, je vous aime !

    Femmes, je vous aime. Qui n’a pas en tête cette magnifique chanson de Julien Clerc ?
    En cette journée de la femme, je ne vais guère faire de digressions sur la place qu’elles devraient avoir dans notre société, sur le rôle qu’elles devraient enfin jouer en politique - on est loin de la parité comparé aux pays nordiques ! -, sur les inégalités qu’elles subissent dans leurs activités professionnelles.
    Je veux seulement et modestement leur dire Merci et plus particulièrement aux femmes que j’ai la chance de côtoyer quotidiennement. On a tellement peu l’occasion de dire Merci et surtout je t'aime. Alors, j’oublie mes pudeurs en cette belle journée…
    Merci Maman, ai-je besoin d’expliquer ?
    Merci ma petite Sheila pour ce combat que tu mènes avec moi depuis 11 ans contre le sida et bien sûr « nos » Michèle et Annick du bureau d’ELCS.
    Merci à ma chère Marie Humbert, pour son courage, sa dignité dans ce combat commun que nous partageons pour la légalisation de l’euthanasie.
    Merci ma chère Brigitte Lahaie pour t’être engagée à nos côtés à Aujourd’hui, Autrement et bien sûr « nos » Isabelle, Josette, Anne-Marie, Murielle, Arlette, Armelle du bureau politique.
    Merci à Arlette, Méry, Séverine et toutes mes collaboratrices de la direction des solidarités à Vigneux-sur-Seine.
    Merci enfin à vous toutes qui méritaient qu’on vous fête tous les jours et non seulement le 8 mars !

    Et bien sûr une immense pensée pour Ingrid Bétancourt...

  • Ma maladie de Gilbert…

    Rendez-vous avec le professeur Rozenbaum mardi matin à l’hôpital Saint Louis.
    Comme d’habitude, j’ai pris le premier rendez-vous pour arriver presque à l’heure à Vigneux-sur-Seine.
    Comme, à chaque fois, je vous donne les résultats biologiques les plus significatifs ou étonnants. Je les commente peu, mais continue à les publier pour que chacun comprenne que vivre avec le sida n’est pas une affaire bénigne. Et aussi parce que si je veux être un militant efficace de la lutte contre le sida, je vous dois la vérité.
    Venons-en à ces résultats biologiques. Accrochez-vous : c’est rébarbatif ! Mes lymphocytes T4 sont de 353 mm3 contre 485 en janvier dernier – la norme les situe au dessus de 500. La charge virale reste détectable mais faible : 139 copies/ml contre 195 lors de la dernière analyse. Les plaquettes qui avaient beaucoup baissé en janvier sont passées de 136.000/mm3 à 167.000/mm3 – la normale se situe de 150.000 à 450.000. La Glycémie est stable 1,32g/l ce mois-ci pour une normale qui doit se situer entre 0,70 et 1,10. Bonne nouvelle la protéinurie est passée de 621 mg/l à 243 mg/l même si la normale la situe en dessous de 150.
    La Bilirubine totale est passée de 7,3 mg/l à 56,5 mg/l – la normale doit être inférieure à 10 ! – et la Bilirubine libre est passée de 6,7 mg/l à 50,9 mg/l, la normale doit être inférieure à 10…
    Le professeur Rozenbaum m’a juste expliqué que j’ai la maladie de Gilbert (sic) et que je vais continuer à bronzer et jaunir… ce qui ne serait pas inquiétant. Alors si vous me trouvez bronzé, les yeux jaunes, de grâce, ne me demandez pas si je reviens de vacances ou si j’ai la jaunisse.
    Virus de vie. Mieux vaut en rire… jaune !

  • Iran : doit-on craindre une menace nucléaire ?

    Mohammed El Baradei, prix Nobel de la paix 2005 et surtout patron de l’AIEA, dresse actuellement, à Vienne, un constat d’échec car l’Iran ne satisfait absolument pas aux conditions de clarté concernant son programme nucléaire. La date limite permettant au gouvernement iranien de donner des explications claires est donc expirée.
    « A ce stade, l’agence n’est pas en mesure de conclure qu’il n’y a pas de matériel ou d’activité nucléaires non déclarés en Iran. » « Certes, nous n’avons pas vu de menace imminente, pas d’énergie détournée vers la fabrication d’armes nucléaires, mais dans le même temps leur programme manque de clarté. Beaucoup d’incertitudes ont encore besoin d’être levées, particulièrement après trois ans d’inspection.» indique l’AIEA dans son dernier rapport. Il est quand même évoqué « une dimension nucléaire militaire en Iran », et certains spécialistes évoquent carrément la mise en preuve d’une bombe avant cinq ans !
    Le constat est là. Inquiétant.
    Je suis, comme vous, très préoccupé de l’évolution des responsables politiques iraniens et notamment de son président. Car outre cette menace, les droits de l’homme sont totalement bafoués dans ce pays.
    Pour mieux comprendre la situation en Iran, avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement, j’ai invité Frédéric Tellier [ma photo], chercheur à l'IRIS, expert du Moyen Orient et auteur d’un ouvrage qui fait vraiment référence sur le sujet : « L'heure de l'Iran » paru aux Editions Ellipses au café politique mensuel d’Aujourd’hui, Autrement le lundi 13 mars à 19h30 au Babu - salle du 1er étage - 18, boulevard Montmartre à Paris [Métro Grands Boulevards].
    Le thème de cette réunion sera « Iran : doit-on craindre une menace nucléaire ? »
    Je compte donc sur vous pour réserver votre début de soirée lundi prochain pour assister à ce café politique au sujet d’une brûlante et inquiétante actualité.

  • Le patriotisme économique : une fausse bonne idée ?

    J’étais l’un des invités de l’émission « Face à Alain Minc » présentée par Guillaume Klossa sur Direct 8 hier soir.
    L’un des thèmes du débat était le patriotisme économique. Même si je ne suis pas un spécialiste de la question – et loin de là ! - contrairement à Louis Giscard d’Estaing ou le Monsieur industrie du PS qui étaient les invités référents sur cette question, j’ai exprimé ma modeste position. Non sans préciser qu’elle est celle d’un modeste citoyen engagé, car j’estime que les responsables politiques ne peuvent être spécialistes de toutes les questions. Au risque de dire des conneries.
    D’abord sur l’affaire Suez-GDF, j’estime qu’il est difficile d’avoir une position tranchée et définitive tant les tenants et les aboutissants nous échappent aujourd’hui. D’ailleurs la commission de Bruxelles a demandé au gouvernement français des explications rapides et claires sur cette affaire.
    Ensuite, si le patriotisme économique « consiste à donner des moyens aux entreprises pour se battre à armes égales » comme l’a dit le Premier ministre, il peut être envisagé, mais selon certaines conditions.
    1. Cette implication doit exclusivement concerner des secteurs qui influent sur la « continuité » de l’Etat. En cela, l’affaire Suez-GDF, pourrait rentrer dans ce champ car cela touche à l’énergie. Par contre, je ne suis pas persuadé que le patriotisme économique ait du sens pour Danone ou encore récemment pour la sidérurgie.
    2. Une intervention doit rester exceptionnelle quand il s’agit d’entreprises européennes. On ne peut vouloir faire l’Europe et empêcher les entreprises de notre continent de fusionner pour mieux lutter. D’ailleurs, les réactions n’ont pas manqué. Les Italiens menacent de gêner les fusions qu’ont engagé avec leurs sociétés nationales de grands groupes français comme Carrefour ou la BNP pour ne citer que les plus importants. Concomitamment, le ministre wallon de l’énergie, André Antoine, s’inquiète que la fusion fausse la concurrence dans son pays - en Belgique le nouveau groupe va contrôler 95% de la production et 90% des ventes d’électricité - au détriment des consommateurs. Faire chez nos amis ce qu’on en veut pas pour nous !
    Je reste persuadé que le patriotisme économique ne doit pas devenir un slogan au risque de flatter nos pulsions nationalistes. Les politiciens sont là pour nous montrer le chemin du progrès et de la solidarité.
    A terme, un tel interventionnisme généralisé n’aurait comme unique conséquence que de nous isoler en Europe et au final d’empêcher nos entreprises de se développer à l’international et donc de créer des richesses source d’emplois.

    NB : En plus, le patriotisme économique ne résiste pas à la réalité… De 1993 à 2003, sous des gouvernements de droite et de gauche, 9000 sociétés françaises, employant 900.000 salariés, sont passés sous contrôle étranger. Aujourd’hui, 430.000 personnes travaillent pour des sociétés américaines. A méditer…

  • Ce soir à 19h00, « Face à » Sur Direct 8

    Ce dimanche 5 mars 2006, je suis l’un des invités de l’émission « Face à » de 19 à 20 heures sur la chaîne de la TNT Direct 8.
    Avec d’autres invités, nous commenterons particulièrement trois sujets de l’actualité de la semaine. Le débat, animé par Guillaume Klossa, traitera du patriotisme économique, des primaires à Paris et de la chute du Premier ministre dans les sondages.
    Bon dimanche !

  • Charlotte Valandrey ou le don de soi

    Depuis la sortie de son livre, nous nous étions promis de nous rencontrer.
    Nos emplois du temps en ont décidé autrement. Pour la première fois depuis sa courageuse révélation, je dînais en tête à tête avec la comédienne Charlotte Valandrey. Dans une agréable brasserie du 6ème arrondissement. A deux pas du Lutétia.
    Je ne vous raconterai pas notre conservation. Ce serait inconvenant. Ce moment lui appartient. Il m’appartient. Il nous appartient.
    Mais, comme Charlotte et moi avons fait de notre combat individuel un combat collectif en révélant, au grand jour, ce virus que nous partageons, j’ai besoin de vous dire à quel point notre volonté commune d’être utiles est forte pour celles et ceux qui vivent avec ce virus et pour éviter que d’autres nous rejoignent dans cette galère.
    Charlotte m’a ébloui par sa générosité, par son optimisme. Par sa soif de vivre.
    J’étais fatigué, un peu las de ces durs combats en cette fin de semaine.
    Cette soirée m’a illuminé. Après 21 ans de séropositivité, ce sont des moments partagés comme celui-là qui me font comprendre à quel point ce combat pour la vie que je mène, comme Charlotte, vaut vraiment la peine.
    Charlotte ou le don de soi…

  • Solidarité internationale : bilan en demie teinte

    La conférence destinée à trouver de nouveaux financements pour aider au développement des pays du sud, qui se déroulait cette semaine à Paris, s’est achevée sur un bilan en demie teinte.
    La proposition portée par le président de la République Française de taxer les billets d'avion pour financer la lutte et le traitement du sida, de la tuberculose et du paludisme - maladies qui font 6 millions de mort par an - n’a reçu l’adhésion, outre la France, que de 12 pays sur les 93 présents à cette conférence.
    Un bilan décevant face aux enjeux : n’oublions pas que 40 millions de personnes vivent avec le sida dont 30 millions en Afrique. Que sur les 6 millions de personnes qui ont besoin d’un traitement aujourd’hui, seules 1 million de personnes en bénéficient
    Cette mondialisation de la solidarité aurait dû recevoir l'adhésion du plus grand nombre de pays et, parmi eux, celle des Etats-Unis. En effet, la première puissance mondiale ne peut se satisfaire, face aux millions d'enfants, de femmes et d'hommes contaminés dans le monde par le sida, alors que le continent africain est à la dérive, de soutenir des programmes religieux prônant la fidélité et l'abstinence.
    N’oublions pas que cette taxe - si elle était appliquée dans le monde - rapporterait près de 10 milliards d’euros par an soit 1/6ème de l’aide publique au développement.
    Espérons que les 13 Etats pionniers – France, Brésil, Chili, Chypre, Congo-Brazzaville, Côte d’Ivoire, Jordanie, Luxembourg, Madagascar, Ile Maurice, Nicaragua, Norvège et Royaume-Uni – entraîneront dans les mois qui viennent d’autres pays, notamment les Etats-Unis, l’Allemagne ou le Canada.
    On ne peut laisser tant d’Africains disparaître dans notre indifférence glacée.

  • Réunion de l’ADMD du 17ème ardt de Paris ce vendredi

    A l’invitation de Martine Picard, déléguée de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité dans le 17ème arrondissement de Paris, j’animerai une réunion dans la salle des fêtes de la mairie du 17ème arrondissement ce vendredi à 15 heures.
    A cette occasion, nous évoquerons le récent non lieu accordé à Marie Humbert, et au docteur Chaussoy, la publication en février des décrets sur les directives anticipées de volonté en application de la loi Léonetti et la proposition de légalisation de l’euthanasie que l’ADMD proposera à l’occasion de son 25ème anniversaire qui se déroulera à la mi mars à Paris.

  • Manifestation contre les menaces homophobes en Russie ce 2 mars à 18h00.

    Récemment un blogueur me reprochait de consacrer 99% de mon activité au combat contre l’homophobie…
    Celles et ceux qui me suivent connaissent mes nombreux combats qui dépassent heureusement et largement cet unique combat. Combat pourtant aussi noble que tout autre !
    Mais en même temps, de la part de ceux qui participaient à une manifestation où certains scandaient « les pédés au bûcher », je me dis que je n’interviens pas assez souvent contre l’homophobie…
    Justement, alors que doit se dérouler à Moscou la première Gay Pride de l’histoire de cette ville, le maire de la capitale russe, Youri Luzhkov, a décidé de l’interdire ! Purement et simplement…
    L’homosexualité a pourtant été dépénalisée en Russie depuis 13 ans et 51% des Russes estiment même, dans un récent sondage, que les gays et les lesbiennes doivent avoir les mêmes droits que les autres.
    Dès cette annonce, plusieurs responsables religieux russes se sont déchaînés. La palme revient au mufti suprême de la région de Talgat. Il a déclaré : « S’ils [les homos] vont dans la rue, il faudra les frapper. Tous les gens normaux le feront » ajoutant même que « le prophète Mahomet a ordonné de tuer les homosexuels, car leur comportement conduirait à la fin de l’espèce humaine. » J’ai l’impression d’avoir entendu la fin de cette phrase, il n’y a pas très longtemps, en France…
    Parce que cette vague d’homophobie et cette interdiction sont totalement inacceptables dans un pays, qui se dit démocratique et qui va même prendre la tête du G8, je participerai ce soir, à 18 heures, à la manifestation qu’organisent devant l’ambassade de Russie le CGL Paris, l’Inter LGBT, SOS homophobie et bien d’autres organisations de lutte contre les discriminations.
    Désolé pour ces blogueurs qui s’acharnent régulièrement sur mon blog et qui m’envoient des e-mails de menaces et d’insultes… Au fait ces lâches, savent-ils qu’Internet n’est pas aussi anonyme qu’ils le croient…
    A ce soir, pour celles et ceux qui auront le courage de braver le froid… sibérien.

  • Visionner mon interview sur BFM TV

    Pour celles et ceux qui n’ont pas accès au câble ou au satellite, cliquez sur ce lien qui vous permettra de voir mon interview à BFM TV de dimanche dernier.
    Guillaume Vanhems m’avait interrogé sur mon dernier livre et sur les primaires à Paris. Je vais finir par maîtriser totalement Internet…

  • Ce soir sur Triangle FM à minuit

    Vous pourrez me retrouver ce mercredi soir, de minuit à deux heures du matin, sur Triangle FM qui émet sur 98.4 sur l’Ile-de-France hors Paris. L’émission sera ensuite sur le site Internet d’Homofesty durant une semaine.
    Je participerai, en compagnie de mon collègue à la région Eddie Aït, à l’émission Zigomatik de l’association Homofesty présidée par mon ami Jérôme André. Cette émission de deux heures, enregistrée la semaine dernière, me permet de parler longuement de mon nouveau livre, mais aussi des élections municipales à Paris, du Paris Autrement dont je rêve et bien sûr de la lutte contre le sida.
    Vous pouvez aussi consulter l’interview que j’ai donnée la semaine dernière à la chaîne TVFil 78 en cliquant sur ce lien. (Attention, le chargement prend plusieurs minutes)