Comme pour tous mes livres, je passerai au Furet du Nord de Béthune pour une dédicace. Comment, en effet, oublier ma ville de naissance ? Ma mère ne me le pardonnerait pas !
Je vous attends donc dès 10h30 pour dédicacer « Monsieur le président, laissez-nous mourir dans la dignité ! » et dialoguer avec mes amis béthunois.

A l’invitation du député-maire, Stéphane Saint-André (photo), je participerai à un débat sur le sida à Béthune salle Olof Palme à 18h30. C’est avec grand plaisir que je réponds à cette invitation qui me permet d’intervenir de nouveau dans ma commune de naissance à laquelle je reste très attaché.
A la fin de la réunion, je remettrai le dossier de candidature « Béthune, ville engagée contre le sida », car la mairie souhaite obtenir ce label.

Lire aussi La Voix du Nord (ici)

Le 25 août 1973, vers 9h00, mon père Cyril mourait chez nous à Béthune. Ma mère était à ses côtés tout comme moi.
Du haut de mes 13 ans, je voyais partir mon père vers un monde alors inconnu. Bien des décennies se sont passées mais j’avais envie aujourd’hui d’avoir une pensée pour ce père parti trop tôt. A 52 ans…mon âge aujourd’hui.

Après avoir animé une réunion de l’ADMD le matin, je dédicacerai mon nouveau livre « Homopoliticus, comme ils disent » mais aussi « Les voleurs de liberté » ce samedi 9 juillet à 15h30 à la librairie Le Furet du Nord de Béthune. C’est désormais devenu une tradition que de venir dans ma ville de naissance et de faire ma dédicace aux côtés de … ma mère !

J’animerai une réunion publique de l’ADMD à Béthune - Foyer François Albert, à 10h00, demain samedi 9 juillet. C’est la première fois que j’organise une réunion en faveur de l’euthanasie dans ma ville de naissance et ce sera sûrement avec émotion. Dans l’après-midi à partir de 15h30, je dédicacerai Les voleurs de liberté et mon nouveau livre Homopoliticus, comme ils disent… au Furet du Nord.

Ce mercredi 25 août, cela fait déjà 37 ans que mon père est mort. J’avais à peine 14 ans mais le souvenir de ses derniers instants est resté intact dans ma mémoire malgré toutes ces années.

Après bien des souffrances - il était atteint d’un cancer des poumons -, il s’est éteint en s’étouffant. Une scène qu’on n’oublie pas même du haut de ses 14 ans ! Une approche précoce de la mort qui est, en partie, à l’origine de mon engagement pour une mort digne comme je l’ai évoqué dans mon livre « Les voleurs de liberté ».

Voir quelqu’un mourir en s’étouffant vous fait sacrément réfléchir… Vous ne voulez plus cela ni pour vos proches, ni pour vous !

Une cinquantaine de personnes - 35 livres dédicacés - se pressaient au Furet du Nord à Béthune malgré la pluie et un horaire peu pratique. Accueilli par le maire de Béthune, Stéphane Saint-André et toujours accompagné de ma mère - pas peu fière d'accompagner son fiston ! -, j'ai eu beaucoup de plaisir de retrouver le responsable de l'ADMD du Pas-de-Calais et surtout des têtes familières dans cette ville qui m'a vu naître il y a déjà... 50 ans. La Voix du Nord et l'Avenir de l'Artois n'ont pas raté ces retrouvailles. Un moment nostalgie.

Comme je vous en ai déjà informé, je serai donc ce lundi en fin d’après-midi au Furet du Nord de Béthune – 21 place Georges Clémenceau de 17 à 19 heures pour dédicacer mon sixième livre "les voleurs de liberté". J’espère y retrouver plein de mes anciens amis et connaissance de jeunesse…

Le Nord-Pas-de-Calais est toujours une étape singulière pour moi. Faire la dédicace de mon livre « Les voleurs de liberté » à Béthune, ville où je suis né et où vivent toujours ma mère et bien des amis d’enfance, est, vous l’imaginez, un moment plein d’émotion. Je penserai aussi forcément à Florence Cassez qui a vécu près de Béthune.

Je serai donc au Furet du Nord de Béthune – 21 place Georges Clémenceau de 17 à 19 heures pour dédicacer mon sixième livre.

Je sais que la nostalgie sera aussi au rendez-vous !

Le 25 août 1975, du haut de mes 13 ans, j’assistais au décès de mon papa. A peine 13 ans pour le connaître.

Aujourd’hui, coïncidence, je fais le service presse de mon nouveau livre « les Voleurs de liberté » dans lequel j’évoque le décès de mon père qui était aussi mon premier contact direct avec la mort. En 1973, c’était pour moi une terrible révélation : la vie a une fin… Aujourd’hui, la mort est de plus en plus taboue car 75% des Français meurent à l’hôpital et 24% seuls. Et beaucoup de leurs proches ne les voient même pas. La mort est cachée. Un simple accident de parcours…Une erreur ! On a tous oubliés que la mort est une étape de la vie, la dernière…

Je sais que tu ne regarderas pas ce blog en cette journée où tu fêtes tes 79 ans. Mais je sais aussi que Catherine et certains de tes amis t’en parleront. Alors je voulais te souhaiter sur le net – avant de le tel dire de vive voix, bien sûr ! -  le plus beau des anniversaires. Et te dire que pour moi, tu n’as jamais vieilli. Tu es toujours ma jeune et belle maman que j’aimais tant regarder quand elle me bordait le soir après avoir servi les derniers clients du café de ma chère Tatie.

Tu as 79 ans, j’en ai 50, mais les sentiments ne vieillissent jamais. Bel anniversaire.

Pour un fils et sa mère, l’avenir dure toujours !

Un portrait géant de Florence Cassez est désormais affiché sur le fronton de la mairie de Béthune, comme s’y était engagé le maire de la ville, Stéphane Saint-André. J’espère que cela poussera bien des Béthunois à écrire à Florence et au président de la République.

J’ai eu Florence au téléphone dimanche soir. Elle ne baisse pas les bras : elle est heureuse de voir que bien des gens se mobilisent pour elle en France. Mais le temps est aussi bien long pour elle….

En septembre dernier, j’avais rencontré le maire de Béthune à une réunion d’ELCS et je lui avais demandé de soutenir Florence Cassez qui a vécu dans le Béthunois. Devant les parents de Florence que je lui présentais, il s’y engagea. C’est depuis ce mercredi, un engagement tenu !
En effet, à l’occasion de ses vœux où il m’a convié ainsi que Charlotte et Bernard Cassez, il a repris la campagne de cartes que j’ai initiée pour soutenir Florence. Le soir de ses vœux avant de me donner la parole, Stéphane Saint-André a présenté la double carte de soutien à Florence : une à lui envoyer, une autre destinée au président de la République. Mieux, depuis hier, 11.000 cartes ont été distribuées dans les boîtes aux lettres de tous les Béthunois.
Je connais bien cette ville. Les gens y sont chaleureux et sensibles : je sais qu’ils seront nombreux à écrire à Florence et à la soutenir. Ma mère en tête qui depuis déjà des mois a convaincu ses copines de Béthune de se mobiliser ! Merci au maire de Béthune et aussi à tous mes amis d’enfance que j’ai retrouvés avec plaisir mercredi à Béthune et qui eux aussi se mobilisent pour Florence.
Lire l'article de Nord Eclair (ici).

Le maire de Béthune, Stéphane Saint-André, a souhaité profiter de l’occasion de ses vœux pour appeler les Béthunois à rejoindre l’opération « 2009 cartes de vœux pour Florence Cassez » que j’ai lancée en fin d’année.
Florence a en effet vécu dans le Béthunois.
Comme je suis natif de cette ville et en contact régulier avec Florence, le maire m’a demandé de venir témoigner avec les parents de Florence à cette cérémonie qui réunira toutes les personnalités du Béthunois.
Bien que ce ne soit pas simple étant ce mercredi à Vigneux jusqu’en fin d’après-midi, j’ai accepté de venir en début de soirée et de repartir immédiatement après pour apporter mon soutien à l’initiative de la ville de Béthune. C’est la moindre des choses et cela me donnera aussi l’occasion d’y voir, même quelques minutes, ma mère… Merci au maire de Béthune de se mobiliser pour Florence !