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santé - Page 6

  • Réunion publique ADMD à Royan à 10h

    Je continue mon périple en Charente-Maritime avec le délégué de l’ADMD François Bon.
    Ce samedi, à 10h, nous animerons une réunion publique au Palais des Congrès de Royan où je vous espère nombreux.

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  • Semaine de mobilisation de l’ADMD France du 2 au 8 mars

    Alors que le débat sur la fin de vie débutera le 10 mars à l’Assemblée nationale, l’ADMD se mobilisera dans toute la France du 2 au 8 mars.
    Nos 132 délégations feront des marchés dans tous les départements de notre pays. Il s’agit d’obtenir un large soutien des Français et d’interpeller les élus qui, en cette période électorale, sont très présents sur les marchés.
    En ce qui me concerne, je serai particulièrement mobilisé cette semaine-là : à Sèvres dans les Hauts-de-Seine le 3 mars ; à Saint Malo le 6 mars et au marché de la Porte Dorée à Paris 12 le 8 mars.

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  • Bureau national d’Elus Locaux Contre le Sida (ELCS)

    Ce soir, se déroulera le bureau national d’ELCS.

    Alors que notre association fête ses 20 ans d’existence - un anniversaire dont on se serait bien passé ! – il s’agit de faire un point sur la mobilisation contre le sida des nouveaux élus issus des élections locales de 2014 et sur les villes qui pourraient avoir le label « ville engagée contre le sida. »
    Nous préparerons aussi la soirée des 20 ans qui se déroulera le 11 juin à la mairie du 10ème arrondissement de Paris.

     

  • Réunion des délégués ADMD de la région Rhône-Alpes à Lyon

    Ce samedi, je réunis les délégués ADMD de la région Rhône-Alpes à Lyon pour faire le point de la mobilisation de notre association dans cette région et à la veille de la discussion du projet fin de vie à l’Assemblée nationale qui sera en séance publique le 10 mars prochain.

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  • 8ème semaine de moblisation de l'ADMD sur les marchés de France !

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  • Mon débat à la MJC de Mâcon dans Le Journal de Saône et Loire

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  • Conférence sur la fin de vie à la MJC de Macon

    Ce jeudi, en fin d’après-midi, je serai l’invité de la MJC de Mâcon pour une conférence sur la fin de vie.
    A quelques semaines de la discussion parlementaire sur la fin de vie, ce sera une nouvelle fois l’occasion pour moi de rappeler les revendications de l’ADMD. Cette réunion est publique.
    Renseignements : (ici)

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  • Itw pour ma réunion à la MJC de Mâcon sur la fin de vie

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  • Ma tribune sur la fin de vie pour la revue parlementaire : Pourquoi ?

    Pourquoi…
    Pourquoi vouloir par tous les moyens empêcher les Français, majeurs et capables, de maîtriser leur propre parcours de fin de vie ?
    A contrario de ce qui se fait aux Pays-Bas, en Belgique et au Luxembourg, grâce à l’administration sous contrôle d’un produit létal, et à ce que demandent très majoritairement les Français (96% selon un récent sondage), le rapport Claeys-Leonetti propose la pire des solutions lorsque la mort frappe à notre porte : la sédation.
    Car si la sédation terminale qu’ils proposent permet effectivement de hâter la survenue de la mort lorsque la mort est là, elle le fait de manière détournée et honteuse. Elle le fait de la manière la pire qui puisse exister puisqu’elle le fait sous la forme d’une anesthésie profonde, irréversible, qui s’accompagne d’un retrait total de la médecine, de sorte que le corps s’étiole lentement, privé d’alimentation et d’hydratation. Il faut parfois attendre plusieurs semaines avant que le corps ne se rende, épuisé.
    La France se grandirait pourtant en ouvrant le champ des possibles à ses citoyens majeurs et capables, en fin de vie, et en permettant à ceux qui le souhaitent et qui sont arrivés au bout de leur vie car la médecine est impuissante à les guérir de choisir une aide active à mourir, par l’administration d’un produit létal,
    Certains réagissent à cette question comme si la mort était évitable. Pourtant, il s’agit de la seule certitude de notre vie et il ne sert à rien de vouloir s’en cacher.
    Les plateaux techniques de nos hôpitaux sont devenus terriblement perfectionnés. La contrepartie à ces spectaculaires progrès de la médecine devrait être la possibilité donnée à chacun, lorsque la vie n’est plus que de la survie, d’éteindre soit même sa lumière, et pas d’une manière biaisée et détournée.
    Une loi qui consiste à faire mourir nos compatriotes de faim et de soif ne sera jamais une loi humaine et digne de notre République.

  • Mon Edito à la newsletter du Crips de février 2015

    2015 est une année tout simplement essentielle pour le Crips Île-de-France : alors, quelle sera notre feuille de route ?
    Ce sera une année où le Crips renforcera toujours plus son maillage territorial sur l’Île-de-France visant ainsi à éliminer tout désert de prévention et à réduire les inégalités territoriales. Le Bus Info Prévention et le nouveau Cybercrips en seront des outils essentiels, tant dans l’action directe que comme supports au développement des compétences des professionnels. Le travail avec les « petites » associations ainsi qu’avec les collectivités locales, en somme avec les acteurs de proximité, sera également valorisé et renforcé.
    Cette année, nous souhaitons que le Crips se situe au cœur de l’actualité : soyons plus visibles autour des festivals et des journées mondiales, soyons pro-actifs et innovants et ce, afin de pouvoir toucher au mieux le grand public et affirmer notre identité. Soyons fiers des messages que nous pouvons faire passer ! Etre au cœur de l’actualité, c’est aussi être au cœur des luttes et des défis sociétaux : salles de consommation à moindre risque, éducation thérapeutique, actions auprès des publics vulnérables, nouvelles modalités de dépistage… Le Crips est un acteur de santé, un acteur citoyen et sociétal.
    Cette année, le Crips œuvrera au-delà de ses frontières naturelles d’action que sont le territoire francilien. L’initiative 5% qui priorise la jeunesse ou la ministre de l’Outre-mer, George Pau-Langevin, qui déclare vouloir créer un Cybercrips dans chaque DOM, voilà de belles opportunités pour le Crips.
    Une année où le Crips travaillera avec les associations, toujours mieux et toujours plus, mais saura aussi multiplier les partenariats. Certains sont déjà noués notamment avec HF prévention ou Paris 2018 et bien d’autres pourraient l’être par la suite avec d’autres organismes associés notamment le Centre Hubertine Auclert, avec le Planning familial, avec les associations d’éducation populaire, les fédérations de parents d’élèves ou les universités et centres de recherche.
    Travaillons sur des synergies : ensemble, nous ne serons que plus efficaces et visons, je le redis et le redirai encore et toujours, une valeur simple qui est tout autant un but qu’un moteur : l’engagement à faire bouger les lignes !

     

     

  • Marche et meeting parisien pour l’Ultime liberté Porte de Charenton à 13h30

    On vous attend très nombreux pour le grand meeting parisien de l’ADMD qui se déroule ce samedi à 14h00 à l’Espace Charenton dans le 12ème arrondissement.
    Ce meeting sera précédé d’une courte marche qui démarrera Porte de Charenton … juste avent la station « LIBERTE » ! Tout un symbole !
    Venez nombreux à ce meeting pour réclamer aux responsables politiques notre ultime liberté !
    A ceux qui ne peuvent venir, la réunion sera diffusée en direct sur Dailymotion.

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  • Mobilisez-vous samedi 31 janvier pour notre Ultime Liberté !

    Samedi 31 janvier, à 14h15, l’ADMD organise une grande réunion publique pour réclamer notre Ultime Liberté et le respect de la proposition 21 du président François Hollande.
    Ce meeting aura lieu à l’Espace Charenton dans le 12ème arrondissement de Paris.
    Il sera précédé d’un rassemblement à la Porte de Charenton qui précède la station LIBERTE… Beau symbole !
    On vous attend nombreuses et nombreux !

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  • Rencontre avec Christophe Girard sur la fin de vie

    Ce mercredi, je rencontrerai le maire du 4ème arrondissement de Paris, Christophe Girard, pour évoquer la question de la fin de vie et les revendications de l’ADMD à quatre jours de notre grand meeting à Paris.

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  • Nous réclamons une loi de liberté, maintenant ! (Tribune pour LeFigaro.fr)

    Alors que le dossier de Vincent Lambert montre une nouvelle fois que la loi actuelle n’est pas adaptée aux situations des personnes dont les organes vitaux ont été épargnés par un accident ou une maladie et qui demandent à mourir pour ne plus connaître un destin de grabataire, alors que le dossier de Jean Mercier montre une nouvelle fois que des personnes en fin de vie et très âgées ne savent pas comment, dignement et sans brutalité, tirer leur révérence et quitter cette vie qui n’en est plus une, alors que le dossier de Nicolas Bonnemaison montre une nouvelle fois que les médecins sont désarmés devant des cas de fin de vie difficiles et ne disposent pas de moyens légaux et humains pour abréger dignement les souffrances, un nouveau débat, sans suites législatives, va s’ouvrir à l’Assemblée nationale ce mercredi 21 janvier 2015.
    Et c’est ainsi que de rapports en missions, de Jurys citoyens en avis d’experts, les pouvoirs publics jouent la montre pour ne pas prendre la seule décision qui vaille : autoriser chaque citoyen majeur et responsable, dans notre pays, à bénéficier de son ultime liberté lorsque la vie n’est plus que de la survie ; son droit d’éteindre lui-même sa propre lumière, le droit de bénéficier d’une aide active à mourir, suicide assisté ou euthanasie active. Ce droit dont nos amis néerlandais, belges, luxembourgeois disposent depuis de nombreuses années. Cette faculté accordée aux citoyens suisses. Cette loi qui existe dans plusieurs états des Etats-Unis d’Amérique.
    Cette situation serait risible, tant l’acharnement déraisonnable des gouvernements à ne rien faire est évident et signe d’une forme de lâcheté ; ce serait risible si ce n’était les gens que nous aimons et qui, durant ce temps, infiniment trop long, pâtissent de cette mauvaise mort que tout le monde reconnaît caractériser notre système mais que personne n’a l’humanité de changer.
    Ainsi donc, ce mercredi 21 janvier 2015, nos députés vont évoquer à l’Assemblée nationale la question de la fin de vie, en s’appuyant sur le rapport de MM. Claeys et Leonetti, spécialistes autoproclamés du sujet. Un débat sans vote, a-t-on annoncé… A quoi cela va-t-il servir ? Réaffirmer des principes, voire des convictions dont certaines n’ont rien à voir dans le cadre de notre République laïque ? Inutile… Le législateur n’est pas mandaté pour philosopher. Il est là pour agir et pour prendre des décisions. Il est là pour améliorer nos vies.
    Le dimanche 11 janvier dernier, les Français ont manifesté en très grand nombre pour dire « oui » à la liberté, « non » à l’immiscion de la religion dans la gouvernance de notre République et rappeler leur attachement à la laïcité.
    La loi que l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité réclame depuis 35 ans, que plébiscitent 96% des Français selon un dernier sondage, n’est pas une loi qui oblige, qui force. A l’image de la loi sur l’avortement, c’est une loi qui, suivant la seule volonté de la personne en fin de vie, permet de choisir les conditions de sa propre fin de vie. Non pas parce que nous n’aimons pas la vie et sommes des adorateurs de la mort. Non ! Simplement parce que nous aimons tellement la vie que nous ne voulons pas, lorsque celle-ci n’est plus qu’une survie rendue possible par des machines, être maintenus dans un état qui ne correspond plus à notre propre conception de notre dignité.
    Je me rappelle, en écrivant ce texte, les mots de l’actrice Maïa Simon, décédée en septembre 2007 d’un suicide assisté en Suisse, grâce à l’association Dignitas : « Moi j’ai toujours été une nomade, toujours entre deux voyages. L’extérieur, c’est le champ de découvertes, de rencontres. A partir du moment où je n’ai plus la liberté d’aller caracoler à l’extérieur, de prendre le train, de prendre l’avion, de partir, je m’étiole comme un oiseau qu’on maintient dans une cage. Même s’il siffle, il n’est pas heureux… » Frappée d’un mal incurable, Maïa Simon a préféré l’exil suisse au spectacle de sa propre déchéance.
    Mais l’exil en Suisse, payant et possible aux seules personnes encore capables de se déplacer, n’est pas la solution pour tous nos concitoyens.
    Il faut donc qu’enfin une loi républicaine accorde à chacun le droit de choisir. Une loi de liberté, une loi d’égalité et une loi de fraternité.
    Nul ne doit avoir le droit de choisir pour moi-même comment je devrai mourir. Fut-il médecin. Et je n’ai nullement le droit d’imposer à quiconque ma conception de sa propre mort. Liberté…
    Nul ne peut disposer de moyens, confidentiels et clandestins, dont d’autres, la grande majorité, seraient privés, faute de savoir ou de relations. Egalité…
    Nul, enfin, ne doit se résigner à laisser mourir un être humain, dans la souffrance et les supplications, parce que sa conviction personnelle est autrement ou que des principes obsolètes, hérités d’un autre temps, sont mal interprétés. Fraternité…
    Et à ceux qui pensent que le sujet est si compliqué qu’il faut le confier à des experts, je dis que les citoyens sont les seuls experts de leur propre vie, les meilleurs connaisseurs de leurs propres limites et de leur acceptation de la souffrance. Je leur dit que ce sujet ne souffre pas de grands principes et que chacun d’entre nous, fort de son expérience, de ce qu’il a vécu auprès de proches arrivés en fin de vie, doit savoir ce qu’il désirerait vivre lorsque ce moment inexorable de la mort sera arrivé.
    La mort est la seule certitude de notre vie. Personne ne doit plus avoir le droit de nous confisquer ce moment.
    Nous réclamons une loi d’ultime liberté, maintenant !
    Jean-Luc Romero, président de l’ADMD
    Lire sur le site du Figaro (ici).

  • Réunion Publique de l'ADMD à la mairie du 10ème arrondissement

    Ce mercredi, à 18h30, je participerai à la réunion publique de l'ADMD, organisée par son nouveau délégué Rémi Chauvet.
    Cette réunion se déroulera en présence du maire du 10ème arrondissement de Paris, Rémi Féraud et de l'adjointe à la maire de Paris, Alexandra Cordebard.

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  • Conseil d’administration du CRIPS Ile-de-France

    Ce vendredi, je présiderai le conseil d’administration du Crips Ile-de-France.
    Ce sera l’occasion de faire le bilan de la mobilisation du 1er décembre et du village associatif et de valider les actions 2015.
    Plus que jamais, la mobilisation contre le sida est essentielle dans une région qui rassemble plus de la moitié des cas de VIH/sida de tout le pays…

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  • Débat sur la fin de vie à Béziers à 18h30

    A l’invitation de l’ancien ministre Jean-Claude Gayssot, j’évoquerai la question de la fin de vie et mes positions sur le débat actuel au Centre universitaire Duguesclin ce vendredi 16 janvier à Béziers à 18h30.
    Ce débat est ouvert au public.

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  • Petit-déjeuner parlementaire sur la fin de vie

    Ce matin, j’ai invité des députés, qui s’étaient engagés en faveur de la légalisation de l’euthanasie, à discuter des futures échéances sur la fin de vie, notamment le débat sans vote du 21 janvier et la proposition des Verts discutée en fin de mois.
    Il est important de rappeler aux députés les engagements qu’ils ont pris devant les électeurs et leur demander d’amender les textes qui seront proposés par le gouvernement.

     

  • Invité de TV7 Bordeaux à 18h30

    La vie militante doit reprendre. Ce serait faire un trop beau cadeau à ces lâches terroristes que de ne plus défendre les causes auxquelles nous croyons.
    Ce soir, je reprends donc mon tour de France pour l’ADMD et avant le débat de ce soir à Bordeaux, je serai l’invité du journal de TV7 Bordeaux à 18h30.

     

  • Toi aussi, pose pour AIDES !

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