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  • 37ème AG de l'ADMD à La Rochelle

    Ce samedi, dès 9h, se déroule la 37ème AG de l'ADMD à La Rochelle.
    A cette occasion, j'ai conduit une liste renouvelée, rajeunie et paritaire pour un nouveau mandat au sein du conseil d'administration. Après une campagne où la liste opposée n'a pas hésité à désinformer - nous avons préféré ne pas répondre -, nous connaîtrons le résultat du vote de nos 70 000 adhérents en fin de matinée.

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  • Pour une loi d’humanité en fin de vie. (ma tribune dans le Huffington)

    En 2003 mourait le jeune Vincent Humbert par le geste humaniste de sa propre mère et de son médecin. Le président de la République d’alors, Jacques Chirac, n’avait pas entendu son appel : « Je vous demande le droit de mourir ».
    En 2005, comme pour étouffer l’émotion suscitée par ce drame personnel, la loi Leonetti du 22 avril introduisait le tristement célèbre « laisser mourir » et l’hypocrite double effet des analgésiques. A peine quelques mois après la promulgation de cette loi, le drame du jeune Hervé Pierra démontrait cruellement, dans ce cas, l’inefficacité de cette nouvelle loi présentée comme presque parfaite par son auteur. Depuis 3 ans, les Belges, eux, bénéficiaient de la légalisation de l’euthanasie.
    Lundi 2 octobre 2017. La fille d’Anne Bert annonce le décès de sa mère en Belgique. Anne Bert avait courageusement planifié cet ultime voyage ; elle en avait la force morale et – pour quelque temps encore – physique et les moyens. Dans sa douleur, elle savait avoir encore cette chance de pouvoir fuir, s’exiler, se réfugier dans un pays qui place le respect des consciences et des volontés au-dessus des dogmes et des principes. Durant ces mois de témoignages, jusqu’à la parution de son livre si plein de vie, Le tout dernier été, Anne Bert a fait de son combat individuel un combat collectif.
    De 2003 à 2017, combien de nos amis, de nos proches, de nos parents sont morts dans des conditions épouvantables, dans des souffrances insupportables et inadmissibles ? Et pas à cause de la fatalité, pas à cause du manque de jugement de tel ou tel médecin, mais bien parce que la loi française est inappropriée dans de nombreux cas. Il y a pourtant déjà tellement de souffrances dans ce monde, qu’il n’est pas nécessaire d’en imposer d’autres, des ultimes, comme une rédemption qui n’a pas sa place dans notre république laïque.
    Vincent Humbert, Hervé Pierra, Maïa Simon, Rémy Salvat, Chantal Sébire, Jean Mercier, Nicole Boucheton, Vincent Lambert et tellement d’autres ont tous enduré la surdité d’une partie du corps médical, celle que dénonçait le professeur Sicard dans son rapport remis au président de la République d’alors, François Hollande, en décembre 2012 ; cette partie du corps médical dont certains membres siègent sur les bancs de l’Assemblée nationale, bloquant, depuis 15 ans, toute tentative d’ouvrir à chacun des Français le droit de choisir les conditions de sa propre fin de vie.
    Combien faudra-t-il encore de drames de la fin de vie pour qu’enfin le président de la République, le premier ministre, la ministre de la santé, les parlementaires acceptent de légaliser une aide médicalisée à mourir. Comment faut-il leur parler pour leur rappeler – comme ce fut le cas dans les années soixante-dix avec l’interruption volontaire de grossesse ; comme ce fut le cas quarante ans plus tard avec le mariage pour tous – qu’un droit nouveau ne retire rien à ceux qui ne veulent pas en bénéficier et qu’une société, loin de se mettre en danger, s’enrichit des nouvelles libertés qu’elle accorde à ses citoyens. Le droit de mourir dans la dignité : un droit, évidemment, pas une obligation…
    Demain, avec la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté, avec la garantie d’un accès universel aux soins palliatifs qui, malgré les grands discours, est loin d’être assuré alors que seuls 20% des mourants qui en ont besoin en bénéficient effectivement, avec le respect de la parole du patient et la démocratie sanitaire, avec le respect des volontés et des consciences – y compris, bien sûr, celle des médecins opposés à un geste actif de délivrance – nous mettrons un terme à tant de souffrances de fin de vie, à tant de déchéances insupportables pour celles et ceux qui en sont les victimes et pour leurs proches ainsi que pour leurs soignants, à des infantilisations comme trop souvent elles sont subies dans des établissements inadaptés et sous dotés en moyens humains. Humains…
    Nous mettrons aussi fin aux graves dérives que connaît la France, car si, selon l’INED, il y a 0,8% d’euthanasies par an dans notre pays, seuls 0,2% des mourants l’ont demandée ! C'est-à-dire que 1.100 personnes ont été entendues par des médecins courageux mais 3.400 ont été aidées… sans rien avoir demandé ! Des dérives que le législateur ne veut pas voir…
    Si la mort est une évidence dont nous avons conscience depuis la petite enfance, nous ne pouvons pas nous résoudre à notre souffrance, ni à celle de ceux que nous aimons.
    Depuis 1980, l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité – qui tient sa 37ème assemblée générale à La Rochelle le samedi 14 octobre 2017, en présence d’Olivier Falorni, député de Charente-Maritime et auteur d’une nouvelle proposition sur la fin de vie (réunion publique dès 14 heures) – milite pour qu’une loi d’ultime liberté donne à chacun la maîtrise de sa propre fin de vie. Nos près de 70.000 adhérents agissent au quotidien pour sensibiliser les élus français à cette nécessité humaniste tout en apportant une entraide solidaire à toutes celles et à tous ceux qui, en l’absence d’une loi de liberté, redoutent à juste titre les fins de vie dramatiques.
    Comme l’a si bien écrit Chateaubriand, « Tout nous ramène à quelque idée de la mort, parce que cette idée est au fond de la vie. » Alors, avec Marguerite Yourcenar, essayons de mourir « les yeux ouverts ! »

  • Dîner des délégués ADMD à La Rochelle

    admd,jean luc romero,la rochelleA la veille de la 37ème Assemblée générale de l'ADMD, je retrouverai les délégués pour le traditionnel dîner amical annuel qui se déroule cette année à La Rochelle.

  • De Vincent Humbert à Anne Bert : bientôt 15 ans… (Tribune dans l'Humanité)

    En 2003 mourait le jeune Vincent Humbert par le geste humaniste de sa propre mère et de son médecin. Le président de la République d’alors, Jacques Chirac, n’avait pas entendu son appel : « Je vous demande le droit de mourir ».
    En 2005, comme pour étouffer l’émotion suscitée par ce drame personnel, la loi Leonetti du 22 avril introduisait le tristement célèbre « laisser mourir » et l’hypocrite double effet des analgésiques. A peine quelques mois après la promulgation de cette loi, le drame du jeune Hervé Pierra démontrait cruellement, dans ce cas, l’inefficacité de cette nouvelle loi. Depuis 3 ans, les Belges, eux, bénéficiaient de l’euthanasie.
    2 octobre 2017. La fille d’Anne Bert annonce le décès de sa mère en Belgique. Anne avait planifié cet ultime voyage ; elle en avait la force morale et – pour quelque temps encore – physique. Dans sa douleur, elle savait avoir encore cette chance de pouvoir s’exiler dans un pays qui place le respect des volontés au-dessus des dogmes. Durant ces mois de témoignages, Anne Bert a fait de son combat individuel un combat collectif.
    De 2003 à 2017, combien de nos proches, de nos parents sont morts dans des conditions insupportables, dans des souffrances inadmissibles ? Uniquement parce que la loi française est inappropriée dans de nombreux cas.
    Vincent Humbert, Hervé Pierra, Chantal Sébire, Jean Mercier, Vincent Lambert et tellement d’autres ont enduré la surdité d’une partie du corps médical que dénonçait le Pr. Sicard dans son rapport remis à François Hollande, en 2012 ; cette partie du corps médical dont certains membres siègent sur les bancs de l’Assemblée, bloquant, depuis 15 ans, toute tentative d’ouvrir aux Français le droit de choisir les conditions de sa propre fin de vie.
    Combien faudra-t-il encore de drames pour qu’enfin nos politiques acceptent de légaliser une aide à mourir. Comment faut-il leur rappeler – comme ce fut le cas dans les années 70 avec l’IVG ; comme ce fut le cas 40 ans plus tard avec le mariage pour tous – qu’un droit nouveau ne retire rien à ceux qui ne veulent pas en bénéficier et qu’une société s’enrichit des nouvelles libertés qu’elle accorde à ses citoyens. Le droit de mourir dans la dignité ; pas une obligation.
    Demain, avec l’aide médicale à mourir, avec un accès universel aux soins palliatifs, avec le respect de la parole du patient, nous pourrons mettre un terme aux souffrances de fin de vie, à tant de déchéances insupportables, à des infantilisations comme trop souvent elles sont subies.
    Si la mort est une évidence dont nous avons conscience depuis l’enfance, nous ne pouvons pas nous résoudre à notre souffrance, ni à celle de ceux que nous aimons.
    Depuis 1980, l’ADMD – qui tient son assemblée générale à La Rochelle le 14 octobre en présence d’Olivier Falorni, député de Charente-Maritime – milite pour qu’une loi de liberté donne à chacun la maîtrise de sa propre fin de vie. Nos près de 70.000 adhérents agissent au quotidien pour sensibiliser les élus français à cette nécessité humaniste tout en apportant une entraide solidaire à toutes celles et à tous ceux qui, en l’absence d’une loi de liberté, redoutent à juste titre les fins de vie dramatiques.

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  • Podcast du #TalkDuLundi spécial AG de l'ADMD

  • Rencontre avec Marie Fontanel, conseillère santé du Président de la République

    Ce jeudi, en fin d'après-midi, je rencontrerai Marie Fontanel, conseillère chargée de la solidarité et de la santé du président de la République pour évoquer les dossiers du sida et de la fin de vie.

  • Podcast du #LeTalkDuLundi du 2 octobre dédié à Anne Bert

  • Débat sur la fin de vie et le livre de la courageuse Anne Bert sur RMC à 15h

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    Ce mardi, à 15h00, dans M comme Maïtena sur RMC, je participerai à un débat sur la fin de vie alors que Anne Bert est enfin libérée de ses souffrances et publie demain son magnifique livre "Le tout dernier été".

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  • Le tout dernier été, de Anne Bert, un hymne bouleversant à la vie et à la liberté !

    Je ne vais pas vous mentir : on ne sort pas indemne de la lecture du beau livre de Anne Bert, qu’elle a intitulé Le tout dernier été. C’est un ouvrage qui interpelle forcément, émeut souvent et, bien sûr, peut déranger nos certitudes...
    Mais, au final, c’est un sentiment de sérénité et d’amour de la vie qui vous envahit dès que vous fermez la dernière page de ce merveilleux journal.
    Je n’ai rencontré qu’une seule fois Anne Bert. C’était au retour de mes vacances d’été, sur une belle terrasse ensoleillée de Saint-Germain-des-Prés. Elle venait d’enregistrer une interview pour Marc-Olivier Fogiel. Pour notre seule rencontre, je l’ai trouvée incroyablement drôle, sereine et si pleine de vie malgré cette horrible maladie qui la handicapait déjà tant... Déjà trop !
    Dans les nombreux messages que nous échangerons en août et début septembre, elle montrera toujours une vraie sérénité et une sacrée dignité. Et toujours une bonne dose d’humour !
    Ce livre, qu’elle m’a fait gentiment envoyer par sa maison d’édition (Fayard), je l’ai lu d’une seule traite dans l’Eurostar qui m’emmenait récemment à Londres.
    Dans ce journal, j’ai retrouvé une vraie amoureuse de la vie. De la « vraie vie » ! Elle nous raconte toujours avec une grande élégance et sans pathos ce dernier été, celui de tous les adieux.
    C’est bien sûr nostalgique : qui ne le serait pas, connaissant la date exacte de sa propre mort ?
    Ce livre, c’est en fait une sorte d’ultime balade.
    Bien sûr, la révolte y est sous-jacente, mais la jouissance de ce dernier été est bien là aussi... Ah ! son jardin, les senteurs, ses animaux, cette nature qui lui survivront... quelle belle description elle en fait ! Son mari, sa fille, les êtres aimés...
    Bien sûr, Anne explique sa décision de partir en Belgique, mais elle n’impose rien à personne. C’est son choix. D’autres peuvent en faire d’autres. Elle ne juge jamais…
    Au début de nos échanges, elle m’avait dit : « Vous savez Jean-Luc, je suis adhérente à l’ADMD, mais je ne suis pas une militante. Je ne l’ai jamais été. » Et je lui avais répondu : « Vous êtes la plus efficace non militante que j’ai connue !» Ça l’avait fait rire. Depuis, je l’appelais affectueusement « ma non militante ». Comme elle le souhaitait, son livre n’est donc pas militant au sens premier du terme, mais il donnera forcément à réfléchir à nombre de celles et de ceux qui sont emplis de certitudes. A celles et à ceux qui prétendent que notre mort ne nous appartient pas. Pour une non militante, elle aura apporté une pierre déterminante au débat sur la fin de vie. Incontestablement…
    N’ayez pas peur de le lire, car ce livre nous enrichit et nous élève. Vraiment…
    Vous ne retiendrez de ce « tout dernier été » qu’un hymne exceptionnel à la vie et à la liberté écrit par une femme lumineuse et terriblement attachante.
    Merci Anne Bert...
    Je suis ravi de vous avoir rencontrée. Votre souvenir et votre enseignement se prolongeront au-delà de votre mort, ce lundi 2 octobre 2017…

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  • RDV avec le député Mohamed Laqhila sur la fin de vie

    Ce jeudi, je rencontrerai le député de la 11ème circonscription des Bouches-du-Rhône pour parler de la fin de vie et de la nécessité d'une loi d'Ultime Liberté.
    En effet, depuis le début de la nouvelle législature, j'ai écrit en tant que président de l'ADMD à tous les députés pour les interpeller. L'appel courageux d'Anne Bert n'a fait que confirmer l'urgence de légiférer...
    Beaucoup de parlementaires m'ont répondu favorablement et j'en rencontre régulièrement comme il y a encore quelques jours la députée des Hauts-de-Seine, Frédérique Dumas. Hier, je devais aussi avoir une réunion avec le président du groupe LREM hier mais ce rdv a dû être repoussé. J'espère qu'il sera vite recalé.
    Il est aussi important que tous les militants d'une fin de vie choisie se mobilisent et c'est aussi pour cela que, dès juillet, l'ADMD a envoyé un modèle de courrier à faire parvenir à nos députés. La mobilisation est donc urgente et vous pouvez compter sur moi pour tenter de convaincre sans relâche nos représentants...
    Cette loi, nous devons l'avoir et nous l'aurons !

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  • Retrouvez le podcast de #LeTalkDuLundi ...

  • Débat fin de vie au 7ème congrès international de la Libre Pensée

    Ce samedi, à 14h30, à la mairie du 10ème arrondissement, j'interviendrai sur la fin de vie au 7ème Congrès international de la Libre Pensée.
    L'ADMD est très reconnaissante à La Libre Pensée de nous soutenir régulièrement dans le combat pour la légalisation de l'euthanasie et du suicide assisté. C'est donc avec plaisir que je me rendrai à leur congrès.

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  • Retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi à 12h sur Périscope !

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  • Retrouvez-moi à Annecy pour une réunion publique ADMD à 10h00 !

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  • Replay de #LeTalkDuLundi du 11 septembre

  • Retrouvez-moi à Annecy pour une réunion publique ADMD samedi 16 septembre à 10h

    Avec notre délégué Cyril Journel, je serais très heuruex de vous retrouver pour une réunion ADMD à Annecy à 10h samedi prochain !
    Réservez votre matinée...

  • Retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi à 12h sur Périscope !

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  • Retrouvez l'ADMD Paris 12 au Forum des associations

    Je serai présent au Forum des associations de Paris 12 à double titre. En tant qu'adjoint à la maire chargé de la culture d'abord. Et ensuite, en ma qualité de délégué ADMD de cet arrondissement. Je vous attends donc nombreuses et nombreux dans notre stand à partir de 10h...

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  • Retrouvez-moi dans #LeTalkDuLundi à 12h sur Périscope !

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  • Adhérents ADMD, mobilisons-nous pour notre Ultime Liberté !

    Chères amies, chers amis,
    Une nouvelle proposition de loi « portant sur la fin de vie dans la dignité » a été déposée durant l’été par notre ami Jean-Louis Touraine, député du Rhône et soutien fidèle de l’ADMD. Cette proposition a déjà été signée par plus de 40 députés. Jean-Louis Touraine, avec qui je me suis entretenu au téléphone en début de semaine, va solliciter l’ensemble des 577 députés afin de soutenir cette PPL. Je lui ai indiqué que nous allions l’aider pour cette mobilisation…
    Cette initiative est l’occasion, comme je l’ai déjà fait à la fin du mois de juillet, de mener une opération massive de sensibilisation à notre revendication de nos gouvernants ainsi que de la représentation nationale.
    Je vous invite donc à continuer à interpeller le premier ministre, Edouard Philippe, ainsi que le président du Comité consultatif national d’éthique, le professeur Jean-François Delfraissy. 
    Par ailleurs – et je remercie ceux qui, nombreux, l’ont déjà fait – ne manquez pas de continuer à écrire à vos députés, selon le modèle proposé ou selon tout autre texte à votre convenance.
    Je compte sur vous et vous souhaite une belle fin d’été.

    Jean-Luc Romero
    Président bénévole de l’ADMD

    (Vous pouvez continuer à voter par correspondance pour le renouvellement de notre conseil d’administration lors de la 37e assemblée générale ; si toutefois vous n’aviez pas reçu le matériel de vote inclus dans le Journal n°141, demandez-le au secrétariat de l’ADMD au 01 48 00 04 16 ou à infos@admd.net )