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Euthanasie, ADMD et WFRtDS - Page 89

  • 8ème semaine de moblisation de l'ADMD sur les marchés de France !

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  • Mon débat à la MJC de Mâcon dans Le Journal de Saône et Loire

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  • Réunion fin de vie à Montigny-lès-Cormeilles organisée par le député Carpentier

    Ce lundi, à 19h00, à l’initiative du député-maire de Montigny-lès-Cormeilles, je débattrai sur la fin de vie à l’espace Léonard-de-Vinci à Montigny-lès-Cormeilles. Cette réunion est bien sûr publique.

  • Conférence sur la fin de vie à la MJC de Macon

    Ce jeudi, en fin d’après-midi, je serai l’invité de la MJC de Mâcon pour une conférence sur la fin de vie.
    A quelques semaines de la discussion parlementaire sur la fin de vie, ce sera une nouvelle fois l’occasion pour moi de rappeler les revendications de l’ADMD. Cette réunion est publique.
    Renseignements : (ici)

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  • Itw pour ma réunion à la MJC de Mâcon sur la fin de vie

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  • Ma tribune sur la fin de vie pour la revue parlementaire : Pourquoi ?

    Pourquoi…
    Pourquoi vouloir par tous les moyens empêcher les Français, majeurs et capables, de maîtriser leur propre parcours de fin de vie ?
    A contrario de ce qui se fait aux Pays-Bas, en Belgique et au Luxembourg, grâce à l’administration sous contrôle d’un produit létal, et à ce que demandent très majoritairement les Français (96% selon un récent sondage), le rapport Claeys-Leonetti propose la pire des solutions lorsque la mort frappe à notre porte : la sédation.
    Car si la sédation terminale qu’ils proposent permet effectivement de hâter la survenue de la mort lorsque la mort est là, elle le fait de manière détournée et honteuse. Elle le fait de la manière la pire qui puisse exister puisqu’elle le fait sous la forme d’une anesthésie profonde, irréversible, qui s’accompagne d’un retrait total de la médecine, de sorte que le corps s’étiole lentement, privé d’alimentation et d’hydratation. Il faut parfois attendre plusieurs semaines avant que le corps ne se rende, épuisé.
    La France se grandirait pourtant en ouvrant le champ des possibles à ses citoyens majeurs et capables, en fin de vie, et en permettant à ceux qui le souhaitent et qui sont arrivés au bout de leur vie car la médecine est impuissante à les guérir de choisir une aide active à mourir, par l’administration d’un produit létal,
    Certains réagissent à cette question comme si la mort était évitable. Pourtant, il s’agit de la seule certitude de notre vie et il ne sert à rien de vouloir s’en cacher.
    Les plateaux techniques de nos hôpitaux sont devenus terriblement perfectionnés. La contrepartie à ces spectaculaires progrès de la médecine devrait être la possibilité donnée à chacun, lorsque la vie n’est plus que de la survie, d’éteindre soit même sa lumière, et pas d’une manière biaisée et détournée.
    Une loi qui consiste à faire mourir nos compatriotes de faim et de soif ne sera jamais une loi humaine et digne de notre République.

  • Mon discours au Grand Meeting de l'ADMD à Paris 12 (vidéo YouTube)

  • Mon discours à l'Espace Charenton au meeting ADMD

    Chers amis,
    Aujourd’hui, nous sommes à un tournant de la vie de notre association. Trente-cinq ans après sa création, alors que nous comptons plus de 60.000 adhérents actifs – plus de 12.000 nouveaux adhérents en un an, du jamais vu en 35 ans d’existence ! – alors que nous n’avons jamais été aussi visibles médiatiquement et entendus politiquement, nous sommes confrontés à un véritable coup de Jarnac.

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    En effet, alors que nous avons à l’Elysée un président de la République qui s’est engagé en faveur de l’aide médicalisée à mourir – mais c’était en 2012 – alors que nous avons un premier ministre dont on sait qu’il est favorable à la légalisation de l’euthanasie – mais c’était en 2009 – alors que notre revendication reçoit un taux d’approbation inédit chez les Français et jamais égalé, ni sur ce sujet auparavant, ni sur un autre sujet de société (rendez-vous compte, 96% des Français se disent favorables à la légalisation de l’euthanasie, voire 97% chez les Français âgés de plus de 65 ans !), alors que même les médecins sont aujourd’hui majoritairement convaincus du bien fondé de notre revendication puisque 60% approuveraient le recours à l’euthanasie, nous sommes aujourd’hui devant un mur et nous ne savons pas ce qu’il cache.
    Jean Leonetti, insubmersible député des Alpes-Maritimes et maire d’Antibes, spécialiste autoproclamé de la fin de vie, opposant politique au président de la République, devient l’homme qui murmure à l’oreille des chevaux. Et c’est ainsi qu’il refait le coup de 2005 – mais il appartenait à l’époque à la majorité – en nous présentant un texte de loi tout miel, tout en bons sentiments et en angélisme, expliquant que tuer c’est mal, qu’accompagner c’est bien et qu’accessoirement, faire dormir les gens puis les déshydrater et les dénutrir pour les faire mourir ce n’est pas si grave car, voyez-vous, il n’y a pas d’intention de donner la mort.
    Certes, il y a bien des parlementaires pour rappeler que la sédation existe déjà par le décret du 29 janvier 2010 et bien des parlementaires pour dénoncer une loi aux effets parfois barbares et contraires à la dignité des patients. Mais qui a déjà demandé un bilan des dix années de la loi Leonetti ? Dix années d’échec. La loi ne fonctionne pas. L’acharnement thérapeutique existe toujours. Des euthanasies clandestines se réalisent. Des lits sont libérés en arrêtant des respirateurs, les soins palliatifs sont toujours en nombre très insuffisants… De plus, l’actualité nous enseigne que la sédation qui a été appliquée à Vincent Lambert, une première fois avant d’être réveillé, a duré 31 jours et qu’au bout de ces 31 jours, il était toujours en vie… En survie, devrais-je dire. Certes, des militants revendiquent le droit, lorsque la mort frappe à notre porte, de renoncer à l’acharnement thérapeutique, de renoncer à l’agonie, et d’obtenir une véritable aide, avec l’administration d’un produit létal comme cela se fait déjà aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg et en Suisse.
    Aussi, je suis en colère. En colère devant le marché de dupe qui nous est proposé. On nous dit « Acceptez cette amélioration de la loi Leonetti. C’est un pas en avant. C’est toujours cela de pris. C’est mieux que rien. »

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    Mais, chers amis, de réformettes en mesurettes, du laisser mourir au faire dormir, il a fallu 10 années, de 2005 à 2015. Si nous marchons dans ce sens – en dehors d’avoir le sentiment de trahir nos anciens, de trahir notre ancienne vice-présidente Nicole Boucheton qui a dû s’exiler en Suisse pour mourir dignement, de trahir Mireille Jospin, de trahir Chantal Sébire, de trahir Hervé Pierra, de trahir Rémy Salvat, de trahir Vincent Humbert, et de trahir toutes celles et tous ceux que nous aimons et qui sont morts en souffrant parce que notre loi sur la fin de vie est indifférente à la compassion et au respect des volontés – si nous marchons dans ce sens, disais-je, combien d’entre nous seront morts à leur tour le jour où, enfin, parce que nous avons soif de liberté, nous obtiendrons ce droit légitime de choisir nous-mêmes le moment d’éteindre notre propre lumière ? Entre les personnes âgées et les malades dont je suis, qui restera-t-il pour profiter de cette loi que nous réclamons ? Peu d’entre nous, je le crains.

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  • Marche et meeting parisien pour l’Ultime liberté Porte de Charenton à 13h30

    On vous attend très nombreux pour le grand meeting parisien de l’ADMD qui se déroule ce samedi à 14h00 à l’Espace Charenton dans le 12ème arrondissement.
    Ce meeting sera précédé d’une courte marche qui démarrera Porte de Charenton … juste avent la station « LIBERTE » ! Tout un symbole !
    Venez nombreux à ce meeting pour réclamer aux responsables politiques notre ultime liberté !
    A ceux qui ne peuvent venir, la réunion sera diffusée en direct sur Dailymotion.

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  • 34èmes journées des délégués de l’ADMD

    Ce samedi, après le conseil d’administration s’ouvrent les 34èmes journées des délégués de l’ADMD, à Pantin, en Seine-Saint-Denis.
    Ce moment de formation et d’échanges annuel revêt une importance particulière alors que nous sommes en plein débat national sur la fin de vie.
    Les 132 délégués de notre association, qui réunit désormais plus de 60 000 adhérents, font un travail remarquable sur le terrain pour mobiliser les Français et les élus autour de notre cause.

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  • Conseil d’administration de l’ADMD

    Ce matin, je présiderai le conseil d’administration de l’ADMD qui se déroulera à Bagnolet.
    L’occasion pour nous de débattre des sujets internes de l’association mais surtout d’affiner notre stratégie à quelques semaines d’un nouveau texte sur la fin de vie au Parlement.

     

  • L’invité de TV5 Monde à 18h50

    Ce jeudi, je suis l’invité de TV5 Monde et de Patrick Simonin sur la question de la fin de vie.
    Ce sera pour moi l’occasion d’évoquer bien sûr Vincent Lambert et le refus de François Hollande de légaliser l’euthanasie sans oublier la mobilisation de l’ADMD pour convaincre les députés de respecter leurs engagements de campagne sur la fin de vie.

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  • Mobilisez-vous samedi 31 janvier pour notre Ultime Liberté !

    Samedi 31 janvier, à 14h15, l’ADMD organise une grande réunion publique pour réclamer notre Ultime Liberté et le respect de la proposition 21 du président François Hollande.
    Ce meeting aura lieu à l’Espace Charenton dans le 12ème arrondissement de Paris.
    Il sera précédé d’un rassemblement à la Porte de Charenton qui précède la station LIBERTE… Beau symbole !
    On vous attend nombreuses et nombreux !

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  • Rencontre avec Christophe Girard sur la fin de vie

    Ce mercredi, je rencontrerai le maire du 4ème arrondissement de Paris, Christophe Girard, pour évoquer la question de la fin de vie et les revendications de l’ADMD à quatre jours de notre grand meeting à Paris.

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  • Une semaine de mobilisation pour la fin de vie !

    Cette semaine comprendra plusieurs temps forts sur le débat de la fin de vie.
    La semaine dernière, on a assisté à un débat sans vote à l’Assemblée nationale qui a, une fois de plus, montré les atermoiements du gouvernement sur la question du droit de mourir dans la dignité.
    En attendant la discussion du texte de M. Leonetti en mars prochain, deux temps forts auront lieu cette semaine autour de cette question.
    D’abord, la discussion de la proposition de loi du groupe Europe-Ecologie/Les-Verts jeudi prochain.
    Ensuite, les journées des délégués de l’ADMD du 30 au 31 janvier 2015 avec une manifestation le 31 janvier à 13h30 Porte de Charenton suivi d’un grand meeting à 14h00 à l’Espace Charenton à Paris.
    Je reviendrai ces jours-ci sur ces temps forts mais je compte sur vous pour notre mobilisation du 31 janvier. Nous devons être nombreux à réclamer notre Ultime Liberté ! 

     

  • La réunion de Beziers avec J.C. Gayssot dans Midi Libre

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  • Rencontre avec Damien et Nicolas Delmer

    Ce vendredi, avec Christophe Michel, co-président de la commission Jeunes de l’ADMD, j’irai rencontrer Damien Delmer autre co-président de notre commission.
    Damien, atteint d’une grave maladie ne peut plus venir ces temps-ci à Paris mais continue à militer et à agir pour le droit de mourir dans la dignité. Avec son frère Nicolas, ils sortent un livre à la fin du mois.

     

  • Nous réclamons une loi de liberté, maintenant ! (Tribune pour LeFigaro.fr)

    Alors que le dossier de Vincent Lambert montre une nouvelle fois que la loi actuelle n’est pas adaptée aux situations des personnes dont les organes vitaux ont été épargnés par un accident ou une maladie et qui demandent à mourir pour ne plus connaître un destin de grabataire, alors que le dossier de Jean Mercier montre une nouvelle fois que des personnes en fin de vie et très âgées ne savent pas comment, dignement et sans brutalité, tirer leur révérence et quitter cette vie qui n’en est plus une, alors que le dossier de Nicolas Bonnemaison montre une nouvelle fois que les médecins sont désarmés devant des cas de fin de vie difficiles et ne disposent pas de moyens légaux et humains pour abréger dignement les souffrances, un nouveau débat, sans suites législatives, va s’ouvrir à l’Assemblée nationale ce mercredi 21 janvier 2015.
    Et c’est ainsi que de rapports en missions, de Jurys citoyens en avis d’experts, les pouvoirs publics jouent la montre pour ne pas prendre la seule décision qui vaille : autoriser chaque citoyen majeur et responsable, dans notre pays, à bénéficier de son ultime liberté lorsque la vie n’est plus que de la survie ; son droit d’éteindre lui-même sa propre lumière, le droit de bénéficier d’une aide active à mourir, suicide assisté ou euthanasie active. Ce droit dont nos amis néerlandais, belges, luxembourgeois disposent depuis de nombreuses années. Cette faculté accordée aux citoyens suisses. Cette loi qui existe dans plusieurs états des Etats-Unis d’Amérique.
    Cette situation serait risible, tant l’acharnement déraisonnable des gouvernements à ne rien faire est évident et signe d’une forme de lâcheté ; ce serait risible si ce n’était les gens que nous aimons et qui, durant ce temps, infiniment trop long, pâtissent de cette mauvaise mort que tout le monde reconnaît caractériser notre système mais que personne n’a l’humanité de changer.
    Ainsi donc, ce mercredi 21 janvier 2015, nos députés vont évoquer à l’Assemblée nationale la question de la fin de vie, en s’appuyant sur le rapport de MM. Claeys et Leonetti, spécialistes autoproclamés du sujet. Un débat sans vote, a-t-on annoncé… A quoi cela va-t-il servir ? Réaffirmer des principes, voire des convictions dont certaines n’ont rien à voir dans le cadre de notre République laïque ? Inutile… Le législateur n’est pas mandaté pour philosopher. Il est là pour agir et pour prendre des décisions. Il est là pour améliorer nos vies.
    Le dimanche 11 janvier dernier, les Français ont manifesté en très grand nombre pour dire « oui » à la liberté, « non » à l’immiscion de la religion dans la gouvernance de notre République et rappeler leur attachement à la laïcité.
    La loi que l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité réclame depuis 35 ans, que plébiscitent 96% des Français selon un dernier sondage, n’est pas une loi qui oblige, qui force. A l’image de la loi sur l’avortement, c’est une loi qui, suivant la seule volonté de la personne en fin de vie, permet de choisir les conditions de sa propre fin de vie. Non pas parce que nous n’aimons pas la vie et sommes des adorateurs de la mort. Non ! Simplement parce que nous aimons tellement la vie que nous ne voulons pas, lorsque celle-ci n’est plus qu’une survie rendue possible par des machines, être maintenus dans un état qui ne correspond plus à notre propre conception de notre dignité.
    Je me rappelle, en écrivant ce texte, les mots de l’actrice Maïa Simon, décédée en septembre 2007 d’un suicide assisté en Suisse, grâce à l’association Dignitas : « Moi j’ai toujours été une nomade, toujours entre deux voyages. L’extérieur, c’est le champ de découvertes, de rencontres. A partir du moment où je n’ai plus la liberté d’aller caracoler à l’extérieur, de prendre le train, de prendre l’avion, de partir, je m’étiole comme un oiseau qu’on maintient dans une cage. Même s’il siffle, il n’est pas heureux… » Frappée d’un mal incurable, Maïa Simon a préféré l’exil suisse au spectacle de sa propre déchéance.
    Mais l’exil en Suisse, payant et possible aux seules personnes encore capables de se déplacer, n’est pas la solution pour tous nos concitoyens.
    Il faut donc qu’enfin une loi républicaine accorde à chacun le droit de choisir. Une loi de liberté, une loi d’égalité et une loi de fraternité.
    Nul ne doit avoir le droit de choisir pour moi-même comment je devrai mourir. Fut-il médecin. Et je n’ai nullement le droit d’imposer à quiconque ma conception de sa propre mort. Liberté…
    Nul ne peut disposer de moyens, confidentiels et clandestins, dont d’autres, la grande majorité, seraient privés, faute de savoir ou de relations. Egalité…
    Nul, enfin, ne doit se résigner à laisser mourir un être humain, dans la souffrance et les supplications, parce que sa conviction personnelle est autrement ou que des principes obsolètes, hérités d’un autre temps, sont mal interprétés. Fraternité…
    Et à ceux qui pensent que le sujet est si compliqué qu’il faut le confier à des experts, je dis que les citoyens sont les seuls experts de leur propre vie, les meilleurs connaisseurs de leurs propres limites et de leur acceptation de la souffrance. Je leur dit que ce sujet ne souffre pas de grands principes et que chacun d’entre nous, fort de son expérience, de ce qu’il a vécu auprès de proches arrivés en fin de vie, doit savoir ce qu’il désirerait vivre lorsque ce moment inexorable de la mort sera arrivé.
    La mort est la seule certitude de notre vie. Personne ne doit plus avoir le droit de nous confisquer ce moment.
    Nous réclamons une loi d’ultime liberté, maintenant !
    Jean-Luc Romero, président de l’ADMD
    Lire sur le site du Figaro (ici).

  • Réunion Publique de l'ADMD à la mairie du 10ème arrondissement

    Ce mercredi, à 18h30, je participerai à la réunion publique de l'ADMD, organisée par son nouveau délégué Rémi Chauvet.
    Cette réunion se déroulera en présence du maire du 10ème arrondissement de Paris, Rémi Féraud et de l'adjointe à la maire de Paris, Alexandra Cordebard.

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