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  • Mon itw sur la fin de vie dans La Nouvelle République

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  • Visite de Ex International à Berne

    Ce samedi matin, je continue mon déplacement pour rencontrer les associations suisses d'aide au suicide assisté.
    Ce matin, je rencontrerai avec Jacqueline Jencquel, vice présidente de l'ADMD, Madeleine Schleiss, présidente de Ex international, à Berne. Nous visiterons les locaux de cette association qui accueille des étrangers en fin de vie qui souhaitent bénéficier d'un suicide assisté. De plus en plus de Français font appel aux associations suisses.

  • Rencontres sur le suicide assisté à Genève

    Ce vendredi, à Genève, je rencontrerai la présidente et le vice-président de la nouvelle association d'aide au suicide assisté Liberty Life. Cette association accueille aussi des étrangers qui ne peuvent mourir comme ils le souhaitent dans leur pays...
    Je rencontrerai aussi Elke Baezner, présidente de al grande association allemande, DGHS, qui est présente ce jour à Genève.

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  • Lancement de la nouvelle version de l'application TUP

    Ce jeudi, à la mairie du 4ème arrondissement, j'interviendrai au lancement de la nouvelle version de l'application TUP, portail de santé sexuelle 2.0. C'est l'association HF Prévention qui en est à l'origine et la journaliste Marina Carrère d'Encausse est la marraine de ce beau projet.

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  • A lire dans la Nouvelle République de ce 9 mars 2016

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  • Débat sur la fin de vie à Paris 2

    Ce mercredi, à 19H45, à l'invitation de la mairie du 2ème arrondissement de Paris et la conseillère de Paris, Véronique Levieux, j'animerai, avec Stone, déléguée ADMD du 2ème ardt, une réunion sur la fin de vie à la mairie.
    Cette réunion est ouverte à toutes et à tous !

     

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  • Lettre ouverte à Philippe Barbarin (tribune sur le Huffington Post)

    Lettre ouverte à Monseigneur Philippe Barbarin, archevêque de Lyon

     

     

    Monsieur l’Archevêque,

    Je ne comprends pas. Je ne comprends plus. Durant des mois, lors des manifestations contre le Mariage pour tous, vous avez défilé contre l’égalité des droits au motif que vous, mieux que d’autres, sauriez ce que serait l’intérêt supérieur de l’enfant. Durant des mois, vous avez pris la tête de cortèges dans lesquels des femmes et des hommes, souvent violemment, parfois vulgairement, ont expliqué que des couples de personnes de même sexe ne sauraient rendre heureux et participer à l’épanouissement d’un enfant… Pendant des mois, vous avez dit où se trouverait le bien et le mal.

    Et voici qu’aujourd’hui nous apprenons que vous êtes accusé d’avoir recouvert d’une chape de plomb des actes graves commis par l’un des vôtres à l’égard des enfants, ceux-là même que vous expliquiez vouloir protéger. Enfant, j’ai subi la pédophilie et je sais à quel point cela est destructeur pour de jeunes enfants.

    Comment auriez-vous pu couvrir de tels actes ?

    Je ne vois que deux explications.

    La première, est que vous pensiez que se livrer à des attouchements sexuels sur des enfants n’est pas répréhensible. Je ne l’imagine pas. Je ne crois pas en vous, en votre parole, en votre aveuglement, mais je ne crois pas dans une telle folie, je ne crois pas dans une telle barbarie venant de votre part. J’en suis sûr, même.

    La seconde est que vous croyez que votre église vaut mieux et plus que notre République, et que vous vous érigez en suzerain. Avec votre supériorité, vous écoutez, vous jugez, vous conseillez et vous pardonnez comme bon vous semble. Le dogme de l’infaillibilité pontificale ayant été abandonné, vous inventez celui de l’infaillibilité cardinale. Et votre église valant mieux, selon vous, que notre République, vous auriez décidé de vous extraire de la loi et de ne pas rapporter à la justice les actes criminels dont vous avez connaissance.

    Monsieur le Cardinal, je me suis exclu de votre église depuis bien longtemps. Pourtant, ancien enfant de coeur, la religion catholique a accompagné mon enfance. M'a éduqué. M'a aidé dans les moments difficiles de ma jeunesse. J'aurais pu poursuivre ma route avec l’Eglise de mon enfance. Je me suis exclu de votre église car trop de vos ministres se sont éloignés de l'Amour, de la Tolérance, de la Fraternité qui m'avaient été enseignées. J'ai dû chercher et trouver l'Amour, la Tolérance et la Fraternité ailleurs. Comme beaucoup d'autres personnes, si j'en juge par le vide de vos églises.

    Aujourd’hui, la justice de notre République vous rappelle que votre église n’est pas universelle. Votre église n’est qu’une association singulière de femmes et d’hommes et n’a pas le pouvoir de s’affranchir de celle qui lui donne ses droits, de celle qui la protège, de celle qui lui donne sa liberté d’exercice, de celle qui est le socle commun des femmes et des hommes de notre pays. Je nomme ainsi la République... La République laïque.

    Monsieur le Cardinal, je n’ai pas pour habitude de me réjouir du malheur des Hommes. Mais je dois dire mon espoir que vous répondiez – je l’espère de vous-même – non pas à une justice divine qui reste à démontrer, mais à une justice bien réelle, celle des hommes, celle de notre République. Mais aussi à celles et ceux qui ont été les victimes de ces actes.

    Monsieur le Cardinal, vous qui prétendiez que deux personnes de même sexe ne sont pas capables d’élever un enfant, vous devez répondre aujourd’hui de « non dénonciation de crimes » commis à l’encontre d’enfants. Vous devez vraiment vous expliquer.

    Si vous êtes innocent de ce qui vous est aujourd’hui reproché par des victimes et je l’espère sincèrement – la charité chrétienne reste une valeur pour moi – j’espère au moins que vous apprendrez l’humilité et que vous vous direz que vous n’êtes pas forcément le mieux qualifié pour parler de l’intérêt de l’enfant.

    Je vous prie de croire, monsieur le Cardinal, à l'expression de ma considération attristée.

    Jean-Luc Romero-Michel

     

  • Lancement du Sidaction 2016 !

    Ce lundi soir, Line Renaud et Pierre Bergé lancement la mobilisation pour le Sidaction 2016 qui se déroulera à la fin du mois.
    Alors que jamais autant de gens n'ont vécu avec le VIH/sida, il est urgent de se remobiliser pour la prévention mais aussi pour soutenir les personnes vivant avec ce virus. On compte sur vous !

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  • "Pas vu à la télé" avec Jean-Luc Mélenchon sur la fin de vie


  • Rencontre avec Damien et Nicolas Delmer

    Ce samedi, je passerai la journée avec Damien et Nicolas Delmer.
    Damien était jusqu'à récemment co-responsable des Jeunes de l'ADMD avec Christophe Michel. Ayant dépassé l'âge limite, il a passé la main.
    Mais Damien, tout comme son frère Nicolas, sont de grands militants de notre combat. Ils sont tous les deux atteints d'une maladie incurable et ont publié, il y a quelques mois, un livre émouvant.
    Je suis heureux de revoir ces jeunes militants qui tout en se battant pour al vie, refusent dès à présent, d'être obligés, un jour,n de survivre contre leur volonté.

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  • Mon Edito au journal de l'ADMD : ne pas se démobiliser !

    Dans un changement éthique et sociétal aussi profond que celui induit par la légalisation de l’euthanasie et le suicide assisté, il y a trois batailles à mener : celle de l’opinion publique, celle des soignants et celle des élus :

    • L’opinion publique porte des valeurs, manifeste, réclame et revendique.
    • Les soignants posent des actes encore illégaux et font pression sur leur Ordre.
    • Les élus votent les lois et mettent en forme la revendication.

    L’ADMD et les militants pour le droit de mourir dans la dignité ont déjà remporté une bataille de façon très nette. Celle de l’opinion publique. Selon les différents sondages, entre 90 et 96% des Français sont favorables à la légalisation de l’euthanasie et le suicide assisté (ce sont ces mots que comprend l’opinion publique, et aucun autre…).

    Par l’agrément obtenu initialement en 2006 pour la représentation des usagers du système de santé dans les instances hospitalières ou de santé publique, par le travail des représentants de l’ADMD, par le travail fait auprès des médecins, des infirmiers et des étudiants de ces deux professions, le corps des soignants est devenu pour la première fois, en janvier 2013, majoritairement favorable à notre revendication. Des médecins se déclarent favorables à la légalisation de l’euthanasie et/ou du suicide assisté, d’autres pratiquent des gestes ou assistent. Et il n’y a pas si longtemps, le président du Conseil national de l’Ordre des médecins que j’ai rencontré indiquait qu’à la condition qu’elle ne soit pas « médicalisée », il n’était pas opposé à l’aide active à mourir. Notre Fichier national des directives anticipées est régulièrement interrogé par des médecins pour connaître les volontés de leurs patients. Le ministère de la santé comme la HAS nous sollicitent régulièrement…

    Enfin, il reste à gagner la bataille des élus. Pourtant, jamais, depuis quelques années, la question de l’aide active à mourir n’a été autant débattue à l’Assemblée nationale et au Sénat : plusieurs propositions de loi ont suivi un beau parcours législatif. En 2009, une proposition de loi presque parfaite était discutée en séance publique à l’Assemblée nationale. Pour la première fois, dans un programme présidentiel, cette question y figurait puis a occupé plusieurs années d’un quinquennat inachevé. Certes, ce processus n’a pas abouti – pas encore – de la façon que nous souhaitions.

    Notre association est arrivée à un point qu’elle n’a jamais atteint, tant en terme de notoriété que de puissance médiatique, financière et militante.
    Nous devons continuer à agir et rester mobilisés, même si la déception existe…

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  • Retrouvez-moi pour une réunion fin de vie le 9 mars à 19h45 à Paris 02 !

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  • Merci aux personnalités qui ont signé l'appel de l'ADMD §

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  • Appel de personnalités pour le Droit de Mourir dans la Dignité !

    Communiqué de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité :
    De nombreuses personnalités en faveur d’une loi de liberté

     

    De nombreuses personnalités se sont réunies en collectif à l’initiative de Jean-Luc Romero, président de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), pour redire haut et fort leur profonde insatisfaction à la suite de l’adoption de la loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie. Les noms des premiers signataires* ont été publiés en couverture du Journal n°136 de l’association, diffusé ce jour.
    Artistes, responsables politiques, écrivains…, tous sont intimement convaincus de la nécessité absolue de légiférer en faveur d’une loi de Liberté légalisant enfin l’euthanasie et le suicide assisté.
    Ensemble, ils demandent au Président de la République, au Gouvernement et au Parlement d’entendre enfin les attentes de plus de 90% des Français qui se sont prononcés en faveur d’une loi permettant à chacun, selon ses propres volontés, de mourir dans la dignité.
    Comme déjà plusieurs pays d’Europe, il est temps que la France permette à ses concitoyens de choisir leur fin de vie, grâce à un accès universel aux soins palliatifs, à l’euthanasie active ou encore au suicide assisté, respectant ainsi leurs volontés et celle de leurs proches.
    Pour Jean-Luc Romero, pour les 66.000 adhérents de l’ADMD et pour les nombreuses personnes qui les soutiennent, le combat en faveur d’une loi d’ultime liberté continue !

     

     

     

     

    APPEL

     

     

    Nous, membres du comité d’honneur et amis de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, revendiquons la liberté de choisir le moment et la manière de terminer notre vie, comme cela est déjà possible dans plusieurs pays d’Europe, que ce soit

    • grâce à un accès universel aux soins palliatifs,
    • grâce à une euthanasie active,
    • grâce à un suicide assisté.

    Notre mort nous appartient et nul n’a le droit, au moment où notre vie ne sera plus que de la survie, de décider pour nous-mêmes et de nous imposer des choix qui ne seront pas les nôtres.

    Nous demandons au président de la République, au Gouvernement, aux parlementaires, d’entendre notre demande – qui  est également celle de plus de 90% des Français – et de doter la France d’une loi de liberté, d’une loi d’égalité, d’une loi de fraternité, d’une loi républicaine, qui permette à chacun de mourir en dignité.

    Nous, membres du comité d’honneur et amis de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, encourageons les Françaises et les Français qui souhaitent une fin de vie douce et apaisée à rejoindre notre revendication pour le droit de mourir dans la dignité.