« Bardo, le passage » de Bruno Portier, inspirant, car parler de la mort, c’est parler de la vie !
J’ai retrouvé un livre sous une vieille pile de bouquins pleine de poussière dans ma maison d’enfance de Béthune. Connaissant mon intérêt pour le Bouddhisme, mon ancien éditeur et ami Florent Massot me l’avait envoyé à sa publication en 2009 :« Bardo, le passage » de Bruno Portier.
De prime abord, le sujet ne parait pas très approprié pour les fêtes de Noël. Il s’agit, en effet, du périple d’une jeune femme, morte dans un tragique accident de moto, dans un voyage intemporel, durant ces périodes de doute que l’on traverse entre la mort et la vie selon le livre tibétain des morts.
Je dis souvent dans les réunions ou les dédicaces que j’anime sur la fin de la vie et mon combat pour une loi d’ultime liberté que parler de la mort c’est d’abord parler de la vie…
Ce livre en est un merveilleux exemple. C’est une ode à la vie, à nos vies….
Il est inspirant.
Utile en ces temps de doute.