ile de france - Page 3
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Session du conseil régional d'Ile-de-France
Ce jeudi et vendredi, après la CP hier, se déroule la session du conseil régional d'Ile-de-France présidée par Valérie Pécresse. J'interviendrai notamment sur le handicap.
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Extrait de mon intervention sur l'IVG en Commission Permanente de la région Ile-de-France
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Commission permanente à la région Ile-de-France
Ce mercredi, se déroule la commission permanente de la région Ile-de-France où sera individualisée de nombreuses subventions.
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Visite de la ligne de fabrication des auto tests VIH "Pour une Ile-deFrance sans sida"
Ce jeudi matin, avec la vice-présidente Farida Adlani et mon collègue ambassadeur d'une Ile-de-France sans sida, Jean Spiri, mais aussi le maire de Villiers-le-Bel, nous avons visité, à Villiers-le-Bel, la ligne de fabrication des 10 000 auto tests VIH commandés par la région Ile-de-France à la société francilienne AAZ. Paris en avait aussi commandé préalablement.
L'autotest est important quand on sait que 25 000 personnes ne connaissent pas leur statut sérologique dans notre pays. Il complète les autres instruments de dépistage existants. -
Commission permanente de la région Ile-de-France
Après la session du conseil régional d'ile-de-France hier, aujourd'hui se déroule la commission permanente qui sera présidée par le conseil régional d'Ile-de-France. Plus de 80 dossiers seront mis en discussion.
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Session du conseil régional d'Ile-de-France
Ce mardi se déroule la session du conseil régional d'Ile-de-France sur différents dossiers dont la stratégie énergie-climat de la région ou encore le dossier de la région solidaire.
J'interviendrai sur le rapport sur l'avis du conseil régional sur le projet régional de santé. -
Session du conseil régional d'Ile-de-France
Au cours de cette session du conseil régional d'Ile-de-France, le préfet de région viendra répondre aux questions des groupe et l'ancien président Jean-Paul Huchon deviendra président honoraire de la région...
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Commission permanente de la région Ile-de-France
Ce mercredi se déroulera la commission permanente de la région Ile-de-France qui est présidée par Valérie Pécresse.
L'occasion d'individualiser de nombreuses subventions. -
Groupe d'étude sur le cannabis à la région Ile-de-France
Je participerai ce jeudi au groupe d'études sur le cannabis qui se déroulera à la région Ile-de-France sous la présidence du docteur Ludovic Toro.
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Podcast de mon intervention à la région Ile-de-France
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Journée de visites à Londres sur le VIH/sida
Avec mon collègue Jean Spiri, ambassadeur d'une Ile-de-France sans sida, comme je le suis, mais aussi Farida Adlani, vice-présidente de la région et le professeur Molina précurseur de la Prep en France, nous passerons la journée à Londres pour visiter Dean Street et échanger avec les personnels soignants sur la politique mise en oeuvre en Grande-Bretagne et à Londres, pour aboutir à un Pays/ville sans VIH/sida à l'horizon de 2030.
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Commission permanente de la région Ile-de-France
Après la session du conseil régional d'Ile-de-France dans son ensemble hier, aujourd'hui, c'est la commission permanente qui se réunit ce vendredi. Ce sera l'occasion d'individualiser de nombreuses subventions et crédits.
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Session du conseil régional d'Ile-de-France
Ce jeudi se déroulera la session du conseil régional d'Ile-de-France présidé par Valérie Pécresse. Bien sûr, comme toujours, je participerai à cette session...
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Commission permanente de la région Ile-de-France
Ce mercredi, se déroule la première commission permanente de la région Ile-de-France pour 2018. A cette occasion seront individualisées un certain nombre de subventions.
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Formation contre le harcélement sexuel des élus de la région Ile-de-France
A l'initiative de Valérie Pécresse et comme tous les élus régionaux, je participerai à la formation contre le harcèlement sexuel. Cette formation sera menée par le Centre Hubertine Auclert et tous les conseillers régionaux se doivent d'y participer. Elle a pour objectif comprendre les enjeux et de réagir.
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Mon intervention sur le budget santé, action sociale et famille à la région Ile-de-France
Madame la Présidente,
Madame la Vice-Présidente,
Chers collègues,Introduction
Vous nous soumettez votre projet de budget 2018 pour les secteurs action sociale, santé et famille.
Si la relative stabilité des crédits qui leur sont alloués peut paraitre rassurante à première vue, l’analyse détaillée de votre proposition budgétaire révèle une stratégie de désengagement inquiétante puisque ciblée sur des actions que nous jugeons, au groupe RCDEC – Le Rassemblement - essentielles.I] La formation sacrifiée
En termes de formation tout d’abord.
Nous constatons, en effet, que le budget de l’action formation professionnelle et apprentissage recule de près de 20% en autorisations de programme et de 8,6% en crédits de paiement.
Nous apprenons ensuite que la ligne consacrée à la formation sanitaire diminue quant à elle de 27% en autorisations et 7% en crédits de paiement, alors que nous souhaitons développer de nouvelles formations sur le sida ou encore sur la fin de vie.
Enfin, et c’est là un signal terriblement négatif que vous avez choisi d’envoyer, la formation continue des aides-soignants et auxiliaires de puériculture voit ses autorisations et crédit en fonctionnement réduit de 22,2% ! Plus de 20 % en moins…
Selon vous, la Région ne pourrait pas combler le désengagement de pôle emploi afin d’assurer le maintien de ce budget…
On parle pourtant ici d’1million d’euros qui, au vu du manque criant de d’aides-soignants et d’auxiliaires de puériculture en Ile-de-France ne représente, vous en conviendrez, ni un montant farfelu ni une dépense superflue.
Madame la Présidente, nous ne comprenons pas le sens de beaucoup de ces choix budgétaires ?
Nous sommes bien loin des déclarations d’amour enflammées contenues dans le schéma régional des formations sanitaires et sociales. Nous ne pouvons que regretter ce double-discour.
Au-delà de ce désengagement manifeste en matière de formation sanitaire et sociale, votre budget 2018 pour l’action sociale, la santé et la famille est souvent profondément injuste.II] Coupes dans les politiques de solidarité
En effet, vous rabotez des lignes budgétaires dédiées à la solidarité et à l’aide aux plus faibles.
Il en est ainsi des dispositifs en faveur des personnes en situation précaire avec -12% en autorisations et -17,4% en crédits. Etonnant d’autant que cet hiver est déjà particulièrement terrible pour celles et ceux qui sont à la rue.
Comment comprendre alors l’absence d’autorisations 2018 pour le programme « Centre d’accueil et d’hébergement pour personnes sans-abris » !
Il en est de même en fonctionnement pour les actions de lutte contre les discriminations ou encore concernant les études sur les besoins en matière de crèches !
Madame la Présidente, où est donc passé l’humanisme que nous partageons et que vous revendiquez ?
Les sans-abris auraient-ils disparus de notre région ? Les discriminations abolies ? Le manque chronique de crèches comblé ?
Tout ceci n’est pas vraiment à la hauteur des enjeux.III] Baisse du soutien aux structures d’études et d’analyse régionales
Parallèlement vous réduisez les financements octroyés à certains organismes qui sont pourtant essentiels à l’efficacité des politiques publiques menées par notre Région.
Avec une baisse de 6% pour l’Observatoire Régional de Santé, remarquablement présidé par notre collègue Ludovic Toro ainsi que pour le CRIPS, que porte avec détermination Jean Spiri, vous envoyez un signal terriblement négatif et encore une fois injuste.
D’une part, parce que ces deux structures sont unanimement reconnues pour la qualité de leurs travaux et leur utilité.
D’autre part, parce que les missions que nous leur confions sont de plus en plus nombreuses et de plus en plus longues et imposent au contraire un renforcement de leur budget. Comment aboutir par exemple à cette Ile-de-France sans sida, qui nous rassemble toutes et tous et qui vous honore mesdames la présidente et la vice-présidente, en baissant les crédits du bras armé de cette ambitieuse politique ?IV] Des taux d’affectation et d’exécution trop faibles et politisés
Enfin je veux dire quelques mots sur les taux d’exécution et d’affectation de ce secteur qui sont ridiculement bas avec respectivement 72 et 61%.
Une fois encore le détail est révélateur de vos priorités politiques réelles, souvent bien éloignée de vos discours.
Pour la santé et l’action sociale, c’est 65% d’affectation et même 51% d’exécution seulement !
Pour les personnes précaires, c’est à peine 75% d’affectation.
Pire encore, on atteint péniblement 57% en affectation pour les dispositifs en faveur des personnes en situation de handicap.
Excusez-moi pour cette énumération de chiffres à la Prévert, mais il fallait rappeler la dure réalité de ces chiffres.
Ainsi les grandes déclarations généreuses qui caractérisaient vos exposés des motifs, démenties d’abord par vos choix budgétaires, révèlent une nouvelle fois leur caractère illusoire à travers l’analyse de vos taux d’exécution et d’affectation pour 2017.Conclusion
Vos arbitrages budgétaires illustrent un ordre des priorités assez inquiétant et surtout en décalage avec beaucoup des besoins réels et quotidiens des habitants d’Ile-de-France, notamment des plus précaires. Et faute de temps, je ne peux évoquer notre inquiétude pour les déserts médicaux ou encore pour les personnes du quatrième âge et enfin l’accompagnement de la fin de vie
Ainsi madame la Présidente, les élus du groupe « RCDEC – Le Rassemblement », nous ne voulons pas être caricaturaux et nous reconnaissons des points positifs contre le VIH/sida avec l’Ile-de-France sans sida. Mais nous ne pouvons, dans le même temps, que regretter beaucoup des décisions budgétaires contenues dans cette annexe et nous alarmer de la sous-affectation et sous-exécution des lignes budgétaires dédiées aux dispositifs régionaux de solidarité.
Comme nous l’avions promis et portés devant les Franciliens en 2015, c’est un horizon bien différent que nous souhaitons leur proposer en la matière.
Celui d’une région solidaire où la santé et la dignité de toutes et de tous est une priorité absolue dans les principes mais aussi dans les crédits du Conseil régional et des élus qui y siègent.
Proust affirmait qu’« Il n’y a pas de réussites faciles, ni d’échecs définitifs. » Méditions cette pensée et osons vraiment – je vous y appelle ! - un budget plus solidaire.
Je vous remercie. -
Mon intervention sur la politique internationale de la région Ile-de-France
Madame la Présidente,
Monsieur le 1er Vice-Président,
Chers collègues,Introduction
Première région économique d’Europe, la Région Ile-de-France doit plus que toute autre collectivité de notre pays s’investir à l’international afin de promouvoir les valeurs de liberté, d’égalité ou d’inclusion de notre République laïque et d’aider les populations précaires et victimes de persécution.
Région-capitale, nous devons porter l’idéal humaniste et progressiste républicain au travers de nos actions partout où nous le pouvons.
Alors que le monde connaît une montée des violences et que les catastrophes climatiques s’enchainent, l’exécutif régional a pourtant décidé d’opérer une baisse de 5.3 % de son budget international. C’est bien sûr un mauvais signal.
Je me permets de vous rappeler que ces violences empêchent les progrès du développement humain, comme le souligne le rapport du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) de mars 2016.
Nous regrettons également la diminution de plus de 13 % du budget consacré à la coopération décentralisée, soit une baisse cumulée sur trois ans de 43.2 % !
Nous regrettons enfin la présence d’aucun budget dédié, et cela depuis deux ans, au soutien aux personnes LGBTQI persécutées dans le monde ni de politique de lutte vraiment d’envergure contre le sida à l’international.
La Région Ile-de-France par cette gestion semble bien trop guidée par l’austérité et aboutit à renoncer à défendre et faire rayonner ses valeurs mais aussi la francophonie. Ainsi, elle se coupe d’une longue tradition de solidarité et de partage à l’international.
Nous le regrettons vraiment.
Nous regrettons également les choix géographiques et quelque peu « communautaire » fait par l’exécutif.1. Surconsommation de lignes et bénéficiaires discutables.
En effet, si nous devons soutenir des associations humanitaires permettant la reconstruction d’écoles ou d’hôpitaux, nous nous étonnons d’une surconsommation de la ligne « Fonds de soutien au Moyen-Orient » de plus de 40 %, alors que le budget alloué à d’autres parties du monde, grandement sinistrées elles aussi, comme Madagascar, est diminué et que cette ligne qui devait aussi servir pour les populations LGBTQI ne les a jamais aidées.
Mais surtout, nous nous étonnons des seuls organismes - tous catholiques - qui ont pu bénéficier des moyens de notre collectivité.
- Tout d’abord l’Œuvre d’Orient: consacrée à l’aide aux Chrétiens d’Orient et placée sous la protection de l’Archevêque de Paris, l’association, soutient l’action des évêques et des prêtres au Moyen-Orient.Nous notons également que l’association consacre 25 % de son budget annuel à la vie des diocèses, c’est-à-dire à la vie des prêtres, des religieux et religieuses. On peut légitimement se poser la question de savoir si cette mission n’entre pas en totale contradiction avec le principe républicain de laïcité et notamment la charte que vous faîtes signer ?
- Ensuite la Fondation Raoul Follereau: association fondée par le militant catholique éponyme remarquable, mais qui a été épinglée, en 2014, par l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) pour son opacité.
L’IGAS relève que : « l'organisation reste complexe et ne garantit pas complètement au donateur une utilisation conforme de ses dons ».
De nombreuses associations luttant pour les droits humains existent et auraient aussi besoin d’être soutenues.L’exécutif régional aurait tout intérêt à élargir le champ des bénéficiaires et des domaines d’intervention de son soutien financier. Si nous continuerons à soutenir bien sûr le soutien aux Chrétiens d’Orient, nous serons vigilants quant à un meilleur équilibre au soutien de tous ceux qui sont persécutés, pas seulement pour des raisons religieuses.
2. Une priorisation des causes peu pertinente.
- En 2016, 3 117 condamnations à mort ont été prononcées dans le monde et 1032 personnes ont été exécutées selon Amnesty International.
- La persécution homophobe en Tchétchénie, en Mauritanie ou au Soudan continue de faire chaque jour des centaines de victimes qui n’ont comme seuls torts d’être différents. Sans compter les tortures, avec les tests anaux, en Tunisie sur lesquelles vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.
- Les guerres contemporaines au Yémen, au Sahel ou au Tchad s’éternisent, produisant un flot toujours plus grand de victimes civiles.
Les théâtres d’opérations ne manquent pas.
Pourtant toutes sont absentes ou trop insuffisamment prises en compte dans ce budget 2018. Nous comptons sur vous, après plusieurs demandes de mon groupe, pour que la région soutienne enfin les LGBTQI tchétchènes persécutés.
Conclusion
Madame la Présidente, la Région Ile-de-France a-t-elle renoncé à défendre et faire rayonner ses valeurs à travers le monde ?
A la lecture de cette annexe, même si le 1er vice-président a annoncé sa volonté, partagée par toutes et tous ici, de mener une politique ambitieuse sur la Francophonie, nous ne pouvons que nous interroger et vous enjoindre à davantage d’ambitions et de justice dans votre stratégie à l’internationale.
Nous avons déposé un certain nombre d’amendements dans ce sens et seront attentifs au sort qui leur est réservé.
André Breton écrivait à juste titre : « « Transformer le monde » a dit Marx ; « changer la vie » a dit Rimbaud : ces deux mots d’ordre ne font qu’un. »
Ils devraient en tous cas guider aussi notre politique internationale.
Je vous remercie. -
Extrait de mon intervention sur le budget international de la région Ile-de-France
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Début du marathon budgétaire de la région Ile-de-France
De ce lundi à mercredi, le budget 2018 de la région Ile-de-France va être discuté.
Avec mon groupe - RCDEC -, nous dénoncerons un budget en régression notamment pour les investissements indispensables pour préparer l'avenir de notre région capitale.