A 19h00 au JT de France 3 Ile-de-France
Comme vous le savez, je suis l’invité du journal télévisé de Jean-Jacques Cros sur France 3 Ile-de-France ce jeudi soir à 19 heures. A tout de suite !
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Comme vous le savez, je suis l’invité du journal télévisé de Jean-Jacques Cros sur France 3 Ile-de-France ce jeudi soir à 19 heures. A tout de suite !
A l’occasion de la campagne des élections régionales en Ile-de-France, je serai l’invité de Jean-Jacques Cros sur France 3 Ile-de-France le jeudi 7 janvier à 19 heures.
Je rappellerai pourquoi j’ai accepté d’être 4ème sur la liste parisienne d’Anne Hidalgo et de Jean-Paul Huchon.
C’est à partir de ce mercredi et jusque vendredi que le président Jean-Paul Huchon va présenter son budget pour l’Ile-de-France et l’année 2010. C’est un temps fort de la vie régionale même si les perspectives d’avenir avec la réforme autoritaire du Grand Paris, la suppression de la taxe professionnelle et la nouvelle organisation territoriale donnent de sacrées inquiétudes aux élus locaux toutes tendances confondues…
Mardi dernier, j’étais interviewé par Christophe Hondelatte sur RTL pour mon soutien à la liste Jean-Paul Huchon/Anne Hidalgo. Vous pouvez retrouver cette interview en podcast en cliquant ici.
Je serai l’invité du journal de ce mardi soir de la chaîne parlementaire de la TNT « LCP-AN » de 19h30 à 20 heures.
Je reviendrai bien sûr sur mon soutien à la liste de Jean-Paul Huchon et d’Anne Hidalgo mais aussi sur la manifestation de soutien qui était organisé par des élus pour Florence Cassez, ce midi, face à l’ambassade du Mexique à Paris (photo avec notamment la maman d'Ingrid Betancourt, les parents de Florence et le maire de Béthune). En début d’après-midi, avec les parents, Franck Berton, avocat de Florence, et Thierry Lazaro député du Nord, nous avons été reçus par l’ambassadeur du Mexique. J’aurai enfin l’occasion de revenir sur le récent débat sur l’euthanasie à l’Assemblée nationale et sur mon livre « Les voleurs de liberté.
Je serai interviewé par Christophe Hondelatte vers 18h20 sur RTL. Sujet : les élections régionales et mon soutien à la liste Huchon/Hidalgo.
2004, sans quitter l’UMP, j’avais pris une décision importante en créant Aujourd’hui, Autrement, un mouvement politique travaillant sur les questions de société.
Je pensais alors qu’avec ce mouvement, je pourrais peser sur l’UMP et faire avancer la droite sur les questions de société qui sont des questions majeures que les responsables politiques devraient prendre à bras le corps. Les seules questions, selon moi, où le pouvoir du politique reste intact.
Lors de la dernière élection présidentielle, je ne pourrai malheureusement que constater l’impossibilité de faire évoluer sur les questions sociétales celle qui fut, pendant plus de 20 ans, « ma famille politique ».
Il me faut aussi reconnaître que la discussion sur le PaCS et l’attitude violemment hostile de mes compagnons de l’époque, voire même franchement homophobe de certains, le renoncement aux valeurs d’humanisme et de tolérance, de respect et de liberté auxquelles je croyais que les héritiers du général de Gaulle étaient attachés, avaient ébranlé beaucoup de mes certitudes.
Le soutien de l’UMP à un certain député du nord de la France, qui considère que « le comportement homosexuel est inférieur au comportement hétérosexuel», sera l’ultime événement - une blessure même - qui a déclenché ma séparation d’avec l’UMP, dont je ne suis plus adhérent depuis 2006.
En juillet 2008, j’ai logiquement été au bout de ma logique en quittant une famille dans laquelle je ne me reconnaissais plus et qui maniait le mépris à mon égard avec d’autant plus de certitude qu’elle croit en l’universalité de sa pensée, et en rejoignant au Conseil régional d’Ile-de-France la majorité de Jean-Paul Huchon en qualité de membre apparenté au groupe des Radicaux de Gauche. Il ne s’agissait pas d’un ralliement opportuniste – comme le diront certains – car la droite avait alors le vent en poupe. Jamais, le président Huchon ne m’a demandé de renier mes convictions et au contraire, il m’a laissé une totale liberté de parole et d’expression.
De mon côté, depuis un an et demi, j’ai toujours soutenu la politique du président Huchon. Par pour lui plaire, mais parce qu’elle est juste et au service du plus grand nombre des Franciliens.
Mon ralliement à sa liste est donc une décision naturelle et logique.
Naturelle, car je n’ai renié aucune de mes convictions humanistes depuis mon adhésion à la majorité du président Huchon. Bien mieux, je suis désormais en phase avec les orientations de la région, mais aussi avec celles du maire de Paris, Bertrand Delanoë, pour lequel j’ai appelé à voter aux dernières élections municipales et avec lequel je partage tant de combats pour la liberté et l’égalité depuis 2001. Sans oublier Anne Hidalgo, présidente du CRIPS-Ile-de-France dont je suis vice président depuis plus de 10 ans.
Le soutien et l’appartenance à la liste PS se font sans qu’il ne m’ait été demandé de rejoindre une formation politique. Je ne suis pas encarté et ce sujet n’a pas été abordé.
Logique enfin, car je sais qu’à la région, si j’étais réélu sur les listes de Jean-Paul Huchon et d’Anne Hidalgo, je serais respecté et soutenu pour ces combats qui me tiennent tant à cœur : la lutte contre les discriminations et pour l’égalité et celle pour une politique forte de lutte contre le sida dans une région qui réunit la moitié des cas de sida de tout le pays.
Région qui, depuis 11 ans, - le séropositif que je suis ne peut pas l’oublier -, a mené une politique exemplaire dans ce domaine sous l’impulsion du président Huchon. C’est grâce à son soutien que j’ai pu faire voter à l’unanimité un amendement introduisant dans tous les accords de coopération internationale un volet relatif à la prévention du sida.
Jean-Luc Romero
7 décembre 2009
Lire aussi mon interview à Têtu: (ici)
Mercredi dernier, j’animais une nouvelle réunion de l’ADMD dans le 15ème ardt de Paris à la demande de son délégué le docteur Jean Guilhot. En présence de Anne Hidalgo, 1ère adjointe au maire de Paris et de Gilles Alayrac, conseiller de Paris, j’ai pu saluer la mobilisation des militants puisque plus d’une centaine d’entre eux participaient à notre réunion. Quelques photos…