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sénat - Page 3

  • Invité du 23h de I-Télé !

    Après le vote de la commission des affaires sociales du Sénat en faveur de la légalisation de l'euthanasie,I-Télé18janvier2011.JPG je serai l'invité du JT d'I-Télé à 23h00.
    Vous pouvez aussi retrouver mes interviews sur Europe 1, France Inter, France Info, etc...

  • Mes voeux vidéo aux adhérents de l'ADMD

  • Audition devant la commission des affaires sociales du Sénat sur l’euthanasie

    A l’occasion de la prochaine discussion des propositions PS/Verts/PRG, UMP et PC de légalisation de l’euthanasie, qui devraient être discutées au Sénat à la fin du mois de janvier, je serais aujourd’hui auditionné par la commission des affaires sociales du Sénat.
    Ce sera l’occasion, pour moi et une nouvelle fois, de rappeler aux sénateurs à quel point les Français attendent une loi d’Ultime liberté sur la fin de vie.

  • Mon discours aux 15èmes Etats Généraux d'ELCS au Sénat

    Discours de Jean-Luc Romero
    Président d’Elus Locaux Contre le Sida
    XVe Etats Généraux des Elus Locaux Contre le Sida
    « 15 ans de mobilisation pour et auprès des élus »
    Vendredi 19 novembre  -  Palais du Luxembourg

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    Mesdames, Messieurs,
    Chers amis,

    Elus Locaux Contre le Sida existe depuis 15 ans. 15 ans … Drôle de coïncidence, il y a 15 ans, les premiers Etats généraux ont eu lieu au Sénat. Je vais être honnête avec vous, je ne pensais pas que l’association devrait avoir une si longue existence, enfin plutôt j’espérais qu’ELCS n’aurait pas besoin de faire perdurer ses actions aussi longtemps. Quand nous avons créé l’association avec Philippe Lohéac et d’autres, il s’agissait d’informer et de mobiliser les élus locaux qui, à mon sens, n’étaient pas forcément conscients de l’ensemble des possibilités d‘actions qui s’offraient et s’offrent toujours à eux. Il s’agissait d’inciter les élus à prendre leurs responsabilités dans la lutte contre le sida. 15 ans après, ELCS existe toujours. Je vais être provocateur : est-ce un constat d’échec ? Non sûrement pas. Simplement le constat que les élus sont à l’image de nos concitoyens : quelque peu lassés par ce combat - lassés à tort et les 7.000 contaminations annuelles supplémentaires sont là pour nous le rappeler ! -.Il faut donc les mobiliser toujours plus et ne jamais faire retomber la pression si j’ose dire. Ceci justifie l’importance du travail d’ELCS, ce bruit de fond, ces piqûres de rappel faites tout au long de l’année afin que les élus n’oublient pas leurs responsabilités dans cette lutte et surtout que le sida se soigne aussi par la politique.

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  • Retrouvez-moi aux 15èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida !

    Déjà 15 ans que j’ai créé avec quelques élus, notamment Philippe Lohéac mais aussi mon amie Sheila, Les Elus Locaux Contre le Sida (ELCS). En 1995, en créant cette association, je n’imaginais pas que nous serions encore là en … 2010. Je pensais que d’ici là, une association comme la nôtre n’aurait plus son utilité. Force est de constater que plus que jamais la parole politique demeure nécessaire sur une maladie devenue totalement invisible. Jamais autant de gens n’ont vécu avec le sida et pourtant les discriminations qu’ils subissent n’ont jamais été aussi fortes…
    Je reste aujourd’hui le seul élu à avoir dit sa séropositivité alors que je ne peux évidemment être le seul des 550.000 élus français à vivre avec ce virus ! Preuve du tabou et la honte qui touche cette maladie.
    Aujourd’hui, au Sénat, de 16h00 à 20h30, auront lieu les 15ème Etats Généraux d’ELCS pour continuer à faire un bruit de fond autour de cette maladie…

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  • Inscrivez-vous au 15èmes Etats Généraux d’ELCS du 19 novembre

    Je vous rappelle que les 15èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida (ELCS), que je préside, se dérouleront au Sénat le vendredi 19 novembre de 16h00 à 19h00.

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    Cette manifestation annuelle permet de rappeler aux élus à quel point il est nécessaire de se mobiliser car le sida se soigne aussi par la politique. Plus que jamais, cette maladie reste honteuse et taboue, d’où l’importance de se mobiliser pour les 160.000 Français qui vivent avec ce virus. L’entrée est ouverte à tous – élus et non élus – à condition d’être préalablement inscrit.
    Vous pouvez encore vous inscrire auprès d’ELCS par téléphone au 01.42.72.36.46 ou par e-mail en cliquant ici.

  • 15èmes Etats Généraux d’ELCS le 19 novembre au Sénat

    Les 15èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida (ELCS), que je préside, se dérouleront au Sénat le vendredi 19 novembre de 16h00 à 19h00.
    Cette manifestation annuelle permet de rappeler aux élus à quel point il est nécessaire de se mobiliser car le sida se soigne aussi par la politique. Plus que jamais, cette maladie reste honteuse et taboue, d’où l’importance de se mobiliser pour les 160.000 Français qui vivent avec ce virus.
    Vous pouvez vous inscrire auprès d’ ELCS par téléphone au 01.42.72.36.46 ou par e-mail en cliquant ici.

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  • Rencontre ADMD/sénateurs sur la légalisation de l’euthanasie

    Ce matin, j’organise, en ma qualité de président de l’ADMD, une rencontre avec les sénateurs sympathisants des demandes de l’ADMD, c’est-à-dire la légalisation de l’euthanasie en France. Cette invitation, je l’ai signée avec mes amis sénateurs Autain, Fisher, Fouché et Godefroy.
    Ces sénateurs se sont, en effet, engagés, après avoir déposé une proposition de loi sur le droit de mourir dans la dignité, à ce que leurs textes soient mis à l’ordre du jour au Sénat durant cette session parlementaire.
    Il s’agit, au cours de cette réunion, de dire à quel point il devient urgent qu’un tel texte soit enfin adopté dans notre pays… Même si celles et ceux qui viendront sont sûrement des convaincus !
    En attendant, le débat au Sénat pourrait avoir lieu le ... 16 novembre. Mais restions prudents, tout peut encore changer...

  • Bureau national de l’ADMD

    A la veille de la rencontre de l’ADMD avec les sénateurs qui partagent notre combat, je réunis, ce soir, le bureau de l’ADMD. Il s’agira non seulement de préparer cette rencontre importante, mais aussi la 3ème journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité qui se déroulera le 2 novembre prochain.

  • Journal 135 de l’ADMD

    Mi septembre, les adhérents de l’ADMD ont reçu le numéro 115 du journal de notre association. Ce numéro rapporte la 30ème assemblée générale et comporte un dossier spécial sur la crémation.
    Dans mon édito, j’y exhorte le Sénat à voter une loi de liberté comme s’y sont engagés des parlementaires de toutes tendances en juin dernier à l’AG de notre association.
    Pour toute info sur l’ADMD qui réunit près de 48.000 adhérents ou sur le journal, n’hésitez pas à envoyer un e-mail (ici).

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  • Communiqué de presse du 07 septembre 2010

    Communiqué de presse du 07 septembre 2010

     

    Salles de consommation à moindre risque :  

    après le OUI de Bachelot, le NON de Fillon, le OUI des français, le « A VOIR » des parlementaires …

     

    Vraie avancée ou tentative d’étouffer le débat ?

     

     

     

    Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, se dit satisfait mais prudent quant à l’annonce de la création d’une mission d'information parlementaire sur les toxicomanies, qui réfléchira notamment à la question de l'ouverture en France de salles de consommation à moindre risque.

    Le président d’ELCS rappelle que ces structures, déjà mises en place avec succès notamment en Espagne, en Suisse, en Allemagne - sont des lieux de prévention et d’accompagnement : les toxicomanes accueillis dans ces lieux sont informés sur les bonnes pratiques en matière d’injection afin d’éviter les surdoses et les contaminations par le VIH ou le VHC, encore trop fréquentes chez les usagers de drogues. Par ailleurs, les usagers de drogues qui fréquentent ces lieux se voient également proposer un sevrage.

    Jean-Luc Romero se dit très prudent par rapport à cette annonce : en effet, alors qu’une majorité de français se déclarait pour l’expérimentation de telles structures, le gouvernement s’était dit opposé à toute avancée dans le domaine !

    Concrètement, quelle pourra être la marge de manœuvre effective d’une mission parlementaire alors que la question semble déjà entendue pour le gouvernement ?

    Jean-Luc Romero espère que la création de cette mission d’information ne soit pas une tentative d’étouffer une débat aussi important mais bel et bien une volonté de réfléchir sur une question aussi importante de santé publique.

  • Rentrée parlementaire agitée ?

    C’est aujourd’hui la rentrée parlementaire à l’Assemblée nationale et au Sénat. Après quelques semaines sans séances, le gouvernement a pu souffler et n’a donc pu répondre aux questions légitimes que se posent les parlementaires de l’opposition et bien des Français.

    Les questions ne reprendront pas avant octobre mais le gouvernement va devoir défendre sa réforme controversée sur les retraites. Dés aujourd’hui, on pourra mesurer la détermination de chacun et savoir si cette rentrée parlementaire sera agitée ?

     

  • Tous avec Anny Poursinoff !

    Dimanche prochain a lieu le deuxième tour de l’élection législative de Rambouillet. Cette élection est symbolique car, pour la première fois, dans ce bastion de Christine Boutin, la candidate représentant les écologistes et la gauche est arrivée en tête du 1er tour avec presque 43% des voix. Certes, la candidate, Anny Poursinoff, ma collègue au conseil régional d’Ile-de-France, n’a pas vraiment de réserves pour le second tour mais l’impossible semble possible.
    C’est déjà incroyable de battre au 1er tour, Jean-Frédéric Poisson, l’ancien suppléant de Christine Boutin, qui fait partie de ces députés pro-life que je dénonce dans « les voleurs de liberté » et qui s’opposent avec virulence à l’euthanasie, à l’égalité homo-hétéro, à l’homoparentalité…
    Dimanche, si Anny gagnait, ce serait un véritable coup de tonnerre dans cette circonscription de Rambouillet dont la maire est aussi le président du Sénat !

  • Mon discours à la réunion publique ADMD de Paris

    Madame la Ministre,

    Messieurs les Sénateurs,

    Très chers amis de l’ADMD,

     

     

    C’est toujours une très grande satisfaction pour le président de l’ADMD que je suis de constater combien, sur cette question, les Français se mobilisent très nombreux.

     

    Et c’est toujours une très grande frustration pour le président de l’ADMD que je suis de constater combien certains médias ignorent notre nombre, notre force et notre détermination. Et surtout combien nos gouvernants nous ignorent également, eux qui ne gèrent les affaires publiques qu’en fonction des remous de l’opinion – et non pas de l’état de l’opinion qui nous est très largement acquise. Et depuis de très nombreuses années.

     

    C’est, de manière très inhabituelle, par un reproche amical que je nous adresse, que je commencerai mon intervention. Vous étiez près de 1 500 personnes à vous être déplacés en janvier dernier, à l’hôtel de ville de Paris. Vous êtes, cette après-midi, près de 500 personnes. C’est très confortable pour chacun d’entre nous de nous retrouver assis, abrités des intempéries, loin de nos opposants. Entre nous. Mais imaginez que pour la prochaine Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, nous soyons, sur le parvis des Droits de l’Homme du Trocadéro, seulement la moitié des adhérents d’Île-de-France. Nous serions alors plus de 6 000. Et si nous étions la moitié des adhérents de Paris intra-muros, nous serions encore 2 500. Croyez-vous alors que les médias et le gouvernement pourraient encore nous ignorer ? Bien sûr, je sais que certains d’entre vous ont de grandes difficultés à rester longtemps debout. Je les comprends parfaitement. Mais les autres ?

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  • Ne pas déroger aux obligations de la loi de 2005 sur le handicap !

    La loi de 2005 obligeait à prévoir l’accessibilité des immeubles et des lieux publics aux personnes handicapées. C’était bien la moindre des choses ! Alors que la date de mise aux normes approche, le secrétariat d’état à la famille et à la solidarité a récemment annoncé, lors d’une audition au Sénat, que des dérogations aux obligations d’accessibilité seraient introduites prochainement dans une proposition de loi sénatoriale.

    Alors que la revalorisation de l’allocation adulte handicapé est insuffisante pour permettre aux personnes vivant avec un handicap de vivre décemment, que l’intégration des enfants handicapés à l’école avance trop lentement et que l’obligation d’embaucher 6% de personnes handicapées reste sans réelle application, il serai malvenu de revenir sur la loi de 1995 qui avait été mise en œuvre après une vraie concertation avec les associations de représentant des personnes vivant avec un handicap.

    Il serait temps que le gouvernement sorte des discours compassionnels de circonstance pour agir enfin à l’intégration de toutes et tous. Les personnes handicapées méritent d’être enfin traités comme des citoyens à part entière !

  • Gérard Larcher dans le comité d’honneur d’ELCS

    Le président du Sénat, Gérard Larcher, a récemment accepté de rejoindre le comité d’honneur d’Elus Locaux Contre le Sida qui réunit déjà de nombreuses personnalités, du président de la République à celui de l’Assemblée nationale ou comme des grandes figures de l’opposition comme Bertrand Delanoë ou Jean-Paul Huchon.larcher.JPG

    Gérard Larcher précise même dans le courrier qu’il m’a adressé : « c’est un honneur de prêter mon nom à une cause d’une telle envergure, fusionnant les politiques de toutes tendances dans un but unique : la préservation de la santé publique et l’égalité de tous devant la maladie, et l’accès de tous à des soins de qualité. Il s’agit effectivement d’un combat pour al vie et j’y suis très sensible. »

  • Communiqué de presse de l’ADMD du 13 janvier 2010

    Communiqué de presse de l’ADMD du 13 janvier 2010

     

    Mourir en 3 semaines à domicile…

    Sinon pas de congé pour accompagner un proche en fin de vie !

     

     

    Ce mercredi 13 janvier 2010, le Sénat va examiner la proposition de loi votée à l’Assemblée Nationale le 19 février dernier, visant à créer une allocation journalière d’accompagnement d’une personne en fin de vie.

     

    Si l’ADMD ne peut que soutenir un texte qui va au-delà des lois du 9 juin 1999 et du 21 août 2003 qui créent un congé d’accompagnement mais ne prévoient ni salaire ni allocation compensatoire, elle rappelle que cette proposition, en ne s’appliquant qu’aux seuls salariés accompagnants à domicile un malade en fin de vie inséré dans un parcours palliatif, distinguera les « bons accompagnants » qui bénéficieront de cette allocation et les « mauvais accompagnants » qui n’en bénéficieront pas.

     

    Ainsi, seules 20 000 allocations sont prévues par ce texte alors qu’il y a 530 000 morts en moyenne par an en France (soit 3,77%).

     

    Si vous habitez un petit appartement, dans un immeuble sans ascenseur, vous ne pourrez pas accueillir l’être aimé en fin de vie. Si vous n’êtes pas salarié, cette mesure ne s’appliquera pas. Serez-vous un moins bon accompagnant si vous passez vos jours et vos nuits auprès de lui à l’hôpital ? Pourtant, vous ne recevrez pas d’indemnités.

     

    Après 3 semaines, si la personne que vous accompagnez n’est pas décédée, que faire ? La renvoyer à l’hôpital ? La maintenir à domicile ? Mais sans recevoir d’allocation, comment faire ?

     

    Nous le voyons bien, cette mesure est insuffisante et se révèle cynique. La collectivité accompagne le début de la vie durant un minimum de 16 semaines. Mais elle se refuse à accompagner dignement la mort. Pourquoi ?

     

    La France ne fera pas l’économie d’une réflexion globale sur la fin de vie et devra bien un jour, comme l’ont fait les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg et plusieurs états des Etats-Unis d’Amérique, légiférer pour que chacun, librement et dignement, puisse choisir les conditions de sa fin de vie, entouré et respecté dans ses choix.

     

  • Mon 2ème vœu pour 2010 : une loi de liberté sur la fin de vie

    Mon deuxième vœu pour 2010, c’est celui que je formule en ma qualité de président de l’ADMD : avoir enfin une loi de liberté sur la fin de vie. Difficile à imaginer dans le contexte politique actuel où « les voleurs de liberté » que j’ai dénoncés dans mon dernier livre sont majoritaires à l’Assemblée nationale et au gouvernement. Mais qui sait ?

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    Après le débat que nous avons obtenu à l’assemblée en fin d’année dernière, je vais dès cette semaine rencontrer des sénateurs pour obtenir le même débat car il m’apparaît important que tous nos représentants s’expriment sur la question de la légalisation de l’euthanasie. En 2009, nous savons que lus de 200 députés nous soutiennent. Début 2010, nous saurons quels sénateurs sont sur la même longueur d’onde. Une bonne base de départ pour obtenir une loi républicaine.

  • Soirée d’Ikambere

    logo Ikambere.JPGL’association Ikambere, qui s’occupe des femmes africaines touchées par le VIH/sida, organise ce soir une soirée à destination de ses partenaires privés et publics pour leur rappeler l’importance de la mission de leur association. Ikambere est en effet la seule structure en Ile-de-France qui s’occupe en permanence de ces femmes en plus de la maladie sont souvent dans un grand isolement. ELCS parraine cette soirée et je serais heureux d’être aux côtés de la directrice de cette formidable association, Bernadette Rwegera.

  • 34 parlementaires interrogent la ministre

    A ce jour 34 parlementaires – PS, Verts, communistes et UMP – ont adressé une question écrite à la ministre de la santé dans laquelle ils lui demandent les raisons pour lesquelles M. Leonetti a exclu la question de la fin de vie des débats sur la révision des lois bioéthiques.AN.JPG

    Dans la plupart de ces questions, les parlementaires rappellent que le Conseil d’Etat demandait que cette question figure dans la révision ; que 88% des Français le souhaitent et que même Jean-François Copé s’y était engagé dans une réponse-circulaire qu’il avait fait envoyer à l’ADMD.

    On attend avec intérêt la réponse que ne manquera pas de faire la ministre à ces 34 représentants de la Nation…