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Mes Livres - Page 45

  • Virus de vie

    medium_livre_2.jpgS’il y a un livre qui fut difficile à lancer, c’est bien « Virus de vie » qui est sorti en mai 2002 aux éditions Florent Massot présente.
    Depuis la création d’ELCS en 1995, je savais que si je voulais être crédible dans mon combat de militant contre le sida, il fallait que je dise que je suis concerné par ce virus. Que j’explique aussi que mon combat individuel s’était transformé en un combat collectif.
    Mais « avouer » qu’on vit avec un virus mortel quand on fait de la politique, ce n’est guère « électoraliste ». Surtout pour une maladie qui reste, aux yeux de beaucoup, comme une maladie honteuse. La maladie du pêché.
    Mais ce livre était important pour moi. Et je crois sincèrement, pour tous ceux qui sont confrontés à la maladie. J’ai tenté d’être le plus sincère, n’esquivant rien. N’oubliant pas de parler de ma grande histoire d’amour avec Hubert ou de ma relation avec ce virus qui me dévore mais que je réussis depuis maintenant 21 ans à dompter.
    Les responsables politiques n’auront guère de réaction ; une gêne plutôt. Seuls Alain Juppé, Renaud Muselier, Nicolas Sarkozy, Bertrand Delanoë et Jean-Paul Huchon m’enverront des signes amicaux…
    Cette révélation m’aura aussi donné la crédibilité pour convaincre Jean-Pierre Raffarin de faire du sida, la grande cause nationale de 2005.
    Depuis, j'ai continué mes tours de France pour ELCS - j'en suis au 11ème - et je publie régulièrement mes résultats de santé. Permettant à chacun de comprendre que vivre avec le sida s’apparente parfois plus à de la survie que de la vie. Mais donnant aussi de l’espoir à ceux qui partagent mon sort.
    Car oui, on peut vivre, travailler et aimer avec le sida…

     

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  • On m’a volé ma vérité

    medium_livre_1.jpgJe vais profiter de cet été pour vous présenter, au fil de mes vacances, mes livres et les critiques qu’ils ont reçus.
    Mon premier livre "On m'a volé ma vérité" est sorti en juin 2001 aux éditions du Seuil.
    C’est le livre que j’ai écrit le plus rapidement – en trois semaines ! – tant je ressentais de colère. De rage même.
    Alors que j’allais dire mon homosexualité dans une interview sur les questions de société à un grand quotidien du soir, un magazine gay gratuit a cru bon me couper l’herbe sous le pied, en révélant à ma place mon homosexualité, me faisant passer auprès de celles et ceux que je ne connaissais pas pour « un pédé honteux »…. Alors que j’étais militant contre l’homophobie depuis le début de mes engagements - j’ai même été un des directeurs de Fréquence Gay dans les années 80 -, j’ai subi le premier et seul outing qu’un responsable politique ait subi en France.
    Manœuvres mesquines de militants gays gauchistes qui ne peuvent admettre qu’un gay puisse militer à droite et défendre des idées de tolérance.
    Au-delà de ce cri, ce livre m’a permis de mieux faire connaître mon parcours : de mes origine modestes – famille expagnole ouvrière exilée dans le nord – à mes engagements politiques et associatifs.
    Je voulais dire ma séropositivité dans ce livre mais tout mon entourage, mère, médecins, amis s’y sont alors violemment opposés. Ce ne fut que partie remise… Mais peut-être, après cet outing, avais-je aussi besoin d’un peu plus de sérénité pour parler de ce qui est devenu mon principal combat, mon combat pour la vie. Individuel puis collectif !
    Ce livre, qui ne semble pas le préféré des blogueurs - vous pouvez voter pour ces livres sur ce blog - qui ont plébiscité « Je n’ai jamais connu Amsterdam au printemps » dans le sondage de mon blog, est pourtant celui qui, avec Virus de vie, m’aura valu un courrier abondant et enthousiaste.
    A vous de vous faire une idée si vous le voulez à la lecture des critiques ou tout simplement en lisant « On m’a volé ma vérité » sur les plages de vos vacances !

     

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  • Avant le très haut débit à Paris : réduire la fracture numérique !

    medium_Internet.jpgmedium_paris_lune.jpgLa semaine va être très chargée pour l’hôtel de ville.
    C’est en effet vendredi que sera lancée la conférence métropolitaine comme je vous en parlais hier et c’est aujourd’hui mardi que le maire de Paris doit faire une communication sur le développement du haut débit à Paris.
    A plusieurs reprises le maire a annoncé son ambition - que je partage - de voir « la capitale passer à la vitesse supérieure » pour Internet. A lire le JDD de dimanche dernier, « Bertrand Delanoë veut un réseau dix fois plus puissant que l’ADSL ou le câble à Paris. »
    Pour dire simple, il souhaite que les actuelles connexions ADSL ou câbles de 5 à 15 mégabits par seconde passent à 100 Mh/s. Bref le très haut débit.
    Ambition légitime, mais dont on attend avec impatience les conditions de réalisation – le maire a communiqué à plusieurs reprises sur ce dossier sans préciser les moyens d’y parvenir – et aussi comment financer une telle ambition qui coûterait entre 500 et 750 millions d’euros. Presque quatre fois le budget du logement social de la ville !
    Mais au-delà de ce plan ambitieux, il faudrait, à court terme, réduire la fracture numérique qui existe aussi à Paris comme je l’ai rappelé dans « La Nuit des petits couteaux. »
    En effet, dans mon dernier livre après avoir rappelé que seuls 42,5% des Parisiens sont abonnés à Internet, je propose de faire accéder à Internet les plus modestes, notamment les 185.000 ménages qui sont logés en HLM, c’est-à-dire près de 17% de la population de la capitale.

     

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  • Le Strasbourg du Grand sommeil.

    medium_Strasbourg_-_kleber.jpgmedium_Hub_jl_25_ans.jpgCelles et ceux qui ont lu mes premiers livres et notamment « Je n’ai jamais connu Amsterdam au printemps » savent à quel point la capitale européenne est une ville importante dans ma vie. Hubert, l’amour d’une vie, y est décédé un 9 mai 1994. A côté des siens. Un retour aux sources pour cet Alsacien. 
    Venir à Strasbourg ressemble un peu à un pèlerinage même si j’arrive à mener mes activités associatives et politiques comme si de rien n’était.
    Mais faire vendredi une réunion contre le sida pour ELCS à l’hôtel de ville, signer un communiqué commun avec Fabienne Keller, maire de la capitale alsacienne à ce sujet et enfin participer à la Marche des Fiertés, tout cela revêt forcèment pour moi une importance symbolique.
    Au moment où j’étais interviewé par l’Alsace, l’AFP, France Bleu Alsace et 20 minutes, je pensais intensément à Hubert, à cette énergie qu’il m’impulse pour continuer le combat. Sans lui, mais avec lui.
    Place Keber, où j’ai pris un pot avec un militant d’Aujourd’hui, Autrement, je n’étais guère bavard. Je repensais à ce soir de janvier où collés l’un à l’autre, nous traversions cette place vide par un froid sibérien. Nous mourrions de froid, mais ce n’était rien à côté de ce bonheur d’être ensemble. Ensemble pour l’éternité.
    Coïncidence incroyable, en entrant dans le taxi qui m’attendait pour m’amener à l’aéroport, commençait « le Grand sommeil » d’Etienne Daho… Ma chanson.

    « En partant, tu m’as mis le cœur à l’envers
    Sans toi la vie est devenue un enfer
    Entortillé dans mes draps je crois me souvenir de toi
    Lorsque tu disais tout bas que tu n’aimais que moi
    […]
    Lorsque je rêve, tu es tout près de moi
    C’est la seule façon de rester avec toi
    C’est la raison pour laquelle je n’veux plus quitter mon lit
    Pour qu’enfin toutes les nuits durent toute la vie. »
    Ainsi va la vie !

  • Refusons le PLU que les Verts de Paris veulent nous imposer !

    Aujourd’hui, au conseil de Paris, doit être voté le Plan local d’urbanisme qui dessinera le Paris de 2020. C’est dire l’importance du vote que s’apprêtent à émettre les élus de la ville Lumière.
    En février dernier, j’alertais les Parisiens dans « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? », sur le PLU que nous impose l’actuelle majorité. Rappelez-vous, car je n’enlèverai aucune virgule à ce constat :
    « […] On le sent bien – hormis quelques manifestations originales comme Paris Plage ou la Nuit blanche -, Paris n’illumine plus le monde. Si nous restons - de peu ! - la capitale mondiale du tourisme avec 26 millions de visiteurs par an, il y a déjà belle lurette que nous ne sommes plus le leader en ce qui concerne l’organisation des congrès. Aujourd’hui, la ville lumière, avec 75 congrès accueillis en 2004, se classe à la 5ème place des villes européennes derrière Barcelone, Vienne, Berlin et même Copenhague ! Notre première défaite intellectuelle.
    Incontestablement, notre belle capitale a longtemps étonné et émerveillé le monde par son imagination architecturale. En disant cela, on a l’impression d’évoquer des temps à jamais révolus, à tel point qu’on se demande si la Tour Eiffel aurait pu être érigée avec nos actuels et bien conservateurs gouvernants. Je pense que non !
    « On ne sent pas de vision [en matière architecturale], pas de souffle ou de volonté politique. Aujourd’hui, Paris est absent des grands concours internationaux. On parle de Bâle, de Lisbonne, d’Amsterdam... Pourrait-on refaire aujourd’hui le Centre Pompidou, un équipement purement culturel sans aucun espace commercial ? J’en doute » affirme avec tristesse l’architecte Françoise Fromonot .
    Certes, me direz-vous, les Parisiens, en refusant très majoritairement, en 2004, l’édification de tours à Paris - 62% s’y opposent, mais 55% des Parisiens de moins de 25 ans y sont favorables - semblent se satisfaire de l’absence d’une ambition architecturale moderne pour leur ville. Mais n’oublions pas les enseignements de l’histoire : les Parisiens, comme les Français, rejettent souvent dans un premier temps ce qu’ils adoreront par la suite. L’exemple de la Tour Eiffel est édifiant. Si les décideurs avaient suivi l’hystérie anti Tour Eiffel de l’époque, jamais notre belle dame de fer n’aurait vu le jour en 1889. Maupassant, Gounot, Dumas, Prudhomme, toute la fine fleur des intellectuels de l’époque, l’estimaient carrément « monstrueuse et sans utilité ». « Un déshonneur pour Paris » osaient-ils même ajouter dans La protestation, qu’ils firent paraître dans Le Temps. Presque les mêmes arguments que les actuels opposants aux tours dans Paris.
    Pour éviter que le cyclone de la régression nous submerge, il est vraiment temps de retrouver la voie de l’imagination architecturale !
    Il faut le marteler pour être entendu : l’imagination architecturale n’est vraiment plus à Paris. Elle est à Londres, à Amsterdam, à Berlin, à Barcelone, à Madrid, à Shanghai , à Sydney. Personne ne conteste ce constat déprimant.
    Chacun s’en plaint amèrement. Mais que fait-on pour remédier à cette situation ?
    La ville lumière, qui a si longtemps montré le chemin de la modernité et de l’audace architecturale, est incontestablement à la traîne des principales capitales. Si certains veulent faire de Paris un musée vivant sur son glorieux passé, ils sont incontestablement en train d’y parvenir ! Merci les Verts, mais aussi à certains de mes amis de cette droite nostalgique, éternels conservateurs dans tous les domaines ! »
    Ce propos préliminaires aux propositions que je fais dans mon dernier livre pour retrouver l’imagination architecturale, favoriser la construction de logements - 103.000 demandes toujours en attente ! -, créer la propriété sociale et éviter la fuite des entreprises - 130.000 emplois perdus depuis les années 90 -, se révèlent plus que jamais d’une grande actualité.
    La surenchère des Verts pour faire de notre ville un chef-lieu de sous-préfecture endormie doit être absolument contrecarrée.
    Un peu de courage mesdames et messieurs de la majorité.
    Refusez, avec la droite et le centre, le PLU que les Verts veulent nous imposer pour les 15 ans qui viennent : un Paris conservateur éloigné de la « ville des villes » qui a toujours montré le chemin de la modernité et de la grandeur.
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  • Promis, j’arrête la langue de bois !

    Puisque c’est le week-end et qu’un long pont attend beaucoup d’entre vous, je vous conseille la lecture de deux livres que je viens de lire d’un seul trait.
    D’abord, un livre politique : «
    Promis, j’arrête la langue de bois » [Hachette Littératures – 19€] de l’actuel porte parole du gouvernement.
    Jean-François Copé a eu la gentillesse de m’envoyer récemment son dernier livre avec une belle dédicace et je l’ai - n’ayons pas peur des mots ! - littéralement dévoré. Avec beaucoup de franchise, Jean-François nous raconte, sans langue de bois et avec moult détails amusants, comment il attendait avec impatience l’appel qui lui annoncerait qu’il allait devenir ministre. Dans son nouvel opus, il ne dissimule pas sa soif de medias. Avec un humour certain, il narre même comment il prépare avec minutie ses interventions à la télévision.
    Outre qu’il parle de lui avec une certaine dose de dérision qui fait souvent sourire au fil des pages, il n’oublie pas de lancer quelques propositions audacieuses de réforme pour l’avenir… Au cas où !
    Bref, un livre à dévorer pour comprendre ce qu’est la vie d’un ministre et surtout pourquoi certains succombent, malgré eux, à la langue de bois…
    Second livre que je souhaite vraiment vous conseiller pour ce pont de l’ascension, « Homo Turquoise » paru chez l’éditeur «
    Les points sur les i », une petite maison d’édition qui publie des textes de qualité et engagés.
    Ce livre autobiographique, écrit par Yann Kermanach’, est une ode à l’amour différent avec en toile de fond une Bretagne que l’auteur nous donne vraiment envie de découvrir.
    Une histoire vraie, sans clichés qui nous rappelle que tous les amours sont merveilleux, n’en déplaisent aux moralistes ! L’auteur et la maison d’édition ont souhaité donner un euro à ELCS pour chaque exemplaire vendu [17€90]. Qu’ils en soient chaleureusement remerciés !
    Et puis, s’il vous reste encore un peu de temps et que vous n’avez pas lu mon dernier livre La Nuit des petits couteaux, n’hésitez pas à le parcourir, car vous y retrouverez, là aussi sans langue de bois, des portraits amusants de celles et ceux qui seront incontestablement les acteurs des municipales de 2008, mais aussi des pistes pour un Paris Autrement
    Alors, bon dimanche, bon pont et enfin bonne lecture !

  • Le Grand Paris, grande cause nationale

    Que ce soit durant la campagne des pré-primaires de l’UMP, il y a déjà un an, ou dans mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? », j’ai longuement insisté sur l’impérieuse nécessité d’avancer enfin dans l’édification d’un Grand Paris.
    Je ne l’ai jamais caché : mes propositions empruntent beaucoup aux idées visionnaires qu’a défendues l’architecte Roland Castro dans les années 80. Il est, en effet, celui qui avec Michel Cantal-Dupart, a défini une méthode crédible et préfiguré le Grand Paris qu’il nous faut.
    Je le rappelle : depuis 1860 où Paris est passé de 12 à 20 arrondissements - grâce à l’apport d’Auteuil, Passy, Bercy, etc.., - la ville a cessé son constant mouvement d’extension. Pire avec l’édification de fortifications par Thiers, puis l’ouverture d’un périphérique en 1973, la ville s’est désormais enclavée dans une muraille que personne n’a encore réussi à faire tomber.
    Face aux grandes métropoles européennes - Londres, Madrid, Berlin, Moscou -, Paris fait désormais figure d’un « nain » enfermé dans ses 105 km².
    Et pourtant tout le monde en convient : les problèmes de logement, d’urbanisme, de circulation, de pollution et même de sécurité ne peuvent être réglés par la capitale sans associer largement la plupart des villes qui l’entourent.
    Au moment, où toutes les villes de banlieue ont aussi une vision moderne et visionnaire de l’habitat avec l’édification de tours prestigieuses ou de gratte-ciel en haute qualité environnementale - comme La Défense, Issy ou Bagnolet -, Paris ne peut rester à l’écart des changements qui s’opèrent. Au risque de n’être plus qu’une ville musée. Qu’une ville dépassée. Du passé !
    Parce que je ne peux me résoudre à cela, j’ai participé jeudi à la conférence de presse [voir Libé et Le parisien d'hier] qu’organisait mon ami Castro pour présenter ses nouvelles initiatives pour concrétiser le Grand Paris. Il avait en effet souhaité être entouré d’un élu de gauche – Georges Sarre, maire du 11ème arrondissement – et moi-même, élu de la droite républicaine. Sachant aussi que nous sommes élus des deux collectivités locales indispensables pour aboutir au Grand Paris : la mairie et le conseil régional…
    Roland Castro en rappelant les contours de ce Grand Paris a, non sans provocation, suggéré de mettre l’Elysée à Saint-Denis et les ministères dans nombre de villes de banlieue par exemple la défense à Bobigny ou la culture à Vitry, première ville de banlieue à avoir créé un grand musée d’art moderne.
    Son idée n’est pas aussi saugrenue que certains l’imaginent. Elle est même logique car on ne peut vouloir édifier un Grand Paris et garder tous les principaux lieux de pouvoirs dans le centre historique de la Ville Lumière. Alors qu’ils ironisent !
    Au-delà de cette proposition symbolique et provocatrice à même de sensibiliser chacun à l’impérieuse nécessité dans laquelle nous nous trouvons, notre rassemblement au-delà de nos clivages montre qu’une volonté se dessine clairement. Au-delà des simples intérêts partisans.
    Le Grand Paris, c’est une vraie cause nationale.
    C’est le sens de notre conférence commune pour défendre une idée qui nous dépasse et peut rassembler tous les Parisiens et tous les Franciliens.

  • La Nuit des petits couteaux dans les medias

    Je profite de ce long week-end du 8 mai pour vous donner, pour la dernière fois, la liste presque exhaustive des critiques et paroles de journalistes sur mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Pour un livre consacré essentiellement à Paris, il a étonnement été largement évoqué dans les medias, presse écrite comme audiovisuelle. On en a même parlé au Québec…
    Ce livre qui a presque 3 mois restera d’actualité jusqu’aux élections de mars 2008, car il dresse à celles et ceux qui s’intéressent à cette échéance des portraits des futurs acteurs de 2008, tout comme il définit des voies nouvelles pour un Paris, Autrement.
    Et ce Paris, Autrement, avec mes amis d’
    Aujourd’hui, Autrement, je n’ai pas fini de vous en parler !

    Propos de journalistes sur…
    « La nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? »
    Jean-Claude Gawsewitch éditeur – février 2006

    « Même Jean-Luc Romero y va de sa plume avec une insolente Nuit des petits couteaux ».
    Le Parisien – Martine Chevalet – 23 janvier 2006

    « Jean-Luc Romero n’a pas été qualifié pour les primaires. A une voix près. Dans son pamphlet « La Nuit des petits couteaux », à paraître le 9 février, il balance ».
    Obs Paris – Guillaume Malaurie – 2 au 8 février 2006

    « Jean-Luc Romero – qui tenta un moment de participer aux primaires UMP – sort jeudi La nuit des petits couteaux. […] Il propose d’expérimenter le péage urbain à Paris durant un an, de faire élire directement le maire par les Parisiens ou de créer un pool d’assistantes maternelles ouvert 24 heures sur 24 ».
    Journal du dimanche – 5 février 2006

    « Les quatre vérités de Jean-Luc Romero. […] Dans la Nuit des petits couteaux, le président d’Elus Locaux contre le Sida dresse avec ironie, mais sans amertume, ces quelques mois où il a cru pouvoir jouer dans la cour des grands pour tenter sa chance aux primaires de l’UMP… [Il] propose en fin d’ouvrage sa réflexion sur le péage urbain ou sur les immeubles de grande hauteur et surtout sur tous les domaines où la droite reste en retrait : toxicomanie, homosexualité, parité… »
    Le Parisien – Sébastien Ramnoux – 6 février 2006

    « Ravaillac inspire Romero. Jean-Luc Romero a choisi le Banana, un bar branché du 1er arrondissement pour présenter son livre consacré aux municipales parisiennes la Nuit des petits couteaux. Un lieu chargé de symboles pour le conseiller régional : C’est dans cette cave que Ravaillac, après avoir tué Henri IV s’est réfugié avec son … petit couteau. »
    Le Parisien – 7 février 2006

    « A l’occasion de la sortie de son ouvrage, La Nuit des petits couteaux, Jean-Luc Romero donne son point de vue sur les primaires de l’UMP et apporte son soutien à Françoise de Panafieu, maire UMP du 17e. »
    Métro - Aurélie Sarrot – 9 février 2006

    « [Son] livre situe les enjeux de la prochaine élection municipale à Paris en 2008… Plutôt acides [les] portraits des candidats de la droite… »
    Le Républicain Magazine – Stéphane Piraud – 9 février 2006

    « Dans [son] livre, [il] dresse des portraits au karsher des quatre candidats aux primaires UMP. »
    Radio BFM – Hedwige Chevrillon – 9 février 2006

    « Les lettres de Romero. Jean-Luc Romero sort cette semaine son nouveau livre La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ?.
    Tirés de celui-ci, trois extraits de lettres croustillants, pour dire les enjeux de l’élection… Capitale ! »
    Echo d’Ile-de-France – Samy Abtroun – 3 au 9 février 2006

    « Dans [son] livre, il expose un certain nombre de propositions… S’agit-il de propositions ou d’un programme ? »
    Equivok – 4 au 17 février 2006

    « Jean-Luc Romero raconte dans la Nuit des petits couteaux les divers épisodes de cette drôle de primaire […] Les pages les plus intéressantes du livre sont celles où il raconte comment, sous les pressions des autres candidats ou de l’appareil UMP, ceux qui avaient promis leur signature vont finalement se désister […] Jean-Luc Romero écrit librement à chaque candidat ce qu’il pense de lui et finit par prendre position pour Françoise de Panafieu, qui est aussi la favorite des sondages. Si elle est élue, elle devrait puiser quelques idées dans le catalogue très riche que propose Jean-Luc Romero… »
    La lettre politique et parlementaire – 13 février 2006

    « La queue qui s’était formée devant le Banana avait de quoi laisser perplexe pour un jeudi soir en période de vacances scolaires […] Le secret de cette foule hétéroclite ? Le lancement du nouveau livre de Jean-Luc Romero, la Nuit des petits couteaux, qui compte peser dans la bataille électorale pour enlever Paris à Delanoë. »
    Zurban – Alain Tap – 15 au 21 février 2006

    « Le 25 février 2006, les militants de l’UMP de Paris désigneront le candidat aux élections municipales de 2008. Jean-Luc Romero, ancien secrétaire national de l’UMP et conseiller régional d’Ile-de-France, premier élu au monde à avoir révélé sa séropositivité ne participe pas à la primaire. Dans La Nuit des petits couteaux, il s’en explique et fait le pari d’une autre droite… »
    France Info, Le livre du jour – Philippe Vallet – 17 févier 2006

    « La Nuit des petits couteaux, c’est la manière dont Jean-Luc Romero parle des primaires de l’UMP pour les candidats à la candidature pour combattre Bertrand Delanoë. »
    LCI, Le grand journal – Michel Field – 17 février 2006

    « Ce sont des méthodes héritées des années passées, dénonce Jean-Luc Romero, conseiller régional UMP [dans La Nuit des petits couteaux]. Fausses adhésions, utilisations de moyens illégaux et de fichiers, coups bas, pressions, manipulations, insultes, chantages… »
    Libération – Thomas Lebègue – 20 février 2006

    « Jean-Luc Romero a choisi la tradition festive du Banana Café, bar branché du 1er arrondissement de la capitale, pour présenter son livre, la Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ?, consacré aux municipales parisiennes. »
    Ici Paris – Catherine Monbreault – 21 au 27 février 2006

    « La Nuit des petits couteaux, c’est règlement à OK Corral. »
    TVFil 78 – Marc Nino – 22 février 2006

    « La Nuit des petits couteaux, en deux mots, c’est jeux de pouvoir et trahisons dans les coulisses de l’investiture UMP pour les prochaines municipales à Paris. C’est vrai qu’il faut avoir un poignard sur soi pour attaquer l’UMP. »
    Pink TV, Le Set – Marie Laborie – 22 février 2006

    « Un UMP atypique vient de sortir un livre La Nuit des petits couteaux. J’aime beaucoup le titre… [Il] a la dent très dure… Il y a beaucoup d’idées dans [son] livre. »
    BFM TV, le Grand Journal – Guillaume Vanhems – 26 février 2006

    « Face aux semelles compensées pour Jean-Luc Romero, c’est la nuit des petits courtauds. »
    Voici – Basile de Koch – 27 février au 5 mars 2006

    « Un regard féroce et mordant… Un livre savoureux qui vous éclaire… Des portraits sans complaisance… Il n’a pas trempé sa plume dans la verveine »
    France Bleu Ile-de-France – Olivier Daudé – 27 février 2006

    « Engagement. Il y fait de nombreuses propositions comme le Grand Paris. »
    Honcho – mars-avril 2006

    « C’est un livre qui mérite d’être lu car on y apprend beaucoup de choses. C’est un livre qui est très bien écrit… La fin du livre est très ouverte. »
    Radio Triangle FM, Zigomatik – Jean-Luc Frydman – 1er mars 2006

    « Un livre où on y apprend qui sont les petits couteaux… »
    Direct 8, Face à Alain Minc – Guillaume Klossa - 5 mars 2006

    « Quand on est un magazine gay, comment passer à côté de Jean-Luc Romero, un des rares hommes politiques à avoir fait son coming out ? Il nous parle de sa vie et de son cinquième livre La nuit des petits couteaux. »
    Mec’s Mag – Edward Spleen – mars 2006

    « La Nuit des petits couteaux. Ou les dessous de la politique vus par le prisme des primaires UMP pour Paris. Mais pas seulement…Des marchandages, des camouflets variés et assortis, mais aussi des soutiens fidèles. Que nous raconte l’auteur avec un humour emprunt de tristesse et de surprise aussi, parfois, lui qui pourtant s’est voué à la politique voici quelque vingt ans.
    Une somme de tractations diverses, des uns comme des autres, aboutissant pour finir à ce qu’il nomme « le bal des revenants. » Dont il dresse des portraits savoureux mais sans la moindre concession. La plume candide et drôle se fait parfois assassine. […]
    C’est ensuite Paris qu’il raconte. […] Il ajoute un vibrant plaidoyer pour le projet d’un Grand Paris qui permettrait de rationaliser toute une série de dossiers. Chiffres à l’appui mais sans jamais nous lasser. »
    Résiliencetv.fr – Hélène Keller-Lind – 19 mars 2006

    « Un autre livre car il écrit beaucoup, La Nuit des petits couteaux. Ce n’est pas sur le sida. Une autre bataille… »
    France Ô [RFO], L’Hebdo – Walles Kotra – 1er avril 2006

    « Qui battra Bertrand Delanoë ? Jean-Luc Romero, auteur de La Nuit des petits couteaux, décrypte la situation… et propose un Paris, Autrement. »
    La lettre du cadre territorial – Hugues Périnel – 1er avril 2006

    « Le nouveau livre de [Jean-Luc Romero], La Nuit des petits couteaux. Il faut le dire : c’est bien écrit. »
    TFJ, Compte à Rebours – Paul Wermus – 9 avril 2006

    « Qui battra Bertrand Delanoë ? [Dans La Nuit des petits couteaux, Jean-Luc Romero] passe en revue les différents candidats de droite… Il fait également de nombreuses propositions pour un Paris Autrement. »
    Tribu Move Magazine – Thierry Calmont – avril 2006

    « Jean-Luc Romero, [son] livre qui vient de sortir : La Nuit des petits couteaux, sur les élections municipales à Paris. »
    Direct 8, Morandini ! – Jean-Marc Morandini – 12 avril 2006

    « Le livre, c’est La Nuit des petits couteaux. On en avait déjà parlé à propos de la bataille de Paris. »
    I>Télé, Grande Edition – Guillaume Durand – 13 avril 2006

    « Vous pouvez retrouver Jean-Luc Romero avec son dernier livre…La Nuit des petits couteaux. »
    Différence numéro 1 – avril 2006

    « Si on n’aime pas la politique, on aimera au moins pour le côté polard de ce livre, qui donne le programme de celui qui a été écarté de la primaire UMP. Si on aime la politique, on adorera savoir ce qui se passe en sous bassement d’une élection. Si on aime ni l’un ni l’autre, on appréciera au moins le coté bien écrit, de celui qui parle franchement avec son cœur, sans démagogie ni ménagement, mais sans haine ni aigreur non plus. A lire absolument. »
    Coming – Guillaume de Thomas – avril 2006

    « Jean-Luc Romero a une petite actualité. Il a sorti en février La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? qui n’a rien à voir avec l’actualité de l’émission [l’euthanasie]… Quoique ! »
    France Culture, Science Culture – Julie Clarini – 21 avril 2006

    « Jean-Luc Romero publie La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? Pas grand-chose à voir avec la prostitution [thème de l’émission]. C’est la mairie de Paris. Comme [il] le dit lui-même, cela fait partie des thèmes. La politique, c’est ça. »
    France 3, France Europe Express – Christine Ockrent – 25 avril 2006

    « Jean-Luc Romero récidive : La Nuit des petits couteaux. Seul homme politique ouvertement homosexuel et premier élu à avoir osé révéler sa séropositivité, Jean-Luc Romero est l’auteur de plusieurs essais et revient en 2006 avec une analyse politique très critique. »
    Le Point (Québec, Canada) – Roger-Luc Chayer – avril, mai 2006

  • 57% des Français pour un encadrement de la prostitution

     

    Je n’ai vraiment pas regretté d’avoir participé à l’émission France Europe Express sur France 3, mardi dernier. Même si j’étais, avec Claire Carthonnet, bien seul à défendre une réglementation de la prostitution plutôt que la prohibition ou l’abolition, j’ai pu développer largement mes idées. 
    Grâce à l’honnêteté intellectuelle de Christine Ockrent, Serge July et Jean-Michel Blier, chacun ou plutôt chacune – j’étais le seul homme invité à ce débat – a pu défendre ses convictions durant l’heure et demi du programme.
    Je le répète, je désapprouve la traite des femmes qui s’est développée depuis les années 1995 avec l’arrivée massive des filles de l’Est puis à partir des années 2000 avec la mise sur le trottoir des africaines – Cameroun, Nigeria, Sierra Léone. Ces femmes, otages de réseaux mafieux, ont envahi les trottoirs de grandes villes causant ainsi des nuisances incontestables et insoutenables pour les riverains.
    La loi de mars 2003 avait pour ambition légitime de se battre contre ces réseaux et de permettre à ces filles-esclaves de se libérer. Le but n’a pas été atteint.
    Seules aujourd’hui, les prostituées traditionnelles, celles qui ont choisi librement de se prostituer, sont les victimes d’un harcèlement policier aussi injuste, qu’inefficace et même dangereux.
    Paradoxalement, une nouvelle forme de prostitution s’est développée avec des macs qui réapparaissent et extorquent, au fin fond des bois, des filles qui n’ont parfois pas d’autre choix que de céder… ou de subir des violences.
    La santé de ces femmes est aussi en danger car certains clients n’hésitent plus à exiger des rapports non protégés.
    Au-delà de toutes les déclarations de principe, chacun sait que la prostitution existera toujours. Alors, comme je l’ai longuement développé dans Lettre à une droite maladroite, plutôt que de défendre une prohibition impossible, plutôt que de nier les femmes et les hommes qui ont choisi la prostitution et dans le même temps de les matraquer fiscalement, il faut aujourd’hui réglementer cette profession et donner des droits à ces personnes. Dans le même temps, il faut, je le répète encore, être sans pitié contre les organisateurs de réseaux mafieux qui obligent des filles parfois mineures.


    57% des Français, selon le sondage France 3/France Info, présenté par Christine Ockrent lors de l’émission, approuvent l’encadrement de la prostitution – 60% d’hommes et 54% de femmes partagent cet avis. 22% tolèrent la prostitution tout en refusant le racolage. Seuls 14% des Français y sont totalement opposés.
    Ce sondage me conforte dans ma position. On dit souvent que je suis décalé des désirs des Français. Je constate une fois de plus que mes idées ne sont souvent iconoclastes que pour certains responsables politiques…

  • Dans France Europe express ce mardi à 23h05 sur France 3

    Ce soir à 23h05, sur France 3, je suis l’un des invités de l’émission politique de France 3 France Europe Express présentée par Christine Ockrent, Jean-Michel Blier et le patron de Libération Serge July.
    L’émission a comme thème : « Prostitution, la grande hypocrisie. Faut-il l’interdire ou l’encadrer ? » Parmi les autres invités, vous retrouverez notamment Roselyne Bachelot, Clémentine Autain et Claire Carthonnet.
    Je pourrai, à cette occasion, défendre le point de vue que j’avais développé dans mon livre « Lettre à une droite maladroite » [éditions Ramsay] paru en mars 2003 au moment de la loi Sarkozy du 18 mars 2003 qui a pénalisé le racolage passif.
    Bien sûr, je considère que le ministre de l’intérieur a raison de vouloir s’attaquer à ce problème car de vrais réseaux mafieux sévissent dans notre pays amenant depuis les années 95-97 des filles de l’Est puis, depuis les années 2000, des filles originaires d’Afrique sub-saharienne. Ces filles sont pour la plupart de véritables esclaves. De plus, leur arrivée massive a rendu certains quartiers invivables pour de nombreux riverains.
    Malheureusement les dispositions qui ont été prises par la loi du 18 mars 2003 et qui consistent à punir les prostituées de 3750€ d’amende et de deux mois de prison ont surtout pénalisé les victimes de la traite ou les prostituées traditionnelles qui ne sont pas des esclaves et n’ont pas de souteneur.
    Résultat, pour exercer leur activité, les prostituées doivent aller dans les coins les plus reculés et subissent de plus en plus de violences. La prévention, comme le rappelle la Conseil national du sida, est mise à mal car les clients se sentant plus forts exigent de plus en plus de rapports non protégés. Enfin, un nouveau proxénétisme s’est développé chez les traditionnelles qui en allant dans certains bois se retrouvent sous la coupe de nouveau proxénètes qui les rançonnent.
    Je considère aujourd’hui que plutôt que de se fermer les yeux, il faut être impitoyable avec les réseaux et réglementer la prostitution pour celles et ceux qui l’exercent librement.
    On n’interdira jamais le plus vieux métier du monde. Alors, oeuvrons pour que les travailleurs du sexe ait un statut protecteur - on leur fait bien payer des impôts sur une activité pourtant illicite !!!! - et par contre que les mafieux qui mettent en esclavage des femmes soient punis sans faiblesse.
    Les Français nous départageront car un sondage, en fin d’émission, nous indiquera s’ils souhaitent que la prostitution soit réglementée ou tout simplement interdite.
    A ce soir, pour un débat qui risque d’être animé.

  • Photos de l’émission « Compte à Rebours » en rediffusion ce lundi

    Grâce à mon ami Jérôme André, je peux déjà publier les photos de l’émission « Compte à Rebours » qui est passée dimanche en fin d’après-midi sur TFJ et qui est rediffusée ce lundi 10 avril à 17 heures. A noter cette photo surprenante où l'on voit mon visage et celui de Paul Wermus superposés. Amusant, non ?
    Je vous rappelle que ce débat est actuellement le seul programme consacré exclusivement à la prochaine élection présidentielle de 2007 sur une chaîne de télévision.
    Une mention particulière pour le journaliste Paul Wermus qui anime avec beaucoup de dynamisme et d’humour ce débat parfois passionné.
    Je le remercie aussi pour le commentaire qu’il a fait en fin d’émission sur mon dernier livre : « Le nouveau livre de [Jean-Luc Romero], La Nuit des petits couteaux. Il faut le dire : c’est bien écrit. »
    Merci cher Paul !

  • Aujourd’hui, rediffusion de mon débat sur Direct 8

    Je ne vous ferai pas de grande note ce dimanche.
    J’ai pu avoir un samedi juste pour moi à reste dans mon cher 12ème arrondissement… Rare et agréable. Un long moment dans ma salle de sport au Waou de Bercy Villages, une bonne partie de l’après-midi à la foire du Trône, voisine de mon domicile, puis au Bois de Vincennes avec Franck, un de mes meilleurs amis et sa fille de 5 ans, et enfin des courses nocturnes au Monoprix de Picpus. Bref, un samedi tout simple. Mais si sympa !
    Direct 8, la chaîne de la TNT, rediffuse ce dimanche 9 avril à 18 heures le débat du 5 mars de l’émission « Face à Alain Minc.
    J’avais participé à cette émission avec Louis Giscard d’Estaing, député du Puy-de-Dôme et Jean-Louis Leret, secrétaire national du PS chargé de l’industrie. Trois thèmes sont abordés dans ce débat : le patriotisme économique, Villepin et la fin de l’état de grâce - prémonitoire ! - et enfin les primaires à Paris et mon livre « La nuit des petits couteaux – qui gagnera la bataille de Paris ? », qui fête ses deux mois ce dimanche, y sera aussi évoqué à cette occasion.
    Je vous rappelle aussi que vous pouvez aussi me retrouver ce dimanche juste après, vers 18h30 sur TFJ, pour l’émission « Compte à Rebours » présentée par Paul Wermus.
    Bon dimanche à vous.

  • Un skate-park éphémère à Paris

    A quelques jours du débat que j’organise avec mes amis d’Aujourd’hui, Autrement avec Fabien de Sans-Nicolas, je voudrai revenir sur un dossier qui concerne bien des jeunes Parisiens mais qui n’évolue pas très vite : le dossier du skate-park couvert.
    Une preuve encore qu’il est bien difficile d’entendre la jeunesse pour une réalisation qui ne demande pas de fonds importants.
    A l’image de ce skate-park éphémère que propose Rémy Walter, président de Paris Skate Culture.
    Je vous reproduis ce que j’écris à ce sujet dans mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux. »

    « Paris reste une capitale insuffisamment à l’écoute de ses jeunes. J’ai eu l’occasion de proposer, avec mon ami Jonathan Denis, président de Jeunes Autrement Paris, qu’on revoie la composition du Conseil de la jeunesse de Paris que j’évoquais précédemment en le recentrant sur les jeunes - de 13 à 21 ans et non jusqu’à 25 ans comme aujourd’hui - et en augmentant le nombre de ses membres - 200 au lieu de 105, à raison de 10 par arrondissement et sur une base paritaire.
    J’évoque en achevant ce chapitre les aspirations des jeunes, car je reste toujours étonné qu’on ait tant de mal à comprendre leurs désirs, voire leurs cultures. A chaque époque, c’est la même chose, la même incompréhension. Qui se souvient aujourd’hui des cris d’orfraie des bien pensants, dans les années 60, après le concert de La Nation où Johnny Hallyday et les Yéyés avaient réuni des dizaines de milliers de personnes ? On nous faisait presque passer Johnny pour un terrible révolutionnaire, lui qui a toujours appelé à voter Chirac plutôt qu’Arlette L. !
    Tout ceci pour en venir simplement à une nouvelle illustration de cette incompréhension : elle concerne la pratique du skate board dans la capitale.
    En effet une vieille ordonnance de 1862, qui interdit les « jeux dangereux sur la voie publique », est régulièrement opposée aux jeunes, mais aussi aux moins jeunes, qui circulent sur la voie publique en skate.
    Certes, les skates peuvent endommager le mobilier urbain. Mais dans ce cas, il faut aménager des lieux où cette activité puisse être exercée. A Paris seuls 3 skate park d’envergure modeste et quelques spots de street permettent une pratique sûre de ce sport. Insuffisant !
    Depuis longtemps, des associations réclament, avec constance, un lieu couvert pour pratiquer en toute sécurité et sans poser de problèmes leur activité. Le temps est donc venu de répondre aux vœux des milliers de personnes qui ont signé, à ce jour, la pétition lancée par l’association
    Paris Skate Culture .
    Et en attendant, la droite pourrait soutenir la simple demande de Rémy Walter, président de cette association, qui propose de lancer un skate park éphémère. La ville trouve un hangar désaffecté – il y en a quelques uns à Paris ! – et l’association
    Paris Skate Culture prêterait le matériel. Les arrondissements de droite, si la ville ne répond pas, pourraient permettre cette réalisation à même de satisfaire tant d’usagers du skate qui ont vraiment l’impression de ne pas être des citoyens comme les autres à Paris. »
    [Extrait de La Nuit des petits couteaux - Qui gagnera la bataille de Paris ? - Jean-Claude Gawsewitch Editeur - pages 161 à 163]

  • Mon duo synchro avec Roselyne Bachelot dans « Coming »

    Un nouveau magazine est désormais disponible dans les kiosques sous le nom de « Coming. »
    Dans ce premier numéro, carte blanche a été donnée à la courageuse Charlotte Vallandrey qui y délivre un très beau billet d’humeur. Des interviews à la pelle, des reportages, de l’humour avec Alain Bouzigues et Tonya et même un dossier très bien ficelé sur les droits des LGBT.
    C’est aussi pour ma fidèle copine Roselyne Bachelot et moi-même l’occasion d’inaugurer une rubrique originale de ce magazine intitulée « In & Out. »
    « Un homme, une femme ; un homo, un hétéro » que bien des choses rapprochent comme le démontre cette interview croisée qui nous fait conclure tous les deux par la même réponse à la question de savoir « dans cette rubrique, en face de qui n’aimeriez-vous pas être ? »
    « Christian Vanneste » avons-nous répondu en chœur avec Roselyne...
    A noter aussi une critique élogieuse de mon livre « La Nuit des petits couteaux » par le journaliste Guillaume de Thomas que je vous reproduis volontiers.
    « Si on n’aime pas la politique, on aimera au moins pour le côté polard de ce livre, qui donne le programme de celui qui a été écarté de la primaire UMP. Si on aime la politique, on adorera savoir ce qui se passe en sous bassement d’une élection. Si on aime ni l’un ni l’autre, on appréciera au moins le coté bien écrit, de celui qui parle franchement avec son cœur, sans démagogie ni ménagement, mais sans haine ni aigreur non plus. A lire absolument. »
    Je ne vais pas bouder mon plaisir devant une critique aussi flatteuse… C’est humain, non ?
    En attendant, longue vie à Coming !

  • Des contre vérités qui ont un relent d’homophobie

    Dans « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? », j’ai consacré trois pages - sur 208, désolé pour ceux qui prétendent que je ne parle que de cette question ! - à la question homo à Paris dans le chapitre « Des voies nouvelles pour un Paris, Autrement ».
    J’ai décidé de livrer à ceux qui n’ont pas lu mon dernier livre ces pages qui sont une critique de la gestion de l’actuelle municipalité de gauche sur la question, mais aussi la dénonciation des fantasmes de certains élus de droite qui, sous couvert de combattre un pseudo communautarisme gay, trouvent là le moyen de lutter hypocritement contre l’homosexualité.
    En effet, sans vouloir défendre l’actuelle municipalité, l’honnêteté veut qu’on dénonce la campagne actuelle, lancée par le livre « Le marchand de sable » qui veut faire croire que les associations homosexuelles à Paris crouleraient sous les subventions et bénéficieraient sous la direction d’un maire gay d’un régime de faveur...
    Cette accusation est absurde mais laisse un goût amer.
    1,4% de subventions - 240.000€/an - pour une population qui rassemble de 10 à 15% de la population parisienne ne me paraît pas exagéré, ni préférentiel.
    A moins qu’on soit de mauvaise foi.
    Ces contre vérités ont un relent d’homophobie…

    « Enfin, un Grand Centre gay et lesbien à Paris !

    Dès qu’on parle des gays, dans le milieu politique parisien, tout devient irrationnel dans cette ville. Un journal satirique sur Internet « Le perroquet libéré » dénonce les erreurs de gestion prêtées ou supposées à Bertrand Delanoë. Mais l’essentiel de ces indignations est consacré aux actions qui sont menées à direction des homosexuels.
    Etonnant cette obsession des rédacteurs de cette lettre : ils voient des dérives communautaires permanentes et des homos partout. Il faudrait d’ailleurs demander à un psy ce qui justifie une telle obsession. Je dirai même un délire obsessionnel.
    Rien n’échappe aux coups de bec du perroquet, qui pour être juste, découvre parfois quelques petites perles. Mais bon, de là à critiquer dès que le mot gay ou lesbienne est prononcé, il y a une marge qu’ils franchissent allègrement ! Ainsi le 21 octobre 2005, évoquant les souris qui prolifèrent dans le 3ème arrondissement, ils n’hésitèrent pas à conclure : « Qui aurait cru qu’on manquerait de tapettes dans le Marais ? » Pas fin le Perroquet !
    Car ce bon François Devoucoux du Buysson, responsable de cette lettre satirique, sait parfaitement qu’à Paris, il y a de 10 à 15% d’homosexuels qui n’ont pas toujours été à la fête dans notre bonne ville. J’en ai même parlé avec lui en juillet 2005 dans un bistrot en face de la région : il a dû oublier !
    Sous les précédents mandats, aucune association homosexuelle ne bénéficiait de subventions alors que certaines jouent incontestablement un rôle important et que notre capitale a la communauté gay la plus touchée par le sida de toute l’Union Européenne. N’oublions pas qu’un gay sur 5 à Paris est contaminé par le VIH/sida ! Sans compter le travail que font certaines associations pour limiter le suicide qui concerne les adolescents homosexuels ou la lutte contre les discriminations.
    En 2004, 3.149 associations étaient subventionnées par la mairie de Paris à hauteur de près de 174 millions d’euros. Et parmi ces associations, seules dix-sept associations homosexuelles sur les centaines que compte notre ville bénéficiaient d’une aide publique ! On est donc très loin des abus dénoncés par Le Perroquet ou par certains élus de droite qui voient rouge dès que le mot homo se retrouve dans une délibération.
    Certes, un terrible précédent qu’a dénoncé, là à juste titre, François Devoucoux du Buysson , a plombé beaucoup d’initiatives en faveur des associations gays ou lesbiennes. En septembre 2002, le Conseil de Paris a voté une subvention de 100.000€ pour la préfiguration d’un Centre d’archives homosexuelles. Ce CADHP a une utilité qui est évidente.
    A l’époque j’ai donc pris ma plus belle plume pour demander aux conseillers de Paris de droite de voter pour cette subvention. Philippe Séguin, alors président du groupe RPR au conseil, m’assura du vote de son groupe. Effectivement, l’immense majorité du Conseil de Paris adopta cette subvention et, ce faisant, la création du CADHP. Quelle déconvenue de constater que quelques années plus tard personne ne sait réellement ce qu’est devenue cette initiative et que ces 100.000€ se sont presque envolés en fumée ???
    Mais est-ce parce qu’un projet n’a pas abouti et que les deniers publics ont ainsi été mal engagés que les centaines d’associations homosexuelle de Paris doivent être punies ? Sanctionne-t-on un club sportif qui demande des subsides municipaux au motif qu’un autre club a dilapidé une précédente subvention ?
    Il faudra, en 2008, que la droite reconnaisse enfin qu’une association homosexuelle a autant de droit à bénéficier de fonds public si elle a une utilité pour la ville, que les autres associations. Ce qui est le cas du CGL.
    Justement, en ce début d’année 2006, Paris ne dispose toujours pas d’un grand Centre Gay et Lesbien comme les grandes capitales du monde. Un CGL digne de Paris va, nous promet-on, ouvrir dans un immeuble de 240 m² à proximité du centre Pompidou au cours de ce premier semestre, mais que de temps perdu depuis 2001 !
    J’espère, chers amis de droite, que vous ne vous opposerez pas à ce projet que soutiennent d’ores et déjà les exécutifs de la mairie de Paris et de la région Ile-de-France ! Il en va de l’honneur d’une droite ouverte, tolérante. Bref, une droite qui vit enfin avec son temps ! »
    [extrait de La nuit des petits coteaux – qui gagnera la bataille de Paris ? Editions Jean-Claude Gawsewitch pages 163 à 166]

  • Mon interview dans Mec’s Mag

    L’interview que j’ai donnée à Edward Spleen pour Mec’s Mag, le mensuel gratuit gay friendly, diffusé en France et en Suisse, est parue en cette fin de semaine.
    Dans cette longue interview - que vous pouvez retrouver sur le site Internet de Mec’s Mag en cliquant ici -, j’évoque bien sûr sur mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? », mais aussi bien d’autres sujets. Je reviens notamment sur mon outing, l’annonce de ma séropositivité, mes livres en général, ELCS, mon parti Aujourd’hui, Autrement et bien sûr mon combat pour la légalisation de l’euthanasie au sein de l’ADMD.
    Dans le magazine, vous pouvez retrouver une page entière de photos de la soirée de lancement de mon livre au Banana chez mes amis Michel Michel et Stéphane Turland. Vous y voyez notamment Françoise de Panafieu, Roselyne Bachelot, Tonya, Antti de Nice People, Jean-Edouard Lipa, Frigide Barjot, Basile de Koch et Yves Lecoq et moi même [photo d'Edward Spleen ci-dessus].
    A noter dans ce numéro, une interview sans langue de bois d’Alain Bouzigues et une autre de William Bege, le nouveau Mister France.
    Bon dimanche !

  • L’édition française plutôt en forme…

    Je suis donc allé avec Philippe Lohéac au salon du livre pour dédicacer mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux – Qui gagnera la bataille de Paris ? » au stand de mon éditeur Jean-Claude Gawsewitch.
    Je vous conseille d’ailleurs de lire la dernière critique en date de mon ouvrage parue sur le site « Resiliencetv.fr » et rédigée par la journaliste Hélène Keller-Lind. Pour cela, il vous suffit de cliquer ici.
    Au salon, j’ai incontestablement été très touché par un jeune garçon qui avait amené tous mes livres pour me dire à quel point ils lui ont été utiles… Ca donne l’impression d’avoir été utile au moins pour une personne ! J’ai aussi été heureux de recevoir la visite de Gilles Tessier, l’un des protagonistes des Queers sur TF1, qui a eu la délicatesse de venir me saluer alors qu’il dédicaçait lui aussi son livre paru dans mon ancienne maison d’édition Ramsay.
    Je ne sais pas si l’actuelle édition du salon du livre - il s’achève aujourd’hui - est une grande réussite. Mais une chose est sûre, l’édition ne se porte pas si mal en France.
    53.000 livres ont été publiés dans notre pays en 2005 contre 50.000 en 2004 et … 28.000 en 1998 ! Le marché pourrait paraître saturé mais cela n’est pas sûr : 80.000 livres sont publiés annuellement en Angleterre, 70.000 en Italie et même 60.000 en Espagne…
    Certes, le chiffre d’affaires de l’édition a baissé légèrement en 2005 mais les résultats restent très honorables.
    Et les succès de librairie ne manquent pas en 2005 : Marc Lévy, François Weyergans, Michel Houellebecq pour les romans, Michel Onfray, Frédéric Mitterand, Mazarine Pingeot ou l’abbé Pierre pour les essais !
    La disparition du livre, tant de fois annoncée, n’est sûrement pas pour 2006 !

  • Je dédicace au Salon du livre le 21 mars

    Je dédicacerai mon dernier livre « La Nuit des petits couteaux - Qui gagnera la bataille de Paris ?" - au Salon du livre de Paris - Porte de Versailles - le mardi 21 mars 2006, à 20 heures, au stand de mon éditeur Jean-Claude Gawsewitch (N68).
    Je serai très heureux de vous y rencontrer.

  • Ce lundi 13 mars sur Vivre FM

    Je répondrai aux questions de Jacques Dejeandile sur la radio Vivre FM [FM93.9 en Ile-de-France et sur Internet www.vivrefm.fr ] de 16h00 à 17h00.
    Je parlerai longuement de mon livre « La Nuit des petits couteaux » et des idées que j’y défends pour un Paris, Autrement.
    Je ferai aussi un bilan de l’année sida, grande cause nationale 2005, et reviendrai sur l’affaire Humbert. Je parlerai enfin de l’interdiction faite aux personnes atteintes de pathologies lourdes de contracter un prêt et de l’évolution de ce dossier.
    L’émission sera rediffusée à l’antenne et sur Internet.

  • Merci à La Nuit des Follivores !

    Les noctambules parisiens connaissent bien la Nuit des Follivores.
    Un rendez-vous incontournable !
    Une fois par mois, le Bataclan, grande salle de spectacle parisienne, est investi pour une soirée « chansons françaises ». Des centaines de jeunes viennent se trémousser sur les standards de Sheila, Dalida, Sylvie Vartan et bien d’autres. Et depuis des années cette soirée décalée est un must à Paris. A tel point qu’il existe maintenant des tournées des Follivores dans les discothèques de province.
    Ce soir a donc lieu la Nuit des Follivores spécial Cloclo.
    A cette occasion, je veux remercier les organisateurs, notamment Jack, d’avoir consacré
    mon livre « la Nuit des petits couteaux », chouchou du mois. J’ai découvert cette délicate attention sur les flyers de la soirée…
    Belle fête ce soir et Merci à La Nuit des Follivores pour l’honneur que vous me faîtes !