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Panafieu, le bon choix aujourd’hui

Vous savez le choix que je fais ce samedi pour le premier tour de la primaire de l’UMP Paris. Je l’ai écrit sur ce blog comme dans mon livre « La Nuit des petits couteaux ».
Si je choisis Françoise de Panafieu pour cette primaire, c’est d’abord le choix du coeur. Puis celui de la raison !
Par contre, Aujourd’hui, Autrement attendra les prochaines élections présidentielles et législatives pour se positionner à Paris. Les cartes risquent d’être redistribuées après ces échéances capitales.
Nos critères de choix se feront d’abord sur le programme : ce Paris, Autrement que j’ai défini dans mon livre est pour nous un préalable à toute victoire. Mais la droite est-elle prête à le comprendre ? Aujourd’hui, certainement pas ! Heureusement, il lui reste deux ans... Mais en aura-t-elle la volonté et l’ambition ? A moins de lire dans une boule de cristal, impossible à prédire aujourd’hui !
En attendant, il s’agit ce samedi de choisir le meilleur candidat de l’UMP.
Je ne redirai pas pourquoi je ne choisis pas les 3 autres prétendants même si j’ai une vraie estime pour Pierre Lellouche. Je l’ai exprimé dans les lettres que j’ai publiées sur mon blog et plus longuement dans mon livre.
Françoise de Panafieu n’a pas encore gagné la partie. Mais si elle ouvre son cœur aux habitants de l’Est parisien comme elle l’a fait pour son cher 17ème, alors tout sera possible.
En attendant, Panafieu, c’est le bon choix aujourd’hui !

Commentaires

  • comme toi je choisis Françoise De Panafieu,je n'ai pas fait d'article sur mon blog a cause des evenements ,mais il faut aussi penser a Paris et aujourd'hui elle est pour moi la bonne candidate

  • Panafieu, Lellouche, Goasguen (celui-là au top cinquante des inconnus il gagne la mise) tout ça c'est des politicards tocards, assoiffés d'ambition avec des programmes prétextes. Pas d'envergure réelle.
    Ras la patate de ces politicards tocards qui font leur petite cuisisne sur leur petit réchaud dans leur petit coin . Et nous après faudrait qu'on mange leur menu, parce qu'ils ont choisi un tel ou un tel. C'est quoi ce hold up sur la démocratie ?
    NON NON NON NON NON NON AUX NARCISSES QUI PRETENDENT NOUS GOUVERNER

  • Bon, moi je sais les vraies raisons qui vous poussent à la suivre. Elles sont encore cachées au grand public pour l'instant, mais peut-être Mme de Panafieu s'en servira-t-elle comme argument éléctoral pendant sa campagne puisque cela a si bien réussi à son prédécesseur ?

    En tout cas, j'aimerais avoir plus d'éclaircissements sur les conditions de réalisation des sondages effectués par l'institut de Mme Parizot, patronne du MEDEF, et qui étrangement sont si favorables à Mme de Panafieu ?

    Correspondent-ils vraiment aux réponses des personnes sondées ou bien auraient-ils été "arrangés" pour des raisons qui échappent au plus grand nombre ?

    Le coeur a ses raisons que la raison ignore...

  • Par raison, car je vous fais confiance, je vote Panafieu mais le coeur n'y est pas.
    Quant à ce Cat qui passe son temps à laisser des messages stupides et haineux, amusant de remarquer qu'il trouve ce blog inintéressant mais qu'il y passe ses nuits!!!!
    Freud, au secours!

  • Tout comme toi, j'ai choisi Françoise De Panafieu qui me paraît la plus à même de gagner "La Bataille De Paris"...

    Amitiés,
    Christophe BG.

    NB : Ton livre est génial...

  • allez titi

  • Le carême 2006 : Croyez à la Bonne Nouvelle, Croyez que Dieu vous aime

    MESSAGE DE SA SAINTETÉ
    BENOÎT XVI
    POUR LE CARÊME 2006



    «Voyant les foules, Jésus eut pitié d’elles» (Mt 9, 36)



    Chers frères et sœurs !

    Le Carême est le temps privilégié du pèlerinage intérieur vers Celui qui est la source de la miséricorde. C’est un pèlerinage au cours duquel Lui-même nous accompagne à travers le désert de notre pauvreté, nous soutenant sur le chemin vers la joie profonde de Pâques. Même dans les «ravins de la mort» dont parle le Psalmiste (Ps 22 [23], 4), tandis que le tentateur nous pousse à désespérer ou à mettre une espérance illusoire dans l’œuvre de nos mains, Dieu nous garde et nous soutient. Oui, aujourd’hui encore le Seigneur écoute le cri des multitudes affamées de joie, de paix, d’amour. Comme à chaque époque, elles se sentent abandonnées. Cependant, même dans la désolation de la misère, de la solitude, de la violence et de la faim, qui frappent sans distinction personnes âgées, adultes et enfants, Dieu ne permet pas que l’obscurité de l’horreur l’emporte. Comme l’a en effet écrit mon bien-aimé Prédécesseur Jean-Paul II, il y a une «limite divine imposée au mal», c’est la miséricorde (Mémoire et identité, 4, Paris, 2005, pp. 35 ss.). C’est dans cette perspective que j’ai voulu placer au début de ce Message l’annotation évangélique selon laquelle, «voyant les foules, Jésus eut pitié d’elles» (Mt 9, 36). Dans cet esprit, je voudrais m’arrêter pour réfléchir sur une question très débattue parmi nos contemporains : la question du développement. Aujourd’hui encore le «regard» de compassion du Christ ne cesse de se poser sur les hommes et sur les peuples. Il les regarde sachant que le «projet» divin prévoit l’appel au salut. Jésus connaît les embûches qui s’opposent à ce projet et il est pris de compassion pour les foules : il décide de les défendre des loups, même au prix de sa vie. Par ce regard, Jésus embrasse les personnes et les multitudes, et il les remet toutes au Père, s’offrant lui-même en sacrifice d’expiation.

    Éclairée par cette vérité pascale, l’Église sait que, pour promouvoir un développement plénier, il est nécessaire que notre «regard» sur l’homme soit à la mesure de celui du Christ. En effet, il n’est en aucune manière possible de dissocier la réponse aux besoins matériels et sociaux des hommes de la réponse aux désirs profonds de leur cœur. Il convient d’autant plus de souligner cela à notre époque de grandes transformations, où nous percevons de manière toujours plus vive et plus urgente notre responsabilité envers les pauvres du monde. Mon vénéré Prédécesseur, le Pape Paul VI, identifiait déjà avec précision les dommages du sous-développement comme étant un amoindrissement d’humanité. Dans cet esprit, il dénonçait dans l’Encyclique Populorum progressio «les carences matérielles de ceux qui sont privés du minimum vital, et les carences morales de ceux qui sont mutilés par l'égoïsme, […] les structures oppressives, qu'elles proviennent des abus de la possession ou des abus du pouvoir, de l'exploitation des travailleurs ou de l'injustice des transactions» (n. 21). Comme antidote à de tels maux, Paul VI suggérait non seulement «la considération accrue de la dignité d'autrui, l'orientation vers l'esprit de pauvreté, la coopération au bien commun, la volonté de paix», mais aussi, «la reconnaissance par l’homme des valeurs suprêmes et de Dieu, qui en est la source et le terme» (ibid.). Dans cette ligne le Pape n’hésitait pas à proposer «la foi, don de Dieu accueilli par la bonne volonté de l'homme, et l'unité dans la charité du Christ» (ibid.). Donc, le «regard» du Christ sur la foule nous incite à affirmer le véritable contenu de «l’humanisme intégral» qui, toujours selon Paul VI, consiste dans le «développement intégral de tout l'homme et de tous les hommes» (ibid., n. 42). C’est pourquoi la première contribution que l’Église offre au développement de l’homme et des peuples ne se concrétise pas en moyens matériels ou en solutions techniques, mais dans l’annonce de la vérité du Christ qui éduque les consciences et enseigne l’authentique dignité de la personne et du travail, en promouvant la formation d’une culture qui réponde vraiment à toutes les interrogations de l’homme.

    Face aux terribles défis de la pauvreté d’une si grande part de l’humanité, l’indifférence et le repli sur son propre égoïsme se situent dans une opposition intolérable avec le «regard» du Christ. Avec la prière, le jeûne et l’aumône, que l’Église propose de manière spéciale dans le temps du Carême, sont des occasions propices pour se conformer à ce «regard». Les exemples des saints et les multiples expériences missionnaires qui caractérisent l’histoire de l’Église constituent des indications précieuses sur le meilleur moyen de soutenir le développement. Aujourd’hui encore, au temps de l’interdépendance globale, on peut constater qu’aucun projet économique, social ou politique ne remplace le don de soi à autrui, dans lequel s’exprime la charité. Celui qui agit selon cette logique évangélique vit la foi comme amitié avec le Dieu incarné et, comme Lui, se charge des besoins matériels et spirituels du prochain. Il le regarde comme un mystère incommensurable, digne d’une attention et d’un soin infinis. Il sait que celui qui ne donne pas Dieu donne trop peu, comme le disait la bienheureuse Teresa de Calcutta : «La première pauvreté des peuples est de ne pas connaître le Christ». Pour cela il faut faire découvrir Dieu dans le visage miséricordieux du Christ : hors de cette perspective, une civilisation ne se construit pas sur des bases solides.

    Grâce à des hommes et à des femmes obéissant à l’Esprit Saint, sont nées dans l’Église de nombreuses œuvres de charité, destinées à promouvoir le développement : hôpitaux, universités, écoles de formation professionnelle, micro-réalisations. Ce sont des initiatives qui, bien avant celles de la société civile, ont montré que des personnes poussées par le message évangélique avaient une préoccupation sincère pour l’homme. Ces œuvres indiquent une voie pour guider encore aujourd’hui l’humanité vers une mondialisation dont le centre soit le bien véritable de l’homme et conduise ainsi à la paix authentique. Avec la même compassion que Jésus avait pour les foules, l’Église ressent aujourd’hui encore comme son devoir de demander à ceux qui détiennent des responsabilités politiques et qui ont entre leurs mains les leviers du pouvoir économique et financier de promouvoir un développement fondé sur le respect de la dignité de tout homme. Une importante authentification de cet effort consistera dans la liberté religieuse effective, entendue non pas simplement comme possibilité d’annoncer et de célébrer le Christ, mais aussi comme contribution à l’édification d’un monde animé par la charité. Dans cet effort, s’inscrit également la considération effective du rôle central que les valeurs religieuses authentiques jouent dans la vie de l’homme, en tant que réponse à ses interrogations les plus profondes et motivation éthique par rapport à ses responsabilités personnelles et sociales. Tels sont les critères sur la base desquels les chrétiens devront aussi apprendre à évaluer avec sagesse les programmes de ceux qui les gouvernent.

    Nous ne pouvons pas ignorer que des erreurs ont été commises au cours de l’histoire par nombre de ceux qui se disaient disciples de Jésus. Souvent, face aux graves problèmes qui se posaient, ils ont pensé qu’il valait mieux d’abord améliorer la terre et ensuite penser au ciel. La tentation a été de croire que devant les urgences pressantes on devait en premier lieu pourvoir au changement des structures extérieures. Cela eut comme conséquence pour certains la transformation du christianisme en un moralisme, la substitution du croire par le faire. C’est pourquoi, mon Prédécesseur de vénérée mémoire, Jean-Paul II, observait avec raison : «Aujourd'hui, la tentation existe de réduire le christianisme à une sagesse purement humaine, en quelque sorte une science pour bien vivre. En un monde fortement sécularisé, est apparue une ‘sécularisation progressive du salut’, ce pourquoi on se bat pour l'homme, certes, mais pour un homme mutilé, ramené à sa seule dimension horizontale. Nous savons au contraire que Jésus est venu apporter le salut intégral» (Encyclique Redemptoris missio, n. 11).

    C’est justement à ce salut intégral que le Carême veut nous conduire en vue de la victoire du Christ sur tout mal qui opprime l’homme. En nous tournant vers le divin Maître, en nous convertissant à Lui, en faisant l’expérience de sa miséricorde grâce au sacrement de la Réconciliation, nous découvrirons un «regard» qui nous scrute dans les profondeurs et qui peut animer de nouveau les foules et chacun d’entre nous. Ce «regard» redonne confiance à ceux qui ne se renferment pas dans le scepticisme, en leur ouvrant la perspective de l’éternité bienheureuse. En fait, déjà dans l’histoire, même lorsque la haine semble dominer, le Seigneur ne manque jamais de manifester le témoignage lumineux de son amour. À Marie, «fontaine vive d’espérance» (Dante Alighieri, Le Paradis, XXXIII, 12), je confie notre chemin du Carême, pour qu’Elle nous conduise à son Fils. Je Lui confie spécialement les multitudes qui, aujourd’hui encore, éprouvées par la pauvreté, invoquent aide, soutien, compréhension. Dans ces sentiments, de grand cœur, j’accorde à tous une particulière Bénédiction apostolique.

    Du Vatican, le 29 septembre 2005.



    BENEDICTUS PP. XVI

  • ça commence à bien faire les commentaires de personnes qui sont ouvertement d'extrême droite du style Fram qui nous fatigue avec ses sermons et qui publie ce genre de choses sur son propre blog :
    " Les médias officiels du pouvoir ont rapporté qu'à la fin dela manifestation en souvenir de Ilan Halimi, des gens ont crié : vive la France !

    Tiens, tiens, la parole se libère.

    Eh bien oui, VIVE LA FRANCE ! "

    Et Fram n'est pas le seul à sous-entendre des choses dans les commentaires de ce blog et qui me donnent envie de vomir !
    Y'a rien à faire n'est-ce pas ? Même la droite modérée les attire comme des mouches...

  • Je comprends votre agacement, cher Thierry.
    Je reçois bien des commentaires qui ne sont pas publiés car trop injurieux ou menacant.
    J'en ai encore supprimé un ce matin qui proposait qu'on "m'envoie au bûcher" avec d'autres personnes "outés" dont je ne citerai pas le nom pour ne pas les blesser.
    D'autre part, je n'ai pas validé cet après-midi deux messages de Cat dangereux. Il ose y proclamer que les préservatifs ne sont pas efficaces.
    Comme je ne valide pas les commentaires des théoriciens du bareback - c'est mon choix! - je refuse de valider des informations fausses à même de troubler des esprits faibles et de leur faire croire que le préservatif n'est pas efficace.
    Mais en même temps, Thierry, je fais tout pour que ce blog soit un vrai lieu de dialogue.
    Il est vrai que cela devient de plus en plus difficile avec les messages scandaleux de certains... Concilier liberté et responsabilité: un défi quotidien sur ce blog, croyez-moi !

  • serais je visé?

  • Votre commentateur se trompe absolument. D'abord, pour ma part, jamais je ne souscrirais ni n'émettrais des propos sur des "büchers" etc. Ce genre d'ignonimie bête avant de devenir méchante n'est pas du tout de mon goût.
    Quand aux cris de Vive la France qui ont retenti à la sortie de l'office jeudi soir et qui voulaient bien marquer la confiance que tous gardent en la France, affligée de ce crime barbare, quoi de choquant. Ou bien est-ce choquant d'aimer son pays ? Dans ce cas, ce monsieur a un petit problème à régler avc lui-même, mais qu'il ne décharge pas sa haine sur les autres.
    Et précisément, si j'ai posté le message du pape pour le carême sur ce blog, c'est bien parce que j'ai pensé que son auteur serait capable de l'entendre, de le lire, et d'écouter cette simple invitation à se réconcilier avec Dieu, avec soi et avec les autres. En un mot à se laisser réconcilier avec Dieu dont l'encyclique récente du pape vient de nous rappeler qu'Il est Amour. Mais le commentateur a-t-il seulement pris la peine de lire ce message ?
    S'il le veut, il le peut. A une heure où beaucoup utilisent abusivement le nom de Dieu pour justifier le déchainement de la violence, pourquoi se raidit-il contre un pape qui appelle à l'Amour.
    S'il accepte de se détendre un peu, il peut encore lire le message. Et aussi au lieu de vitupérer sans lire, se référer précisément à cette encyclique par laquelle le pape a commencé son pontificat : Dieu est Amour. En voici l'adresse : http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/encyclicals/documents/hf_ben-xvi_enc_20051225_deus-caritas-est_fr.html

  • Avec 40%, elle est bien parti ... Effet Ségolène ?

  • Ceci dit, je félicite Jean-Luc Romero d'avoir publié le message du pape. Peut-être serait-il intéressant qu'il nous en donne son commentaire. Je doute qu'il y trouve quoi que ce soit de choquant.
    Jésus n'impose rien, il aime tous les hommes.

  • Eh monsieur,dire vive la france n'a rien de honteux

  • Tu as raison Jean Luc il n'est pas facile de concilier Liberté et Responsabilité sur ton blog quotidien ....
    Les esprits mauvais et attardés qui veulent t'envoyer au bûcher sont comme les Talibans qu'ils exécrent : des fanatiques obscurantistes.
    Quant à Cat et ses élucubrations sur le préservatif il est probablement irresponsable et provocateur .
    Comme le dit si justement Thierry ces discours commencent à "fatiguer"
    Ils ne montrent pas une grande originalité de pensée .....
    Je propose à Fram adepte apostolique du "salut intégral" de méditer sur cet extrait tiré du livre "Comment guérir un fanatique " d'AMOS OZ grand écrivain israélien :
    -------"Je me rappelle une blague où l'un des protaganistes est assis dans un café à JERUSALEM - évidemment à côté d'un vieil homme .Ils engagent la conversation .Il s'avére que le vieillard est DIEU Lui-même .Trés bien.D'abord récalcitrant son interlocuteur finit par se rendre à l'évidence.Il a une question qui ne souffre aucun délai ,bien entendu ."Mon cher DIEU ,auriez vous l'amabilité de me dire ,une bonne fois pour toute qui posséde la vraie foi ? Les catholiques romains ou les protestants ,ou alors les juifs ,ou bien les musulmans ? Répondez moi ,je vous prie " Et DIEU :" A dire vrai ,mon fils ,je ne suis pas religieux,je ne l'ai jamais été ,et la religion ne m'interesse guére"---------
    AMOS OZ " Comment guérir un fanatique"
    PANAFIEU le bon choix AUJOURD'HUI cette phrase reste d'actualité .......
    Amitiés!

  • oui enfin avec vos bondieuserie fram,vous êtes hors sujet.

  • En effet, philipe, mais depuis au moins 30 ans dans ce pays, dire "vive la France" vous faisait passer pour un vieux facho réac' .
    Voir que de plus en plus de gens comprennent aujourd'hui QUI avait raison et QUI était le plus clairvoyant sur l'avenir (bien sombre) de notre pays est un peu rassurant.
    Mais n'est-il pas déjà trop tard ?

  • "J'en ai encore supprimé un ce matin qui proposait qu'on "m'envoie au bûcher" avec d'autres personnes "outés" dont je ne citerai pas le nom pour ne pas les blesser."
    Mais sur le sujet de votre visite à Dijon, vous laissez Autissier proposer de m'y envoyer également pour délit d'opinion. Pas de censurepour son message à lui ?

  • je suis d'accord avec vous ici cat,mais ce que vcous dîtes sur le préservatif est inexact.

  • "Quant à Cat et ses élucubrations sur le préservatif il est probablement irresponsable et provocateur ."
    Sauf que j'ai fourni (dans un autre message censuré illico presto par M. Romero) un lien vers un document fournissant une première approche de la question.
    Dommage pour vous, mais M. Romero ne souhaite apparemment pas que vous soyez informés des risques de contamination que vous encourez.
    Après tout, il prend ses responsabilités morales.Moi je peux me regarder dans la glace le matin. Mais lui ?

  • Cat, vous êtes pathétique, ridicule et odieux.
    Quant à dire que vous êtes censuré et qu'on vous lit sans arrêt ici, cela fait rire...
    Ceci dit, le blog de M. Romero lui appartient: il n'est pas obligé de valider toutes les inepsies et les insultes que vous y mettez...
    Je le trouve d'ailleurs trop gentil avec vous.
    Vous avez atteint la limite du supportable.

  • Chacun peut le constater. Je laisse la parole à tous.
    Mais je refuse la désinformation comme la propagande.
    Renvoyer vers un site dangereux et de contre information, je m'y refuse!!!!
    Que ce Cat fasse sa désinformation sur son blog. pas sur le mien.
    La seule chose qui est vrai est qu'il n'y a, dans la vie, jamais de protection à 100%. Vous faîtes attention en traversant la rue. Et pourtant vous pouvez être écrasé...
    Qu'un préservatif puisse se déchirer, c'est une évidence. A chacun d'être vigilant pou se protéfer et protéger l'autre.
    Mais ne donnons surtout pas le sentiment que le préservatif n'est pas fiable. C'est une attitude irresponsable.
    Que veut-on: que les gens ne se protégent plus?
    Car désolé, Cat, si vous défendez l'abstinence, c'est votre choix et je le respecte.
    Mais ceux qui font un autre choix sont aussi respectables que vous.
    En attendant, et vu les messages que je ne peux valider de votre part, votre IP est désormais indésirable sur ce blog.

  • Une bonne chose de faite dès lors, car votre blog, monsieur Romero, est de bonne tenue : vous publiez régulièrement des notes pertinentes sur de vastes sujets. Mais certains commentaires n'y ont pas leur place, en dépit de la sacro-sainte liberté d'expression. Elle est bornée par "la violence mise au service de l'intolérance", comme l'estime Tzvetan Todorov.

    Il est désagréable de lire parfois des commentaires fleurtant avec la désinformation, la bêtise, l'intolérance. Comme vous l'indiquez : qu'il fasse leur désinformation chez eux ! On peut dialoguer, mais il faut un minimum de respect tout de même !

    J'avais moi-même dû censurer sur mon blog les commentaires d'un homme qui estimait que le SIDA ne tuait plus, prônait le barebacking, et insultait ceux qui faisaient de la prévention contre les maladies vénériennes.

  • Hors sujet ? Pas si sûr !
    En effet, Dieu est présent en chacun de nous : comment le respectè-je dans l'autre est donc une question éminemment importante. Et comment me respectè-je ?
    Nul doute que la sexualité est un désir très fort, comme le rappelait l'Abbé Pierre. MAis il ajoutait aussi qu'elle doit être orientée, guidée par et vers l'amour au risque sinon d'instrumentaliser l'autre, de le réifier, d'en faire un objet de plaisir égoïste. Cela demande donc une lutte. La question n'est donc pas tant le preservatif, etc. - que : quel est mon rapport à l'autre. Et n'oubliez pas : Dieu ne juge pas les hommes sur cette terre : il les aime, et leur offre son Amour. Laissez-vous aimer par Lui : découvrez cet amour gratuit, vrai et vraiment donné - n'attendant rien en retour. Ne voulant que le bien de chaque homme.
    Bonne continuation.

  • Je n'ai pas vraiment vu de connotations d'extrême-droite dans les propos de Fram, j'aimerais bien que l'on m'explique...

    En tout cas Fram, vous admettrez que les propos de l'Abbé Pierre sont minoritaires au sein de la hiérarchie de l'Eglise, mais peut-être pas de ses ouailles ?

  • Bien sûr les propos de l'abbé Pierre sont minoritaires. Et cela ne m'étonne pas, car pour certains - je dis bien pour certains, ils sont pleins de bons sentiments, mais peu sûr en ce qui concerne la réflexion. Ceci dit, l'essentiel n'est pas là : l'essentiel est la relation que chacun entretient à l'autre. Ce que j'ai apprécié dans le livre de l'abbé Pierre, c'est l'attitude à la fois très croyante - je voudrais que tant d'hommes (et de femmes) connaissent le Christ, fassent l'expérience de sa présence eucharistique. Les gens qui apprécient l'abbé Pierre ont-ils conscience qu'il n'a jamais renié ni l'Eglise ni sa vocation. Et que, quelles que fussent ses interrogations, il a puisé dans sa fidélité à elle la source de son action pour laquelle les gens l'apprécient.
    N'ayez pas peur du Christ, a dit le pape, il n'enlève rien, il donne tout. Pourquoi les gens ont peur du Christ ? Parce qu'ils ont peur de l'amour. Un amour qui ne s'impose pas, c'est un amour qui révèle notre faiblesse, celle que nous fuyons tant dans des "sécurités" illusoires et trompeuses. Le Christ qui est le seul refuge veut être aimé : il nous dit : s'il te plait, aime-moi. Et nous avons peur, parce qu'il est si petit, si pauvre, que nous avons peur qu'il nous dévore tout entier. Mais tel n'est pas le cas, car son amour est repsectueux de nous, donc nous pouvons nous abandonner à Lui. Or l'abandon, la confiance, nous en avons peur. Car s'abandonner, c'est accepter aussi d'être aimé tel que nous sommes avec nos cabossages et nos blessures à vif que nous cachons de peur que d'autres frappent dessus. Mais lui ne fait pas cela. D'où la difficulté et la nécessité de la confiance en Lui.

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